Écartant ses cuisses afin qu’elle s’offre à moi, je me couche sur elle alors que la belle inconnue de la piscine regarde, avec convoitise mais toujours sans prononcer un seul mot, mon gros sexe qui est sur le point de l’empaler.

J’entre en elle lentement, je la prends sur le carreau froid.

Son gémissement fait écho dans toute la piscine. Immédiatement je me mets à la pilonner vite et fort. Nous ne sommes pas là pour faire dans le sentiment. Elle n’est qu’un instrument de mon plaisir et je devine que je ne suis moi aussi qu’un instrument du sien. Il y a une symétrie dans l’exploitation de nos corps, et, même sans un mot, les contours du bref contrat qui nous lie sont clairs. Je me sers de son corps comme d’un objet sexuel, sans tendresse ni égards. Je la baise comme on baise une pute ou une femme qu’on ne s’attend pas à revoir.

Si elle y trouve à redire, elle n’en donne aucun signe, au contraire: le regard qu’elle me jette est fendu, embrumé, et ses paupières se plissent chaque fois que je m’enfonce en elle. Elle fait le choix de m’être entièrement soumise, totalement femelle comme je suis totalement mâle, nous sommes chacun dans notre rôle, libres de nous livrer à nos instincts en ignorant toute la politesse et les conventions auxquels doivent se plier les gens qui vivent ensemble. La salle s’emplit de nos râles.

Je me retire de son sexe, elle fait une moue de désapprobation, mais je la guide pour qu’elle se mette à quatre pattes et je pénètre à nouveau son vagin offert. C’est si bon de la baiser comme ça, en levrette comme une petite chienne.

Mes mains viennent s’agripper à ses hanches rondes et à sa taille fine et cambrée, et je m’en sers pour pousser en elle toujours plus profondément ma queue énorme. Je ralentis la cadence mais redouble de puissance, la baisant de toute ma force en lui assénant des coups de butoir phénoménaux, sous l’effet desquels elle se cabre et jappe comme une chaudasse.

Je fais claquer ma main sur ses fesses pour lui faire sentir que là, maintenant, en cet instant, elle est ma propriété. Elle tourne la tête et l’expression ensorcelée de son visage vaut tous les encouragements. Nous sommes tous deux pantelants, mouillés de sueur, et je sais que si je continue à la baiser à ce rythme, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps

Alors je me retire, je regarde l’inconnue qui halète. Moi aussi j’ai le souffle lourd.

Elle et moi, nous savons ce qui suit. D’ailleurs elle a déjà commencé à agir en conséquence: en me regardant dans les yeux, elle glisse un doigt dans sa chatte dégoulinante, puis dans son anus, qu’elle commence à assouplir en des mouvements circulaires frénétiques.

Quand elle insère un second doigt dans son cul, je deviens fou et je me rue contre elle: il faut que je l’encule tout de suite.

Je fais tournoyer mon gland autour de l’orifice délicat afin de l’élargir encore un peu, je m’enfonce doucement pour faire entrer la tête violacée de mon sexe, ce qui arrache déjà des couinements à ma partenaire, puis j’entame la lente pénétration de cette béance étroite par ma grosse queue bien dure.

Sodomisée, la fille crie, se raidit, se cambre, crie encore, puis, vaincue, elle s’accommode à la présence de ma virilité entre ses fesses. C’est si beau, une femme qui se laisse sodomiser

Elle me tend sa croupe offerte afin que je puisse faire ce que je veux de son rectum, et à plat ventre contre le carrelage, elle tient sa tête dans ses mains.

Je ne me fais pas prier pour en profiter: en terre conquise, je lui bourre le cul, comme un gros bâtard, sans me soucier de savoir si je lui fais mal. Je pistonne son fion frénétiquement, le plaisir simple d’un mâle qui encule une femelle.

Elle pousse des cris de toute la force de ses poumons, avec d’abord une pointe de souffrance, à laquelle succède un plaisir extrême, entrecoupés de mes rugissements qui viennent résonner dans toute la piscine.

Désormais, je ne cherche plus à me retenir: je suis lancé et, alors que des sensations d’une force inouïe me grisent et me transportent, je laisse chaque coup de queue dans ce beau petit cul me rapprocher toujours un peu plus près de l’orgasme.

Et puis soudain, c’est comme un craquement dans ma tête: je sens que j’ai atteint le point de non-retour. Je me désengage de son anus dont je contemple la rondelle élargie, puis je mets mon amante inconnue en position de recevoir le fruit de ma jouissance: à genoux devant moi, son beau visage dressé vers ma bite.

Tout mon corps est traversé par un spasme, une explosion de plaisir, et je lâche tout: un jet épais de sperme jaillit de moi et va atterrir sur la pommette de la fille, un deuxième éclabousse sa bouche, un troisième ses cheveux. Ses yeux sont comme des billes de verre noir, et j’y lis les traces d’un plaisir sans bornes, une pointe de honte de s’être ainsi offerte à un parfait inconnu, mais aussi une inexplicable fierté.

Nous nous sourions, comme si nous étions de vieux complices: ni elle ni moi n’avons envie de parler, au risque de tout gâcher à ce qui vient de se passer entre nous. Ce que j’avais à faire ici est terminé, aussi je me lève, les jambes un peu tremblantes, et je me rhabille.

Elle aussi remet son maillot et plonge dans l’eau pour se débarbouiller le visage maculé de mon sperme.

En sortant, je croise d’autres baigneurs: à quelques minutes près, nous nous serions fait surprendre.

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