Inès avait le permis depuis seulement quelques mois. Après avoir économisé pendant des mois sur son petit salaire d’étudiante, elle avait pu s’offrir le précieux sésame pour son vingt-troisième anniversaire ("il était temps" avait dit son père). Elle était une conductrice prudente, et c’est pourquoi elle avait pris le volant tôt dans l’après-midi du mois de janvier, afin d’arriver chez ses parents avant que la nuit tombe. Ils vivaient dans une région isolée et mal desservie, et Inès appréciait peu de conduire dans l’obscurité. Cependant, alors que l’après-midi tirait sur sa fin, sa petite voiture se mis à cahoter sur la petite route de campagne. Inès s’agaça, après tout il ne restait qu’une vingtaine de kilomètres à faire ! Malgré toute sa bonne volonté, une fumée épaisse se mit à cracher du capot, et dans un dernier sursaut, la voiture cala pour ne plus redémarrer.
Inès avisa son portable. Aucun réseau, évidemment. Elle sortit de la voiture : vêtue de son tailleur noir élégant (tenue obligatoire quand on travaille en bijouterie !), et perchée sur ses stilettos de dix centimètres, elle n’était pas vêtue pour randonner dans les bois. De plus, la nuit commençait à tomber. Elle se saisit de son sac à main, et claqua la portière. Qu’à cela ne tienne, elle allait marcher. Elle finirait bien par tomber sur un autre véhicule, ou une habitation d’où elle pourrait passer un coup de fil.
Inès marcha jusqu’à la nuit tombée. Au moment où elle commençait à perdre espoir, une vieille bâtisse se dressa hors du bois. Il s’agissait d’un vieux corps de ferme, mais les lumières étaient allumées. Soulagée, Inès pénétra dans la cour, en tentant de garder l’équilibre tout perchée qu’elle était afin de ne pas tomber dans la boue.
"Qui va là ?" gronda soudain une voix.
Inès sursauta : un vieil homme, le fusil à la main, la toisait depuis l’entrée de la grange.
"Pardonnez-moi, Monsieur, je m’appelle Inès, ma voiture est en panne à quelques kilomètres, et j’aurais voulu utiliser votre téléphone pour prévenir une dépanneuse…" dit Inès, maîtrisant les tremblements dans sa voix (elle n’était pas vraiment habituée à être menacée d’une arme !).
Le vieux semblait hésiter. Il la toisait de la tête aux pieds, ce qui commençait à mettre la jeune femme mal à l’aise. Puis, il baissa son arme et lui fit signe d’entrer de la tête. Rassurée, Inès s’engouffra dans la bâtisse au moment où les premières gouttes de pluie froides glissaient dans son décolleté.
Le vieil homme posa son fusil contre le mur près du porte-manteau (antique), et l’invita de la main à ôter son blazer, et Inès s’exécuta : il faisait bon dans le salon de la ferme, un feu crépitait dans la cheminée. Enfin à l’abri, Inès commençait à se détendre.
"Merci beaucoup, Monsieur. Je ne vous dérangerai pas longtemps, je veux juste passer un coup de fil" dit-elle en souriant.
"Y a pas le feu", répondit le vieux, d’un ton claquant, "Vous allez bien vous assoir un peu non ? Elle a pas marché tout ce temps avec ses petites chaussures pour rester plantée là, si ?"
"Euh, non, en effet, merci", répondit la jeune femme, un peu secouée par les manières du paysan.
— Je m’appelle Jacques, au fait. On voit pas beaucoup de dames de la ville par ici.
Pendant qu’il s’affairait à préparer un thé semblait-il, Inès détaillait son hôte : plutôt grand, Jacques était de belle stature. Un homme d’environ soixante-dix ans peut-être, le teint buriné de la vie au grand air, et d’énormes mains sans doute plus habituées à fracasser des bûches à coup de hache qu’à manier un crayon ! Toute occupée qu’elle était à dresser le portrait de Jacques, Inès n’avait pas remarqué que ce dernier avait surpris les regards de la jeune demoiselle.
"Pas l’habitude de voir des travailleurs de mon âge, petite ?" dit-il en riant.
— Pardonnez-moi, Monsieur…
— Appelez-moi Jacques
"Pardonnez-moi, Jacques, je ne voulais pas avoir l’air impolie", s’excusa Inès, "Mes parents sont des gens de la campagne, comme vous, c’est plutôt rafraichissant de vous rencontrer."
Rapidement, ils furent assis face à face à table, et Jacques posa devant elle une tasse de thé chaude, qu’elle s’empressa de porter à ses lèvres. Ce faisant, elle découvrit que son hôte glissait quelques regards vers son décolleté, ce qu’elle trouva charmant. Un grand-père un peu seul sans doute. Cette pensée créa insidieusement une boule de chaleur dans son bas ventre. Elle tâcha de se reprendre.
"Vous vivez seul ici, Jacques ?" demanda-t-elle.
"Depuis la mort de ma femme il y a cinq ans oui", répondit-il.
— Oh, désolée…
Jacques haussa les épaules. Son regard était de plus en plus insistant.
"Quel âge tu as ?" demanda-t-il.
Surprise d’être tutoyée, Inès répondit qu’elle avait vingt-trois ans. Un malaise était tombé dans la pièce. Se maudissant d’avoir donné à Jacques la possibilité d’être familier, la jeune femme demanda à passer son coup de fil. Jacques paru devenir agacé.
"Tu l’auras ton téléphone !", cracha-t-il en se levant.
Inès se releva, prête à partir.
— Merci pour votre accueil, mais je vais partir. Mes parents vont s’inquiéter.
Avant qu’elle ait pu atteindre le porte-manteau, Jacques la retenait par le bras. Quelle poigne ! se disait la jeune femme, mais elle n’était pas inquiète pour autant.
"Non, reste, s’il-te-plaît", dit-il d’un ton presque suppliant.
Inès prenait conscience de l’odeur de terre du vieil homme, de la force de son corps, à le sentir si près d’elle. Quelque chose chez cet homme lui faisait perdre tout sens commun. Jacques sentit le trouble de la demoiselle. Il profita de cette seconde suspendue pour faire glisser sa grosse main de son épaule à sa poitrine. Il laissa sa paume sur le rond du sein d’Inès, qui sentit un frisson la traverser. Elle soupira. Encouragé, Jacques entreprit d’ouvrir un peu plus le chemisier de la jeune femme qui le laissa faire. Quand il eut ouvert trois ou quatre boutons, il écarta les pans de la chemisette et admira la poitrine neuve d’Inès, relevée par un soutien-gorge rouge vif.
"Tu es belle", lui dit-il.
Inès était résolue à se laisser faire. Elle laissa tomber ses bras le long de son corps, offerte. Jacques n’en demandait pas tant. Il arracha ce qu’il restait de boutons sur le chemisier, et vint fourrager la poitrine ainsi découverte de sa trouvaille. Il fit ressortir d’abord un sein, rond et ferme, qu’il mordilla, puis lécha bruyamment. Inès soupirait, passait sa main dans les cheveux blancs et broussailleux de Jacques. Ce dernier finit par ouvrir complètement le soutien-gorge, qu’il envoya valser à l’autre bout de la pièce. Il resta à s’affairer sur les seins magnifiques d’Inès, qui sentait une douce moiteur envahir son entrejambe. Au bout d’un moment, ses seins presque douloureux d’avoir été si durement malmenés, elle avisa le canapé miteux dans un coin de la pièce. Elle repoussa doucement son hôte, et entreprit d’aller s’y assoir. Là, excitée et hors de contrôle, elle releva sa jupe, glissa ses mains dessous, et vint baisser doucement son string sur ses chevilles, avant de l’ôter complètement.
Hypnotisé, Jacques la regardait, ne cherchant même pas à dissimuler son énorme érection.
Enfin, Inès écarta les jambes, révélant un sexe parfaitement épilé, doux et à la vue et probablement encore plus au toucher : une jeune chatte, juste mouillée ce qu’il fallait. Jacques vint s’agenouiller devant elle, et glissa son énorme majeur dans sa fente. Inès laissa échapper un gémissement de plaisir : les mains de son hôte étaient calleuses et rudes, et la sensation de ce doigt dans son intimité était sublime.
Rapidement, Jacques vint embrasser sa petite chatte, et laper son clitoris déjà gonflé. La vue de ce vieux visage entre ses cuisses fermes rendait Inès aussi folle qu’une chienne en chaleur.
"Baise-moi Grand-père, je n’en peux plus maintenant", le supplia-t-elle.
Et il ne se fit pas prier. Il défit sa ceinture et déboutonna son pantalon, révélant une verge dure et gonflée de belle taille. Inès avait hâte de recevoir ce gourdin dans son entrejambe trempée. Débarrassé de ses vêtements, Jacques saisit la jeune femme par la taille, et la retourna pour la mettre à quatre pattes.
"C’est comme ça qu’on baise les petites chiennes par ici", murmura-t-il à son oreille.
Il lui claqua violemment le cul du plat de la main, et Inès sursauta, un peu surprise par ces manières. Elle n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions, car Jacques lui enfonça sa queue d’un coup de rein expert. Elle laissa échapper un cri aigu de surprise et de douleur. Jacques la besognait comme un mâle en rut, privé sans doute depuis longtemps des jouissances de la chair. La grosse main du vieillard venait presser son sein comme une mamelle qu’on trait, pendant qu’il s’affairait à écarter son entrejambe afin de se donner du plaisir. Des râles rauques venaient ponctuer ses coups de butoir contre son cul. Inès commençait à sentir qu’elle avait fait une erreur, et tentait de trouver une position pour subir le moins possible la longueur de son insatiable partenaire, mais Jacques la reprenait systématiquement, et plus fort encore.
"Petite conne, tu n’aurais pas dû me laisser goûter à ta chatte", lui dit-il, "Je ne crois pas que je vais te laisser repartir".
Excitée autant que terrifiée, Inès sentit l’orgasme l’envahir en même temps que Jacques jouissait brutalement dans ses entrailles. Elle jouit bruyamment, se laissant utiliser jusqu’au bout comme trou à foutre par Jacques qui ne se retira qu’après s’être assuré d’avoir tout déversé en elle.
Sans avoir eu le temps de renfiler le moindre vêtement, Inès fut saisie par Jacques, traînée jusqu’à la grange, froide et puante, et jetée dans l’étable. La porte métallique se referma violemment sur elle, puis ce fut le silence.