La jeune sour du baronnet se masturbait au moins deux fois par jour : le matin au réveil et le soir dans son lit. Mais elle aimait aussi, surtout en été, le faire dehors, dans les lieux parfois les plus inattendues. C’est ainsi qu’un beau matin, elle était en train de se caresser la chatte près des écuries quand Joseph la surprit dans cet état (à moins qu’elle ait volontairement choisi l’endroit pour rencontrer le fermier). « Alors mademoiselle, on se fait du bien ? » lui demanda-t-il. Sans pudeur excessive, Sophie continua sa branle en regardant de manière effrontée le serviteur. S’approchant d’elle, il la gifla ce qui fit faire un bond à la jeune fille. « Mais enfin, vous n’y pensez pas Joseph ? ». Une autre paire de gifles fut la seule réponse du maître d’hôtel. Se dressant devant lui, la jeune fille, le visage cramoisi par la colère, l’interpella vivement : « Je vais vous faire renvoyer, sale domestique ! ». Voulant répliquer aux gifles par des tapes, elle commença à frapper le serviteur mais fut rapidement maîtrisée et bâillonnée d’une main ferme. Sans coup férir, Joseph la retourna et commença à lui administrer une fessée retentissante. Malgré des efforts pour se dégager, le jeune baronne ne put que subir. De honte, elle se mit soudain à pleurer. Joseph sortit alors sa ceinture, en menotta la jeune fille puis, sortant une bite durcie de son pantalon, s’avisa de la remplir ainsi qu’il le faisait du frère de l’icelle : par derrière.
Tétanisée par la situation, Sophie ne résista pas. Mais elle ne peut réprimer un cri de douleur quand la queue de Joseph déchira son anus. Bien vite, il fit place à des gémissements de plaisir. « Alors, sale pute, on aime ça hein ? Je t’ai bien entendu l’autre soir quand tu réclamais de la queue ! Quand on se fait baiser par son propre père et par son frère, on veut aussi se faire le valet sale gouine ! Mais c’est lui qui t’a maintenant ! ». La retournant comme une crêpe, il lui refila quelques paires de claques et, encore plus excité par le visage rougi par les larmes de la jeune baronne, il lui releva les jambes et, dédaignant sa chatte, la pénétra à nouveau en sodmite. Il lui pinçait les seins pendant que la petite geignait et gémissait, balançant entre honte douleur et secret plaisir. « Sale connasse, famille de dépravés, je vais tous vous baiser, y compris le baron ! » éructait Joseph, décidément très en forme.
Inspiré par des pulsions sadiques, il se retira prestement et, prenant la jeune fille par les cheveux, la précipita par terre. « Fous-toi à quatre pattes, sale chienne ! ». Obéissante, ne cherchant même plus à résister, elle se retrouva donc sur le sol, cul cambré. Prenant son ceinturon, Joseph la frappa en pleine raie, la contraignant à avancer pour échapper aux coups. « Gouine ! Salope ! Putain ! Traînée ! ». Les insultes pleuvaient au rythme des frappes, pendant que Sophie faisait le tour de l’écurie à quatre pattes, hoquetant de honte et de douleur. « Allez, dé-gage petite pute ! » termina Joseph qui partit à ses occupations, laissant en plan Sophie qui fut encore plus humiliée de se voir délaissée en chemin qu’elle ne l’avait été de se faire prendre ainsi par son propre valet. Elle s’en alla dans sa chambre où elle s’allongea.
Elle resta longtemps sans bouger, songeant à ce qui venait de se passer, hésitant entre le ressentiment éprouvé à l’égard de celui qui l’avait traitée comme la dernière des salopes et le plaisir qu’elle avait ressenti d’être ainsi frappée, enculée et soumise. Ses doigts commençaient à travailler à nouveau son clitoris puis, descendant vers les lèvres de la chatte, à frôler celles-ci. Rejetant les draps, Sophie était maintenant cuisses écartées, se branlant des deux mains, se foutant un doigt dans le cul encore douloureux et deux autres dans la chatte. Et ce fut en gémissant violemment qu’elle se fit ainsi jouir, tordant les draps dans tous les sens. Puis, épuisée, elle s’endormit.
La femme de Joseph frappa discrètement à sa porte, puis, n’entendant aucun son, ouvrit la porte pour prévenir la jeune baronne que le déjeuner était servi. Sa mère l’avait en effet faite appeler, étonnée qu’elle ne soit pas encore à table. Découvrant le corps dénudé de Sophie, dans une position indécente, elle regarda pour faire son plan de visions salaces qui lui servaient de moteur pour ses longues séances de masturbation. Puis elle referma la porte et frappa plus fort jusqu’à ce qu’enfin Sophie réponde. Quand la gouvernante redescendit pour le service, sa culotte était déjà trempée.
Pendant que les deux femmes mangeaient, servie par Nicole, la gouvernante eut besoin de se faire remplir une chatte déjà très excitée et, nous l’avons dit, passablement mouillée. Dans un couloir, elle se fit donc fourrager par Joseph son mari. L’ayant plaquée contre un mur, il lui releva la robe noire, retira sa culotte et, sortant une grosse bite toujours prête à servir, calma les bouffées de chaleur de sa femme en la lui mettant bien à fond. Il savait bien faire vriller sa tige afin d’exciter toutes les parois du sexe féminin. Mais pour ne pas alerter les patronnes qui terminaient leur repas juste à côté, il bâillonnait la bouche de sa femme, prête à émettre de lourds gémissements, par une langue baveuse qui lui roulait de larges pelles. Il finit rapidement par décharger en elle, ses giclées de foutre chaud déclenchant chez son épouse une jouissance s’exprimant par des soubresauts de tout le corps, heureusement satisfait.
Pendant ce temps, la baronne contemplait songeuse sa fille. Elle devinait que celle-ci n’était pas vraiment dans son assiette et se promis de parler avec elle l’après-midi même. Elle pensait que le moment était venu de la transformer en vraie femme et elle avait son idée sur la question. En attendant, une fois le repas terminé, elle demanda à Nicole de lui servir un café dans sa chambre. Lorsque la bonne arriva, la baronne était couchée, ne portant sur elle que des bas noirs accrochés à un porte-jarretelles au milieu duquel se découpait un triangle bien fourni de poils noirs. Approchant du lit, Nicole ne pouvait détacher son regard du spectacle, d’autant plus qu’elle n’avait jamais été attirée que par des cons de femme. « Madame veut-elle un massage ? » osa-t-elle. « Faites, faites Nicole » répondit la baronne, écartant ses cuisses pour montrer clairement où le massage en question était particulièrement attendu. A genoux devant elle, Nicole commença par un semblant de mouvements sur les jambes de la baronne mais ses mains furent rapidement attirées par les deux gros seins dont les pointes étaient dressées. Tournant autour de celles-ci, ses doigts mouillés d’un peu de salive eurent tôt fait de faire monter la pression chez la baronne qui commença à se branler le clitoris puis à écarter les lèvres de la chatte. Nicole ne se fit pas prier, tant cette chatte ouverte lui apparaissait voluptueuse. Elle plongea son visage entre les cuisses de la baronne et commença par lui lécher le bout des lèvres pubiennes, en allant et venant rapidement, par petits coups, entre leurs parties supérieures et inférieures. « Bouffe-moi le con ! » gémissait la patronne tout en se tortillant. Nicole serrait plus fort les tétons, poussée en cela par la baronne elle-même qui lui pressait les doigts afin que la jeune bonne lui pince les seins. Maintenant, sa langue s’introduisait dans la moiteur intime de sa partenaire, excitant les parois d’une langue décidément fort experte (au pensionnat, Nicole avait eu tout loisir de s’y exercer avec l’une de ses compagnes ainsi qu’avec la religieuse infirmière dont l’apostolat prenait parfois de bien curieuses formes).
« Allez chercher le gode dans la commode, Nicole ! » demanda la baronne. Il était à deux bouts, ce qui était fort pratique pour une bonne baise entre gouines. « Dépêchez-vous car sinon je vais jouir » gémit encore plus fort la baronne. Il est vrai qu’à peine Nicole s’était relevée, elle s’était plongée trois doigts dans sa chatte maintenant ruisselante et se masturbait ainsi furieusement. Quand elle démarrait, elle ne savait plus s’arrêter ! Heureusement Nicole avait déjà introduit l’accessoire dans le sexe de sa maîtresse et le faisait aller et venir pendant qu’elle s’enlevait la culotte. Bien vite, les deux femmes furent face à face sur le lit, cuisses écartées, chacune à un bout du gode. Passant au pied de la chambre, Joseph entendait ces gémissements qui atteignaient à présent un niveau sonore important et pensa : « Encore en train de se branler les cons entre elles ces gouines ! ».
Ce qu’il ne savait pas, c’était que sa chère et tendre épouse, encore toute émoustillée d’avoir été prise par son mari dans un couloir, tout près du lieu où ses patronnes se tenaient, et ayant entendu des gémissements provenir de la chambre de la baronne s’était introduite dans celle-ci pour un motif ordinaire : venir prendre les ordres pour l’après-midi. Celui qu’elle reçut de sa patronne dénudées, cuisses écartées pour se faire fouiller la chatte à la fois par le gode que Nicole agitait et la langue de celle-ci, fut des plus nets. « Fous-toi à poil ma belle et viens me donner ta chatte à bouffer ! ». Obéissante, la gouvernante s’était donc retrouvée à califourchon au-dessus du visage de sa patronne qui lui léchait son intimité avec des lèvres chaudes de chienne en rut. Il n’en fallu pas de longtemps qu’elle accompagne de ses propres gémissements les cris rauques ou pointus qu’émettaient la patronne, par ailleurs agitée des soubresauts du plaisir. « Giflez-moi les seins » lui ordonna-t-elle encore, se rappelant que lors de la fameuse soirée d’orgie vécue dans le grand salon du château, la gouvernante pinçait les seins de Nicole. Timides au départ, ces gifles qui venaient frapper des tétons durcis par l’excitation se firent plus fermes, au fur et mesure que les couinements et les borborygmes de la baronne allaient s’amplifiant. Nicole en avait profité pour enfoncer des doigts bien salivés dans son cul, encouragée par la baronne à lui ouvrir tous les trous. Finalement, celle-ci explosa, rejetant les deux femmes tellement son corps vibrait, se soulevait, se tordait comme un navire en pleine tempête, soulevée par les flots d’un plaisir déferlant sur elle et en elle ainsi que les vagues d’une mer déchaînée. Au même moment, la gouvernante jouissait et, une fois de plus, ne pouvait se retenir de pisser. Cette fois, ce fut Nicole qui vint boire ce jus doré dont quelques gouttes venaient arroser les seins d’une baronne exténuée par ce nouvel épisode orgiaque.