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Gros goujat gâche son amitié pour du sexe – Chapitre 1




Avertissement : les opinions des personnages ne sont pas celles de l’auteur, et les notions sexistes avec lesquelles ce texte joue ne le sont pas non plus.

J’avais 20 ans et je n’avais qu’une obsession : me taper de la meuf. Quasiment tout ce que je faisais c’était pour pouvoir serrer une fille et jouir dans sa petite chatte. J’y pensais sans arrêt ! Tout me semblait être une perte de temps si ça ne me permettait pas de gicler. J’avais une pote à l’époque qui était une vraie bonnasse. En même temps, de mon point de vue, le simple fait d’être une femme suffisait à être une bombe sexuelle, au moins jusqu’à ce que j’ai l’occasion de fourrer son vagin. Après l’orgasme, il m’arrivait de voir le bout de viande pour ce qu’il était. Mais objectivement, celle-là était mignonne, parmi les putes qui me mettaient en chien. Elle chérissait notre amitié, et c’était réciproque en un sens, principalement parce que dès que je la voyais, je n’avais que deux mots à l’esprit « vide couille », donc j’adorais garder son gros cul à portée de main, au cas où. Je bandais grave rien qu’à sentir son parfum de pétasse.

Et je me suis paluché des centaines de fois sous la douche en m’imaginant la prendre dans tous les sens. Comme tout le monde dans cette situation, je me branlais en matant des actrices pornos qui lui ressemblaient. Il ne se passait pas un jour sans que je cherche un moyen de la mettre dans mon pieu. Enfin, vous voyez le tableau.

Le jour de mon anniversaire, la pote en question m’a offert quelque chose d’original : cinq faveurs. Cinq « souhaits ». Je pouvais lui demander n’importe quoi « dans la limite du raisonnable » et elle le ferait. Ouais, c’était nul comme cadeau, mais j’ai réussi à en tirer un maximum ! Le jour même où elle me l’a offert, je lui ai fait les yeux doux, comme on dit, et je lui ai demandé un tendre baiser. Elle devait avoir des sentiments pour moi, parce que ça a marché ! Je veux dire qu’on s’est embrassé et qu’après on a « fait l’amour » (je me suis fait plaiz’ dans son minou quoi). Je vous passe les détails parce que c’était juste du sexe classique : je la prends en missionnaire, je la prends en chienne, je lui claque le cul et je finis dans sa chatte. C’est tout, même pas de foutre sur sa gueule de pute. Rien de bien méchant, donc. C’était plié en dix minutes.

C’était bon, hein, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : je me suis bien soulagé la bite et c’est ce que je désirais le plus au monde, mais ce nétait pas une expérience inoubliable. Ce nétait pas le genre de baise à laquelle je repenserais en me branlant dans les chiottes de mon taf. La suite de notre relation a été bien plus intéressante.

Le truc c’est qu’après ça, tout s’est détérioré entre nous. Je ne sais pas trop pourquoi. Honnêtement, dès qu’elle parle plus de dix secondes, j’arrête d’écouter parce qu’en voyant ses lèvres rouges pulpeuses s’agiter, je narrive pas à m’empêcher de l’imaginer à genoux devant moi à me tailler une bonne pipe. C’est dur de se concentrer sur ce qu’elle dit alors que tout ce qui m’occupe l’esprit c’est de trouver un moyen de lui baiser la bouche le plus vite possible. Bref, un jour, ça a tourné à la dispute : elle me criait dessus, elle avait les larmes aux yeux. Une meuf quoi, haha ! Ça faisait couler son mascara, alors forcément, direct, ça m’a fait penser à de la gorge profonde : j’étais tellement dur que ça m’en faisait mal ! Alors j’ai ressorti mes faveurs. Vu qu’il m’en restait quatre, je lui ai dit que je voulais en utiliser une pour la baiser, là tout de suite ! Elle était choquée et elle allait partir, mais je l’ai bien embobinée : « Je croyais que t’avais qu’une parole ?

Tu tiens pas tes promesses ? ».

Elle a cédé, la pute ! Je l’ai bien claquée contre le mur, et j’ai enfoncé ma queue dans son petit cul. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point ça m’a fait du bien de décharger ma colère en lui cassant le cul. « C’est pas juste » qu’elle disait ! Mais putain, meuf, fallait pas me chercher ! Pendant que je lui limais le cul elle me reprochait des trucs, « c’est toujours comme ça avec toi ». Ouais ? Je lui ai dit direct :

Faut pas te pointer avec tes deux gros nichons en décolleté si tu veux pas que ton pote bande dur dès que t’ouvres ta petite gueule de pute.

Elle s’est tue pendant un moment, signe que j’avais vu juste. Les allumeuses, moi, je les repère direct. On ne me la fait pas à moi ! Je pense au sexe toute la journée, t’nimagines pas que ça va me passer sous le nez sans que je remarque rien, quand même !

Cette fois-ci j’ai fait durer le plaisir. C’était trop bon de la remettre à sa place, alors je savourais. Pendant que je l’enculais, elle grognait comme une chienne et se plaignait « t’es pas possible », « c’est pas normal ça », « tu me fais mal ». C’était divin. Je me branle encore en y repensant. Je me souviens d’elle qui couine :

Je croyais qu’on était amis…

J’ai déchargé tout mon foutre dans ses grosses fesses de salope. J’étais si essoufflé de lui avoir défoncé le cul : « Ouais, ouais t’inquiète, t’es toujours ma pote. Je me suis juste un peu énervé, c’est tout. » Ça l’a un peu rassurée. Heureusement, parce que dans la foulée, j’avais oublié de baiser sa bouche et sa gorge comme si c’était une chatte. Mais je l’ai assez rassurée après coup pour pouvoir me servir d’elle encore dans les jours qui ont suivi.

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