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Mère et fils, aiment le porno ! – Chapitre 1




Bonjour. Je m’appelle Léo, j’ai 22 ans et je suis acteur de films x. J’ai toujours adoré le sexe et les femmes et je suis pleinement épanoui dans cette activité qui me permet de baiser souvent, avec des filles splendides. Je suis plutôt grand, 1m87, musclé, et bien membré, comme il se doit, avec une queue qui atteint facilement les 20 cm, toujours prête à l’action. Donc même si je ne suis pas Rocco Siffredi, je suis assez connu et réputé dans le métier.

Cependant être réputé comporte un risque : que votre famille soit mise au courant par hasard de vos activités. J’ai donc décidé de prendre les devants et tout avouer à mes parents, ma mère et mon père. Ils sont divorcés depuis quelques années et c’est donc séparément que j’ai discuté avec chacun d’entre eux. 

Mon père l’a assez mal pris. Lui qui rêvait de me voir médecin ou ingénieur est tombé de haut. C’était en plus pour lui un métier dégradant, immoral… Ceci dit, je me doutais bien de sa réaction car il avait toujours été très droit, très strict. Là où j’ai été très surpris, par contre, c’est lorsque j’en ai parlé à ma mère. Apprendre que j’étais acteur porno, à l’inverse de mon père, n’a pas semblé la choquer. Moi qui était persuadé qu’elle aussi était très prude, je m’aperçus qu’elle était assez différente de l’image que je me faisais d’elle.

— Léo, pourquoi tu m’as pas dit avant que tu faisais ça ?

— Maman, je suis désolé, je pensais que tu allais mal le prendre.

— Pourquoi ça ? Tu sais, je suis moins coincée que ce que tu penses. Je vais te surprendre, mais j’en ai déjà vu des films porno quand j’étais plus jeune, avant d’être avec ton père, et je ne détestais pas. Je trouvais ça même assez excitant. Il n’y a rien de mal après tout.

De façon très étonnante elle me posa plein de questions sur mon quotidien d’acteur de films x. Elle semblait fantasmer sur l’atmosphère érotique des tournages, était curieuse de savoir ce que je faisais comme film, comment ça se passait, avec quelles actrices je tournais. Certaines de ses questions étaient même plus indiscrètes. Elle voulait savoir si je prenais du plaisir, si les filles jouissaient, qu’elles étaient mes positions favorites et les leurs.

— Pourquoi tu me demandes tout ça, maman ?

— Comme ça… Je suis juste curieuse…

Je répondais du mieux possible, en évitant de donner trop de détails graveleux. Mais elle insistait. Dès que j’allais la voir elle abordait régulièrement le sujet, avec toujours la même curiosité ambiguë. Et puis un jour elle me fit une proposition assez spéciale.

— Dis moi Léo et si moi aussi je faisais ça ?

— Si tu faisais quoi ?

— Hé bien, du porno…

— Maman, pourquoi tu veux faire du porno ? Ca va pas ?

— Je suis sérieuse. J’aimerais bien essayer. Ca gagne bien, tu m’as dit. Je n’ai pas de travail et avec ce que me donne ton père en guise de pension alimentaire, tu sais que c’est vraiment juste pour moi.

— Ca gagne bien, en effet, mais tu es ….ma mère !

— Et alors ? Je suis encore bien pour mon âge. Peut être que les gens avec qui tu travailles auraient un petit rôle pour moi. Moi aussi je peux avoir du succès, je suis encore séduisante.

Je n’avais aucun doute sur les capacités de séduction de ma mère. Elle était en effet encore assez mignonne, brune aux yeux bleus, bien faite, des mensurations idéales, une bonne poitrine et un cul que mataient tous les hommes dans la rue.

— Maman, même un petit rôle ça veut dire passer à la casserole, avoir des relations avec des acteurs, baiser avec eux. Tu es consciente de ça ? On est sur un grand plateau où tout le monde te voit, on ne se cache pas. Et moi aussi, si je tourne en même temps, je serai là, dans le même studio, et je ne pourrai pas éviter de te voir en pleine action. Tu veux vraiment que je te voie en train d’avoir des relations sexuelles, là, sous mes yeux ?

— Ho, tu sais, ça ne me gêne pas. Tu as l’habitude de voir baiser plein de femmes. Je suis faite comme elles, je ne suis pas différente. Et puis c’est juste du sexe.

J’étais sidéré. Je n’avais jamais imaginé voir un jour ma mère tenir ce genre de discours. Mais si après tout elle avait envie de tenter l’expérience, avec toute l’ambiguïté que ça impliquait du fait de ma présence, je n’allais pas être plus royaliste que le roi. Elle savait ce qu’elle faisait.

— Ok. Si tu veux on va voir le producteur, c’est un bon copain.

— Pourquoi pas ?

Nous sommes donc allés dans les studios de tournage qui étaient pas loin de chez moi. Philippe, le producteur était là. J’étais à peu près sûr que ma mère allait se dégonfler. Mais ce ne fut pas le cas.

— Philippe, je te présente ma mère. Elle s’appelle Martine et aimerait essayer de tourner.

— Hé, c’est pas banal ça, un fils et sa mère sur un plateau de film x ! C’est bizarre, votre idée, mais après tout ça vous regarde, les enfants. Tu aimes le sexe, Martine ? Tu aimes sucer ? Et la sodomie, tu aimes ça ?

Philippe était volontiers provocateur pour tester la motivation de ma mère. Celle ci ne se laissa pas décontenancer.

— Bien sûr, j’aime tout ! lâcha t-elle avec un grand sourire.

— Bien…Alors c’est ok pour moi. On commence demain. On tourne "Infirmières en chaleur". J’ai un rôle d’infirmière d’age mûr sur lequel tu pourrais faire un essai. Inutile de beaucoup t’habiller, le scénario est assez "léger", Ha Ha Ha !

Le soir, en ramenant ma mère chez elle, j’essayais encore de la raisonner.

— Maman, c’est une grosse bêtise. Les films de Philippe c’est du trash, souvent hard core.

— N’essaie pas de discuter, je vais le faire. Ma décision est prise.

Je ne savais plus que dire. Jamais je n’aurais cru que ma mère serait allée jusque là. Je l’avais imaginée sage et rangée et je tombais de haut. Pourquoi faisait elle ça ? La réponse était peut être simple : mon père l’avait quittée pour une femme plus jeune et peut être que c’était là le moyen pour elle de prouver qu’en matière sexuelle elle était encore au top, qu’elle pouvait faire bander des milliers d’hommes.

Le lendemain nous nous sommes donc rendus aux studios tous les deux. Philippe nous attendait. Moi même je devais tourner plusieurs scènes, mais c’est ma mère qui ce jour là éveillait les curiosités de l’équipe de tournage.  

— Bien, Martine, on va faire une scène dans laquelle une infirmière mature va réaliser des soins très coquins sur un patient…Tu es prête, on essaie ?

— Je suis prête, Philippe, lança ma mère tout en souriant.

— Parfait ! Tiens, déshabille toi et enfile cette blouse d’infirmière.

— J’enlève tout ?

— Bien sûr ! Une infirmière ça ne porte jamais de culotte, c’est bien connu !

Ma mère se mit dans un coin pour se déshabiller, retira sa culotte, ce qui donna l’occasion à Philippe de vérifier de quel postérieur avantageux elle était dotée. Elle enfila ensuite sa blouse et revint vers nous se positionner à coté d’un lit d’hôpital où était allongé Carlos, un copain acteur qui allait jouer le "patient". Sous le drap il était déjà à poil. Ma mère semblait sereine, pas stressée du tout.

— Martine, voilà ton texte, dit Philippe. C’est pas compliqué. Tu vas y arriver ?

— Je vais essayer…

Ce fut à Carlos, de commencer.

— Madame l’infirmière, j’ai très mal aujourd’hui.

— Hé bien, jeune homme, vous avez pris vos médicaments ?

— Oui madame. Mais il faudrait quelque chose de plus puissant pour me faire du bien.

— Je crois que j’ai ce qu’il vous faut, jeune homme !

Là dessus, suivant les instructions de Philippe, ma mère ouvrit sa blouse, faisant jaillir sa fantastique grosse poitrine. Elle était superbe. J’avais déjà vu les seins de ma mère, mais dans cette situation ils me semblaient encore plus gros, encore plus beaux. Carlos était visiblement ravi de les voir aussi. Ils étaient 100% naturels et même s’ils étaient un peu "floppy" du fait de son age, lorsque ma mère les lui mit dans la figure, il les lécha avec appétit.

— Ok Martine, maintenant tu enlèves le drap. Tu vas le sucer.

Soucieuse de bien faire ce qu’on lui demandait, ma mère tira le drap du lit et découvrit le sexe de son partenaire. En voyant son énorme bite, elle ne pu réprimer son admiration. Elle n’avait jamais vu de sexe aussi gros.

— Ha, c’est joli, ça ! s’exclama t-elle ! Je vais bien vous soigner jeune homme !

Cette réplique n’était pas prévue dans le scénario. Ma mère l’avait lâchée instinctivement, ce qui ravit Philippe.

Alors, devant mes yeux ahuris, et sous l’oeil de la caméra, elle se mit à lécher la queue de Carlos, comme on lèche une grosse sucette. Elle l’enfourna ensuite dans la bouche et se mit à la sucer goulûment. Pour ma part j’étais stupéfait et assez embarrassé de voir ma mère faire ça. Mais, pour ce qui était de Carlos, l’effet était réussi. Son érection était conséquente. Il avait une très grosse queue et même des actrices pro avaient parfois de la difficulté avec ce genre de dimension. Mais ma mère s’en accommodait très bien. Elle allait et venait avec la queue dans sa bouche, tout en alternant avec un peu de masturbation, crachant sur la queue pour bien l’humidifier de salive, laisser ses mains coulisser dessus. Carlos bandait comme un fou, c’était impressionnant. 

— C’est bon, ça, Martine ! hurla Philippe, ravi. Allez, maintenant on passe aux scènes de pénétration ! Martine, monte sur le lit, à quatre pattes. Et toi, Carlos, passe derrière elle.

Sans sourciller, ma mère suivit les instructions de Philippe. Elle retira sa blouse, vint s’agenouiller sur le lit.

— OK, super. Maintenant lève ton cul bien haut, montre le bien à la caméra, et écarte tes fesses pour montrer ta chatte !

Toujours très soucieuse de bien faire, d’une main elle écarta une cuisse pour permettre à la caméra de faire un gros plan sur sa vulve. Assis dans un coin, je ne perdais pas une miette du spectacle. Même si c’était ma mère, je devais reconnaître qu’elle avait vraiment ce qu’on peut appeler une belle chatte, bien fendue, avec des belles lèvres bien charnues. Carlos, qui lui aussi appréciait la chose à sa juste valeur, bandait dur. Il en vint alors au coeur du sujet : il se positionna derrière elle, orienta son sexe vers sa vulve et sans plus de préliminaires, il poussa. Sa queue pénétra lentement le vagin de ma mère.

Assis dans mon coin, j’étais médusé, fasciné. Voir sa mère se faire enfiler sous ses yeux est une drôle d’expérience pour un jeune homme, même si le jeune homme en question est un acteur de films x. Ceci dit, de façon un peu surprenante, je m’aperçus que j’étais assez excité. Le fait est que je bandais. Est il possible de bander pour sa mère ? Visiblement oui. Et j’en avais un peu honte… Carlos, par contre, n’avait pas de réticences et se régalait dans la chatte de ma mère. Il la bourrait de bons coups de queue, bien appuyés, presque brutaux, et ma mère semblait y prendre un plaisir certain. Ce n’est pas souvent le cas que les actrices professionnelles prennent autant de plaisir. Elles sont là d’abord pour bosser. Mais si la situation les excite, ce qui semblait être le cas pour ma mère, elles se laissent volontiers aller. En tous cas, elle gémissait de plaisir à tout va. La caméra, en gros plan, ne manquait pas une seconde de la grosse queue de Carlos qui pénétrait la chatte de cette maman mâture, avec l’abondante cyprine blanche sécrétée par son vagin parfaitement excité. Carlos fit durer le plaisir plus longtemps que prévu, ce qui ne gâchait rien à l’histoire, retournant ma mère plusieurs fois, la baisant dans plusieurs positions, ravi de lui arracher toute sortes de gémissements de plaisir.

Philippe se régalait de filmer ces ébats torrides. Après 20 bonnes minutes de pénétrations diverses et variées, il estima qu’il avait assez d’images pour faire un bon film.

— Bien ! Bien ! C’est génial ça ! dit Philippe. Bon, Carlos, tu peux jouir maintenant !

Carlos se laissa alors aller sur les seins de ma mère et sur son visage, l’inondant d’un sperme abondant dont elle sembla se délecter, léchant avec délice tout ce qu’elle pouvait.

A la fin de la sequence, alors qu’elle était en train de finir de pomper Carlos pour en recueillir ses dernières gouttes, ma mère eut droit à son tour à plein de compliments par Philippe.

— C’était super, Martine. Bravo ! On voit que t’aime, ça et tu te débrouilles vachement bien. Tu as un cul magnifique. Tu es engagée ! Rendez-vous même heure lundi, on tourne un film en costume Louis XVI avec Marie Antoinette qui se fait mettre par toute la cour. Tu feras la servante qui se fait mettre par tous les trous. C’est un petit rôle mais t’en prendras plein la chatte !

Le chèque que reçut ma mère pour sa prestation fut à la hauteur de sa prestation. Il était rare que Philippe accepte de payer pour un tournage d’essai. Mais il était ravi d’avoir recruté ma mère, convaincu qu’il tenait là une actrice prometteuse. Il trouvait qu’elle ressemblait d’ailleurs assez à cette fabuleuse actrice américaine des années 80 qu’il adorait, Kay Parker, sublime cochonne aux seins énormes.

C’est ainsi qu’un couple inhabituel se mit à écumer les plateaux du monde du x. Un fils et sa mère. Ma mère se révélait plutôt douée en la matière, et surtout assez insatiable côté sexe. Les acteurs masculins aimaient avoir une partenaire aussi enthousiaste. Moi ça me faisait tout drôle de voir ma mère trois fois par semaine se prendre des bites à répétition, dans tous les orifices, lécher du sperme à tout va. Mais au final je ne détestais pas ça. Ca m’excitait même plutôt pas mal. Ma mère, craignant que je ne culpabilise, se voulu rassurante.  

— On aime le sexe, tous les deux, toi et moi, il n’y a pas à sentir de culpabilité ! On s’éclate ! Il n’y a pas à chercher plus loin.

Ainsi la gêne, là aussi finit par disparaître. Je sentais même que le partage de cette activité avait fait naître une sorte de complicité entre nous. Je finissais presque par oublier ce que ce genre de relation avait d’ambiguë.

Un jour cependant un événement allait changer complètement nos rapports et faillit compromettre notre belle entente…

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