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Une première saillie intense – Chapitre 1




Depuis plusieurs mois, je fréquentais une jeune fille dont j’étais le premier amour. J’étais alors âgé d’à peine vingt-et-un ans et donc en pleine forme de l’âge de haut en bas, j’adorais déjà le sexe et avait pu en partager l’expérience avec d’autres filles mais à cet âge la plupart des demoiselles étant encore vierges il fallait souvent patienter un peu avant de découvrir les délices. Une fois encore je me retrouvais à devoir déflorer une pucelle et je me languissais de ce moment. J’ignorais alors à quel point elle allait me combler. Elle s’appelait Stéphanie, latine aux yeux noirs, belle brune aux cheveux longs et ondulés, âgée de 18 ans à peine. Elle était aussi splendide que timide. Son corps lui semblait avoir été créé par le dieu de la luxure. Des dimensions athlétiques avec 1m70, 58 kg, et une poitrine honorable 90 B. Magnifique dans les moindres détails, ses seins ronds et fermes de la jeunesse délicieusement galbés, un fessier ferme et rebondit et une taille fine. Ajouté à cela le ventre plat et la souplesse d’une gymnaste, son corps était une invitation au sexe.

Malheureusement elle n’avait guère d’expérience dans le domaine et ne semblait pas encore prête à franchir le cap. Au gré des saisons j’avais pu constater à quel point mon corps désirait le sien. En maillot de bain ou en sous-vêtements nos mains s’étaient bien égarées un peu mais la pudeur et sans doute la crainte du premier rapport l’avaient à chaque fois amenée à me faire languir encore un peu. Les mois qui passaient entretenaient une part de fantasme et de frustration difficile à concilier. Je m’imaginais la prendre encore et encore et lui faire découvrir les délices de mon calice.

Lors de notre premier rapport, alors que je commençais à la dévêtir, je découvris la belle entièrement nue avec une toison entretenue, aussi je me retrouvai avec une érection massive, tendu comme un pieu de marbre, mes veines entrelacées bombaient encore la circonférence. A la vue de mon membre, je vis dans son regard une petite crainte. Une pointe de nectar pointait au bout de mon gland et je l’étalais en lui expliquant qu’ainsi je glisserai doucement en elle. Il est gros me chuchotait elle, sachant qu’elle avait plutôt raison mais voulant la rassurer je lui répondis qu’il était normal et que nous irions doucement. Elle était là sous mes yeux, enfin complètement offerte et je la désirais éminemment. Son corps avait été dessiné d’une parfaite inspiration, je supposais qu’elle allait me provoquer une jouissance exceptionnelle et j’étais encore loin de la réalité. Commençant à approcher mes doigts de ses lèvres, je caressai la commissure puis jouai de ma langue tout autour, provoquant et convoquant le reste de son corps.

Enveloppant ou caressant ses seins, mes mains couvraient et découvraient ses jolis fruits défendus. Elle commençait à onduler et à vibrer à l’unisson de ma passion et je voulais la croquer plus encore. Du bout des doigts, je jouais à l’entrée de son jardin secret. La pulpe de mon majeur découvrant la tendresse de son clitoris, je glissais également sur les lèvres jusqu’à sentir au centre un léger creux humide. Puis délicatement j’insérai un doigt dans sa fente serrée. Ainsi, je me demandai si j’allais pouvoir la pénétrer mais mon désir était tellement intense que cette question s’effaça rapidement. Elle était allongée sur le dos puis je me mis face à elle. A présent elle était mienne, j’écartai ses jambes et photographiai de mes yeux l’ouverture de ses cuisses. J’approchai mon sexe rigide, tellement gorgé de désir que l’angle à prendre pour m’insérer était presque difficile à tenir. Tandis que je cherchai son entrée, je déposai un baiser sur ses lèvres puis commençai à insérer ma verge turgescente.

Glissant lentement mon gland gonflé je constatai l’étroitesse de son antre sur ces premiers centimètres. Le bout de mon pieu était rentré complètement et il était emprisonné. Sa forme conique légèrement rebondie bloquait un éventuel mouvement de recul. Nous étions prisonniers l’un de l’autre. Elle mordait légèrement ses lèvres et ses mains sur mes fesses m’enjoignaient à progresser davantage. Elle espérait sans doute se libérer de la pression mais la forme de mon sexe s’élargissant encore ensuite au milieu de ma hampe, je savais que la progression allait être d’une intensité encore plus forte. Je m’enfonçai en elle douloureusement et découvris qu’au-delà du premier anneau resserré, son fourreau restait très étroit dans sa longueur. Mon plaisir immense fut encore plus irrésistible quand arriva la seconde barrière. Ma tige enfoncée à moitié et s’élargissant à cet endroit, la progression de la pénétration semblait encore plus difficile. Je reculai légèrement jusqu’à mon gland, amorçai quelques allers et venues puis n’y tenant plus, j’agrippai ses fesses fermes et forçai le passage pour la pénétrer de tout mon long en un seul et puissant mouvement.

Les pupilles de ses yeux se dilataient et sa bouche s’ouvrit. Surprise par la prodigieuse pression dans son ventre elle vacillait. Là bien au fond je restai figé comme un roc. Elle retenait encore sa respiration, son corps s’était également contracté puis doucement elle souffla un peu d’air. Sa grotte était entièrement remplie. Je tentais de retenir mon plaisir paroxystique. Jamais je ne m’étais retrouvé aussi fermement enserré dans des cuisses. Son vagin virginal venait d’accueillir son premier sexe dont la taille était à la limite extrême de sa capacité. Petit à petit je bougeai en elle et entamai de doux et profonds va et viens. Il était si bon de la saillir que je ne pouvais guère accélérer au risque de voir mes bourses se vider trop vite. Son regard amoureux semblait perdu, elle se livrait à moi dans tout son corps et se trouvait défoncée par un membre massif qui élargissait à chaque instant son intimité. J’embrassai son cou, ses seins, ses épaules pour la remercier de s’abandonner à mes élans puis poursuivis encore mes vagues successives défrichant ce sentier inconnu.

Tous mes mouvements nous faisaient chavirer d’ivresse. Le coït était délicieusement intense. En reculant son sexe m’étranglait et se bloquait sur la bosse de mon gland, en avançant il glissait enchâssé jusqu’à la garde. Je ne pourrai la libérer de cette étreinte qu’une fois atteint l’apogée de l’orgasme. Poursuivant alors la cadence en accélérant progressivement le tempo, je sentis ma sève poindre et ne résistant plus j’attrapai ses épaules pour la presser fermement contre mon corps écrasant mon gourdin dans le fond de ses entrailles. Je poussais encore pour expulser au plus profond d’elle les germes de la vie. Mes giclées étaient puissantes et lourdes, j’étais secoué de spasmes infinis et restai cabré en elle qui semblait déboussolée par cette dernière charge animale. J’avais l’impression de l’avoir aspergée, noyée tout entière. En jouissant au plus fort de sa pénétration, mes flots de semence étaient venus s’écraser dans son utérus. Cette belle plante venait de se faire prendre intensément, mon orgasme l’avait mitraillé de foutre, elle était devenue femme, je l’aimais.

Premier récit d’un homme aimant le sexe, n’hésitez pas à commenter.

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