Je vins me positionner. Allongée sur le dos, les jambes relevées, Jessica écartait une fesse pour me donner un accès facile à son trou du cul, tandis qu’elle se branlait la chatte rapidement de l’autre main. Je repris une bonne noisette de lubrifiant que j’appliquai sur la queue tendue à l’extrême en m’astiquant lentement. Le contraste du violet de mon gland contre le rose de sa vulve et de son anus était saisissant. Je posai mon bout sur son petit trou étroit. Je me disais encore que ça ne passerait jamais. Jess écartait son cul des deux mains. Elle fermait les yeux avec force et soufflait par la bouche, tandis que mon énorme gland progressait dans son rectum par petits à-coups.. Son anneau céda et je m’introduis en elle de moitié. Elle ouvrit quand les yeux et la bouche de surprise.
— Oh putain ! T’es énorme en moi !
— Je te fais mal ? demandai-je inquiet.
— Non c’est trop bon !
Jess reprit sa masturbation pendant que je la pénétrais lentement. Sa chatte dégoulinait. Ses seins se balançaient d’avant en arrière.
— Vas-y plus fort maintenant ! ordonna-t-elle. Je veux te sentir plus profond et plus vite. Défonce-moi le cul !
— Oh putain ce que tu m’excites ! répliquai-je.
— Toi aussi ! Je n’aurais jamais pensé aimer autant me faire prendre le cul. J’adore ta queue !
J’accélérai jusqu’à ce que mes cuisses tapent les siennes dans des claquements sonores. Mes couilles arrivaient en butée contre son cul à chaque pénétration. Je sortis à plusieurs reprises de son anus béant, pour mieux me renfoncer dedans. Sa chatte dégoulinante était grande ouverte également sous les doigts de mon amante, qui écartait ses lèvres ou glissait son majeur et son annulaire à l’intérieur.
— Ju, je jouis ! Je jouis ! Je jouis du cul ! T’es fantastique ! glapit mon amie en se branlant à toute vitesse.
Je pris ses nichons à pleines mains pour limiter leur mouvement pendant que je la limais comme un forcené. Au bout de peut-être une minute pendant laquelle Jessica n’arrêtait pas d’hurler de plaisir, je sentais mon jus monter dans mes testicules mais je voulais encore profiter de ce moment d’extase et de folie.
Je sortis de son cul à nouveau et retournai Jessica en levrette. Elle était amorphe comme une poupée de chiffon docile, dans un état complètement second, les yeux révulsés, le cul en l’air avec ses trous largement ouverts. Sa tête reposait sur l’oreiller qu’elle maintenait dans ses doigts crispés, et son dos était cambré pour faire ressortir sa magnifique croupe.
Je m’enfonçai dans sa chatte brûlante et cela la réveilla avec des nouveaux gémissements plus graves. Mon pubis claquait lourdement ses fesses.
— Oh oui ta bite dans ma chatte ! reprit-elle. Enfonce-moi ta belle bite !
Agrippé à ses fesses, je savourais une nouvelle salve d’orgasmes chez ma belle qui se branlait le clito pendant que je la limais à fond. Elle passa sa main entre ses cuisses pour me caresser les couilles qui tapaient contre ses lèvres. Je me demandai comment j’avais pu tenir jusque-là. Je jouissais beaucoup plus rapidement avec mes ex. J’avais l’impression d’être une vraie star du X. Ou alors nous étions dans une parfaite communion, deux êtres parfaitement faits pour baiser ensemble. Mais là, j’étais à l’extrême limite de ce que je pouvais tenir.
— Ju, jouis dans mon cul ou ma chatte si tu veux, je m’en fous ! déclara Jessica, totalement ivre de jouissance. J’ai trop envie de sentir tes jets de sperme en moi. Ou viens me cracher ton jus bien chaud sur ma bouche et mon visage.
Je n’en revenais pas qu’elle me propose d’éjaculer dans son vagin alors qu’elle ne prenait pas la pilule. Nous prenions déjà un risque considérable de baiser aussi intensément sans capote. Elle pouvait tomber enceinte. Dans un éclair de folie, l’idée me traversa l’esprit de rester en elle, d’accélérer et de jouir comme jamais en lui remplissant l’utérus. Cela m’excita au point que ma bite gonfla encore en diamètre, je crois.
Dans un ultime regain de conscience, je m’extirpai de la moiteur de son sexe. Elle comprit aussitôt et se retourna afin que je vienne à califourchon sur son estomac. Je me branlai à toute vitesse entre ses seins qu’elle malaxait comme une actrice de X en attendant sa récompense, la langue sortie. Mon orgasme fut fulgurant. Je hurlai de plaisir dans un cri rauque. La coquine me caressa les testicules et essaya d’attraper au vol chaque éjaculat avec sa langue. Deux traits blanchâtres maculèrent son visage jusqu’à ses cheveux. Le reste avait atterri sur sa langue. Jess m’attira vers sa bouche pour qu’elle avale mon sperme à la source. Ce dernier faisait des bulles aux commissures de ses lèvres. La succion de ses lèvres autour de mon gland me fit encore plus gémir de plaisir. Jessica me suça avidement jusqu’à la dernière goutte, en repartant dans un petit orgasme en se masturbant en même temps. Même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurai jamais imaginé une fille qui aimait autant le sexe, qu’il soit vaginal, anal ou buccal.
Comment une fille pareille pouvait être célibataire à 22 ans avec un tel tempérament au lit ? Je m’affalai sur le lit à ses côtés. Le visage encore souillé de mon sperme, ma meilleure amie vint se blottir contre moi, la tête sur mon épaule et la main sur mon torse. Totalement shooté après cette séance de sexe, je lui caressai le dos et les cheveux en me posant une question, surgie du fond de l’abîme de mon cur perdu : est-ce que je n’étais pas en train de tomber amoureux d’elle ?
Si oui, est-ce que je ne faisais pas une erreur ? Si non, qu’est-ce qui clochait chez moi ?