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L'Africain – Chapitre 3




Mamadou, il arrive quand Basile ?

Vers 21H ! répond le grand black.

J’en ai marre, il est toujours en retard, déjà 20 min qu’on l’attend. A chaque fois, c’est pareil. J’espère que cette fois, il nous ramène du premier choix ? demande Mohamed.

T’inquiète, il m’a dit que c’était une bourgeoise blanche qui ne se fait plus sauter par son mari. Elle a envie de se dévergonder apparemment, répond Mamadou.

Tant mieux, j’aime les Milfs. On va bien se faire plaisir. Et pourquoi tu as annulé pour demain ?

Momo, tu en as pas marre de poser des questions ? La fiote qui voulait se faire baiser s’est désistée. Mais j’ai dégoté un joli petit lot sur une annonce. Un petit jeuno qui aime sucer de la bite apparemment. Je le vois demain soir pour une première, et déjà il a l’air très obéissant. Il a accepté de s’épiler intégralement et de venir avec un tanga sans rechigner.

Super, quand il sera prêt, tu nous le prêteras, dis ? questionne encore Mohamed.

Ho Momo, t’arrête encore des questions. ON VERRA, peut-être que celui-là, je me le garderai pour moi, pas comme le dernier à qui t’as fait peur et qui n’a plus jamais voulu revenir.

Mohamed s’enfonce dans le sofa, vexé, sirotant son verre de whisky. Mamadou est affalé dans le canapé en survêtement, les cuisses écartées, laissant entrevoir une belle bosse à son entrejambe malgré ses vêtements amples. Des deux hommes, il est le plus grand et le plus costaud, Mohamed est plus petit, mais pas moins baraqué, ce qui lui donne un côté trapu.

Ding Dong.

Va ouvrir Momo, ça doit être Basile et sa Milf, ordonne Mamadou d’une voix autoritaire.

Mohamed se lève de son fauteuil, traverse le salon pour se diriger vers l’entrée de la maison. Il revient quelques secondes plus tard, un large sourire aux lèvres, suivi de Basile et d’une femme blanche cinquantenaire, bien en chair, mais sans excès, vêtue d’un ensemble tailleur et jupe mi-longue bon marché, laissant deviner une forte poitrine.

Tandis que les deux hommes rejoignaient le canapé, la femme reste plantée à l’entrée du salon, droite comme un I, les mains jointes devant elle, gênée par la situation qu’elle a elle-même créée en voulant voir ailleurs si c’était mieux.

Alors Basile, tu ne nous présentes pas ?

Si, bien sûr. Voici Marie-Cécile. Une belle femme de 48 ans, mariée, 4 enfants déjà grands et qui s’ennuie terriblement dans sa vie de couple. Et elle m’a avoué en venant qu’elle rêvait depuis longtemps de goûter à du black. N’est-ce pas !?!

Le visage de Marie-Cécile devint écarlate, et baissa la tête tellement elle était honteuse de cette révélation. Elle pensait avoir rencontré un gentleman pour une soirée un peu coquine, elle commence à comprendre qu’elle ne sera que l’amusement d’un soir pour ces trois hommes. Mais elle ne veut pas renoncer, cela faisait trop longtemps que son mari ne la touchait plus et voulait de nouveau se sentir femme et avoir du sexe.

Approche, dis Mamadou, n’aie pas peur.

Marie-Cécile avança timidement, elle faisait vraiment coincée avec sa jupe droit et son collier de perles et ses escarpins noirs. Une fois arrivée au milieu du salon, Mamadou se leva et s’approcha d’elle. Il se place derrière et posa ses mains sur ses hanches pour se coller à elle. Marie-Cécile pouvait sentir la bosse formée par le sexe de Mamadou contre le creux de ses reins. Elle en était troublée. Jamais quelqu’un n’avait fait preuve d’autant d’audace avec elle. Mais cela lui plaît, il y a bien longtemps qu’elle n’a pas était effleurée par un vrai mâle.

Mamadou inspira plusieurs fois au niveau de son coup

Tu sens bon le parfum de bourge, toi. Ça me plaît. Dis-nous ce que tu es venue chercher ici !

Je suis venue, car mon mari ne me tou…

Elle s’arrêta de parler quand les grandes mains puissantes de Mamadou se sont mises à remonter, entrer son chemiser en mousseline et sa veste jusqu’à sous-peser ses deux grosses mamelles.

Ton mari ne te baise plus. Pourquoi ?

Il s’est trouvé une fille plus jeune que moi.

Et tu veux te venger ?

Non, j’ai envie de me sentir une femme désirée à nouveau.

Voyant que Marie-Cécile se laissait faire, Mamadou malaxa plus vertement la poitrine de son invitée.

Et tu as pensé à ce que nous nous voudrions ?

Je n’y ai pas pensé.

Une des mains se glissa entre les boutons du chemisier pour attraper fermement un sein, bien maintenu par un soutien-gorge en dentelle affriolante à peine voilé par la transparence du chemisier. La belle bourgeoise commença à avoir chaud aux joues par l’excitation d’avoir enfin un véritable homme qui s’occupe d’elle. Alors qu’elle ne voulait pas montrer que la température montait en elle, elle ne put s’empêcher de gémir doucement quand le géant utilisa sa deuxième main pour pétrir l’autre sein. Sa poitrine était maintenant sortie de son chemisier quand Mamadou s’arrêta et retourna dans son fauteuil.

Marie-Cécile était de nouveau seule au milieu de la pièce, le tailleur ne tenait plus que par un seul bouton avec la poitrine dehors. L’image qu’elle renvoyait était loin de ses habitudes et donnait l’apparence des secrétaires à fortes poitrines que l’on voit dans les pornos. Il ne manquait plus que des lunettes pour compléter le cliché.

Pendant ce temps, les deux autres compères n’avaient rien manqué du spectacle et s’amusaient de la situation qui commençait à les exciter au vu de leur jogging tendu à l’entrejambe. La quinquagénaire sous ses airs bourgeois était au fond d’elle satisfaite de faire encore de l’effet aux hommes.

Des petites salopes plus fraîches que toi qui veulent bouffer de la bite de black, on en baise quand on veut. Y qu’à sortir dans la rue pour les ramasser. Qu’est qui fait que c’est mieux avec toi, aboie Basile.

Le visage de l’invitée se déconfit. Elle qui commençait à se chauffer, voilà qu’on la rabaisse à une vulgaire fille facile.

Sans gêne, Momo glisse sa main sous son pantalon et se met à se caresser le sexe.

C’est ça que t’es venue chercher, demande-t-il alors tout en continuant à se tripoter.

Arrêter de la faire chier avec votre vulgarité, intervient Mamadou. Viens Marie-Cécile, approche-toi de moi. Veux-tu un verre de champagne ?

Volontiers, dit la femme enfin rassurée d’avoir au moins un gentleman parmi l’assemblée.

Marie-Cécile s’approchait du fauteuil et s’assit sur le large accoudoir de celui-ci.

Basile, va chercher le champagne et les flûtes ! dit-moi ma belle, tu as aimé te faire tripoter comme ça devant tout le monde ?

J’ai aimé sentir vos mains chaudes contre mon corps.

Et ça ne te dirait pas d’enlever ton tailleur, tu seras plus à l’aise.

Marie-Cécile ne pouvait qu’obéir à ce mâle. Sa voix autoritaire et envoûtante donne envie de se soumettre à cet homme. Elle se leva pour enlever son tailleur et le posa délicatement sur le dossier d’une chaise, tournant ainsi le dos à Mamadou qui avait un vu dégagé sur sa postérieure. L’homme de la maison en profita pour poser une main sur ses fesses et les caressait.

Enlève ton chemiser tant qu’on y est, il ne cache pas grand-chose tellement il est fin !

Sans dire un mot, la femme s’exécute. Et revient s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil. Au même instant, Basile revient avec le champagne et le sert à Marie-Cécile. Il ne pouvait décrocher du regard la poitrine maintenue par ce soutien-gorge si affriolant.

Merci, dit-elle.

Pendant que la quinquagénaire sirotait sa flûte, Mamadou caressait avec délicatesse la Milf qui commençait à se détendre au point de laisser la main de son voisin s’aventurer sous sa jupe.

Basile et Momo ne perdaient pas une miette de ce spectacle. Ils connaissent le pouvoir de persuasion de leur copain sur les gens et savent que toujours qu’ils finissaient par céder aux moindres caprices du géant.

La femme se mit à respirer fort. Les doigts effleuraient son sexe à travers sa culotte. Elle commençait à prendre du plaisir. Tout le monde le voyait, car elle ondulait du bassin afin que sa vulve entre en contact avec les doigts de Mamadou.

T’es très coquine toi. Ta culotte est déjà bien trempée.

A peine sa phrase finie, Mamadou embrassait Marie-Cécile tout en insistant plus lourdement ses caresses sur son abricot.

Regarde l’effet que tu fais à mes copains. Ils sont très tendus tu trouves pas ?

Elle regarda en direction des deux autres hommes affalés sur le canapé d’en face, ils avaient sorti leur queue déjà bien raide et se la caressait.

Marie-Cécile eut un regard rempli de gourmandise en découvrant ces deux membres virils.

Je n’en ai jamais vu d’aussi belles.

Fais-leur plaisir, enlève ta jupe et ta culotte.

Sans hésiter, elle se leva et devant lui, elle enleva sa jupe délicatement puis tout doucement, sa culotte en faisant durer le plaisir. Elle était désormais nue en bas noir. Mamadou de son fauteuil glissa la main sous son entrejambe et caressa de nouveau le sexe de son invité en insistant sur son clito puis sur l’intérieur de ses lèvres. Marie-Cécile gémit d’un plaisir sincère quand le majeur rentra dans son intimité. Naturellement, elle se cambra pour laisser le champ libre à la main de son amant. Il n’en fallait pas plus pour qu’il y insérât le majeur, laissant un filet de cyprine s’échapper et couler le long de la cuisse.

Bien que délaissée par son mari, elle continuait à s’entretenir et son sexe était joliment épilé avec une petite toison dorée taillée en rectangle.

Marie, tu es trop excitante. Je ne peux pas laisser mes amis te regarder ainsi. Il va falloir que tu t’occupes de leur serpent.

Mamadou termina sa phase d’une tape sur les fesses suffisamment forte pour rougir la chair et assouvir son emprise sur elle.

La femme traversa le salon en direction des deux acolytes. Assise entre les deux hommes, elle saisissait les deux bites et commença de lents va-et-vient. Ses mains semblaient toutes petites. Elles se fermaient à peine autour des verges bien raides et la longueur devait être au moins deux fois plus grande que sa paume.

Tu me branles avec douceur, c’est très agréable, mais est-ce que ta bouche est aussi douce ? demanda Basile.

J’ai une bouche de velours.

A peine la phrase terminée, Marie-Cécile était à genoux entre ses cuisses. D’une main, elle continuait la masturbation de Mohamed et de l’autre, elle attira le sexe de Basile vers sa bouche.

Elle était très excitée et se sentait un peu salope. Autant de bites autour d’elle et pas des coquillettes en plus. Elle prit son temps et commença à laper le bout du gland avant de le prendre en bouche. Son mari était friand de cette gourmandise au début de leur rencontre et elle avait acquis un certain talent. Mais ici, c’était un autre calibre alors elle fit du mieux qu’elle put ou en le léchant comme une sucette.

Basile n’en pouvait plus de ce traitement. Et gémissait de plaisir.

Mamadou, elle est super douée. Je ne vais pas tenir longtemps.

Continue comme ça ma chérie, le sucre d’orge ne va pas tarder à te récompenser. Montre bien à Basile que tu aimes donner du plaisir.

Marie-Cécile se sentait rajeunir et avoir 20 ans, libre de disposer de son corps quand elle le souhaitait. Elle en avait bien profité à la fac avant de se ranger une fois mariée. Des étudiants, des profs, des filles aussi, et parfois quelques parties à plusieurs.

Basile se mit à se raidir, à haleter, sa jouissance n’était qu’une question de seconde. Il attrapa la tête de la femme et enfonça un peu plus sa bite dans sa bouche puis se déchargea de tout son foutre. Du sperme sortait des lèvres de la femme et quand elle fut libérée, elle se laissa tomber sur les fesses en suffoquant, mais satisfaite du travail bien fait.

C’est la première que je vois autant de foutre sortir d’une bite, dit-elle.

Le vocabulaire surprit l’assemblée, était-elle en train de switcher et de révéler une nature plus cochonne qu’elle ne le laisse croire.

Je vois que tu as tout bien avalé. C’est que c’est bon le foutre de black. Hein ! affirma Basile.

Mamadou qui s’était rapproché durant la fellation tendait sa main pour relever la femme.

Bien Marie. Je vais t’appeler Marie, car c’est plus court. Maintenant, nous savons deux choses. La première, tu aimes les grosses bites de noir et la seconde, tu ne rechignes pas à goûter nôtre sève. Nous allons maintenant nous occuper de toi, et si tu fais bien ce que l’on veut, nous allons te faire jouir comme aucun homme ne l’a fait auparavant.

Les paroles de Mamadou la comblaient de joie, c’est exactement cela qu’elle était venue chercher de la jouissance et du sexe. Son bas-ventre était bouillant et n’avait qu’une envie : de se faire prendre tout de suite. Il n’y a pas à dire, le maître de maison sait être y faire avec les mots.

Mets-toi à genoux sur la table basse et savoure le moment, susurra Mamadou à l’oreille de la femme.

Une fois en position, les hommes avaient une vue agréable sur le postérieur, ses cuisses grasses et son sexe bien humide.

Le géant se plaça debout face au visage de Marie.

Baisse mon fut et fais-moi la meilleure fellation de ta vie.

Des deux mains, Marie-Cécile attrapa le jogging et le baissa. Un énorme sexe lourd en sortit et cogna le visage de la belle. Elle était énorme beaucoup, beaucoup plus grosse que les deux autres. Mamadou d’un mouvement de bassin posa sa verge sur le visage de la Milf. La bite était tellement longue que le gland arrivait en haut du front et masquait presque sa bouche.

Elle lui fallut ses deux mains pour faire le tour de sexe et approcha le gland de sa bouche. La milf eut toutes les peines du monde à le faire rentrer, mais elle y parvint. Sachant qu’elle ne réussira pas à la faire entrer plus dans sa bouche, elle se mit à la lécher, tel un bâton de glace qui fond.

Mamadou était satisfait de ce traitement. Pendant ce temps, Mohamed caressait sans ménagement la foufoune de Marie-Cécile. Il ressortait sa main de l’entrejambe pour la montrer à ses amis.

Elle mouille bien la petite.

Et sans un autre mot, il enfonça sa bite dans le sexe de Marie-Cécile qui, surprise, redressa la tête les yeux écarquillés, se demandait quand est-ce que la pénétration allait s’arrêter. Quand elle sentit le bassin de Mohamed toucher son postérieur, elle ne put s’empêcher de lâcher un « Ho mon Dieu ». Jamais auparavant un sexe aussi long ne l’avait prise.

Mohamed commença de longs va-et-vient afin de bien faire sentir la présence de son sexe à Marie-Cécile, qui reprit sa fellation. Pendant ce temps, Basile profitait du spectacle en caressant la poitrine de la femme. Après quelques minutes de douce pénétration, les mains de son assaillant se posa fermement sur les hanches de la dame et le rythme s’accéléra, au point que la quinqua dut arrêter sa pipe.

Elle n’en pouvait plus, avait chaud, ses jambes ne la tenaient presque plus, mais Mohamed la soutenait pour continuer de la besogner encore plus fort.

Ha haaaa, je jouis, je jouis, continue comme ça, vas-y, baise-moi, lâcha-t-elle sauvagement.

Je vais te remplir, haaarg.

Mohamed se raidit d’un coup et s’écrasa de tout son poids sur la femme. Il se retira laissant le con béant dégoulinant de foutre. Mamadou aida la femme à se relever, lui tendit une coupe de champagne et s’installa dans son fauteuil.

Alors ma belle, je t’avais promis de la jouissance tu n’as eu qu’un début. Maintenant, viens t’empaler sur ma queue.

J’ai peur qu’elle soit trop grosse pour moi !

Mais non, ne t’inquiète pas, Mohamed t’a bien préparée et lubrifiée. Et puis tu vas maîtriser la pénétration.

Elle but d’un trait sa flûte et s’avança vers ce sexe si imposant, du sperme dégoulinait de son vagin déjà bien rouge par son précédent coït, elle s’installa à califourchon face à Mamadou qui en profita pour l’embrasser goulûment. Marie attrapa l’énorme phallus et dirigea le gland en forme de champignon à l’entrée de sa grotte.

Elle commença à s’accroupir sur le pieu et sentait ses chairs s’écarter pour laisser la bite de son amant entrer en elle.

Elle est énorme, c’est vraiment trop bon de se sentir remplie, dit-elle tout en continuant à descendre.

tu es bientôt arrivée à la fin.

Je ne peux pas allez plus loin.

Mamadou attrapa les cuisses de la femme avec ses mains puissantes puis la souleva comme une plume, la faisant lentement aller et venir sur sa bite.

Hahha hhaha, gémissait Marie Cécile.

Le géant accélérait le rythme doucement, ce qui mit la quinqua au bord de la jouissance. Elle demandait d’aller plus vite, plus fort, et de ne jamais s’arrêter, mais le maître de maison ne l’écoutait pas et continuait sur le même rythme.

Devant ce spectacle, Basile retrouva la forme et s’approcha du couple. Il commença des caresses sur les fesses de la femme en insistant sur son illet avec son index.

Au bout de quelques minutes, Basile, son doigt bien lubrifié par la cyprine et le sperme sortant de la chatte, put entrer sans résistance dans l’anus de la femme qui gémissait de plaisir et de surprise.

Doucement les garçons, ça fait longtemps que personne n’est passé par là.

Sous les caresses et le doigt qui entrait sortait, son anus commençait à s’assouplir, ce qui permit d’y mettre un deuxième puis un troisième.

Marie Cécile était surexcitée par la pénétration langoureuse de Mamadou et la masturbation de son cul.

Encule-moi, j’en peux plus.

Sans attendre, Basile approcha son gland de l’anus et força l’entrée.

Aïe, doucement s’il te plaît.

Les paroles de la femme n’avaient aucun impact et le sexe continua son chemin jusqu’à la garde. Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, mais les yeux pleins de larmes en disaient long sur la douleur quelle endurait.

Les deux hommes commençaient à prendre Marie Cécile en rythme, tout en douceur. Très vite, son visage se décrispa et des gémissements de bonheur se firent entendre.

Petit à petit, ils accélérèrent et maintenant, la femme était secouée comme un prunier, ses mamelles se balançant de tous les côtés.

Encore encore, parvenait-elle à dire difficilement.

Son visage devint rouge écarlate, puis subitement elle se raidit et eut une jouissance si forte que son vagin et son anus se contractèrent, provoquant à son tour celle de Basile. Il agrippa fermement les hanches et d’un coup de reins puissant, se vida au fond du cul de Marie Cécile qui épuisait, se laissa tomber sur Mamadou, son anus ouvert comme jamais.

Après quelque temps, Mamadou repoussait délicatement la femme qui se retrouva à genoux devant le géant. Celui-ci se masturba au-dessus de son visage, rejoint par Mohamed. Il ne leur faillait pas longtemps pour que le sperme sorte.

Marie Cécile avait le visage, les cheveux et les seins maculés de sperme. Elle attrapait les deux bites qui pendaient devant elle et les aspira pour en soutirer les dernières gouttes de liqueurs.

La femme était dans un état pitoyable, à genoux recouvert de foutre, la chatte et le cul béant dont du sperme en sortait et coulait le long de ses cuisses.

Merci les garçons, vous êtes des super baiseurs. J’ai vraiment aimé être aussi remplie par tous les trous.

Ne nous remercie pas trop vite, interrompit Mamadou. Maintenant, tu vas te rhabiller et rentrer chez toi tel quel. Ainsi ton idiot de mari verra à quel point tu peux encore être désirable et salope.

Sans attendre, Basile lui tendait ses vêtements. Une fois de nouveau vêtue, elle fut raccompagnée à la sortie puant le sexe et le sperme. Marie Cécile n’était pas vexée par la demande de Mamadou, mais fière de lui obéir. Elle partit heureuse de sa soirée et de sa vengeance sur son mari.

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