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Les six week-ends marquants d'Emilie – Chapitre 5




Contexte : La fin de l’année 2007 est été contrastée. D’un côté, nous prenons toujours autant de plaisir à coucher ensemble. D’un autre, Emilie s’inquiète de ne pas tomber enceinte. Au sortir de l’hiver pourtant, le test de grossesse est enfin positif et un petit garçon, Julien, nait en décembre 2008. La période post-partum est difficile pour Emilie. Elle fait même une dépression. Je la soutiens alors énormément, quand bien même je souffre de la distance qui s’insinue entre nous. Je ne dis rien de mes peurs, mais depuis la naissance, nous faisons très peu fait l’amour et il est clair qu’Emilie le fait sans plaisir. Au printemps 2009, avec le retour des beaux jours, elle retrouve petit à petit de l’entrain et semble refaire l’amour avec un peu plus de plaisir. Aussi, j’organise un petit week-end, histoire de faire un bon break, notre première sortie en couple depuis la naissance de Julien.

Week-end : Sur les conseils d’un ami, je réserve un chambre dans un hôtel en moyenne montagne. Malgré une petite embellie sur notre relation, je ne suis pas vraiment serein les jours précédant le départ. Au moins allais-je pouvoir faire part de mes inquiétudes à Emilie.

Je rumine tout cela durant la semaine. Samedi matin, j’emmène Julien chez mes parents où il passera le week-end. Je suis surpris qu’Emilie ne m’accompagne pas, mais bon. Lorsque je reviens, j’ai l’agréable surprise de découvrir Emilie vêtue d’un minijupe plissée noire, ainsi que d’un chemisier blanc, une tenue dont mon épouse sait qu’elle me plait. Cerise sur le gâteau, elle a passé des bas résilles et des bottes. Le chemisier attire particulièrement mon attention : Emilie l’avait acheté sur un site de vente en ligne et il était destiné à être porté au travail. Pourtant, elle avait jugé qu’il était trop transparent pour le mettre au travail et elle le portait en guise de sous-pull. Mais là, il n’en est pas question. Et à la façon dont Emilie se tient, il est clair qu’elle attire mon attention sur le soutien-gorge blanc en dentelles qu’elle porte dessous. Le cadeau de son anniversaire qui m’avait couté une petite fortune.

Ravi, je prends la valise et nous partons. A mi-chemin, nous nous arrêtons dans un restaurant pour manger et je retrouve une Emilie enjouée et agréable, drôle et taquine. En revenant vers la voiture, nous nous embrassons et je pose mes mains sur ses fesses. Le baiser se poursuit. Je remonte la jupe à sa ceinture. Ses fesses sont complètement dévoilées. Emilie est alors dos à la voiture. Elle me dit :

— Le parking est vide, mais si tu veux que quelqu’un puisse apercevoir mon cul, il faut que nous nous tournions.

Je reste sans voix et pétrifié en entendant cette remarque. J’étais à mille lieux d’imaginer qu’Emilie pourrait me dire quelque chose comme ça. J’avais oublié. Presque.

Emilie nous tourne et ses fesses blanches, ornées d’un string du même coloris, font face au parking. Nous nous embrassons pendant une bonne minute encore sans que personne ne passe derrière Emilie, puis nous remontons dans la voiture et poursuivons jusqu’à l’hôtel, un charmant établissement au bord d’un petit lac de montagne, comme posé ici par hasard. Car autour, il n’y avait aucun autre bâtisse, aucun autre lieu de vie. Uniquement la nature.

La chambre est simple, pas très grande, mais cosy et chaleureuse. Emilie ouvre la valise et sort nos vêtements. Je vais aux toilettes. Quand je sors, je lui demande :

— Avec ce soleil, on va se balader ?

Emilie sourit, vient m’embrasser et dit :

— Tu oublies les bonnes habitudes ?

Dix secondes plus tard, elle a ma bite dans la bouche et commence à me sucer. Notre rapport est très conventionnel, mais je suis heureux, ravi même de ce début de week-end.

Emilie reste dans la même tenue pour la balade. Elle troque ses bottes contre des baskets et nous partons. A la réception, on nous a indiqué deux itinéraires appréciés, l’un le long du lac, l’autre qui grimpe derrière l’hôtel jusqu’à un agréable point de vue, parait-il. Nous prenons un carte et partons sur les rives du petit lac. Pour la première fois depuis longtemps, nous nous baladons main dans la main. Nous papotons et parlons essentiellement de Julien. Emilie évite soigneusement le sujet "couple" et je n’ai pas envie de gâcher un si bon moment en lui imposant la discussion.

Après trois-quarts d’heure de marche, nous arrivons à un croisement sans avoir vu personne. Je propose à Emilie d’escalader le coteau afin d’atteindre le point de vue indiqué par la réceptionniste puis de redescendre sur l’hôtel. Elle accepte. Nous buvons un peu d’eau.

D’une zone ombragée, nous nous retrouvons en plein soleil sur une pente assez raide. Quelques mètres derrière moi, Emilie est à la peine :

— J’ai chaud.

Je l’attends en sortant la bouteille d’eau. Quand elle finit de boire, j’ouvre un bouton de son chemisier :

— Si tu as chaud, mets-toi à l’aise.

Elle sourit.

— Si tu veux voir mes seins, c’est mieux d’en déboutonner encore.

Elle ouvre deux boutons supplémentaires et écarte les pans de son chemisier.

— Le soutien-gorge est fort joli, mais je ne vois pas tes seins.

Emilie rit et écarte alors le soutien-gorge blanc pour exhiber sa poitrine laiteuse. Nous nous embrassons. Elle me dit :

— On fera l’amour en rentrant ?

— J’y compte bien.

Elle repart devant moi et soulève sa jupe à intervalles irréguliers. Après dix minutes ainsi, je l’arrête.

— Tu permets ?

— Quoi ?

— Le string m’empêche de bien voir. Tu me le donnes ?

Son sourire coquin me surprend autant qu’il me ravit. Sans hésiter, Emilie ôte sa culotte et me la donne. Je la mets dans le sac à dos et nous repartons. La fin de la montée est divine.

Au sommet, la vue est effectivement magnifique sur le lac et les montagnes alentours. L’hôtel n’est pas loin en contrebas. Malgré le chemin très bien balisé, l’endroit est sauvage et l’absence d’autres randonneurs rend le lieu assez mystique.

Assise sur une pierre plate et basse, Emilie profite de la vue pendant que je fais des photos quelques mètres devant elle. En me tournant, je me baisse et je la photographie sans qu’elle ne me regarde. On voit toute son entrejambe. Je viens lui montrer la photo. Elle sourit.

— C’est assez soft, j’aime bien.

Agenouillé entre ses jambes, je remonte sa jupe et lui fais largement écarter les jambes. Elle ne dit rien. Je me recule :

— C’est moins soft comme ça

Je prends la photo et la lui montre. Elle hoche la tête, elle aime moins. Je lui dis :

— Tu prends la pose devant cette belle vue ?

Sourire. Elle se lève et s’avance face au lac. Shooting. Emilie soulève rapidement sa jupe tout comme elle déboutonne son chemisier. Les photos sont tantôt soft, tantôt hard, comme lorsqu’elle écarte vulgairement ses fesses alors qu’elle est penchée en avant. Elle enlève rapidement son chemisier pour ôter son soutien-gorge qu’elle me lance et pose encore plusieurs minutes. J’ai fait environ deux cent de photos en dix minutes.

Revenant vers moi, Emilie me dit :

— Viens, on descend, tu me montreras les photos dans la chambre.

Nous trottinons à la descente, croisons un couple et arrivons à l’hôtel en un petit quart d’heure, en sueur. Un homme est désormais à la réception et malgré sa discrétion, il jette plusieurs coups d’oeil furtifs à la poitrine d’Emilie qui transparait assez nettement de son chemisier. Nous récupérons notre clef et montons à pied à l’étage. Dans le couloir, Emilie lève sa jupe et nous faisons l’amour à notre arrivée dans la chambre.

Notre étreinte est vive, intense et vraiment agréable. Je pense qu’Emilie n’a pas eu autant envie de  faire l’amour depuis la naissance de Julien. Je prends énormément de plaisir à coucher avec ma femme et je ne peux m’empêcher d’espérer que ce week-end sera celui du renouveau. Nous nous endormons ensuite.

Je me réveille alors qu’Emilie regarde la télévision à côté de moi. Elle me caresse les cheveux et me dit qu’il est temps de nous préparer. Elle s’est déjà douchée. J’y vais à mon tour et lui laisse ensuite la salle de bains. A 19h30, elle est prête : robe noire au décolleté très profond et pas de trace de soutien-gorge, talons noirs. Je l’embrasse, lui dis qu’elle est sublime. Elle sourit et rougit un peu. Je lui propose de faire des photos. Emilie pose alors devant la fenêtre. Debout, puis assise sur le rebord de celle-ci, elle remonte ensuite la robe sur sa cuisse et laisse apparaitre une jarretelles rouge sur le haut de sa cuisse. Je souris :

— Ça fait combien de temps ?

— Quelques mois. Je pense que j’en ai encore mis en septembre, mais plus par la suite.

J’aime les bas, je les préfères aux collants. Mais le porte-jarretelles est mon péché mignon et Emilie le sait bien. Cela faisait donc huit mois qu’elle n’en avait pas remis. Je fais encore quelques photos avant qu’Emilie ne se lève. Elle se tourne face à la fenêtre et remonte sa robe, offrant à l’objectif ses fantastiques fesses ornées de porte-jarretelles, mais vierges de toute culotte. Je fais deux clichés puis elle écarte légèrement les jambes pour un troisième. Je pose l’appareil et la rejoins. Derrière elle, je m’embrasse et son baiser un peu vulgaire invite à d’autres plaisirs.

Je déboutonne rapidement mon pantalon et sort mon sexe que j’amène contre celui d’Emilie. Elle passe la main entre ses jambes et m’introduit en elle. Elle pose un pied sur le rebord de la fenêtre et je la prends vivement. Ses gémissements ne sont pas feints et ses regards vicieux non plus.

Après quelques instants, elle me repousse et s’assied sur le bureau de la chambre. Jambes écartées, elle se caresse le sexe et ses yeux transpirent le désir. Je m’approche et la pénètre lentement.

— Prends-moi bien fort

Depuis quand n’avais-je pas entendu ces invitations un peu crues ? J’y réponds et Emilie prend son pied. L’ébat se termine néanmoins sur le lit par une levrette en mode mitraillette. Emilie est aux anges au moment où je jouis en elle. Son baiser est doux et profond. Nous remettons de l’ordre dans nos tenues et descendons au restaurant.

Dos à la salle, Emilie me montrera ses seins à de nombreuses reprises durant le souper, toujours avec ce petit air coquin que j’aime tant. Elle s’exhibera plus discrètement au bar, plus tard, puis dans les couloirs de l’hôtel. Nous ferons un nouvelle fois l’amour en remontant. Pour la quatrième fois de la journée.

Au matin, durant un rapport d’une grande tendresse, Emilie me dit soudain :

— Tu me désires toujours autant ? Comme avant ?

— Evidemment, mon amour. Pourquoi en serait-il autrement ?

— Je doute, j’ai changé, j’ai peur que tu ne veuilles plus de moi.

— J’ai peur également quand je te vois si soucieuse et si distante.

Elle jouit quelques instant plus tard, moi aussi. Puis Emilie pleure et je ne sais pas vraiment pourquoi. Elle ne l’explique pas.

Nous rentrons après le petit-déjeuner, en prenant notre temps en route. Nous nous arrêtons à un marché où nous flânons, main dans la main. Le moment est très agréable et j’aimerais qu’il ne se termine jamais.

L’attitude d’Emilie dès notre retour à la maison après avoir été chercher Julien n’est plus la même. Comme si elle avait été rassurée par ces deux jours, elle semble apaisée et à nouveau plus confiante. Les jours suivants confirment cette tendance. Je retrouve une femme aimante et nous retrouvons un bon rythme au niveau de nos relations sexuelles. Emilie y prend visiblement du plaisir, y compris dans les quelques baises. A l’automne, elle remet plusieurs fois de la lingerie fine pour aller travailler et la sodomie refait son apparition dans nos ébats, dont la fréquence augmente petit à petit. En décembre, Emilie tombe à nouveau enceinte.

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