Sara, jolie brune de 18 ans avait conquis Marc, jeune homme intelligent et aux allures de footballeur. Il n’avait cessé de lui faire des avances et elle avait fini par céder, sous la pression de ses amies elles-mêmes charmées par le garçon. Elle s’en était d’ailleurs réjouie par la suite puisqu’elle appréciait sa compagnie et passait de bons moments avec lui, le jour comme la nuit.

Seulement, la nuit, elle restait insatisfaite. Elle ne parvenait à se l’expliquer: il était plutôt doué à vrai dire, mais il manquait quelque chose. Ses orgasmes n’étaient pas aussi intenses que ceux qu’elle atteignait d’elle même. Comme elle ne trouvait pas d’explication à cette frustration, elle n’en dit mot et pensa qu’elle était la seule coupable.

Un soir, elle l’accompagnait chez ses parents pour un dîner. Elle avait un peu d’appréhension à cette idée car elle avait déjà remarqué le regard pénétrant du père de Marc qui, sans être explicitement pervers, la rendait mal à l’aise. Ce soir là, elle était en plus vêtue d’une robe plutôt courte que son petit ami lui avait achetée la veille et était consciente de ses charmes dans cette tenue. Ses jambes étaient découvertes, sa poitrine s’offrait aux yeux de tous dans un décolleté plongeant et on pouvait aisément surprendre sa culotte en dentelle noire si elle croisait les jambes. Bref, elle était très séduisante et Marc lui même avait du mal à se contrôler, si bien que sur la route, il commença à simplement poser sa main sur la jambe de Sara: puis explora l’entrecuisse qui s’ouvrait sous l’intrusion. Sara aimait cette situation. Rien de plus excitant qu’une petite caresse discrète dans la voiture. Elle ouvrit donc ses cuisses plus largement encore, invitant son ami à jouer un peu plus avec ses lèvres. Il lui jeta un coup d’oeil et murmura: "Coquine"

Elle gémit et ferma les yeux. Il laissait ses doigts tourner autour de son clitoris quand ils arrivèrent à un feu. Il eut le réflexe de retirer sa main mais Sara le retint. Il la regarda étonné, elle avait l’air dans tous ses états. Ça l’excitait au plus haut point. Une voiture arriva à leur droite et elle guida sa main sous sa robe. Lui reprit très vite ses esprits et entreprit de continuer ses caresses en descendant lentement vers sa chatte lisse. Elle ferma les yeux de plaisir, le conducteur de la voiture de droite les regardait d’une façon étrange, mais Marc ne s’arrêta pas pour autant. Il commençait à bander dans son jean et doigtait désormais Sara avec plus de vigueur. Le feu passa au vert. Le corps de la jeune femme suivait les mouvements de pénétration des doigts et s’approchait de la jouissance. Elle dégoulinait sur la main de Marc qui respirait bruyamment avec elle. Ses yeux se rouvrirent. Sa bouche muette en disait long quand enfin tout son corps se mit à trembler. Elle poussa un cri et Marc sentit les parois de sa petite chatte se resserrer autour de ses doigts.

Ils arrivaient chez ses parents, épuisés et excités, respirant une odeur de cyprine. Sara n’avait pas eu ce genre d’orgasme depuis longtemps et ça l’avait complètement bouleversée, il lui fallut quelques minutes pour s’en remettre, le temps que Marc se masturbe jusqu’à jouissance à son tour. Elle se sentit un peu honteuse d’avoir agi ainsi mais elle ne pouvait nier le plaisir qu’elle avait pris. D’ailleurs elle était encore un peu excitée mais il fallait qu’ils entrent sinon les parents de Marc se poseraient des questions. Ils sortirent donc de la voiture un peu hagards, et Sara craignait que sa jouissance n’ait laissé des traces sur sa robe. Elle demanda à Marc qui remarqua en effet qu’elle avait bien mouillé.

"Arrête je ne vais pas entrer comme ça!

— On n’a pas de tenue de rechange, que veux-tu faire?

La porte s’ouvrit à cet instant-là. Sara déconfite, fit la bise à George et Annie et entra derrière eux.

"Je peux emprunter vos toilettes?

George lui jeta un de ses coups d’oeil étranges et acquiesça. Sara s’empressa de courir à la salle de bain. Elle put constater les dégâts et fit de son mieux pour au moins éviter que ça n’empire. Comme la robe était noire, ce n’était pas flagrant non plus, mais elle préférait mettre son gilet autour de la taille. Elle revint ainsi gênée par les paroles de George:

"Sara pourquoi mets-tu ce gilet? Viens, je vais t’en débarrasser…

Mais Marc l’interrompit dans son mouvement.

’Papa, tu as eu des nouvelles de Jean?

Elle poussa un petit soupir de soulagement et le suivit vers la salle à manger. La table était mise et ils s’assirent à leurs places: Sara à côté de Marc et en face de George. Durant tout le repas, elle surprit nombre de regards sur son décolleté et fit mine de ne rien voir mais au fond, ça la troublait plus encore que d’habitude, sans doute à cause de son excitation toujours présente. A la fin du repas, elle dit d’ailleurs à Marc qu’elle aimerait se coucher tôt avec une intonation particulière pour lui faire comprendre qu’il devait la suivre. Marc comprit aussitôt et ravi, il la suivit, s’excusant auprès de ses parents pour leur "fatigue". George parut déçu et jeta une dernier regard à la copine de son fils, il crut apercevoir une tache sur sa robe, comme de l’eau, mais son esprit pensa plutôt à autre chose… Il ne pouvait en être sûr mais rien que l’idée l’excitait. Lui aussi ne se coucherait pas tard cette nuit-là…

Sara et Marc entrèrent dans leur chambre à l’étage, à côté de celle des parents. Sara dit alors:

"J’ai très envie de toi depuis tout à l’heure.

Marc se tut et s’approcha d’elle, la porta jusqu’au lit et l’embrassa sensuellement. Sara avait envie de plus. Elle le retourna, se mit au-dessus de lui et commença à danser sur lui. En même temps elle retira sa robe et ses sous-vêtements et se retrouva nue au-dessus de lui qui arborait un grand sourire. Sa chatte était déjà trempée, et elle la caressa contre son entrejambe. Il gémit doucement tandis qu’elle défit sa ceinture et retira son pantalon. Elle regarda sa queue dure et eut envie de la sucer. Elle ne l’avait jamais fait mais ce soir, c’était le soir des nouveautés. Alors elle se pencha doucement et regarda Marc qui n’en revenait pas. Elle passa d’abord un coup de langue sur le gland, déclenchant un gémissement peu discret de son ami, puis le branla lentement avant de le prendre en bouche. Marc gémissait à chaque mouvement de Sara, déjà prêt à exploser. Elle essaya de prendre sa queue jusqu’aux boules mais n’y parvient pas, alors elle se contenta de caresser les couilles et de branler le membre en suçant et aspirant le sexe qui bandait dur, comme jamais. Elle accéléra le rythme et les gémissements de Marc s’accélèrent aussi si bien qu’il lui demanda d’arrêter. Elle se releva et dit alors:

"Prends moi, j’en meurs d’envie.

Il ne se fit pas prier, il se mit sur elle, en position du missionnaire et commença un lent va et vient. Très vite, il dut donner de véritables coups de boutoir: elle les réclamait. Ses couilles claquaient contre son aine dans un bruit retentissant. La queue baignait dans la mouille qui s’entendait aussi dans la chambre. Il léchait ses seins et donnait de grands coups de reins à Sara qui gémissait, puis criait. Il mit sa main sur sa bouche pour la faire taire mais ce ne fut guère efficace.

"C’est bon! s’exclama-t-il lui-même.

Elle était perdue, ses yeux dans le vague, sa chatte trempée, ses cuisses complètement ouvertes, elle s’offrait à lui et en réclamait encore. Elle poussait presque des grognements à chaque mouvement et demandait:

"Plus vite! Plus fort!

Il obéissait, elle s’approchait de l’orgasme… Enfin, il vint. Il poussa un long gémissement et remplit la chatte de Sara de toute sa semence, il continua à la baiser et elle jouit à son tour, s’agrippant à lui et criant de jouissance.

Il s’effondra sur elle, épuisé et complètement vidé.

Le lendemain matin, il devait partir au travail dès 8h et elle restait seule dans son lit qui sentait encore le sexe. Alors qu’elle se rendormait, elle fut surprise par des bruits venant de la chambre d’à côté. Elle crut que les parents de Marc se levaient mais en fait non, personne n’était sorti de la chambre après dix minutes. Elle écouta et comprit qu’ils étaient en train de faire l’amour. Si d’abord la situation la gêna, très vite, elle se sentit à nouveau excitée et son bas ventre chauffait. Les bruits se firent moins discrets et elle croyait entendre les barreaux du lit claquer contre le mur à la mesure des coups de rein de George. Elle l’imagina en pleine action et sa main descendit vers sa chatte…

Elle se doigtait en suivant leur propre rythme, s’imaginait à la place d’Annie, de l’autre côté. Maintenant il parlait carrément. Il ne pouvait pas croire qu’elle ne l’entendrait pas, c’était impossible! Peut-être que comme eux hier soir, ils ne se contrôlaient plus vraiment… Ou bien ça les excitait qu’elle puisse les entendre… L’idée la fit gémir et elle redoubla d’intensité dans sa masturbation.

"Salope! criait-il plusieurs fois.

Elle prenait le mot pour elle et adorait ça.

"George… murmura-t-elle dans son lit.

Les coups devinrent presque violents, lui poussait des grognements rauques et sa femme criait sans retenue… Sara jouit une fois mais continua de se caresser en mettant à quatre pattes sur le lits, cambrées et la mouille coulant sur ses cuisses. Ils jouirent les trois en même temps, le couple dans un cri commun et Sara dans un profond soupir.

Elle se rendormit facilement et se leva vers 10h.

A la cuisine, elle retrouva Annie mais George était parti en ville et ne devait revenir qu’à midi. Sara sentit une pointe de déception qui l’étonna. Elle était allée jusqu’à ne prendre qu’un peignoir pour descendre dans l’idée de s’exciter nue sous l’oeil du père de Marc. Annie lui servit donc le café et elles prirent le petit-déjeuner ensembles.

Plus tard; en attendant midi, toutes deux s’installèrent sur le sofa et discutèrent tranquillement. Mais Annie amena un sujet de conversation un peu déroutant:

"Au fait, j’espère qu’on n’a pas fait trop de bruit ce matin.

Sara désemparée répondit très vite:

"Non, non pas du tout…

"George était vraiment très excité et ne voulait pas attendre, surtout après la nuit d’hier.

Sara de plus en plus gênée, rougit et demanda timidement:

"On vous a empêché de dormir?

"Ne t’en fais pas, c’était plutôt agréable, on en a profité pour se caresser un peu…

Cette fois, Sara ne sut quoi dire, elle garda donc le silence en détournant les yeux.

"En tout cas, ça a l’air de bien marcher avec Marc.

"Oh oui, tout va très bien.

"Bon, je suis contente pour vous. En plus tu nous plais beaucoup.

"Je vous apprécie aussi.

"Tu as eu beaucoup d’expériences avant Marc, Sara?

"Heu… Non, pas trop. C’est le deuxième…

"Je vois. Il te satisfait? Parce que c’est important…

"Oui bien sûr!

"Vraiment?

Sara acquiesça. Annie continua alors:

"Parce qu’il est plutôt gentil, et parfois on a besoin d’autre chose. Tu as l’air de quelqu’un qui aime autre chose en fait.

"Ah bon?

"Oui, on l’a remarqué tout de suite.

Sara rougissait de plus en plus.

"Ça te gêne de parler de ça?

"Un peu…

"Ou bien ça t’excite?

Sara la regarda effarée. Annie avait ce regard gênant et sûr de lui.

"Je sais que ça t’excite quand mon mari te regarde. Je le vois bien. Si tu savais comme il bande dès que tu es là.

Sara sentait son entrejambe d’humidifier. C’était incroyable, la situation était irréelle et pourtant ça l’excitait.

"Et toi, tu mouilles quand il te regarde?

Un filet de voix sortit sans que Sara ne le contrôle vraiment.

"Un peu…

"Tu aimerais qu’il te caresse?

"…

"Ou bien tu aimerais le sucer?

Sara était entre l’excitation suprême et le dégoût total. Elle ne savait plus quoi faire ou dire. Heureusement, la porte s’ouvrit à ce moment là. C’était George.

Sara portait encore son peignoir sans rien dessous, avait les cuisses mouillées et se sentait toujours gênée. Elle alla le saluer toutefois et lui remarqua au moins qu’elle était nue et bien gênée.

"Tout va bien?

Elles répondirent par l’affirmative et Sara monta se laver.

Sous la douche, elle se caressa et n’eut besoin que de deux minutes pour atteindre l’orgasme.

Le soir au dîner, elle n’osait plus regarder Annie dans les yeux. Alors elle se montrait proche de Marc, riait avec lui et l’embrassait. Elle sentait encore le regard de George et l’idée qu’il puisse bander l’excitait malgré tout. Ils se dirigèrent ensuite vers le salon et s’installèrent sur le canapé. Il faisait un peu froid et Annie partit chercher une couverture pour se réchauffer. Annie à gauche du canapé, George à ses côtés et entre lui et Marc se trouvait Sara, dont les jambes découvertes touchaient celles de Marc mais aussi de George. Ils allumèrent la télévision et mirent un film. Sara sentait que Marc s’endormait. Elle, elle regardait discrètement sur sa gauche. Annie était bizarre. Et après quelques instants de discrète observation, Sara comprit ce qu’il se passait, George caressait Annie!

Elle sentit une vague de chaleur l’envahir et regarda Marc. Il avait les yeux fermés. Déçue, elle se contenta de garder l’oeil sur le film. A un moment, George la surprit:

"Tu aimes?

Elle crut même qu’il posait la question à Annie mais non, il la regardait avec cet oeil un peu vicieux. La situation devait l’exciter lui aussi.

"Oui j’aime bien.

Il eut un sourire satisfait. Il y eut un petit mouvement et Sara devina que Annie venait de jouir. Elle crut que ce serait terminé mais non, Annie venait sans doute de passer sa main sur le jean de George car celui-ci avait eu un petit soupir. Elle n’en pouvait plus et mourais d’envie de se caresser. Elle décroisa ses jambes et colla sa jambe gauche à celle de George. Il ne parut pas avoir de réaction. Mais pour elle, rien que de se coller à lui en sachant que sa femme devait le caresser l’excitait au plus haut point. Il poussa un soupir et déclara:

"Vous voulez un café? J’ai envie d’un café…

Sara surprise répondit que oui. Il partit ainsi dans la cuisine, le jean déformé. Il revint avec deux tasses, la bosse était moins visible et Sara supposa qu’il avait du éjaculer dans la cuisine. Elle but tranquillement son café…

Le lendemain, elle redoutait de se trouver seule avec Annie mais elle ne put y échapper. Alors qu’elle s’apprêtait à partir, Annie la retint:

"Accompagne George aujourd’hui, ça devrait lui faire plaisir et toi tu auras peut être l’occasion de reboire un café de sa sauce.

Sara la regarda un peu étonnée mais ne releva rien et décida de suivre George. Après tout, elle en avait envie… Ils prirent le métro qui malheureusement était plein. Alors, elle se colla à la barre et quelqu’un se colla à elle. George était vers la porte, dans son champ de vision. La personne derrière elle était de toute évidence un homme, elle croyait sentir son membre contre sa jupe. Mais elle remarqua qu’elle le sentait de plus en plus… L’homme derrière elle bandait ! Elle ne pouvait pas bouger donc elle resta là collée à cette barre et ce sexe dur. Seulement il commença à avoir un mouvement régulier qui n’avait rien à voir avec les secousses du métro. Il était en train de se branler contre son cul… Elle ne pouvait pas faire grand chose et subissais en espérant qu’on ne remarquerait rien. Une main se posa sur son cul. Elle bougea un peu mais la main restait. Elle commençait à caresser son cul puis à venir devant… Sara se colla plus encore à la barre, qui était entre ses seins et entre ses jambes désormais. La main se retira mais le sexe non. Les mouvements étaient plus vifs, plus brutaux. Sara bougeait en même temps… quand elle surprit le regard de George. Elle tenta un sourire timide et il lui répondit avec un sourire plutôt vicieux. L’autre s’arrêta enfin. Elle soupira de soulagement…

Dehors elle ne disait rien, marchant simplement aux côtés de George dans la foule. Lui prit la parole:

"Il y avait du monde dans le métro…

"Oui…

"Moi j’aime bien quand c’est comme ça, on se retrouve toujours à côté d’une fille qu’on peut caresser à sa guise…

Sara déglutit.

"Et toi visiblement, tu aimes aussi.

"Quoi? Non?

"Vraiment? Suis-moi.

Elle pensait que c’en était terminé mais en fait, il la conduisit dans une ruelle moins fréquentée et s’arrêta derrière une benne à ordures. Inquiète, Sara voulait continuer mais il l’attrapa par le bras et l’attira à lui. Alors, sans qu’elle s’y attende, il passa sa main sous sa jupe et rentra deux doigts dans sa chatte. Il les retira et les mit sous son nez, ils étaient trempés.

"Tu vois que tu aimes aussi.

Il se remit en marche. Elle était tétanisée. Il avait osé lui mettre un doigt en pleine rue à côté d’une benne à ordures! Elle craignait un peu de le suivre. Mais contre toute attente, elle courut jusqu’à lui, l’air de rien…

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