Je suis un quinquagénaire a barbe blanche et cheveux grisonnants. Je suis amené a aller, pour une journée ou deux, a l’autre bout de la France, a des séminaires ou congrès. Le sachant longtemps d’avance, je retiens systématiquement une chambre dans un hôtel permettant d’y pénétrer même très tard le soir avec une carte bancaire. C’est très pratique et évite des surprises de ne pas trouver de chambre libre ou même encore trouver l’hôtel clos.
Un soir, tard, après un dîner de travail, je me présente a la porte d’un tel hôtel. A mon arrivée, je trouve une belle femme, vers les 40 ans, habillée d’un trench-coat recouvrant un tailleur très classique, dépitée car le portier électronique venait de lui annoncer que toutes les chambres étaient occupées.
Je lui propose de la dépanner car quand il y a de la place pour un il y en a pour deux â voire trois dans certains hôtels…. Après un instant d’hésitation, elle finit par accepter, peut être rassurée par mon allure de gentleman. Elle est VRP et n’a pas eu le temps de retenir une chambre sa dernière visite s’étant terminée tard.
Je récupère le code permettant de pénétrer dans l’hôtel et d’ouvrir la porte de la chambre.
Après une grosse journée de travail, nous souhaitons prendre une douche, ce que nous faisons chacun de notre côté â les douches et les toilettes sont sur le palier, la chambre ne possède qu’un lavabo…. Chacun regagne la chambre â la serviette autour des reins pour moi, la serviette l’enveloppant plus haut pour elle… et hésite pour la suite. Je dors habituellement nu. Je lui fais part de mes habitudes et elle me répond qu’elle aussi elle dort nue.
Pudiquement, la lampe éteinte, nous terminons de nous déshabiller et nous nous glissons, chacun de notre côté, sous les draps.
Après quelques minutes de silence, elle me remercie de mon hospitalité et souhaite me prouver sa gratitude de manière plus tangible. Je suis sur le dos. Elle envoie vers moi une main exploratrice qui me caresse la cuisse, se repère puis remonte doucement vers mon torse en évitant ma verge qui, dès le premier contact a commencé a monter les couleurs. Elle se tourne vers moi, sa cuisse se colle a la mienne. Je sens ses lèvres qui suivent sa main et m’embrassent la poitrine. Jusqu’a présent, je n’avais pas bougé. Je commence a l’enserrer, caressant son dos, sa nuque et redescendant jusqu’a la raie des fesses, m’immisceant doucement entre ses globes fessiers qui se détendent.
Elle écarte les jambes afin que je puisse lui flatter l’anus. Le majeur continue sur la lancée et après avoir caressé l’intérieur des deux cuisses je le place a l’entrée de son con, jouant avec ses grandes lèvres puis, déplissant ses petites lèvres, je fais pénétrer un doigt. Je l’agite dans une douce chaleur qui commence a être moite et rapidement agréablement gluante.
Un deuxième doigt suit. Elle exprime son contentement par un soupir de satisfaction. Nous changeons de position. Elle se met sur le côté afin de descendre ses lèvres progressivement sur mon ventre, mon pubis. Sa main précède ses lèvres sur ma hampe dressée. Elle tourne autour de sa base, se perdant dans mes poils pubiens, descendant encore et me happe un testicule.
Elle suit la ligne médiane et remonte vers l’extrémité de ma verge qu’elle tenait fermement avec sa main.
De mon côté, la nouvelle position me permet d’accéder plus facilement a sa poitrine qu’elle avait ferme, remplissant parfaitement ma main. Les tétons érigés semblaient apprécier mes caresses. Ma main glisse ensuite pour frisotter ses poils pubiens et glisser doucement vers son clitoris qui commence a être parfaitement identifiable. Je m’assure que son vagin est toujours aussi accueillant. Je lubrifie son clitoris avec sa cyprine vaginale. Elle lèche le gland qu’elle venait d’enfourner pour soupirer d’aise. Elle le reprend aussitôt commencant son va et vient efficace. Ma verge continue d’enfler pour atteindre son maximum. Je ne souhaite pas décharger dans sa bouche et je me retire pour descendre a mon tour de ses seins dont j’avais réussi a téter celui qui m’était le plus proche. Je lèche son ventre m’attardant sur son nombril. Je continue a descendre. Elle se laisse faire. Je me glisse entre ses deux jambes écartées et je plonge sur sa vulve dont les lèvres sont gonflées. Je lui tète le clitoris entre des lapements de la vulve, la langue bien a plat. Je mets la langue en pointe et pénètre son vagin me grisant de ses effluves. Elle a un orgasme brutal. Elle me tire les cheveux a pleine main pour m’éloigner de son havre de plaisir.
Elle récupère en quelques instants. J’en profite pour lui prendre chaque jambe, les passant de part et d’autre sur mes épaules. Je me branle un peu afin de retrouver ma rigidité, enfile un préservatif que j’ai toujours a portée de main dans ma trousse de toilette. Je lui caresse la vulve avec mon gland turgescent, ce qui permet a ma verge d’achever sa tumescence. Je la pénètre sans difficulté. J’ai l’impression de pénétrer dans du beurre mou tellement mes manoeuvres précédentes ont préparé le terrain. Nous partons dans un va et vient croissant vers une apothéose orgasmique. Je reste plusieurs minutes, ainsi, dans son vagin, épuisé, prêt a m’endormir. Mais la position n’est guère favorable. Nous nous placons en cuiller, elle se love dans mes bras et nous nous endormons.Dans la nuit, sentant son corps contre moi, ma verge a retrouvé sa forme et progressivement sans avoir l’air de la réveiller, je la glisse entre ses cuisses et retrouve doucement le chemin de son con. Elle se réveille et m’accepte ainsi en se mettant doucement sur le dos, elle relève doucement sa jambe afin que je la pénètre plus profondément. Nous oeuvrons ainsi quelques minutes et nous prenons encore notre plaisir mais plus discrètement. Nous nous rendormons l’un dans l’autre.
Au petit matin, le réveil automatique nous sort de notre léthargie. J’écarte les draps pour découvrir ce corps qui m’avait donné tant de plaisir. Je découvre une femme aux formes plaisantes avec une peau parfaite. Je ne l’avais en fait jamais vue, nos ébats s’étant déroulés dans l’obscurité. Elle émerge a son tour. Elle me sourit. Nous décidons de prendre une douche, cette fois-ci tous les deux ensemble, la cabine est en effet très vaste. Nous nous entourons de nos serviettes, puis sortons dans le couloir et nous nous engouffrons dans une cabine. L’hôtel dort encore, nous ne rencontrons personne.
Dans la cabine, je lui ôte sa serviette. La mienne glisse mais reste accrochée a ma verge qui commence a se manifester. Elle ôte ma serviette, découvre ma verge et commence a l’examiner. A pleine main, elle me tire sous la douche et commence a me savonner. Je lui rends la pareille, modelant ce corps parfait, glissant sur les surfaces lisses pour me concentrer sur les détails intimes de son anatomie. A genou devant elle, je glisse une langue sur sa vulve que je découvre et ouvre de mes mains. Elle me serre contre elle et manque de défaillir quand l’orgasme la touche. Elle profite de cette défaillance pour me relever et elle de s’agenouiller pour honorer de sa
langue ma verge érigée. Nous ne pouvons pas tenir longtemps comme ca. Je la relève, lui fait me tourner le dos. Je la penche en avant et glisse ma verge ainsi préparée dans son con accueillant et gluant. Elle s’appuie au mur, toujours sous la douche. Je la tiens fermement par les hanches jusqu’a la conclusion qui arrive vite. Elle prend son pied. Je n’y suis pas encore! Elle se détache de moi, se retourne, s’agenouille devant moi et me branle jusqu’a ce que je l’éclabousse de mon sperme qu’elle étale sur sa poitrine. Nous achevons notre douche. Nous nous séchons. Ceignons nos serviettes et sortons de la cabine comme deux gamins. Une femme nous voit sortir et nous regarde avec de grands yeux stupéfaits.Nous nous rhabillons et nous nous quittons avec une petite bise. Je ne sais pas son prénom, elle ignore le mien, nous ne nous reverrons certainement jamais, mais quels souvenirs.
Je souhaite encore rendre service! Qui sait!