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De Dame patronnesse à libertine. – Chapitre 6




La bénévole de la paroisse.

Comme je l’ai déjà indiqué dans le chapitre précédent, je multiplie les aventures coquines et lors d’une soirée privée où j’étais masquée, j’ai fait un 69 sans le savoir avec ma fille Amandine…

Quel pied nous avons pris et depuis c’est plus d’une fois que nous avons évoqué cet épisode dans la chambre de l’une ou de l’autre.

Ce soir-là, j’avais découvert que ma fille avait de qui tenir… Une fieffée coquine alors que moi, j’avais retenu ma libido jusqu’à ce qu’un groupe de jeunes chez qui je devais déposer des publications paroissiales me viole à moitié et révèle cette facette de ma sexualité que je cachais à mon mari qui me négligeait depuis quelques années ! Aurai-je sauté si facilement le pas si à la maison j’avais été satisfaite ?

Pour être plus appétissante, j’avais repris une activité physique soutenue trois fois par semaine dans un club de fitness de la ville voisine. Je faisais aussi quelques footings lorsqu’après une nuit de débauche, je voulais vider mon corps de toutes les sensations éprouvées.

Lors des séances de fitness, j’étais guidée par un coach féminin à qui j’avais confié mon envie : tonifier mes muscles, faire fondre un peu mes fesses rebondies, rétrécir la taille et redresser mon dos qui avait tendance à se voûter entraîné par le poids d’une paire de seins volumineux dont j’étais très fière.

Ce ne sont pas toutes les femmes qui, à 45 ans, peuvent se vanter d’avoir des seins de bonne taille dressés orgueilleusement avec une large aréole bistre au centre de laquelle le téton s’érige à la moindre sollicitation.

Bref, entre les soirées privées auxquelles j’étais invitée une fois par mois et les sorties solitaires dans différents clubs lorsque mon mari était absent, j’avais désormais une vie nocturne bien remplie, si on peut dire. C’est ainsi que les jumeaux Tony et Sacha m’avaient offert ma première double pénétration vaginale lors d’une sortie mémorable dans un club de la région d’Auxerre au cours de laquelle Annie s’était offerte, elle, un gang bang d’anthologie selon ceux qui y avaient assisté depuis le début…

J’avais découvert ce soir-là ce qu’était un club libertin et depuis je fréquentais régulièrement ceux de la région… et j’avais un succès certain !

Il y a quelques semaines, ma fille Amandine est venue me trouver alors que je faisais la sieste dans ma chambre :

— Maman, nous sommes seules ce soir, Papa est parti en Normandie pour un tournoi de golf et ma copine est partie en province pour le week-end prolongé ! As-tu des projets ?

— Non, pas spécialement… Je pensais aller dans ce nouveau club qui vient d’ouvrir du côté de Beaubourg mais il n’ouvre qu’à 22 heures 30 !

— Ah… un nouvel endroit pour s’encanailler ?

— Non, il a été fermé pendant six mois pour des travaux et il a rouvert il y a peu. À défaut d’essuyer les plâtres, je suis sûre que nous assécherons quelques beaux mâles !

Là-dessus, nous éclatons de rire toutes les deux !

— OK… Préparons-nous pour partir à l’heure d’ouverture. Je prendrai ma voiture.

— OK… ça marche… Je vais m’épiler la chatte qui en a besoin…

— J’ai fait la mienne ce matin mais j’ai laissé une fantaisie… Tu verras ce soir !

À cette heure de la soirée, il ne nous faut pas plus de 20 minutes pour traverser la proche banlieue et l’est de Paris. Un parking ouvert H.24 accueille la voiture et c’est bras dessus, bras dessous qu’Amandine et moi, nous arrivons devant la porte de l’immeuble qui abrite le club.

Nous avons opté pour des tenues radicalement différentes.

Amandine porte une jupe plissée arrivant à mi-cuisses et des bas malgré la saison. Elle porte des chaussures à lanière et à talons très hauts… En haut, elle porte une liquette en coton blanc aux pans noués au niveau du nombril et d’après ce que j’ai pu voir, un soutif de dentelle colorée. Elle a laissé aller ses longs cheveux qui coulent jusqu’à ses épaules.

De mon côté, j’ai opté pour une tenue « sage » : mini string de dentelle blanche avec soutif assorti, une robe bleu marine avec un décolleté rond qui laisse entrevoir le sillon séparant mes seins et des escarpins dorés.

Dès que nous franchissons la double porte ouverte par un cerbère, nous sommes tout de suite dans l’ambiance… Un couloir éclairé par des lumières rouges tombant du plafond, nos pas sont guidés par des points lumineux incrustés dans le sol. Nos pieds s’enfoncent dans un épais tapis alors qu’une musique style orientale est diffusée en sourdine.

Nous avançons ainsi jusqu’au bar qui est un peu plus éclairé et derrière le comptoir, il y a deux serveuses portant un maillot deux pièces qui s’éclairent sous une lumière spéciale.

Tout de suite nous sommes séduites par l’ambiance cosy qui règne dans les lieux où tout est fait pour le confort des hôtes : de profonds divans à moitié dissimulés dans des alcôves, une barre de pole dance sur un podium, une mini scène, des cages dorées… plusieurs salons avec des bains à remous et un peu partout des coupelles pleines de préservatifs et des nécessaires de toilette avec différents produits…

Après avoir fait un tour rapide des lieux, nous revenons au bar où immédiatement nous sommes accostées par deux hommes d’une trentaine d’années qui débutent leur drague en nous félicitant de notre allure !

Wow ! À voir leurs carrures, ce doit être deux athlètes ou des amateurs forcenés de body building… grands, métissés, le crâne rasé, mais un sourire charmeur qui nous conquiert immédiatement.

Après une coupe de champagne, nous gagnons tous les quatre la piste de danse et nous achevons de faire connaissance au son d’un slow langoureux.

Hervé, mon danseur se colle immédiatement contre moi et glisse une cuisse entre les miennes… Il me chauffe littéralement puis je sens une main qui court dans mon dos et fait glisser la fermeture de ma robe qui tombe à mes pieds. Immédiatement une soubrette court vêtue s’en empare… je sais que je la retrouverai à la fin de la soirée !

Amandine a dansé quelques instants avec Loïc puis elle s’est dirigée vers la scène où elle a commencé à onduler au son de la musique… J’imagine immédiatement ce qu’elle va faire : depuis quelques mois, elle anime des soirées d’enterrement de vie de garçon et à ces occasions, elle fait un spectacle de strip-tease… et bien d’autres choses !

Je vais pouvoir la regarder !

En premier, elle ouvre sa liquette et la fait coulisser sur ses épaules qu’elle dénude à moitié, puis elle tourne le dos à la salle et se penche en avant, faisant remonter sa courte jupe sur ses fesses tout juste barrées par le cordon d’un string. Elle nous fait face à nouveau et laisse tomber sa liquette qui est aussitôt ramassée par la soubrette qui s’est chargée de ma robe… Puis elle nous tourne à nouveau de dos et dégrafe l’attache de son soutif qu’elle fait tomber et place ses mains sur ses seins avant de nous refaire face… Il y a de plus en plus de voyeurs qui assistent au spectacle et je suis fière de ma fille !

Au final elle fait glisser son string qui cachait encore sa toison pubienne qui est taillée en pointe, comme si l’extrémité pointue montrait le capuchon du clitoris… C’est original et très coquin !

Loïc l’aide à descendre de l’estrade et l’emmène je ne sais où…

Pendant qu’Amandine s’exhibait, Hervé s’était collé contre mon dos et avait empaumé mes seins pour faire rouler les tétons entre ses doigts… Je sentais sa bite dressée contre mes fesses et je ne faisais rien pour échapper à cette emprise, bien au contraire, je me frottais comme une chatte en chaleur contre cette protubérance qui me semblait très prometteuse.

Soudain, il me dit :

— Viens… Trouvons un coin discret… j’ai envie de toi… tu me sembles une belle cougar qui ne demande qu’à être sautée comme une catin !

— Oh oui… Tu as raison… N’attendons plus… je ruisselle littéralement !

En fait de coin discret, ce coquin a choisi un des grands salons où le long d’une cloison, il y avait un profond divan avec une profusion de coussins recouvrant à moitié le tissu rouge vif du garnissage encadré de bois doré.

Nous allions faire le spectacle !

Eh bien, il en aurait pour son argent et les voyeurs aussi !

Je me suis agenouillée devant lui et en le regardant dans les yeux, j’ai dégrafé la ceinture du pantalon que j’ai fait descendre en même temps que le boxer. En me relevant, j’ai caressé sa bite qui était effectivement très très prometteuse et j’ai ôté sa chemise en agaçant de mes ongles pointus la pointe de ses seins…

Puis je me suis agenouillée à nouveau pour voir ses attributs de plus près… Waouh, quelle bite… Longue et noueuse et des couilles pendantes de la taille d’une orange.

Mes mains ne suffisaient plus… J’ai gobé le gland et j’ai agité ma langue sur le méat avant d’engloutir ce bâton de chair le plus profond possible dans ma bouche pour l’enduire de salive et le faire coulisser longuement entre mes lèvres.

Je fantasmais de plus belle en pensant qu’Hervé allait me baiser comme une reine… Ma chatte était de plus en plus humide…

Mais il en voulait plus… Hervé m’a relevée et a ôté mes derniers vêtements, il s’est couvert et s’est assis sur le divan en disant :

— Viens… Empale-toi par où tu veux et… travaille !

En fait, c’est moi qui allais me baiser, montant et descendant sur son sexe. Comme je lui tournais le dos, les voyeurs qui s’étaient rassemblés pouvaient voir comment sa bite naviguait dans ma chatte.

Et elle me faisait du bien…

Je faisais monter ma jouissance puis, ralentissant le rythme, je la laissais repartir pour la faire monter à nouveau… J’avais l’impression que le sexe d’Hervé s’allongeait encore et grossissait au fur et à mesure que les minutes passaient !

Soudain, je me suis laissé emporter par la jouissance dans un grand cri de délivrance. Hervé, qui apparemment m’avait attendue, a joui à son tour et j’ai nettement senti les jets de sperme au fond du préservatif !

J’ai à peine le temps de récupérer de mon orgasme qu’un des voyeurs s’approche et me prend vivement pas le bras et m’entraîne au sous-sol.

Quelle n’est pas ma surprise quand je vois qu’il y a trois autres hommes nus qui ressemblent au premier : des mecs plutôt minces aux muscles saillants, couverts de tatouages… qui, dès qu’ils me voient arriver, commencent à branler leur sexe avec des regards d’envie !

Celui qui m’a conduit au sous-sol me dit alors :

— Toi la meuf, tu vas en prendre plein… C’est pas possible que tu sois si bandante !

— Mais les mecs, si je suis là, c’est bien pour m’en prendre plein la chatte et le cul ! Mais ce ne sera pas la peine de m’attacher à ces instruments barbares… Je ne suis pas maso…

Eh oui, ce sous-sol est le DONJON dans lequel les adeptes du sadomasochisme peuvent trouver leur compte.

— Non… sois tranquille… On est juste là pour se faire une tournante avec une meuf ! On ne veut pas qu’un autre mec s’incruste !

— Ah… vous me rassurez !

Je dois reconnaître que lorsque deux d’entre eux m’ont raccompagnée pour prendre une douche et me rhabiller, je n’étais plus très fraîche…

Ces quatre lascars m’avaient littéralement démontée et je ne savais plus combien d’orgasmes j’avais eus… J’avais été baisée, sodomisée, j’avais sucé leurs sexes pour les faire bander à nouveau, j’avais été prise en double pénétration, j’avais fait une cravate de notaire à l’un d’entre eux qui s’était vidé entre mes seins… D’autres après m’avoir baisée ou sodomisée en levrette avaient craché leur sperme sur mon dos…

Pendant ce temps, Amandine avait vécu sa vie avec son premier amant et combien d’autres ?!

Lorsque nous nous sommes retrouvées dans le vestiaire où nos vêtements nous attendaient, je lui ai dit que je n’en pouvais plus, qu’elle conduirait pour le retour…

Lorsque vers midi j’ai émergé de mon sommeil récupérateur, j’ai vu qu’un message d’Annie était arrivé sur mon portable : « Alors lâcheuse, t’es encore partie te faire ramoner ! Appelle-moi STP. J’ai des nouvelles de Serge et Sacha. Bises ! »

Je l’ai rappelée aussitôt et là, elle m’a confié qu’elle avait laissé son numéro de téléphone à Sacha en lui disant qu’elle aimerait bien le revoir. Il l’avait contactée en proposant une soirée à quatre avec son jumeau et qu’ils espéraient que je serais disponible également. Leurs femmes seraient absentes les deux week-ends suivants…

J’ai repensé aussitôt à ces deux mecs qui m’avaient si bien fait jouir lors de notre escapade coquine du côté d’Auxerre… J’ai eu comme un coup de chaud en me rappelant cette double pénétration vaginale… qui m’avait déchirée d’une manière démentielle.

La soirée devait se dérouler chez l’un d’eux…

Bien évidemment j’étais partante ! D’autant plus qu’Annie m’a précisé que ces deux coquins venaient de faire un test HIV et que le résultat leur permettrait de baiser sans capote ! GENIAL !

C’est l’avantage des soirées privées lorsque l’on est entre personnes de confiance… Comme je prends encore la pilule (rien que pour stimuler mes hormones car la ménopause est là)… je pourrai me faire baiser en toute sérénité et sentir les giclées de sperme venir frapper le fond de ma chatte !

Le samedi suivant Annie passe me chercher et nous prenons la route pour le sud de la Seine et Marne où Sacha possède une jolie maison bourgeoise que nous découvrons en arrivant. Entourée d’un vaste jardin cerné de hauts murs, c’est un endroit idéal pour s’encanailler loin des regards indiscrets…

Sacha (ou Serge) nous accueille… Ils sont tellement semblables qu’il est difficile de les distinguer… mais personnellement ce n’est pas ce qui m’importe ! Ils ont ce qu’il faut entre les cuisses pour nous satisfaire… et ce n’est pas cette coquine d’Annie qui dira le contraire.

Serge (ou Sacha) nous offre le Champagne et nous trinquons à nos retrouvailles.

Comme nous avions un peu de route à faire en fin d’après-midi, nous sommes habillées sagement mais en dessous de mes vêtements, je porte un tanga de dentelle ivoire assorti à un soutien-gorge à demi bonnet qui présente mes seins opulents comme sur un plateau plus qu’il ne les soutient !

Sacha (ou Serge) dit alors :

— Si vous voulez profiter de la piscine, l’eau est bonne !

— Mais je n’ai pas de maillot !

— Un maillot ? Pour quoi faire ? Ici on se baigne nus… et puis on s’est déjà vu à poil !

— Ouais… effectivement… Pourquoi jouer les prudes ?

Sur cette réplique Annie, commence à se déshabiller… elle a opté pour une tenue assez semblable à la mienne sauf que le tanga est remplacé par un serre taille et un string ficelle !

Nos habits s’entassent rapidement sur une chaise et nos deux compères sont aussi nus que nous en un instant.

— Venez… on vous montre le chemin !

Waouh… après avoir traversé le patio, nous débouchons sur le jardin et la fameuse piscine ! Sacha semble avoir les moyens… à 40 ans à peine, il a une maison comme j’en rêve parfois… et pourtant je ne suis pas à plaindre avec ce que j’ai !

L’eau de la piscine est effectivement à bonne température mais ça me fait tout drôle de me sentir nue… ce n’est pas comme dans un jacuzzi où les bulles chatouillent la peau…

Tous les quatre dans l’eau, nous nous amusons à nous éclabousser, à chahuter ce qui est l’occasion de contacts plus intimes.

J’attrape sous l’eau le sexe de Sacha (ou Serge) et je l’attire vers le bord en lui disant que je vais lui faire une gâterie pour commencer à le remercier de nous offrir ce week-end qui s’annonce beau et très sexe !

— Installe-toi sur le rebord et écarte les cuisses !

Si je peux m’exprimer ainsi, je prends les choses en main !

Dès que mon compère est installé comme je le souhaite, je commence à masser son sexe et ses bourses pour le faire bander… Je le regarde avec mon air le plus salace possible en faisant aller la pointe de ma langue entre mes lèvres puis je m’approche encore et maintenant, je glisse le gland dans ma bouche et j’agace le méat de la pointe de ma langue…

J’ai fait beaucoup de progrès depuis que je suis tombée sur les lascars auxquels je destinais les publications paroissiales… J’ai acquis une technique de pipeuse que mes amants d’une heure ou d’une soirée me reconnaissent !

Quand j’estime que la bandaison est optimum, je sors de l’eau et j’entraîne mon futur amant sur un des matelas de plage où je l’allonge, le sexe dressé prêt à pourfendre.

Je lui fais face et lentement je descends mon sexe sur le sien en regardant mon amant d’un air gourmand :

— Mon coquin… si tu as des réserves… je vais t’assécher les burnes jusqu’à demain… Deux mecs pour deux nanas assoiffées de sexe… ça va être le pied !

— Nous serons vos vaillants étalons ! Et changement de monture, ça ouvre l’appétit n’est-ce pas ?

— Sûr !

Alors, je me suis redressée en appuyant mes mains sur son torse, plus précisément les doigts sur les tétons. Je me suis mise à onduler du bassin lentement, gémissant d’aise chaque fois que je sentais son sexe frapper le fond du mien, profondément enfoncé entre ses cuisses.

Après un moment de ce traitement d’une lenteur diabolique sciemment entretenue, j’accélérai la cadence…

S’ensuivit une chevauchée fantastique, de plus en plus sauvage, ou mon bassin montait et descendait, l’embrochant de plus en plus lourdement sur son pieu, mes seins dansaient au rythme de ce rodéo, ballottant en tous sens… je les attrapais dans mes mains pour les malaxer pendant que je me baisais sur ce Priape qui m’habitait. Je me baisais moi-même et quel pied !

Puis il attrapa mes seins dans ses mains puissantes et il fit rouler mes tétons dressés entre ses doigts…

J’étais incapable de ralentir ma chevauchée fantastique ! Mais soudain le plaisir que je refoulais depuis quelque temps, a pris les dessus et je me suis affalée sur le buste de mon amant dans un grand cri : Oooouuuiiiiiiiiii ! Je jouuuiiiiusss…’ pendant que je sentais les salves de son sperme s’écraser contre ma matrice…

Qu’il était généreux. Que c’était bon de se sentir emplie de la jouissance d’un beau mâle.

Annie et son compagnon s’étaient approchés de nous pour nous regarder.

— Quelle cavalcade… Je ne te savais pas si bonne écuyère ! N’est-ce pas Serge ?

Donc, je venais de m’envoyer en l’air avec Sacha !

En me retournant vers eux, je leur dis :

— Mais vous avez une manche de retard ! Qu’avez-vous fait pendant ce temps ?

— Serge m’a fait visiter la maison… Il y a plein de choses intéressantes à voir et à expérimenter… Je crois que nous sommes bien tombées car il est certain que dans cette maison, il n’y a pas que les hommes qui soient coquins !

— Raconte…

— Ce serait trop long… on a autre chose à faire de meilleur… Sacha te fera la visite plus tard !

— OK… mais je ne veux rien manquer !

Pendant cette brève conversation qui ouvrait des horizons, Annie s’était installée dans un des transats et Serge avait entrepris de lui faire un cunnilingus très appuyé… Il lui avait relevé les jambes à la verticale formant un V très ouvert qui laissait la vulve, le périnée et le sphincter accessibles à la caresse.

Je pouvais voir entre les cuisses de Serge son vit déjà bandé à mort et cette paire de couilles volumineuses pendant dans les bourses accrochées très haut sur le scrotum… La scène était torride… Avant de nous éloigner avec Sacha, j’ai dit à mon amie de bien profiter… Elle ma rien répondu…

— Viens, allons dans mon bureau… Serge ne sait pas que cela existe… C’est tout récent.

Quand nous sommes arrivés dans le bureau (somptueusement aménagé), Sacha a ouvert un panneau de boiserie et a découvert une batterie d’écrans de vidéo de taille moyenne et un autre plus grand. On pouvait y observer le parc autour de la maison et la plage de la piscine. C’était une installation de vidéo surveillance des plus classiques… Mais j’ai été vite détrompée quand Serge s’est emparé d’un joystick et a mis le son en route…

Deux des caméras se sont braquées sur Annie et Serge qui visiblement venaient de se mettre en position pour baiser…

Le son était un peu déformé mais nous avons pu entendre distinctement Serge dire à Annie :

— Amène ton cul… je vais te défoncer… L’intermède que nous venons de voir m’a ouvert l’appétit !

— Je suppose que tu me veux en levrette ? Je sais que tu aimes !

— Oui… Mets-toi sur le fauteuil… comme cela tes trous seront à la bonne hauteur.

Et je vois mon amie Annie prendre la pose, les bras en appui sur le dossier du fauteuil, sa poitrine offerte tout comme ses fesses qui sont largement fendues.

Quelle salope de s’offrir ainsi ? Mais aussitôt je pense en moi-même : « N’en suis-je pas une aussi depuis deux ans ? »

Sacha actionne le zoom et c’est en gros plan que nous pouvons voir le membre de Serge ouvrir les lèvres vaginales d’Annie puis introduire lentement mais sûrement toute la longueur de son vit dans la chatte qui l’accueille !

— Vas-y… Baise-moi… Il te faut une invitation ?

Je reconnais bien là le langage direct de mon amie…

Serge commence à la pistonner en douceur, sortant presque à chaque fois du vagin pour mieux y entrer ensuite d’une manière plus vive puis au bout d’un certain temps, c’est un pistonnage en règle… On aurait dit une machine lancée dans une course de fond. Les bourses claquaient sur le devant de la chatte d’Annie, une main malaxait la poitrine pendant que l’autre était posée au creux des reins ou venait claquer les fesses d’Annie. Il semblait impossible de ralentir la chevauchée…

En fermant le dispositif Sacha ma dit qu’il allait me monter ce qui avait surpris Annie peu de temps auparavant.

En empruntant un large escalier aux murs lambrissés de bois clair, nous sommes arrivés dans un vaste sous-sol aménagé avec un sauna, un grand jacuzzi (ou selon moi on pouvait tenir à dix personnes) des lits bas recouverts de toile colorée… Il y fait une chaleur torride…

Bref, tout ce qu’il faut pour se réfugier les mois d’hiver…

— Ben dis donc… Tu es bien équipé !

— Oui faut bien ça ! Les clubs, c’est bien beau mais on ne sait jamais sur qui on tombe ! Ici, on est mieux entre personnes qui se comprennent !

— Et ta femme ?

— Oh… elle… elle n’est pas la dernière à participer ! D’ailleurs je pense qu’avec sa belle-sur elles ont dû s’offrir une escapade coquine depuis vendredi.

Soudain mon attention est attirée par un curieux siège : il ressemble à une selle d’équitation recouverte de velours grenat avec des étriers et une série de fils électriques…

Regard interrogateur !

— C’est à double usage… La femme ou l’homme peut s’y installer et se faire prendre en levrette mais le second usage qui est plus classique, je vais te le montrer.

— J’attends !

Sacha branche un des fils sur une prise électrique et se saisit d’une télécommande. Soudain, je vois monter un sexe factice au milieu de la selle ! C’est une machine à baiser. Je savais que cela existait mais en voir une cela m’a fait tout drôle… Ma chatte s’est à nouveau humidifiée et je n’ai pas pu m’empêcher de tendre la main et caresser ce sexe factice avec envie.

Sacha a précisé :

— C’est pour les jours de manque… On peut aussi se sodomiser… Ma femme ne s’en prive pas… d’ailleurs je l’ai surprise il y a quelques jours… Elle utilisait des godes de plus en plus gros… Je pense que c’était en prévision de son week-end coquin !

— Tu ne lui suffis pas ?

— Ce n’est pas ça… je ne suis pas très adepte de la sodomie !

— Oui, je m’en suis aperçue et je l’ai senti ! Tu préfères les chattes bien baveuses !

— Oh oui… Tu as tout compris !

— Viens… Serge et Annie doivent avoir terminé le premier round… Allons manger un morceau et le Champagne nous attend !

Après un en-cas de mets fins et aphrodisiaques que nous dégustons nus tous les quatre dans le salon, Serge vient près de moi et m’enlace !

C’est le signe du changement de partenaire…

Annie et moi nous n’y voyons que du feu tant les deux frères sont semblables physiquement que nous avons de la peine pour savoir lequel nous baise…

Ils ont la même bite aussi vaillante, ils ne semblent jamais à court d’inventivité en ce qui concerne les pratiques sexuelles mais Serge, lui, ne dédaigne pas la sodomie…

J’en aurai la preuve pénétrante un peu plus tard dans la soirée.

Après une nuit quelque peu agitée dans les bras interchangeables de nos amants et un solide petit-déjeuner, Annie et moi, nous regagnons nos domiciles respectifs.

Au moment du départ, les jumeaux nous ont salués d’un tonitruant

— À bientôt !

A suivre.

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