Le soleil était déjà bien haut à mon réveil. Il ne restait plus que moi et Valentine dans la chambre dans laquelle tout le groupe avait passé la nuit. Mon meilleur ami, habitué à la maison, avait sans doute conduit ceux qui sétaient déjà réveillés dans le salon pour nous laisser dormir. Je me doutais bien quils devaient débattre de notre position à tous les deux Je me souvenais bien de ce qui sétait passé, et je le regrettais. Mais encore une fois je ne fis rien. Valentine était toujours dans mes bras, mon sexe, toujours aussi tendu, calé contre le sien.
Je nosais bouger. Elle serrait assez fort mon bras et mon sexe. Tout mouvement laurait réveillée et je nosais imaginer ce quelle ferait une fois fait. Je ne bougeais pas jusquà son réveil. Dire que je nappréciais pas cette position terriblement excitante serait mentir. Mais javais énormément de remords envers Aurélia. Je laime, cela ne fait aucun doute, mais je lai trompée. A peine ai-je le temps dy penser que Valentine bouge, se tortille et se réveille. Dos à moi, elle ne sait pas que je suis réveillé. Elle ondule à nouveau du bassin comme cette nuit et commence à gémir. Elle ne se retient pas car elle a bien remarqué que nous étions seuls.
— Valentine, arrête On ne peut pas.
Elle ne mécoute pas et continue. Elle accélère, je sens à nouveau ces décharges électriques dans tout mon corps. Cette fois-ci je ne cède pas, lattrape par lépaule, retire mon sexe dentre ses cuisses et lui dit fermement darrêter. A peine ai-je fini de parler quelle sanglote et me dis :
— Je je suis désolée Je sais que tu aimes Aurélia mais je pensais que tu pourrais maimer un peu
— Je ne te comprends pas
— Je nai jamais eu de copain, et tu es le seul avec qui jai fait desdes choses je pensais que tu pourrais maimer un petit peu pendant quAurélia nest pas là
— Valentine, tu sais que je taime, tu es ma meilleure amie, mais jaime Aurélia et je ne veux pas la tromper Tu es quelquun de formidable, tu es jolie même sexy mais
Je ne sais pas pourquoi jai dit ça, lui dire quelle était sexy. Je nai pas menti mais ce nétait pas une bonne idée
— Cest vrai ? tu me trouve sexy ?
— Mais oui ! Très ! Tu es même bandante !
Et je continue, je suis vraiment incorrigible
— Oh merci !
En disant cela, elle se jette dans mes bras. Cest un câlin purement amical cette fois, enfin au début. Mon sexe était toujours tendu, et, en se jetant dans mes bras, Valentine pouvait le sentir. Elle avait posé sa tête dans le creux de mon cou. Au début elle ne faisait rien mais après quelques instants sans bouger elle se risqua à poser un baiser dans mon cou. Je ne réagis pas, comme à mon habitude, je ne saurais dire pourquoi. Elle prit cela pour un accord et recommença en insistant sur son baiser. Elle passa ensuite sa main sur ma nuque et caressa mes cheveux. Moi de mon côté, je la serrais amicalement, lui caressant le dos sans plus. Elle se tortilla un peu et arriva à venir sasseoir sur mes cuisses, face à moi.
— On ne devrait pas arrête je ten prie
Ma résistance nétait pas très convaincante, même moi je ny croyais pas. Valentine était assise sur mon sexe nu et tendu. Elle ondulait à nouveau du bassin, profitant des sensations que je lui procurais presque contre mon gré. Je tentais encore de résister mais sans plus deffet.
— Sil te plaît, juste une fois, je voudrais savoir ce que ça fait dêtre aimée
Cette demande était désespérée. Je ne savais pas que ma meilleure amie souffrait autant. Elle profita de linstant où jétais sous le choc pour membrasser. Langoureusement, amoureusement. Je pense que cest uniquement pour lui faire plaisir que jy ai répondu du mieux que jai pu. A ce moment-là, je me suis dit « juste pour cette fois, après on en parle plus jamais. ». Bien sûr, je savais que je trompais ma copine mais le plus important pour moi était de rendre heureuse ma meilleure amie.
Je lai donc serrée dans mes bras et je lai basculée sur le lit. Elle était couchée sur le dos, moi au-dessus delle. Mon sexe collé au sien, séparé par son shorty et sa petite culotte. Nous avons continué de nous embrasser pendant plusieurs minutes, sur la bouche, dans le cou, les épaules Jai commencé à descendre, sa poitrine, cachée par son t-shirt me faisait envie. Je lui ai retiré lentement son haut et ai retiré ensuite son soutien-gorge. Quelle belle poitrine elle avait ! Ronde, ferme elle nétait pas aplatie même lorsquelle était couchée. Jai immédiatement plongé dessus, ai léché, sucé, embrassé ses seins et ses tétons. Dabord le gauche, ensuite le droit, et à nouveau le gauche Elle gémissait fort, me caressait les cheveux en plaquant ma tête contre sa poitrine. Elle parut déçue lorsque je cessai de jouer avec ses magnifiques seins mais cela ne dura que peu de temps car je descendis embrasser son petit ventre, doux et plat. Je continuais jusquà hauteur de son sexe. Je lembrassais à travers son shorty que je retirai presque immédiatement.
Jétais nu et elle ne portait plus que sa culotte. Je ne pensais plus quà une chose, faire lamour à cette sublime créature face à moi. Ma conscience sétait envolée, je nétais guidé que par mon instinct qui me dictait de continuer encore et encore. Je passai mes doigts sur le fin tissu me séparant encore de lobjet de mes désirs. Je le caressai doucement avec tendresse. Faisant pression là où je savais quelle ressentirait les meilleures sensations. Je passai ma langue avide sur sa culotte déjà trempée. Je pouvais goûter son jus. Il était bon, un peu amer mais délicieux. Je repassai plusieurs fois ma langue pour la faire languir et continuer à récolter ce doux breuvage auquel je devenais accro. Son bassin accompagnait ma langue et mes doigts. Je voyais bien quelle voulait plus. Jai donc retiré son dernier vêtement lentement. Elle avait les yeux grand ouverts, elle attendait sagement que je continue. Ses yeux resplendissaient de bonheur et denvie. Je passai mes mains sur ses cuisses ouvertes, je les caressai sensuellement. Ce qui eut pour effet de la faire frissonner. Je me penchai à nouveau vers son sexe. Elle pouvait sentir mon souffle chaud dessus. Je la laissai encore une fois languir avant de reprendre là où je métais arrêté. Je passai une première fois ma langue sur sa vulve rouge et gonflée. Elle frissonna à nouveau. Je recommençai à plusieurs reprises. Chaque coup de langue était accompagné dun frisson à chaque fois plus grand. Je décidai de passer au niveau supérieur, accélérai mes coups et suçotai son clitoris. En quelques instants elle était passée dun état dexcitation élevé à lexcitation la plus totale. Au début silencieuse et frissonnante, elle était désormais prise de spasmes réguliers et gémissait fort malgré le risque que lon nous entende. Je dus marrêter pour le lui dire. Ne voulant pas que je cesse, elle prit son oreiller et le plaqua devant son visage pour limiter le bruit. Une fois cela fait, je pus reprendre. Je prenais énormément de plaisir à voir leffet que je produisais sur elle. Ses cuisses tremblaient si fort que jétais obligé de les tenir des mes deux mains. Je voulais utiliser mes doigts pour lui procurer encore plus de sensations mais comme mes mains étaient occupées, je dus me concentrer pour pouvoir faire de mon mieux uniquement avec ma bouche.
Je sentais que son orgasme approchait à grands pas. Je voulais que ce moment soit inoubliable pour elle. Cest pour cela, quau moment propice, jai lâché lune de ses cuisses qui trembla de plus belle et ai enfoncé dun coup deux doigts dans son antre. Cette action eut pour effet de la faire crier dans son coussin alors que je sentais son sexe se resserrer sur mes doigts alors que je la pistonnais. Ma langue, toujours active sur sa vulve, lui arracha quelques gémissement et spasmes supplémentaire avant quelle ne se calme complètement, quelques minutes après.
Lorgasme dévastateur qui lavait prise lavait fatiguée. Elle allait sendormir quand nous avons pu entendre dans la cage descaliers des pas qui montaient vers nous.
Il fallait agir vite.
A suivre