Tante Lise avait toujours été une femme libre, libre dans son corps et libre dans sa tête.
Elle était particulière gâtée par la nature, lui ayant donnée une belle chevelure blonde, et un corps longiligne, sublime aux courbes sensuelles.
Il fallait préciser qu’étant femme au foyer, elle se devait de préserver ses atouts pour plaire à son mari, après plus de 20 ans de mariage.
Aussi elle pratiquait de la gym et surtout de la natation, dans la piscine familiale, sans relâche.
Elle était ainsi belle, saine et espiègle, de quoi retenir toute l’attention de son mari.
Et pourtant… Son mari était souvent absent à cause de son travail et était même de moins en moins sensible aux charmes de son épouse.
Tante Lise apprit un jour que son mari avait une maîtresse dans la ville voisine..
Au bout du compte, l’homme qui finit par profiter de ses charmes fut son fils, Paul, après un incident survenu un jour.
Paul avait hérité de belles choses de sa maman.
Il était grand et élancé, sportif, avec une jolie chevelure d’or également.
À 18 ans, il était au top de sa jeunesse et avait du succès auprès des filles de son lycée.
Mais ayant une mère et une soeur d’une grande beauté, Paul était exigeant dans le choix de ses partenaires.
Au bout du compte, il ne sortait pas avec beaucoup de ces filles pourtant folles de lui…
Tante Lise, d’habitude si souriante, l’était devenue beaucoup moins depuis qu’elle sut pour son mari.
Elle ne nageait plus beaucoup et mais néanmoins, continuait ses séances de bronzage intégral quand ses enfants étaient en cours.
Ce fameux après-midi où l’incident se produisit, Paul termina ses cours beaucoup plus tôt que prévu.
Il voulut faire une surprise à sa mère, qu’il trouvait moins radieuse qu’avant, en lui achetant une plante rare pour son grand jardin.
Il arriva devant sa maison, et voulut que la surprise soit totale.
Aussi il eut l’idée de planter la plante rare directement dans le jardin familial.
Pour ce faire, il décida de passer par le mur du jardin, à l’arrière de la maison.
Il escalada sans mal le mur de la taille d’un homme et sans bruit, atterrit sur le gazon du fond du jardin, près de sa petite tente, qu’il avait installée depuis son enfance.
Il y entra et y déposa la plante et son sac à dos.
Soudain via l’ouverture latérale de la tente, il vit une silhouette familière.
C’était sa mère, qui venait de sortir de la maison et se dirigeait vers la piscine.
Paul s’étonna d’emblée de la nudité complète de sa mère.
Celle-ci ne se doutait naturellement pas de la présence de son fils et s’installa au bord de la piscine.
Elle s’allongea sur une serviette qu’elle déposa au préalable.
Paul ne sut quoi faire car même s’il avait l’habitude de nager et de bronzer aux côtés de sa mère et de sa soeur, souvent aux seins nus, c’était bien la première fois qu’il la voyait entièrement nue.
Son coeur commença à palpiter fort.
Il s’efforça de ne pas la regarder mais la tentation était forte, surtout quand soudain tante Lise se mît à se caresser le corps.
Paul fut comme hypnotisé de voir sa propre mère se toucher les seins, le ventre.
Puis l’insoutenable arriva; tante Lise écarta légèrement ses jambes, les replia en équerre, et se mît à se masturber.
Paul n’en pouvait plus et se mît à bander très dur.
Machinalement il se caressa aussi, au travers de son pantalon.
Rapidement le plaisir le gagna et il finit par jouir très fort, remplissant son caleçon de sa semence chaude.
Il crut voir sa mère atteindre aussi son orgasme et entendit même son halètement.
Juste après l’extase, le remords prit le dessus et Paul regretta déjà son geste impardonnable.
Il ressortit de sa tente, refit le mur et sans bruit s’éloigna de la maison.
Il traîna dehors jusqu’à très tard le soir.
Lorsqu’il rentra, tante Lise lui réchauffa les plats mais ne lui fit aucune reproche.
Elle semblait n’être au courant de rien, aussi Paul s’obligea de se comporter normalement.
Mais il épia discrètement sa mère et la trouva plus jolie que jamais…
Les week-ends suivants, Paul eut de nouvelles occasions de voir tante Lise, seins nus, lors de ses séances de natation.
Tante Lise ne se sentait pas gênée car sa fille la rejoignait aussi, topless.
Paul, au lieu de nager et de bronzer près d’elle et de sa sur, s’éclipsait au fond du jardin, préférant jouer au voyeur.
La tente était depuis réaménagée en poste d’observation et une boîte de mouchoir traînait dans un coin.
Paul était comme devenu obsédé par le corps de sa mère, et s’adonnait à la masturbation en la regardant, dès qu’il avait l’occasion.
Une belle occasion se présenta lors d’un autre week-end où son père partit voir une cousine dans le voisinage, accompagné de sa fille.
Paul refusa de les accompagner, prétextant une révision.
Et tante Lise préféra rester à la maison pour lui préparer à manger.
En réalité, elle ne supportait plus de rester auprès de son mari qui la trompait.
Vers le début de l’après-midi, tante Lise vint devant la porte de la chambre et son fils et proposa à Paul de se baigner.
— Tu réviseras après mon chéri, quand tu seras un peu plus détendu… Allez, viens, il fait si beau et pas trop chaud.
— Ok mais plus tard maman !
— Comme tu voudras mon chéri… J’y vais d’abord.
— D’accord maman.
Et pourtant Paul décida de joindre sa mère juste derrière.
Il enfila juste un maillot de bain et prit une serviette.
Il sortit discrètement de la maison par la porte d’entrée.
Il fit le tour de la propriété et vint devant le mur du jardin.
Il l’escalada rapidement, atterrit dans le jardin et entra directement dans sa tente.
En un rien de temps, Paul se débarrassa de son caleçon de bain, et commença à se toucher en épiant sa mère, seins nus, bronzant à une dizaine de mètre de son fils.
L’excitation le gagnait très vite, il n’allait pas pouvoir se retenir de jouir.
Mais soudain sa mère se redressa, et Paul l’entendit l’interpeller.
— Paul, mon chéri ?
Et naturellement, il ne pouvait pas répondre car il ne devrait pas être là où il se trouvait.
Tante Lise aimait en effet, bien se faire servir des boissons fraîches lorsque son mari ou ses enfants étaient présents.
Et là, elle eut une envie de soda.
L’absence de réponse après plusieurs appels fit lever Tante Lise.
Elle se disait que Paul était sûrement trop concentré et qu’il fallait mieux ne pas insister.
Mais au moment de rentrer dans la maison, elle entendit un bruit bizarre en provenance du jardin.
Elle changea de direction et se dirigea vers le fond du jardin.
Se dressait dans un coin, la tente "privée" de son rejeton.
Un panneau marqué par un symbole d’entrée interdite fit sourire Tante Lise.
Le panneau était fait main, par Paul, lorsqu’il avait 8 ou 9 ans.
Tante Lise n’aimait pas trop les animaux errants, aussi elle voulut s’assurer qu’il n’y avait rien dans la tente.
Mais quelle fut sa grande surprise lorsqu’elle vit dans la tente, son fils nu, le sexe à la main, encore érigé.
Elle comprit sur le champ sur ce que faisait son fils et eut un instant d’absence car elle était assez choquée.
Elle restait là à regarder son fils, pourtant si beau, si grand mais dans une posture si ridicule et condamnable.
Elle ne sut pas quoi dire…
Paul, rouge de honte, était surtout énervé d’être surpris ainsi.
Il avait tenté de sortir de la tente avant que sa mère n’arrivât mais dans la précipitation il avait trébuché sur son sac de couchage.
Le temps de se relever, il comprit que sa mère n’était plus loin de sa cachette.
Il avait beau prié, sa mère le découvrit.
Il referma sèchement sa tente et ordonna à sa mère de partir :
— Laisse-moi, c’est pas ce que tu penses. Et d’ailleurs, c’est interdit d’entrer ici, ne sais-tu donc pas lire ?
Tante Lise, resta immobile devant la réaction assez violente de son fils.
Un pincement de cur lui fit couler quelques larmes.
Son fils d’habitude si docile venait de l’apostropher comme jamais auparavant.