LA MAMAN DE MICHEL (n°18)
LITERIE (chapitre I)
Bonjour, je suis Michel, 19 ans (Cf. épisodes précédents).
En cette fin de matinée ensoleillée de juin, je répare le frein arrière de mon VTT devant la porte du garage attenant à notre maison, alors que maman vaque à ses occupations de femme d’intérieur. J’entends le téléphone sonner.
— J’ y vais Michel, ne te dérange pas !
Après quelques minutes, alors que je finis ma petite réparation, maman vient me voir. Elle est vêtue d’un T-shirt long (mi-cuisses) de couleur blanche, je distingue dessous les marques que font les élastiques de sa culotte ; assurément elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle se place à côé de moi, sur ma droite, debout ; je suis moi-même accroupi et, tournant un peu la tête, mes yeux sont au niveau de ses cuisses, déjà légèrement bronzées.
— C’était l’oncle Lucien, il demande si on peut aller lui chercher un matelas chez son ami le grossiste, tu sais : "Epeda".
— Ouais, ça va, j’ai compris, j’irai cet aprèm’.
— Euhh, il faudrait y aller avant 2p.m, c’est un dépôt, l’après-midi c’est fermé.
— Ah ! Il a le don de faire ch.. son monde ton oncle Lucien, il ne change pas. Je me lave les mains et j’y vais.
— Tu prends la Volvo bien sûr.
— Ouais.
Alors que j’en termine avec le blocage du câble de frein, maman s’accroupit à côté de moi ; je ne peux m’empêcher de regarder son entrejambe, elle laisse ses cuisses un peu écartées, me dévoilant une vue sur sa culotte blanche, sa fente bien dessinée et quelques poils noirs et drus de son barbu touffu. Me fixant droit dans les yeux :
— Qu’est-ce que tu regardes, coquin ?
— Bin…..
— Ne sois pas timide, ça te plaît ?
— Bien sûr.
— Allez, vas te débarbouiller, tu as une livraison à faire. Moi, j’ai du travail à l’étage.
Je me rends dans la salle de bain du rez-de-chaussée, je me suis un peu sali mais ce n’est pas de la graisse, je vais prendre une douche vite fait. Puis j’enfile ma sortie de bain et je monte au 1er, dans ma chambre, pour me changer.
— M’man ! M’man ! T’es là ? T’es où ? T’as repassé mon "Tacchini" ?
Pas réponse. Je jette un coup d’oeil dans la chambre parentale, dans la chambre d’ami, sur le balcon, rien. Elle se sera sentie mal ? Ah ! les toilettes, il ne reste que ça. J’ouvre la porte, non verrouillée, et surprise, maman est assise sur la cuvette.
— Ooops ! Excuses. T’as pas entendu, je t’ai appelée.
Alors que je referme la porte maman la retient de la main.
— Non Mich’, c’est pas grave. J’ai pas entendu. L’autre nuit je suis passée devant la porte de ta chambre, j’ai vu que tu regardais des vidéos de toilettes de femmes, tu ne m’as même pas entendue tellement tu étais absorbé.
— Tu m’a vu ?
— Gros malin, si tu ne mettais pas l’écran de ton portable face à la porte, je n’aurai pas vu.
— Oh merde ! Et alors…. tu as vu que…
— Oui j’ai vu que tu te faisais du bien, ça m’a un peu émoussée d’ailleurs.
Je suis en train de discuter là, avec ma mère, en train de pisser devant moi comme si c’était tout à fait naturel. Elle a relevé son t-shirt, la culotte sur les genoux, sa touffe est bien noire et drue, j’entends le liquide couler.
— Tiens regarde chéri, en vrai c’est beaucoup mieux qu’une video, non ?
Je tiens toujours la poignée de porte de la main droite, maman me saisit le poignet gauche et plaque ma main gauche sur sa fente d’où tombe encore quelques gouttes. C’est chaud et humide, je bande dur. Je m’agenouille devant elle, m’appuyant sur ses cuisses, et masse sa chatte, la main à plat. Je glisse ma main droite sous son t-shirt et commence à lui peloter ses gros nichons. Elle est excitée elle aussi, elle ôte son t-shirt, ses seins massifs me tombent pratiquement sur le visage, je les malaxe. Ma mère est à poil devant moi et je la tripote, je réalise l’un de mes fantasmes. J’enfonce mon majeur dans sa chatte, il se couvre de mouille et de pisse, puis, j’en enfonce un second et un troisième, ça rentre tout seul. Je monte et descends ainsi lentement, avec le pouce je titille son clito, elle remue des hanches, tortille des fesses. Je lui tête les mamelons, puis les lèche et alterne les mouvements, elle commence à gémir. J’ai mal à la bite tant elle est dure.
— Lèche tes doigts Mich’.
— Oui m’man.
Je me mets donc à lécher mes doigts en la regardant dans yeux, la pisse a un goût âcre mais mêlée à la mouille, je trouve ça bon. Maman avance alors le bassin, je fais glisser sa culotte jusqu’aux pieds et lui ôte, elle s’appuie les bras sur la cuvette, elle écarte grand les jambes m’offrant le spectacle formidable de sa sa chatte fournie, toute mouillée, en gros plan.
— Lèche-moi, lèche-moi ! J’en peux plus, ta langue, ta langue !
Maman est surexcitée, je reste à genoux et commence à lui lécher la fente, d’abord à grands coups de langue à plat, lentement, puis j’écarte ses lèvres avec les pouces et enfonce ma lange dendans ; je recueille la mouille et le reste de pisse, puis, avec le pouce et l’index de la main droite de décalotte son clito sur lequel je donne des coups de langue rapides puis le prends entre mes lèvres et le suce, je receuiile toute sa mouille dans la bouche, je lèche tout, tellement c’est bon ; elle donne alors un grand coup de reins et c’est à ce moment que maman jouit.
— Ahhhhhh Ouiiiiiii !!!! Je viens chéri ! Je jouiiis ! Je jouiiiis !
— Oh m’man que c’est bon de te voir jouir.
Elle se rassied sur la cuvette et reprend son souffle quelques secondes.
— Oh que c’était bon mon petit chéri. Merveilleux. Tu aimes branler et brouter ta maman ?
— C’est extra maman.
Alors que je me relève de ma posisiton à genoux, maman fait glisser ma sortie de bains sur mes épaules. Je me retrouve à poil devant elle. Elle prend délicatement mes couilles de la main droite et de la gauuche dirige ma bite tendue vers sa bouche.
— Tu veux que je te suce mon chéri ?
— Oh oui m’man vas-y !
Dès que mon gland est entre ses lèvres, je ressens une sensation de douce chaleur dans tout le corps, ma mère me suce, c’est fou. Elle s’applique à pomper lentement, puis accèlere, puis alterne en léchant, la langue à plat le dessous de ma bite insistant sur le frein, hyper sensible. Je pelote ses nichons, parfois en serrant un peu fort sous l’effet de l’excitation. Je regarde ses joues se gonfler et dégonfler au rythme de la pénétration de ma quque dans sa bouche, elle ferme les yeux, apprécie ; elle se délecte de la pipe qu’elle administre à son fils. Elle pose les mains sur es fesses et me suce ainsi en accélérant, je lui baise la bouche, et enfin je jouis.
— Ahhhh m’man, je viens, tiens ! Tiens ! Prends tout !!
J’éjacule dans sa bouche, elle garde la totalité en déglutissant un première fois, puis une seconde fois ; elle me nettoie ensuite avec la langue qu’elle passe partout, jusqu’aux couilles, c’est fabuleux.
Toujours assise sur la cuvette elle se saisit de papier et s’essuie la chatte encore humide, de mouille certainement. Elle se lève et se retourne pour vérifier que nous n’en avons pas mis partout et tire la chasse ; la vue du cul de ma mère ainsi face à moi me refait bander immédiatement. Je pose ma
main droite au milieu de ses omoplates et l’incite à se pencher en avant.
— Mais qu’est-ce…….
— J’ai envie de toi m’man.
Elle ferme l’abattant et bras tendus se penche en avant tandis que de ma main gauche je dirige ma bite vers sa chatte. Elle écarte les jambes, ses pieds venant se caler contre les murs latéraux du wc, elle se cambre bien m’offrant son fessier, j’approche mon galnd de sa fente et l’y enfonce doucement.
— Hmmmmm ! C’est bon chéri.
— Je vais te la mettre à fond maman.
J’enfonce toute ma bite dans sa chatte et la prenant par les hanches je commence à la limer lentement, puis en accélérant. Je me mets sur la pointes des pieds pour la pénétrer bien profond, elle s’appuie maintenant contre le mur face à elle, se penche encorre plus, nous baisons ainsi dans un concert de gémissements. Je suis en train de faire l’amour avec ma mère, c’est incroyable, j’en avais rêvé. Je me penche de temps en temps de côté pour regarder ses gros nichons balloter, et les lui peloter aussi, je m’y agrippe, lui faisant peut-être un peu mal, mais l’excitation est trop forte. Sa chatte est tempée, de la mouille en sort et me coule jusque sur les couilles, sur ses cuisses, c’est épais et gluant, peut-être a-t-elle joui ?
— Ah ma salope c’est bon, tu vas me faire jouir.
— Jouis Mich’, jouis, gicle-moi dedans, je t’aime.
— Je viens, je viens, tiens ouiiiiii ! Je te jute dedans salope !
— Ouiiiiiiii !
Nous jouissons ainsi presque simultanément, je ne me retire pas tout de suite, j’apprécie ce bon moment. Le jus qui coule de la chatte de maman est abondant, il y en a jusqu’au sol. Commençant à débander, je sors ma bite de cette merveilleuse chatte, maman s’assied sur la cuvette, jambes écartées.
— Nettoie ma chatte, chéri.
Sans hésiter je me remets à genoux et recommence à brouter le minou de maman, c’est poisseux, mais je m’en délecte. Je bouffe avidement la chatte de ma mère. Une fois l’endroit propre, maman reprend ses esprits et nous reprenons aussi là où nous nous étions arrêtés.
— Excuse-moi m’man, je t’ai traitée de salope mais c’était pas en mal.
— Je sais chéri, c’est l’excitation qui fait ça. Allez, il est tard, n’oublie pas le matelas.
Eh oui déjà 1p.m. , je n’y pensais au matelas du vieil obsédé.
klipok (très anciennement "bracounet")