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Incertitudes hivernales – Chapitre 13




Je me sens ainsi très léger ce vendredi matin au travail. A midi, j’appelle Maryline :

— C’est toujours bon pour demain ?

— C’est étrange, mais je n’ai pas trouvé de mec depuis notre coup de fil. Alors oui, c’est toujours bon.

Je ris.

— Tu viens à quelle heure ?

— Bah, je ne sais pas, 18h-19h, à toi de me dire.

— Tu arrives à être chez moi à 9h ?

— 21h donc ?

— Non. 9h du matin.

Un blanc.

— Tu veux que je vienne à 9h du matin ?

— Oui, on descend en ville prendre le petit-déjeuner, on se balade, on fait les touristes.

— T’es fou, mais à 9h, je serai chez toi.

Le lendemain matin, Maryline arrive pile à l’heure. Elle a remis sa jupe en jeans et porte un pullover avec un col en V décolleté. Nous nous faisons un smack en guise de bise et nous nous enlaçons.

— Tu es très belle, Maryline. J’aime cette tenue.

— Merci, t’es chou…

— Tu veux boire quelque chose ou on y va directement ?

— On y va.

Maryline passe aux toilettes puis nous partons. J’emmène Maryline dans un agréable café où nous déjeunons tranquillement, mais sans nous attarder. De là, nous partons à pied, parcourons la Vieille-Ville où Maryline n’est jamais venue. Elle me tient par le bras et semble heureuse. Je l’emmène sur le toit où Cathy et moi étions venus quelques semaines plus tôt. Le ciel est clair et la vue est magnifique. Alors qu’elle regarde au loin, je viens derrière elle et l’enlace.

— Merci d’avoir pu venir si tôt. Je suis ravi de passer cette journée avec toi.

Elle prend mes bras et les serre contre elle. Quand nous redescendons, je la prends par la main.

Nous arrivons ensuite dans une rue marchande et flânons devant les vitrines. Maryline accroche sur une jolie robe trapèze noire. Je lui dis :

— Tu veux l’essayer ?

— Je peux ?

— Bien entendu.

Nous entrons dans la boutique. La vendeuse est agréable et amène la robe dans la taille de Maryline. Elle lui propose deux autres robes et lui prodiguent plusieurs conseils quant aux types de robes à porter pour sa morphologie. La robe de la vitrine lui va à merveilles et la vendeuse la couvre de compliment. Suivant les conseils de la vendeuse, je trouve une robe chemise bleue claire, comme les yeux de Maryline. Je lui amène. La vendeuse dit :

— Bravo, je n’avais pas penser à celle-ci.

Simple, mais Maryline est craquante dedans et il ne fait aucun doute qu’elle lui plaît beaucoup. Elle essaye encore les deux robes que la vendeuse lui a amené. La première ne lui plaît pas. La seconde est une robe portefeuille verte foncée. Les pans de la robe croisent entre la poitrine sous laquelle la robe se ferme par un nud. Le bas est fluide. Ses seins semblent moulés dans le tissu et se dressent fièrement. J’adore et Maryline le remarque. Sentant que nous devons choisir, la vendeuse nous laisse dans la cabine.

— Alors ?

— J’adore la noir. Celle que tu as proposé aussi. Et celle-ci… Je ne me suis jamais sentie aussi bien dans une robe. Le tissu est tellement agréable ! C’est vraiment nul qu’elles soient si chères. Mais je reviendrai aux soldes, c’est certain.

Maryline quitte la robe verte. Pendant qu’elle se rhabille, j’achète les trois robes.

Quand Maryline s’en rend compte, elle me prend dans ses bras et fond en larmes. La vendeuse accourt, la prend dans ses bras également. Elle va lui chercher un verre d’eau et des mouchoirs, car Maryline peine à se ravoir. Nous nous asseyons quelques instants. Maryline se reprend petit à petit. Smack. Nous remercions et saluons la vendeuse puis nous sortons.

— Je ne peux pas accepter, Florent. Je sais combien coûte ces robes et… et… Comment est-ce que je vais expliquer ça à ma mère ?

— Tu lui diras la vérité. Que tu as reçu ces robes en cadeau à la Saint-Valentin.

Elle m’enlace. Nous restons ainsi de longues secondes, en pleine rue, avec un nouveau smack. Nous continuons notre balade.

Il est 12h30 et nous décidons d’aller manger. Alors que nous nous dirigeons vers un restaurant panoramique, nous tombons sur une de mes collègues de travail, une grande et très jolie blonde prénommée Laura. Après l’avoir saluée, je présente Maryline comme ma copine et la serre contre moi. Laura et elle parlent des robes que je lui ai offert avant que nous ne prenions congé de ma collègue. Maryline me dit ensuite :

— Tu n’étais pas obligé.

Je la regarde dans les yeux.

— Je suis très heureux d’être avec toi, fier de me promener main dans la main avec toi et de te présenter comme ma copine, ce qui n’est pas exactement faux aujourd’hui.

Elle me sourit.

— Je suis touchée que tu m’aies présentée ainsi. Et moi aussi, je suis fière d’être avec toi.

Un smack. Nous entrons dans l’immeuble et montons au dernier étage.

Nous n’avons pas de table libre au bord de la baie vitrée, mais nous passons tout de même un agréable moment. En réalité, les deux heures que nous passons à table passent en un éclair. Au café, Maryline demande :

— Quel est le programme de l’après-midi ?

— Il n’y en a pas. On fait ce qu’on veut. Mais je te propose qu’on pousse jusqu’au bout de la rue marchande puis nous remonterons au parking où se trouve la voiture par un quartier truffé de ruelles. C’est assez pittoresque.

Maryline sourit, ravie. Je paie et nous revenons dans la rue.

Si je voulais aller au bout de la rue, c’était pour la boutique devant laquelle nous nous trouvons. J’achète toute la lingerie chez "Secrets intimes" et la vendeuse m’offre des caleçons. Je dis à Maryline :

— Qu’est-ce qu’une robe seule, sans la lingerie qui l’accompagne ?

— Non, Florent, n’y penses même pas.

— Tu ne peux pas refuser. La vendeuse, qui s’appelle Madeleine, nous a vu et elle me connaît.

— Je vais encore pleurer…

Je ris et nous poussons la porte. Je présente Maryline comme ma petite amie, comme avec Laura, puis j’explique que nous venons d’acheter des robes et qu’il faudrait un ensemble de lingerie par tenue. Maryline me regarde avec des yeux ronds. Elle ne réagit plus et Madeleine doit lui répéter à deux reprises d’aller mettre les robes pour trouver les meilleures parures. Maryline passe la robe chemise bleue ciel en premier. Madeleine la regarde, la fait tourner sur elle même, marcher, se pencher.

— Une robe décontractée, portée autant pour aller au travail que le week-end. Un peu transparente selon l’orientation, raison pour laquelle on va partir sur la couleur rouge, celle qui se voit le moins dans ces cas-là.

Elle regarde encore Maryline et demande :

— Ouvrez un bouton.

Maryline obtempère.

— Est-ce que vous pensez porter la robe comme ça parfois ?

Maryline sourit, moi aussi. Elle dit :

— Je pourrais, oui.

Madeleine va dans le rayon pour passer dans l’arrière boutique. Elle revient avec un somptueux soutien-gorge.

— Ce n’est pas un push-up, mais c’est pigeonnant. Ça va recentrer vos seins et faire un joli décolleté. Le string est mini, si ça ne vous gêne pas. Un autre modèle se verrait.

Un ficelle, oui. Maryline passe en cabine et ressort. Je suis ébloui par l’effet donné par le soutien-gorge. Je hoche la tête lorsque Maryline me regarde. Adjugé.

Avec la robe verte, Madeleine propose un soutien-gorge transparent qui dresse la poitrine sans laisser aucune marque sur le tissu. Elle en a même un presque du même vert que la robe. Pour le bas, Maryline choisit un tanga.

Lorsque Maryline sort de la cabine dans la robe noire, Madeleine dit :

— Voilà un jolie robe de soirée.

Elle observe Maryline bouger. Celle-ci a bien pris l’habitude.

— Je n’ai pas vraiment à conseiller pour une telle robe. Tout est permis. La longueur est suffisante pour porter des jarretelles, elle est fluide dont il n’y a aucune marque… Même un guêpière passe sans problème.

Je lui propose :

— Un ensemble sexy avec porte-jarretelles ?

Madeleine sourit.

— J’en ai reçu un ce matin. Une pure beauté. Je ne vous le montre pas. Juste à elle.

Je me retrouve exclu de la discussion mais Maryline semble comblée. Nous prenons les trois ensembles proposés par Madeleine qui rajoute pas moins de six pairs de bas, trois pour le porte-jarretelles et trois autofixants. Nous sortons, Maryline se remet à pleurer. Elle rit, elle pleure. Elle ne sait plus trop ou elle en est. Je la prends par l’épaule et nous reprenons notre chemin. Nous arrivons aux Héphélydes, le charmant quartier. Nous empruntons des ruelles tantôt étroites, tantôt escarpées. Une descente. Puis un escalier pentu. Maryline souffle. Je ris.

— C’est le dernier effort. Le parking est en haut.

Elle monte devant moi. En levant les yeux, je vois sous sa jupe et devine le string blanc qu’elle porte sous ses collants. Je lui dis :

— Heureusement que Madeleine t’a offert des bas, ce sera mieux pour moi la prochaine fois que nous monterons ici.

Maryline rit et s’arrête. Elle remonte sa jupe.

— C’est ça que tu veux voir ?

Je pose les mains à l’extérieur de ses cuisses et remonte. J’attrape le collant et le descends doucement pour dévoiler ses fesses blanches.

— Non, c’est comme ça.

Je pelote ses fesses quelques instants, les embrasse puis remonte à la hauteur de Maryline que j’embrasse dans le cou. Elle frémit. Je remonte son collant. Elle sourit et laisse retomber sa robe. Nous continuons. En haut, Maryline aimerait m’embrasser, mais je refuse. Elle me fait un clin d’il.

Nous reprenons la voiture et je m’arrête devant un magasin de chaussures. Une paire d’escarpins noirs et une paire de bleu ciel plus tard, nous arrivons chez moi. Nous sommes fourbus et nous nous affalons dans le canapé. Il est 16h. Je fais une tisane que nous buvons tranquillement. Je vais mettre un bain à couler sans que Maryline ne le remarque. Mousse, parfums, bougies, seau à champagne. A la fin de la tisane, je bande les yeux d’une Maryline complice et je l’emmène dans la salle de bains.

— Ça sent bon !

Je dénoue le bandeau. Maryline est aux anges, ses yeux sont ceux d’une petite fille. Elle m’enlace tendrement. Je commence à la déshabiller doucement. J’entends sa respiration se raccourcir et accélérer. Quand elle est nue, je l’accompagne dans la baignoire en la tenant par la main. Je me déshabille à mon tour. Elle dit :

— Mais tu viens avec moi en plus ?!?

Je ris, mais elle est sérieuse. Elle s’avance pour me laisser me glisser derrière elle puis je sers les coupes de champagne et l’invite à s’allonger sur moi. Je l’enlace de mes bras. Plus un bruit.

— Aucune femme ne passera une plus belle Saint-Valentin que moi.

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