voici la 2nde partie….
avec du retard…
Suite
Une fois la porte fermée, je dis à C.
« Eh bien ! Ton spectacle a eu du succès. »
« Tu crois ? » sesclaffa-t-elle.
« Tu nas pas remarqué peut-être ? Tu as des goûts pour lexhibition on dirait.»
« à vrai dire, jai pleins de goûts »
« Tu vas me raconter en mangeant alors ? »
« Si tu veux. »
Je cherchais une bouteille de vin que je gardais dans un placard pour une occasion comme celle-ci et après nous être servi, jenclin C. à bien vouloir continuer son récit de la veille.
Celle-ci reprit alors :
« Les deux jours qui suivirent furent pour moi interminable. En attendant le mercredi, jentrepris de partir à la découverte de mon corps que je ne connaissais, en fait, pas entièrement. Je restais enfermé dans ma chambre la plupart du temps à mamuser à regarder mon sexe dans une glace afin de voir comment il était fait exactement, à repérer mon petit bouton qui mapportait tant de plaisir, à jouer avec afin de retrouver toutes ces sensations découvertes durant ce week-end.
Je me donnais du plaisir plusieurs fois et finissais en sueur. Je réalisais ainsi que ce bonheur me faisait mouiller beaucoup et javais pris soin de prendre une serviette afin de ne pas éveiller les soupçons. Cependant je ne franchis pas le cap de percer mon hymen. Par la lubrification, jarrivais à introduire deux à trois doigts mais marrêtais à cette barrière naturelle. Je sentais des sensations mais je ne parvins pas au paroxysme de cette manière-là.
Ma mère sinquiétait de savoir si je nétais pas malade enfermée comme ça dans ma chambre et mimaginant fiévreuse. Elle me menaça même de me faire rester à la maison le mercredi, mais je dus la rassurer que tout allait bien et me tint sage le mardi après-midi ainsi que le mercredi matin. Cest ainsi pimpante que ma mère mamena chez mon frère. Elle fut surprise que jy aille avec une robe dété, moi qui dhabitude ne mettais que des pantalons.
Elle me déposa ainsi en début daprès-midi et repartit après avoir bu un café. Une fois la porte fermée, mon frère mannonça :
« on va attendre tantine. Pour linstant, je vais te raconter le film que jai vu hier soir. Ainsi tu pourras faire un résumé à maman. »
Il avait vraiment pensé à tout. Il eut juste le temps de me raconter lhistoire (cela prit quand même un bon quart dheure) que lon sonna à la porte. Tantine entra et on se fit les bises. Elle aussi avait une robe légère bleue ciel avec des points blancs et ses cheveux tombaient sur ses épaules. On sassit, eux dans le divan mon frère à sa gauche et moi sur un fauteuil séparé juste en face de tantine. Mon frère nous resservit un café. On se mit à parler du mariage sans pourtant aborder lincident entre nous trois puis de choses et dautres. Mais je finis par briser la glace, trop impatiente daborder le sujet qui me taraudait lesprit depuis ces quatre jours:
« Bon allez ! On nest pas là pour parler de ces choses-là. Tu mas fait une promesse et donc jaimerai quon aborde le sujet. »
« Oui surette, je le sais bien, mais ce nest pas facile daborder ce sujet de but-en-blanc »
« Ne mappelle plus surette je tai déjà dit »
« Ca va être difficile, vu que je tai toujours appelé comme ça ! »
« Peut-être mais il faut que tu changes dhabitude alors ! »
« Ok, je vais essayer. Bon par quoi tu veux commencer ? »
« Ben ça fait longtemps tous les deux ? »
« En quelque sorte. En fait, on a commencé ensemble par des jeux il y a deux ou trois ans et puis à force, on a passé le cap lannée dernière. »
« Cétait quoi ces jeux ? »
« Et bien on se montrait des choses en faisant croire quon ne le faisait pas exprès. »
« Je tai demandé de tout me dire…»
« Daccord ! Si tu veux. Ça a commencé par tantine qui avait remarqué que jadorais la regarder, surtout quand elle était court vêtue. Il y a trois ans, javais ton âge et tantine le mien. En pleine adolescence, mes hormones me chamboulaient sans vraiment savoir ce qui se passait car comme tu le disais samedi, papa et maman ne nous ont guère aidés sur le sujet du sexe. Tantine était lune des rares filles que je pouvais approcher de près, frôler, sentir. Quand elle mettait des jupes courtes, je voyais parfois en dessous sa culotte et cela me faisait bander.
-Si je te choque avec certains mots, je préfère que tu me le dises ? »
« Non, au contraire, jen ai entendu certains et je préfère même que tu me les explique. Mais celui-là, je le connais. » Il esquissa un sourire.
« Bon ! Un jour tantine à aperçut mon regard sans que je men aperçoive et a observé dans quel état elle mavait mis. »
« Ce jour-là » reprit alors tantine, « javais aperçu son érection dans son pantalon.il avait une belle bosse. Je nétais pas experte en la matière, mais jen avais fait bander plus dun par mes jeux de jambes. Il ne métait pas venu à lidée que je pouvais aussi intéresser mon neveu. Mais bon, ce nest quun garçon après tout. Enfin bref, des bosses, jen avait vu quelques-unes mais celle de ton frère paraissait impressionnante. Alors, jai joué avec lui à croiser et décroiser mes jambes. Si tu savais le pouvoir que lon a de subjuguer les garçons par ce jeu. Tous là à tenter de voir un petit bout de culotte. Ils te décrocheraient la lune pour y parvenir. Et avec ton frère, ça na pas loupé. Fallait voir comme il se dandinait pour tenter de voir quelque-chose. Mais je ne sais pas pourquoi, ce jour-là, cela ma émoustillé.
Alors jai ouvert les jambes et montré plus que dhabitude. Je le voyais rougir, les yeux exorbités mais le plus impressionnant, cétait que sa bosse avait reprît de lampleur. Jen étais moi-même toute chaude. Javais peur de laisser transparaitre mon émoi par une tâche au fond de ma culotte alors, jai été aux toilettes pour la retirer. Quand je suis revenu, je repris une position plus convenable et observait sa bosse diminuée. Une fois presque disparue, jouvris machinalement mes jambes quelques secondes. Jai crus quil allait sétouffé quand il vit que je navais plus rien. Sa bosse réapparue illico et je croyais quelle allait transpercer le pantalon. » Sesclaffa-t-elle, ravie de se souvenir.
« Tu métonnes. Une heure à essayer de combler mes hormones par cette vision. Moi qui pensais faire discret, javais tout loupé. Et puis ton retour à ne plus rien voir, jétais à deux doigts de quitter la pièce. Alors, quand tu as ouverts de nouveau tes cuisses et que jai pu voir que tu ne portais plus rien, cela ma fait un choc car cétait la première fois que je voyais un sexe de fille. Jai mal vu la première fois car cela na duré que quelques secondes, mais quand tu as recommencé en prenant le temps de laisser tes jambes largement ouvertes, jai pu voir jusquà ta fente malgré les poils quil y avait autour. Je ne pouvais plus me retenir et cest alors moi qui ai couru aux toilettes. Il ne ma fallu que deux ou trois va et viens pour que jéjacule sur la cuvette des WC. Cétait la première fois que cela arrivait aussi vite et avec une telle intensité. »
« Ejacule ? Quest-ce que ça veut dire ?» dis-je.
« Eh bien, cest laction de sortir avec force la semence de mon sexe »
« Quoi ? Le jus blanc que tu avais en bouche ? » Demandais-je à tantine
« Oui. » Répondit-elle. « Cest ce quon appelle le sperme. Cest ça qui contient les spermatozoïdes censé faire les enfants quand les grands font lamour. »
« Mais, cest pas ce que vous faisiez samedi ? »
« Non. En effet » elle regardait mon frère, embarrassée. « Samedi, on jouait ensemble. »
« Et quest-ce que vous faisiez alors ? »
Mon frère repris :
« eh bien, tantine ma fait une fellation. Ça se dit aussi tailler une pipe. Il y a dautre nom, mais je te dirai lessentiel ce soir. Ça consiste à mettre le sexe de lhomme dans la bouche de la femme et de simuler lamour comme ça. »
« Et cest bon davaler le sperme comme tu las fait ? »
« Certaines femmes aiment comme moi, dautres napprécient pas. Cest selon. Pour moi, chaque homme a un gout un peu
particulier même si cela se ressemble. »
« Pourquoi ? Tu as déjà gouté plusieurs hommes ? »
« Oh oui ! Pas tant que ça rassure toi, mais un conseil, ne te contente pas dun seul homme plus tard, tu pourras ainsi choisir par expérience. » Me sourit-elle.
« Et toi, quest-ce que tu faisais à tantine avant la « Fellation » ? » Demandais-je à mon frère.
« Je la caressais et lui ai fait ce quon appelle un doigté. »
« Un doigté ? »
« Oui ! Cest laction de rentrer un ou plusieurs doigts dans le sexe de la femme pour simuler lamour. Les doigts remplissent le vagin et procure les mêmes sensations que le sexe de lhomme. Si on se débrouille bien, on arrive à faire jouir sa compagne. »
« Jouir ? » javais entendu souvent ce mot ce week-end et pensais en avoir saisie le sens, mais je voulais continuer mon jeu de débutante dans linitiation.
Cest tantine qui reprit : « Oui jouir. Cest quand la femme (ou lhomme) arrive à lextase. Faire lamour ou jouer comme on la fait, apporte beaucoup de plaisir, et parfois tellement quon ne se retient plus. On perd presque connaissance. Cest la jouissance. Cest le but recherché quand un couple se met ensemble.»
« Et vous y êtes arrivé souvent ensemble ? »
« Il a fallu que je lui montre comment faire » dit-elle en le regardant avec un sourire « mais je dois avouer quil a vite appris et quil se débrouille très bien. »
« En fait, tantine ma tout appris. » dit-il en lui rendant son sourire.
« Racontez-moi : »
« Eh bien, après le coup de la culotte enlevée, je compris que tantine mavait piégée. Alors, puisquelle savait, je navais quà aller plus loin. Jai commencé à me rapprocher delle. A chaque fois quon se voyait, je me collais à elle. Tout nétait que prétexte pour la frôler, la toucher et elle ne reculait pas. Au contraire. Ce qui me fit entreprenant.
Un soir quon regardait un film en famille, jétais assis entre elle et maman dans le salon sans lumière. Les autres jouaient à la belotte dans la salle à manger. Cétait un tel navet que maman sest mise à somnoler rapidement. Je bouillais dêtre à coté de tantine en jupe. Alors, jai posé une main sur sa jambe. Jétais presque sûr quelle ne lenlèverait pas mais mon cur battait à cent à lheure. je suis resté dix minutes immobile avant de bouger ma main et la remonter sur la jambe. Le temps me semblait sêtre arrêté. Je grattais centimètre par centimètre.
Je ne faisais même plus attention au film tellement mon esprit était focaliser sur les nouvelles sensations que je découvrais. Sa jambe était douce et semblait de plus en plus chaude au fur et à mesure que je remontais la main. Jarrivais à mi-cuisse au bout de ce qui me semblait une éternité. Un coup dil à maman et je compris quelle dormait. Devant la passivité de tantine que je nosais, elle, regarder, je poursuivis ma remontée. Encore une minute puis je touchai le rebord de sa culotte.
Mon cur fit un bond dans ma poitrine. Allait-elle me laisser continuer ? Encore une minute pour me calmer et je suivi le rebord de sa culotte pour arriver sur son ventre sous le nombril puis je descendis. Jai commencé à sentir la douceur de sa culotte en coton. Je me souviendrais toute ma vie de ses sensations. Tantine ne bougeait toujours pas comme si rien ne se passait Puis je senti des poils à travers. Je bandais dur dans mon pantalon. En descendant encore, je sentis son petit bouton puis les prémices de sa fente. Jai commencé à caresser mais je maperçus que sa culotte devenait humide et alors jai jouis sans retenu dans mon pantalon. Cétait sorti tout seul et je men suis mis partout dans le slip. »
« Quoi ? Tu as éjaculé comme ça ? Juste en caressant tantine ? » Fis-je faussement étonné en repensant à T. dans la salle du restaurant qui navait pût, lui aussi, se retenir.
« Oui ! Juste en la caressant. Tu sais, lamour cest autant physique que mental. Je métais imaginé tellement de choses, inventé tellement dhistoires que mon corps dadolescent ne sest pas contrôlé. Quand je suis arrivé sur le trésor tant convoité pour un adolescent de mon âge, sur ce fruit défendu qui mavait fait tellement rêver que pouvoir ainsi le toucher ma fait jouir. Je nen menais pas large après cela. Tantine me regardait en rigolant, narguant mon innocence juvénile. Jai dû me lever en faisant attention et me rendre dans la salle de bain pour tout nettoyer. »
« Cest vrai que pour moi, cétait drôle de le voir dans cette situation. » Reprit tantine.
« Mais cest là aussi que jai réfléchi ensuite sur notre relation. Je métais déjà fait caresser par un ou deux garçons de mon âge à ce moment-là mais qui avaient déjà un peu dexpérience. Cela mavais juste plut et apporté un certain plaisir. Pour eux, je nai dû être quune conquête. Je navais pas encore couché à cette époque, jétais encore vierge. Quand ton frère a posé sa main sur ma jambe sur le divan, jai tout de suite senti que cétait différent. Jai senti son anxiété de la première fois. Je pouvais sentir le battement de son cur tellement il battait fort. Alors je lai laissé faire.
A travers sa main, je pouvais ressentir tout son émoi de la découverte. Son inexpérience me troublait en me mettant en position de dominance du fait que je savais pouvoir tout arrêter dun seul geste ou dune seule parole. Sa main a alors bougé et remonté sur ma jambe jusquà arriver sur ma culotte pour ensuite descendre sur mon sexe. Je fis un effort pour ne pas tressaillir quand il toucha mon clito car si il sy était arrêté, cest moi qui serais parti la première tellement le moment était intense aussi pour moi. Et quand il se positionna sur mon sexe, je ne pus retenir mon envie qui se manifesta par lhumidification de ma vulve. Cest là alors que sa main se crispa et que je compris quil sétait lâché dans son pantalon. Certes je rigolais de la situation, mais jétais heureuse pour lui, heureuse davoir pût lui offrir ce moment de plaisir que je savais intense pour lui.
Cest ainsi que tout a commencé. Dès quon eut loccasion de se voir seul, on en parla puis on alla plus loin dans nos jeux. Au fil du temps, on passa des étapes pour maintenant faire ce quon ne devrait pas. On put ainsi découvrir nos plaisirs et connaître la jouissance mutuelle. Mais ce nest pas sérieux entre nous. On ne fait ça que pour le plaisir du sexe. On saime un peu, cest vrai, mais pas comme deux vrais amoureux. On fait juste ça en attendant de trouver nos âmes surs. Tu vois, il y a faire lamour pour le plaisir, comme nous, et puis il y a faire lamour POUR lamour, avec la personne que tu auras choisis pour faire ta vie avec. Nous, nous ne lavons pas encore trouvé. »
a suivre…