— Tu veux vraiment savoir ce qui s’est passé mon chéri ??

— Oui, Isabelle. Si je te demande, c’est que j’ai besoin de savoir.

— Bien, tu risques de te faire du mal pour rien, mais puisque tu veux savoir, pourquoi pas ?

— Eh bien je suis arrivée 9 heures, on m’a montré mon bureau, présentée à mes collègues, et j’ai commencé à travailler, comme toute nouvelle employée… Rien d’original à cela !

— Oui, mais concernant l’autre…

— Oh ! ne parle pas comme ça de Serge ! C’est mon patron, il est très gentil ! Bon, il baise ta femme, mais c’est bien pour ça que je suis là bas, non ??

— Puisque tu insistes et que tu veux tout savoir, je vais te raconter !

— Vers 10 h 30, il m’a faite appeler par sa secrétaire, je suis montée le voir, j’ai attendu un petit peu parce qu’il avait un rendez-vous et il m’a faite entrer.

— Ah ! Isabelle ! Je vous attendais ! Asseyez-vous !

— Bonjour monsieur

— Bonjour petite Isabelle…. Vous êtes bien installée ?

— Oui, mon bureau est superbe, et mes collègues ont l’air très très sympas !

— Très bien. Heureux que tout cela vous plaise… Moi, c’est vous qui me plaisez, Isabelle !

Isabelle se mit à rougir un peu.

— J’ai longuement parlé de vous avec mon père… Lui aussi vous trouve très craquante… D’ailleurs, je crois qu’il a déjà plusieurs fois fait l’amour avec vous… Non ??

— Oui, c’est vrai…

— Il m’a même confié que vous lui aviez offert votre voie la plus… intime… ?

Isabelle ne répondit pas et baissa la tête…

— N’ayez pas honte Isabelle ! C’est tout à votre honneur ! Cela prouve seulement que vous êtes une bonne salope ! et les hommes aiment les salopes !!

— Il n’y a pas de honte à se faire enculer, bien au contraire… Nous aurons l’occasion de vérifier tout cela, rassurez-vous !

— Dites-moi, il paraît que votre mari n’accepte pas facilement la situation ?? Répondez-moi ??

— Oui… Ca le travaille, disons, lorsque j’ai eu les… rapports avec votre père, il était gêné, disons un peu jaloux.

— Eh bien, il va falloir qu’il s’y fasse ! Et rapidement ! Je ne veux pas d’un mari jaloux qui va venir nous empoisonner la vie ! Mon père verra ça avec lui ! Quant à vous, vous avez intérêt à lui expliquer et qu’il comprenne vite, si vous ne voulez pas que notre accord soit rompu ! Vous avez compris ??

— Oui, oui monsieur… je lui en ai déjà parlé d’ailleurs… ne vous inquiétez pas, cela ne remet rien en cause…

— J’espère bien ! En tout cas, cette conversation m’a agacé ! Je ne veux plus entendre parler de lui !

— Parlons de choses plus agréables maintenant, et passons aux choses sérieuses…

— Qu’est ce que tu attends pour te déshabiller ? Allez, retire moi tout ça !

Isabelle retira sa veste, son chemisier, sa jupe…

— Très jolis sous-vêtements… Tu mettras désormais chaque jour porte-jarretelles et bas… Je te veux très raffinée et très aguichante… Compris ??

Isabelle acquiesça de la tête…

— Bien ! Retire le reste, dépêche-toi donc, ne me fais pas attendre !

Le soutien-gorge et le slip vinrent rejoindre le reste des vêtements entassés sur le fauteuil.

Isabelle était entièrement nue, debout, devant son directeur. Celui-ci vînt la rejoindre, passa derrière elle, lui embrassa délicatement le cou… Tout en l’embrassant, il lui susurra à l’oreille :

— Tu sais que tu as un beau cul, toi ?

Il en profita pour peloter les seins à pleines mains, à titiller les bouts…

— Là, ce n’est pas mal non plus dis donc…

Puis il descendit vers le sexe, caressa doucement et longuement la toison…

— Et j’adore ta petite fourrure…. Ta chatte blonde…

— Mais dis donc, petite salope, on dirait que tu mouilles déjà…?

Il se frotta le ventre aux fesses d’Isabelle…

— Regarde mon chou, dans quel état tu m’as mis… tu sens ma grosse bite contre tes fesses ?

— Oui… je la sens… elle est dure !

— Bien dure pour bien ramoner ta petite chatte !!

Serge se recula, se déshabilla en un temps record, et se retrouva nu, avec une solide érection au bas du ventre…

Il s’assit dans le second fauteuil, Isabelle s’agenouilla…

— Humm !!! oui… suce-moi bien comme ça… oui…

— Oh salope… tu suces bien… oui… pompe-moi bien…. pompe bien…

Isabelle s’activait sur la queue de son patron, l’engloutissait…

— Sors bien la langue… comme ça, oui… ta langue sur le gland ! Ouii….

— Assez ! tu vas me faire jouir !

Il se leva.

— Allez, grimpe sur le fauteuil, je vais te prendre !

Isabelle se mit à genoux sur le fauteuil, fesses bien offertes, et cramponna le dossier.

— Ahhh ! humm !

Le mâle l’avait pénétrée, et le va et vient commençait… lent au début, mais accélérant au fil des coups de boutoir…

— AH ! ohhhh !

— Oui ! tu la prends bien… Elle est bonne, ta chatte ! Tu sens comme ma grosse queue glisse bien ??

— Ahhh… oui…je la sens.. baisez moi…baisez-moi bien avec votre grosse bite !! Mettez-moi tout !

— Ca… ma chérie, je ne vais pas me priver ! je vais te défoncer la chatte !

— Humm…. oui prenez moi… baisez moi… baisez-moi bien à fond… ouiiii !

Serge accéléra les mouvements, défonçant Isabelle. La jouissance ne tarda pas à venir pour elle…

— Ahhhh je viens ! Je viens…. Oh salaud…. Je JOUIS….. ahhhhhh !! oui ….!

Il continuait à la limer de plus en plus fort, Isabelle n’en pouvait plus, hurlait maintenant son plaisir….

— JE VIENS ! JE PRENDS MON PIED ! SALAUD, JE JOUIS !!

Il se retira…

— Allez, maintenant, tu t’allonges sur mon bureau !

Isabelle obéit, et fût immédiatement pénétrée…

— Oh non ! je n’en peux plus… arrêtez… je vous en prie… non….

Serge ne s’occupait pas des supplications de la jeune fille et, de nouveau, la posséda vigoureusement…

Isabelle subissait le coït, les cuisses largement écartées, offerte, se caressant quelquefois les seins… A un moment, elle se caressa le clitoris et repartit pour un nouvel orgasme, ce qui déclencha celui de son amant…. Il se retira soudain, et…

— Ca y est ! tu me fais jouir….

— Tiens salope, tiens, prends mon foutre… prend ça !

Le premier jet de sperme atteignit Isabelle sur les seins tellement il était puissant, les autres atterrirent sur le ventre et sur la toison… le dernier sur la cuisse gauche…

Isabelle crût que Serge n’arrêterait pas d’éjaculer tellement les jets de sperme se succédaient, nombreux, et surtout abondant… Elle était couverte de sperme !!

Il lui remit sa queue dans la chatte, leva ses jambes sur ses épaules, et la lima quelques instants…

— Ahh… tu es bonne….

Il se retira… Isabelle était épuisée et restait nue, allongée, cuisses toujours écartées sur le bureau…

— Vraiment, toi, tu es un bon coup au lit… je n’ai jamais eu une baiseuse pareille !!

Il alla dans une pièce contiguë, se lava, et apporta une serviette à Isabelle, qui s’essuya tant bien que mal…

— Il y a un cabinet de toilette à côté, tu peux aller te laver !

Isabelle ne se le fit pas dire deux fois, et alla faire une toilette bien méritée…

Quand elle revint, Serge était debout près de son réfrigérateur, et avait sortit deux whiskies.

— Tiens, bois, cela te redonnera des forces !

— Dis-moi, quand tu as pris ton pied, tout à l’heure, tu as gueulé, tu as dû ameuter toute la maison… Maintenant, tu vas avoir la réputation d’être la pute du patron !!

Isabelle baissa la tête…

— Cela n’a pas d’importance, rassure-toi ! C’est moi le patron ! L’importance, c’est que tu sois toujours aussi docile, et que tu baises toujours aussi bien…

— Mais…. Il est déjà 11 h 45 ! C’est bientôt l’heure de la pause déjeuner ! Dis donc, tu n’as pas beaucoup travaillé, ce matin ! Il va falloir te rattraper cet après midi. Je ne t’invite pas à déjeuner, car j’ai un rendez-vous d’affaires. C’est mieux pour toi, car sinon, tu y serais encore passée l’après-midi !

— Allez ! Rhabille toi et vas déjeuner ! Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai !

Isabelle se rhabilla, se redonna une touche de maquillage, et sortit.

La secrétaire la regarda d’un oil moqueur et entendu.

— Bon appétit Isabelle !

Voilà ce que tu voulais savoir… L’après midi, j’ai travaillé comme n’importe quelle employée, et je suis sortie à l’heure prévue. Serge ne m’a pas appelée.

— Tu as vraiment joui avec lui ?

— Oui… il a une belle queue, et tu sais, une fois qu’un homme te prend, au bout d’un d’un moment, il faut laisser faire la nature… tout vient tout seul…

— Pour la lingerie, ce qu’il t’a demandé, tu vas obéir ?

— Oui ! Bien obligée… D’ailleurs, il faut que nous allions acheter des bas, je n’en ai plus beaucoup, et aussi deux ou trois porte-jarretelles, pour varier.

Ce soir là, nous sommes sortis acheter la lingerie prévue. J’accompagnai ma femme acheter porte-jarretelles, bas, slip, soutien gorge qui serviraient à exciter son amant.

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