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Je l'ai vu m'observer sentir son string – Chapitre 3




Je suis resté abasourdi quelques secondes quand J. disparut derrière la porte. Je me dépêchai de fermer la braguette de mon pantalon et remettre ma ceinture avant de sortir des w.c. et me dépêchai de la retrouver à son bureau. Elle n’y était pas. En fait, il n’y avait plus grand monde, il était 18h15, la plupart des salariés étaient partis. Je décidai de prendre mes affaires à mon poste avant de moi aussi, rentrer chez moi.

Dans le métro, je réfléchissais à ce qu’il venait de se passer, j’essayais de recoller les morceaux et à vrai dire, j’étais certain d’une chose, la culotte dans laquelle je m’étais masturbé, dans laquelle J. avait léché mon sperme et qu’elle m’avait prêtée pour l’après-midi n’était pas à elle.

Une fois chez moi, je pris conscience que ma copine n’était pas encore rentrée. Après quelques messages, elle me dit qu’elle est à un apéro avec ses collègues et me dit de ne pas l’attendre pour manger et qu’elle rentrera avant minuit.

Dès que j’eus cette confirmation que j’étais seul pour la soirée, je décidai d’appeler J., mais sans succès, elle ne répondait pas à mes appels. Je décidais donc de lui envoyer un message : « Je suis un peu perdu par rapport à ce qu’il s’est passé aujourd’hui (même si c’était génial, hein !). Mais du coup, à qui était la culotte ? Depuis quand l’avais-tu ? »

Je restais quelques minutes à attendre une réponse. En attendant, je pris la décision de me doucher, mais je n’arrivais pas à me sortir l’après-midi de ma tête. J’étais à peine essuyé, encore nu, que j’entendis mon portable vibrer; je courus pour le récupérer. C’était un MMS de J.

Sur la photo qu’elle m’avait envoyée, c’était un selfie, elle était en gros plan, en train de sourire ou de rire, elle semblait seins nus, mais ces derniers étaient hors du cadre. Cependant, ce n’était pas cela qui attira mon attention, c’était ce qui était derrière elle, en arrière-plan : une fille assise sur un lit, ou quelque chose comme cela, qui avait les cuisses écartées, et qui portait la culotte bleue foncée encore tachée de mon sperme.

Cette photo m’excita tout de suite, je sentis ma queue se raidir sous ma serviette, et rappelai tout de suite J. Cette fois, elle décrocha :

« Allo ? Je viens de recevoir ta photo, très belle photo, d’ailleurs, mais tu peux me dire qui est la fille derrière toi qui porte la culotte. »

« Ahah ! Et moi, tu m’as vue au moins sur cette photo ? »

« Oh oui, j’aurai même apprécié voir un peu en dessous, tu étais seins nus, non ? »

« Oui, et je le suis toujours ». J’entendais rire à côté d’elle.

« Ah ! D’accord, elle est donc à une bonne copine cette culotte… »

« Exact, on ne partage pas que des paroles si c’est ce que tu veux savoir »

« Ahah oui, vous partagez vos culottes aussi, à ce que je sais. »

« Oui, entre autres. On couchait déjà un peu ensemble avant ta venue chez moi. Je lui ai peut-être raconté ce qu’il s’était passé, et elle a comment dire… était excitée par notre histoire et aurait aimé être à ma place. Du coup, quand on s’est réécrit ce matin, vu ce que tu m’avais dit, j’ai pensé que je pouvais lui faire un petit cadeau… »

« J’avais pas prévu de jouir dans ta culotte, enfin la sienne, hein »

« Ouais, mais nous trouvions ça génial de savoir que tu aurais sa culotte avec toi, en pensant que ce serait la mienne. Tu n’as pas aimé ? »

« Bien sûr que si; mais maintenant, j’aimerais savoir qui c’est, si je la connais, tout ça, quoi. »

« Très bien. Et bien, dans ce cas, tu n’as qu’à passer chez moi, nous passons la soirée ensemble, tu n’as qu’à venir… »

Je réfléchis quelques secondes, puis je lui dis : « OK, c’est tentant là. Je peux être là, dans 30min. Ça irait ? »

« Oui très bien, nous ne bougeons pas. Donc à tout de suite. »

Après avoir raccroché, je pris quelques secondes pour réaliser ce qu’il se passait. Ou plutôt, je me demandais ce qu’il allait se passer. J’en avais la boule au ventre, je savais que cela n’allait pas être une simple rencontre. J’écrivis tout de suite après à ma copine pour lui dire que j’allais, moi aussi, retrouver des potes pour boire un verre, que je rentrerai tard donc, qu’on se retrouverait à l’appart. Je m’habillai, pris le métro, et arrivai devant chez J.

Je fus devant la porte; je pris une grande inspiration, et sonnai. Quelques secondes plus tard, J. m’ouvrit la porte. Elle s’était changée : elle était pieds nus, portait un débardeur blanc qui était rentré dans une jupe à fleurs. Toujours aussi jolie et avec un grand sourire, elle m’invita à entrer. Je cherchais tout de suite une autre personne dans l’appartement, mais elle semblait être seule.

« Ne la cherche pas, si tu la voyais tout de suite ce ne serait pas drôle »

« Ouais, mais j’avoue que je suis hypercurieux là. Tu ne m’as pas répondu tout à l’heure, je la connais ? »

Tout en s’approchant de moi, elle me dit : « Et moi, tu n’es pas content de me voir ? »

« Bien sûr que si, tu es toujours aussi jolie et je ne peux pas m’empêcher de repenser au fait que la dernière fois que j’étais ici, j’ai pu jouir dans ton cul »

Elle sourit et m’embrassa avec la langue. C’était si bon. Je posai une main sur sa taille et l’autre sur sa cuisse gauche, en remontant légèrement sa cuisse jusqu’à atteindre le début de ses fesses.

Elle recula et me dit qu’avant de voir sa copine il faudrait que je fasse quelques trucs pour elles. Une sorte de jeux où je ne devrai en aucun cas refuser la moindre demande ou sinon je ne saurai pas à qui appartenait cette culotte.

« D’accord, je sens que l’on va tous en tirer quelque chose; mais à la seule condition : rien ne doit sortir de cet appart cette fois, ma copine ne doit rien savoir, c’est bien clair ? »

« Très clair. Maintenant, assieds-toi sur le canapé et ne bouge pas. »

J’obéis, sans aucune crainte, mais plutôt excité comme une puce à l’idée de ce qu’elle allait me demander. Elle se tenait devant moi et retira sa jupe. Elle n’avait pas un débardeur comme je le pensais au départ, mais un body en coton, attaché avec 2 boutons pressions au niveau de sa chatte.

Elle se retourna pour aller dans une pièce à côté, qui devait être sa chambre vu que sa salle de bain que je connaissais déjà était derrière moi. Je pus observer ces petites fesses magnifiques que le body dessinait si bien.

Elle revient dans le salon avec sa copine, mais je ne pouvais pas voir son visage ni ses cheveux. Elle portait un masque complet type vénitien et une perruque de longs cheveux de plusieurs couleurs. Sa copine était en sous-vêtement, un soutien-gorge bleu foncé, classique avec des formes de vaguelettes sur l’armature et évidemment, cette culotte que je connaissais si bien.

« Déshabille-toi entièrement, et pas la peine de cacher ta bite, hein, c’est justement ce qu’on veut voir. »

Je m’exécutai, sans gêne, même devant cette autre fille qui était là à observer. Je retirai ma chemise, mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon et puis mon caleçon que je posai à côté du canapé. J’étais nu, une mi-molle non dissimulée; et au moment où je m’apprêtai à m’asseoir, J. me coupa dans ma lancée et me dit « Non ! Tu peux rester sur le canapé, mais mets-toi à 4 pattes. »

Je suis resté quelques secondes sans bouger et puis je fis ce qu’elle m’a demandé.

J. se plaça derrière moi, et commença à me caresser les fesses, puis elle descendit ses mains sur mes boules, les massait tout doucement, remontait sur mes fesses en touchant mon anus à plusieurs reprises. Sa copine ne bougeait pas. Je restais là quelques minutes à me faire masser les couilles et mon petit trou quand je la vis se pencher et elle commençait à passer sa langue entre mes fesses, léchant ce qu’elle massait juste avant. Les sensations étaient géniales, je me suis mis à bander direct. Lors de chaque passage sur mon anus, je sentais qu’elle forçait un peu plus avec sa langue, je me détendis, et au bout de quelques secondes je sentais qu’elle rentrait sa langue en moi, de quelques centimètres, mais c’était divin.

Je profitais de ce plaisir anal lorsque sa copine qui se caressait les seins depuis un petit moment retira son soutien-gorge. Je vis ses deux seins retomber légèrement; pas très gros, ils tenaient droit et semblaient fermes, et elle avait 2 mamelons assez petits avec les tétons percés. Elle s’approchait de moi et vient se poser sur l’accoudoir devant moi avant d’écarter ses cuisses. Je ne savais toujours pas qui était sous ce masque, mais elle avait un corps sublime, quelques formes, un tout petit peu de ventre; et la culotte que j’ai touchée tout l’après-midi était là, à quelques centimètres de moi.

J. continuait de me lécher l’anus tout en me branlant. De mon côté, je posais ma main droite sur les seins de sa copine, puis je descendis sur son ventre et je passais ma main sur sa culotte. Je glissais mon index délicatement sur le côté droit de sa culotte, pour l’écarter de sa chatte et pouvoir l’observer. Elle n’était pas rasée, mais cela m’excitait, et elle aussi, je pense, car elle était déjà trempée. J’écartais doucement ses lèvres pour laisser respirer son clitoris, il était gros et bien visible. En me penchant un petit peu, je pus approcher ma bouche de ses lèvres juteuses. Sa chatte sentait bon, elle avait dû la laver avant mon arrivée, car il n’y avait aucune trace du sperme laissé dans la culotte.

Pendant que je lui léchais la chatte, J. en profita pour me rentrer son index dans le cul, il est rentré bien plus facilement que cet après-midi. De mon côté, sa copine retira sa culotte et se pencha un peu en arrière pour que je puisse la lécher plus facilement. C’était maintenant moi qui passai ma langue de son sexe à son anus.

Quelques minutes après, J. retira son doigt et me demanda de m’allonger sur le dos. J’étais à peine allongé; ma bite bien droite; que sa copine se leva de l’accoudoir sur lequel elle était assise, et alla chercher un préservatif dans un sac posé à côté, sac que j’avais déjà vu, mais je ne sais plus où; peut-être qu’il était à J. au final. En se penchant pour l’atteindre, je pus voir ses fesses, plus grosses que celle de J., elles m’excitaient encore plus, j’avais envie de rentrer dedans, d’y engouffrer mon visage complet, mais aussi, ma queue.

Elle revint vers moi, déroula le préservatif sur ma bite et sans hésiter une seconde, s’empala sur elle avec beaucoup de facilité, tellement elle mouillait. Sa chatte était chaude, humide et je voyais ses lèvres s’écarter autour de ma queue, l’engloutissant dans ses va-et-vient. J. était à ma droite, elle avait déboutonné son body et le retira complètement. Puis, sans rien dire, vient se poser au-dessus de ma tête. Mon nez rentrait complètement dans sa petite chatte rasée, elle sentait la même odeur de savon que celle de sa copine. Je léchais cette chatte que je connaissais déjà et qui m’avait manquée.

J’entendais sa copine pousser des gémissements, cette fois j’étais sûr, cette voix, je la connaissais, mais avec l’étouffement du masque j’en étais pas certain. J. se pencha un peu plus en avant afin d’offrir son cul à son amie que j’étais en train de baiser derrière elle. Sa chatte toujours contre ma bouche, elle avait les fesses en l’air. Avec mes mains posées sur chacune d’entre elles, je les écartais au maximum. Sa copine, toujours assise sur ma queue, commençait à entrer son pouce dans l’anus de J. Puis elle le remplaça par son index, et enfin et y ajouta son majeur.

Juste avant que je jouisse, J. se retira et demanda à sa copine de lui en laisser un peu. Je respirais un peu, mais j’étais tellement bien. Ces deux filles, si magnifiques, nues à côté de moi, c’était la plus belle chose que j’avais vue à ce moment-là. J. se posa sur ma queue de telle sorte que je ne voyais que son dos, et elle prit ma bite pour la rentrer dans son petit trou. Je voyais tout, j’aurais aimé que le temps s’arrête à ce moment-là. Pendant que je l’enculais, sa copine m’offrit ses seins, que je léchai avec plaisir. Ma main gauche était sur la cuisse de J., 2 doigts de ma main droite étaient dans la chatte de son amie, et un troisième rentrait dans son anus.

Je sentais que j’allais jouir, c’était une question de seconde. J’eus à peine le temps de dire « Je ne vais pas tarder à venir là… » que J. se retira, se retourna et commençait à me lécher la queue. Sa copine avait reculé ses seins de ma bouche pour se pencher aussi sur ma bite, elle la suçait, mais elle embrassait aussi J., leurs langues se mélangeaient. Mes doigts étaient toujours dans sa chatte poilue et son cul, elle gémissait de plus en plus fort quand je la sentis se contracter autour de mes doigts, très fort. Elle poussa un cri de plaisir intense qui me fit jouir presque au même moment; les yeux fermés, je ne pouvais plus rien retenir.

Pendant que mon sperme sortait, je sentais les deux filles lécher mon sexe et essayer d’en avaler le maximum. Quand j’ouvris les yeux, les deux filles continuaient à s’embrasser, du sperme sur le visage, sur ma bite, et je vis que la perruque était tombée, et que le masque que portait sa copine était relevé. Je la reconnus tout de suite, et dis : « Mais je dois rêver… Manon ! »

Elle se retourna et me regarda avec un grand sourire. Ma collègue, celle sur qui j’ai fantasmé les premiers jours de travail, nous nous étions rapprochés, mais comme nous savions tous les deux que nous étions en couple, nous sommes restés sur des sous-entendus. Là, elle me dit : « Eh oui, quand J. m’a dit qu’elle avait couchée avec toi, j’étais trop jalouse, alors on s’est demandé longtemps comment nous pouvions t’amener à ce que je puisse te baiser; sans que tu le saches des fois que tu n’as pas voulu. »

« Tu rigoles là, je t’ai toujours trouvée sublime. On remet ça tous les trois quand vous voulez. »

C’est à ce moment-là que J. nous coupa pour nous dire : « Au lieu de vous envoyer des compliments, l’un de vous deux accepterait-il de me faire jouir, moi aussi ? Vous avez été trop rapides là ».

Nous échangeons un sourire avec Manon, puis allongeons J. sur le ventre. Manon se mit en dessous de sa chatte pour la lui lécher, et pendant que sa langue glissait sur son clitoris, elle y entra ses doigts. De mon côté, je la sodomisais, en alternant avec ma langue et mes doigts (avec ce qu’elles m’avaient fait, je ne bandais plus malgré mon excitation) jusqu’à ce que J. jouisse aussi.

Nous sommes restés un moment tous les trois, nus, à nous embrasser de temps en temps, à observer, sentir et lécher les corps des autres. Au moment de partir, nous décidions de nous voir tous les trois au moins une fois par semaine pour remettre cela, et aller plus loin. Les deux filles me firent comprendre qu’elles voulaient aller plus loin.

Je rentrais chez moi, la tête et les couilles légères, il n’était pas si tard que cela au final, à peine 22h30. Je voulais préparer une petite surprise aux filles en rentrant, je pensais leur envoyer une photo de mon caleçon et leur dire que demain, il serait à elles toute la journée si elles le voulaient.

Je rentrais sans faire de bruit, des fois où ma copine dormirait; et à peine arrivé dans la chambre, je ne m’attendais pas à cela…

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