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Ma femme offerte à mon meilleur ami – Chapitre 2




Après quelques mois dune relation intense et très chaude, nous sommes partis un week-end à la campagne avec nos meilleurs amis, dont un ami célibataire. Je savais quil était un peu amoureux de ma femme et il me suffisait de voir comment ils se faisaient la bise pour comprendre que lenvie était partagée. Moi, ce que je savais, cest quil était monté comme un âne, javais eu loccasion de le voir à la douche et sa queue au repos mesurait déjà près de 20 centimètres. Faut dire quil était grand, 1m95, et pesait dans les 100 kilos, une vraie bête et javoue que le voir nu sous la douche en train de se laver la queue mavait fait naître des idées que je nimaginais pas du tout. Je métais découvert des envies de me taper un mâle, enfin surtout mon pote que jaimais beaucoup. Jy pensais de plus en plus et je métais déjà branlé à plusieurs reprises en pensant à son gros nud.

Ceci dit, je ne voyais pas comment en arriver à me trouver en contact avec sa queue et à part les quelques fois où nous étions allés pisser au fond du jardin et où javais pu admirer discrètement sa bite, je ne voyais pas comment avancer plus.

Ce week-end allait me permettre daller plus loin dans mes phantasmes…

Nous étions tous assez sportifs et nous sommes partis, ma femme, mon pote et moi, faire un jogging, il faisait chaud et il ne nous a pas fallu beaucoup de temps pour transpirer. Comme je vous lai dit, je suis très sensible aux odeurs et en suivant ma femme en courant, jadmirai son cul bien moulé dans son collant, mais aussi la trace de transpiration qui commençait à se former entre ses fesses et sur ses cuisses. Mais surtout, je sentais son odeur de femelle chauffée et trempée de sueur qui émanait de tout son corps et surtout de son entrejambe. La connaissant par cur, je savais quelle ne sétait pas lavée le matin, toujours le soir chez elle, et son odeur musquée venait mexciter les narines et me faisait durcir la queue doucement.

Ce que je navais pas vu, perdu dans la contemplation de son cul, cest que mon pote était collé tout près delle, un peu en arrière et quil ne perdait rien ni de la vue, ni de lodeur de ma femme. En accélérant un peu, je vis que le salaud en profitait pour frôler avec sa main la fesse de ma femme et le pire, cest quil avait lair de bander ferme ! En tout cas, lénorme bosse dans son short nétait pas là par hasard. Je crois que ma femme lavait vue et je maperçus quelle aussi sarrangeait pour passer sa main à chaque foulée sur le short de mon pote pour frôler cette grosse bosse. La connaissant, je savais quelle devait mouiller, doù la tache de mouille sur son entrejambe et son odeur de plus en plus excitante.

Nous avons couru environ 45 mn, mais il faisait très chaud et nous sommes rentrés pour nous laver. Tous les trois excités, mais sans rien dire.

Ma femme est partie la première à la douche et nous sommes restés avec mon pote à discuter de femmes et à parler de ce qui nous plaisait. Il ma vite avoué que ma femme lui plaisait, ce que je savais déjà au vu de la bosse de son Short !

Quelques minutes à peine après être montée à la douche, ma femme est descendue, une serviette enroulée autour delle et visiblement nue en dessous et en me disant « mon chéri, il ny a plus deau, je nai pas pu me laver ». Elle était là, nue sous sa serviette, encore en sueur et dégageant un parfum de femelle qui aurait fait bander un évêque ! Je lui dis « attends là, je vais voir à la cave ce qui se passe, peut être un robinet fermé » je suis parti, les laissant là tous les deux, elle à moitié nue et lui en short, torse nu et déjà bien chauffé par la course… je suis descendu et jai vite vu que la panne venait du réseau et que nous naurions pas deau tout de suite. Jai crié « jen ai au moins pour une demi-heure, merde, cest compliqué ». Puis je suis remonté discrètement dans lescalier et jai écouté ce qui se passait.

Au début, jai entendu leurs voix et quelques rires de ma femme puis plus grand-chose, juste un bruit de froissement de vêtement, vu quelle navait rien sur elle, jai déduit que cétait mon pote qui se déshabillait… là, jai commencé à la fois à être un peu jaloux, mais aussi excité par ce que jimaginais… au bout de 3 minutes, jai entendu un bruit de bouche et de succion et quelques gémissements venant de mon pote. Là, je navais plus de doute, elle était en train de le sucer. Jai essayé dimaginer la grosse queue de mon pote dans la bouche de ma femme et ma queue a durci dun seul coup. Il fallait que je voie… les sons étaient de plus en plus suggestifs et les gémissements de ma femme se mêlaient à ceux de mon pote et aux bruits de la bouche de ma femme. Je me suis approché doucement et caché à lentrée de la pièce, je voyais tout, mais eux ne pouvaient pas me voir. De toute façon, ils étaient trop occupés !

Ma femme était agenouillée devant mon pote, elle avait mis ses mains sur ses fesses musclées pour bien le serrer contre elle et la bite de mon pote était à moitié enfoncée dans sa bouche. Putain, quelle vue excitante, ses gros seins à lair ballottaient doucement au rythme de ses mouvements sur lénorme queue, elle salivait et ça coulait sur sa gorge et sur les couilles de mon pote, ses couilles que javais deviné sous la douche et que je voyais en gros, une énorme paire de burnes gonflées à bloc, dures et poilues. Je nen avais jamais vu daussi grosses. Et le salaud allait et venait dans la bouche de ma femme, la tenant par les cheveux sans pourtant arriver à faire entrer toute sa bite dans sa bouche. Je nen revenais pas, 20 centimètres au repos et 30 centimètres en érection avec un tour de queue de 8 à 10 centimètres. Elle rentrait à peine dans la bouche de ma femme quelle avait pourtant large, je lavais même vu prendre deux Bites dans sa bouche en même temps !

Après 5 minutes de ce traitement, la femme était trempée, je voyais sa mouille couler le long de ses cuisses et une meute flaque sétait déjà formée sous elle. Je savais combien elle pouvait mouiller quand elle était chaude et là, elle semblait plutôt en surchauffe !

Elle sest relevée, sest collée contre mon pote, elle lui arrivait sous le menton et ses gifs seins étaient presque à hauteur pour accueillir le sexe bandant de mon pote. Elle se pencha un peu et lui fourra son dard entre ses deux seins aux pointes turgescentes, rouge et grosses comme des framboises. Il sest mis à aller et venir entre ses seins et à chaque mouvement, je voyais son gros gland violacé surgir dentre les mamelles luisantes de salive de ma femme. Cétait foutrement excitant et si je métais écouté, jaurai branlé ma queue dure comme une barre de métal trempée de ma mouille. Lodeur dans la pièce était enivrante et je sentais lodeur du sexe et lodeur du cul de ma femme à 3 mètres. Un bonheur ! Mon pote sest soudain arrêté, il a embrassé longuement ma femme, la soulève dans ses bras musclés et la porte pour lallonger sur la table du salon, à à peine 2 mètres de ma cachette.

Il la allongée, je lai entendue dire « viens me mettre ta grosse queue, je la veux dans ma chatte, là, maintenant » il a pris son gland, a écarté brutalement les cuisses de ma femme et a commencé à faire aller et venir son gros gland sur le sexe trempé de ma femme. Elle coulait comme une fontaine et ses gémissements ne sarrêtaient plus, « baise-moi mon salaud, enfonce-moi ta grosse queue, viens me défoncer, viens vite mon cochon, je veux te sentir tout au fond » elle narrêtait pas de limplorer et de gémir en même temps. Mon pote a fait durer le plaisir, il a continué à la caresser avec son gland et a insisté sur le clito de ma femme en la caressant de plus en plus vite.

Ses gémissements ont été crescendo et elle a fini par jouir violemment en éjectant un flot de cyprine sur ses fesses et sur la queue de mon pote. « Baise-moi vite maintenant, jen peux plus, je ten prie, baise-moi » là, mon pote ne sest plus fait prier, sa queue était dressée et dure comme un manche de pioche, son gland était gonflé comme prêt à éclater, on aurait dit une grosse pomme rouge quil essayait de faire entrer dans le sexe trempé et béant de ma femme. Il a poussé son gland sur la fente ouverte, une grosse pomme naurait pas distendu davantage les lèvres de son con, elle a gémi moitié plaisir moitié douleur, mon pote a enfoncé un peu plus son engin surdimensionné, je voyais les livres de ma femme sécarter à leur maximum pour essayer de laisser entrer ce monstre, et quand le gland était à moitié entré, elle lui a attrapé les fesses et ayant compris linvitation et avec un « han « de bûcheron, il sest enfoncé dun seul coup dans la chatte trempée de ma femme.

Le salaud a tout entré et sest arrêté quand ses grosses couilles se sont écrasées sur les fesses de ma petite salope de femme. Elle a hurlé, jai cru quelle tombait dans les pommes, ses yeux se sont révulsés et pendant un moment, ils ne bougeaient plus du tout. Jai retenu mon souffle, les odeurs de sexe me chauffent les narines, ma queue me faisait mal, mais je nosais pas bouger. Enfin, jai vu les mains de ma femme serrer les fesses musclées de mon pote et lencourager à commencer un va-et-vient entre ses cuisses.

Cétait trop excitant de voir cette énorme queue sortir presque en totalité ses trente centimètres de la chatte de ma femme, puis rentrer à nouveau jusquà la garde, je nai pas pu me retenir et jai giclé dans mon short de longs jets de sperme sans même le toucher. « Défonce-moi salaud, déchire-moi, ouvre-moi, je suis une salope, je suis ta chienne, démonte-moi la chatte « elle ne se retenait plus et mon pote sest mis à la traiter de pute et de chienne en accélérant le rythme, je voyais sa queue entrer et sortir et faire gicler le jus de ma femme.

Je bandais à nouveau et je nai pas pu tenir plus longtemps, je suis sorti de ma cachette, la queue bandée à lair et je me suis approché en les encourageant « vas-y mon salaud, elle aime ça, baise-la à fond, fais la crier, défonce-la avec ta grosse queue » ma femme m’a souri et entre deux gémissements, elle a ouvert la bouche pour prendre ma queue, je ne me suis pas fait prié et je lui ai enfoncé ma bite au fond de la gorge, pas aussi grosse que celle de mon pote, mais quand même 20 centimètres bien gonflés ! On n’entendait plus que ses gémissements et le bruit de la bite de mon pote défonçant la chatte trempée de ma femme. Il sest soudain raidi, a poussé encore plus fort sa bite au fond du sexe gluant de ma femme et à crié « je jouis en toi salope », ma femme a joui en même temps et je les ai suivis en giclant tout mon foutre sur ses gros seins bandés à mort.

Il lui a envoyé tout son foutre dans la chatte et elle a joui une deuxième fois en sentant le sperme gicler sur les parois de son sexe bien à lentrée de son utérus. Mon pote sest retiré, jai vu un flot de sperme commencer à couler et là, jai fait une chose dont javais très envie, je lai repoussé et je me suis mis entre les cuises de ma femme pour boire et lécher tout ce qui sortait de son sexe béant et distendu par cette queue monstrueuse, jai bu tout le sperme de mon pote mêlé au jus de ma femme. Pendant ce temps, elle lui a doucement léché la bite et aspire les dernières gouttes de sperme.

Nous nous sommes ensuite assis sur le tapis, un peu fatigués, mais encore excités de cette aventure.

Mon pote bandait encore, ma femme et moi, nous étions fascinés par sa queue et elle narrivait pas à la lâcher des yeux et des mains.

Nous avons quand même pris le temps de boire un coup avant de nous allonger pour nous reposer un peu. Lodeur dans le salon était au paroxysme de la sensualité animale et javoue que je restais encore excité avec plein de projets en tête. Cette queue me faisait fondre et je navais quune seule envie, réaliser mon fantasme, le sucer et pourquoi pas me faire mettre… mais cest une autre histoire, vraie aussi…

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