Clara et moi demeurons seules dans la loge et je commence à changer de tenue pour me vêtir seulement d’une guêpière noire, de bas noirs et d’escarpins rouges. Je m’adonne alors à une petite séance de maquillage du visage, des seins et de la vulve

— C’est une vrai loge d’artiste ma parole, avec un miroir et des spots ! Et ces écrans ?

— Tu peux les allumer, tu verras ce qui s’y passe.

Clara allume les différents écrans. Je reconnais différentes collègues en train d’exercer dans différents théâtres du studio. Trois écrans sont semble-t-ils consacrés au théâtre où je vais moi-même me produire.

— Je pense finalement, que je vais regarder un peu. Personne ne viendras me déranger ?

— Non, tu peux du reste fermer le verrou après mon départ. Je pense que cela va m’exciter de savoir que tu me regardes en direct. Tu trouveras dans cette armoire toute une série de petits jouets : godemichés, vibromasseurs…

— A ce propos, je t’ai apporté un cadeau mais j’ai oublié de te le donner ! Tu verras. Je me suis creusé la tête pour trouver quelque chose d’insolite. Sabrina te donnera le paquet quand tu seras rentrée.

— Un godemiché ? Tu es adorable. Mais je dois maintenant y aller ! embrasse-moi et attends moi si tu peux.

Nos langues se mêlent fougueusement. Je prends un gros godemiché noir en main puis je quitte la loge pour emprunter le couloir qui mène au théâtre qui m’a été assigné. Un premier cameraman me précède. Il s’allonge par terre et je me place de façon à ce que la caméra ait une vue ascendante sur ma vulve.

Je m’accroupis. Mes lèvres s’ouvrent naturellement et j’espère que mon flot de cyprine n’est pas tari et est encore bien visible. Je prends le godemiché dans la bouche et de mes deux mains, j’écarte encore mes petites lèvres. Je les pince et les étire. Puis je reprends le godemiché que j’enfonce doucement au plus profond de moi.

J’espère que Clara ne perd rien du spectacle.

Je me relève pour poursuivre ma progression dans le couloir, le godemiché toujours enfoncé en moi. Il tend toutefois à ressortir un petit peu à chaque pas.

Mes prétendants sont alignés le long du couloir et commencent à me suivre. Je sens déjà des mains parcourir mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes seins.

Soudain, le godemiché abandonne mon vagin pour tomber par terre. C’est le signal. Des bras puissants me soulèvent et je suis alors portée par une vague masculine jusqu’à l’autel de mon sacrifice. Il s’agit, en l’occurrence, d’un fauteuil gynécologique où mes cuisses sont écartelées à la limite de la douleur, face à une caméra.

Pendant quelques minutes, je caresse mon sexe, étirant une nouvelle fois mes petites lèvres. Les hommes autour de moi commencent à caresser l’ensemble de mon corps. Certains portent un masque, d’autres pas. Je reconnais mes habitués, pas seulement au visage mais également à leur sexe érigé. Certains portent un anneau autour de leur pénis, d’autres un piercing, d’autres encore un ball-stretcher. Ils ne constituent toutefois pas la majorité de l’assemblée.

Il est désormais temps de passer aux choses sérieuses. Déjà un premier membre se présente à l’orée de ma vulve. Mes mains captent rapidement deux pénis et ma bouche en engouffre un troisième. Je tente de synchroniser mes mains et ma bouche avec le piston inséré dans mon vagin. Qui me délivrera sa semence en premier ?

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