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Son anniversaire – Chapitre 4




Cinq années sont passées depuis nos dernières folies. Elle avait adoré ce WE de débauche mais c’était resté une parenthèse dans notre vie sexuelle. Le temps passant le souvenir de toutes ces bites dans sa bouche s’estompait et l’excitation qui allait avec aussi.

Mais un jour alors qu’elle était en train de me sucer, elle me dit :

— Hum, c’est bon une bite ! Je pourrais sucer toute la journée …

— Comme au bon vieux temps ?

— Ça n’a pas duré toute une journée

— Non, juste un long WE

— C’est vrai, mais il y a eu des moments de pause quand même

— Heureusement pour toi !

— Heureusement pour mon cul surtout ! Qu’est que j’ai pris de ce côté !

— Moins que dans ta bouche…

— C’est vrai…

Elle continuait à me lécher et sucer pendant la conversation, et je bandais encore plus dur à l’évocation de nos frasques, et je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Comme à son habitude elle avala le tout et me lécha encore un peu le gland pour ne laisser échapper aucune goutte.

Elle soupira et imitant une enfant déçue :

— Ça finit trop vite…

Trop vite peut-être ! Mais trop tard surtout ! L’idée avait germé dans ma tête : j’allais la ramener sur les lieux du crime pour son prochain anniversaire. Et je comptais bien faire en sorte qu’elle en reparte avec des crampes à la mâchoire.

Quelques mois plus tard arrive enfin la date fatidique. J’avais réservé une chambre dans le même hôtel pour trois nuits, passé un coup de téléphone, et bien évidemment pris soin de vérifier que le sexshop existait encore.

Je lui avais annoncé une surprise pour son anniversaire, elle devait donc prévoir de poser un jour de congés le lundi et de prendre de quoi s’habiller pour un long WE – avec si possible des tenues affriolantes. Cette dernière demande la fit sourire, mais d’un sourire coquin qui en disait long.

Départ donc le vendredi après le boulot pour trois jours de festivités !

Ce n’est qu’une fois arrivés à la gare qu’elle se mit à se douter de quelque chose quand elle vit que le train que nous devions prendre passait par LA ville ! Celle de nos "Folies Sexuelles" !

— Ne me dit pas qu’on retourne à…

— Tu verras ! Peut-être que oui peut-être que non… Mais c’est sur le chemin…

— Je vois ça

Je continuais à la taquiner tout le long du voyage en lui envoyant quelques SMS coquins, histoire de faire monter son excitation. En tout cas elle avait bien compris que ce serait un séjour dédié au sexe.

Une fois arrivés à la gare, elle me demanda :

— Alors c’est ici qu’on descend ?

— Oui, c’est ici

Elle devint toute rouge.

— Je me demande bien ce que t’as prévu. Je crains le pire !

— Le pire ou le meilleur ?

Pas de réponse.

Elle ne prononça pas un mot dans le taxi pour aller à l’hôtel. Ni quand je récupérais les clés de notre suite.

Une fois dans la chambre je l’attirais contre moi et passais une main sous sa robe pour lui caresser les fesses. Je constatais alors qu’elle était trempée.

— Prête pour ce week-end ?

— Et toi ? En caressant ma bite au travers de mon pantalon.

— Toujours prêt !

Je la poussais sur le lit et lui troussais sa robe pour lui arracher son string. J’y enfouis ma tête et lui dévorais la chatte jusqu’à la faire jouir, puis je me décidais à la prendre, en missionnaire, elle, la robe remontée à la taille et moi le pantalon sur les chevilles. Je ne mis pas longtemps à venir.

— Hum, je sens que ce week-end va être bon me dit-elle…

— Je vais tout faire pour !

Petite toilette rapide pour nous deux, puis je l’invite à sortir nous promener un peu.

Je prends mon temps pour visiter la vielle ville, on profite des ruelles, un petit restaurant, bref de vrais touristes en balade. Mais bien évidemment, nos pas finissent par nous amener au sex-shop.

— Regarde chérie…

— Ooh ! Quelle surprise ! Dit-elle avec un ton ironique… Si je m’y attendais !

— Tu veux y faire un tour ? Vu l’heure ça devrait être calme, non ?

— Calme ? Un vendredi soir ? Tes sur ?

— On verra bien, tu veux y aller ?

— Et toi ? Tu veux y aller ?

— C’est ton anniversaire, c’est toi qui décides…

Nous voici donc dans le sex-shop. Le propriétaire a changé ou alors c’est un employé mais je ne reconnais pas le gars à la caisse.

Deux types dans les allées, nous sommes le seul couple. Du coin de l’il je m’assure qu’ils font toujours les cabines pour couples.

— On se loue une cabine comme au bon vieux temps ?

— Obsédé.

— Oui, par toi

— Ouais, ouais, on dit ça

Elle disait ça pour la forme. Son sourire disait "Oui, bien sûr !!!".

Le caissier ne fit aucune remarque, surement blasé par tout ce qui doit passer dans cette boutique.

Une fois dans la cabine – la même que la dernière fois bien sûr – je commençais à la déshabiller, d’abord le haut de sa robe, puis son soutien-gorge, je restais assis comme ça un long moment à lui dévorer les seins, léchant, mordillant, suçant chaque centimètre de son opulente poitrine. Puis j’enlevais sa robe et son string. Elle était nue devant moi ne gardant que ses chaussures à talons.

Je profitais de son corps puis me levais. Elle crut que c’était pour me déshabiller à mon tour… Mais je l’arrêtais :

— Pas tout de suite

Et j’ouvris la porte de la cabine.

— Qu’est-ce que tu fais ?!?

— Sors, va au bout du couloir et reviens !

— T’es dingue ?!? Et si on me voit ?!?

— Au pire il se rince l’il au mieux il vient dans la cabine d’à côté…

— Cinglé !

Et elle s’exécuta… En courant ! En revenant, elle riait.

— T’es barge !!

— Non, non, non, mieux que ça ! Tu y retournes et tu prends ton temps. Sans courir.

Et elle y retourna, en marchant doucement et en accentuant son déhanché.

Elle fit deux allers-retours, puis revint dans la cabine. Je refermais la porte.

— C’était mieux ? Ça t’a plu ?

— Beaucoup ! Lui dis-je en posant sa main sur ma bite.

— Je vois ça…

Elle ouvrit mon pantalon et se pencha pour me sucer.

— Alors contente de ton we d’anniversaire ?

— Hum… Oui, ça commence bien…

— En effet ça ne fait que commencer

— Qu’est-ce que tu mijotes encore ?

— Tu verras bien !

— Oula, je crains vraiment le pire

— Tais-toi et suce !

Elle ne se fit pas prier, goba mon gland comme une affamée et me suçant avec entrain.

Le bing annonçant l’arrivée d’un message sur mon téléphone la fit sursauter. Je le sortis pour lire le message et y répondre.

— Je n’y crois pas… Tu joues avec ton téléphone pendant que je te suce !

— Celui-là je devais bien y répondre… Sinon ils ne n’auraient pas su dans quelle cabine te trouver…

-… Qu’est-ce que tu as manigancé ?

— Tu vas bientôt être fixée… En attendant… Suce !

Elle me regarda de travers et reprit sa pipe.

Quelques bruits en provenance de la cabine m’indiquaient que tout se passait comme prévu.

J’entraperçus le visage d’Anicet, le serveur du bar qui l’avait baisée la dernière fois, par le biais de la trappe sur le côté, puis presque immédiatement il y glissa sa bite.

— Regarde qui vient te rendre visite.

— Oh…

— Toi qui aimes sucer, tu vas être servie ma chérie ! Bon anniversaire !

— Mais… T’es sur ?

— Pas de mais… Régale-toi !

Sur ces mots je poussais sa tête vers le membre tendu. Elle ouvrit la bouche en grand et l’avala.

Elle tenait la tige d’une main, l’autre sous les couilles et lui suçait le gland en fermant les yeux. Je savais qu’elle prenait son pied. Elle le léchait sur toute la longueur revenait sur gland, redescendait, lui léchait les couilles.

— Ha putain que c’est bon

— Tu aimes ton cadeau ?

— Oui, j’adore !

— Il ne te rappelle rien ?

— Pourquoi ? Je l’ai déjà sucé ?

— Tu l’as même prise dans le cul !

— Hum notre ami serveur ?

— Oui… Et ses amis !

— Ses amis ?!?! Il ne faut pas les faire attendre alors…

Et elle reprit sa pipe de plus belle, bien décidée à le faire jouir.

Elle déploya si bien ses talents qu’il lui explosa en bouche, son sperme débordant au coin des lèvres. Elle resta un moment comme ça puis le ressortit de sa bouche.

— La vache ! Je n’ai pas pu tout avaler !

— Gourmande !

— Oui je sais !

— En parlant d’avaler, j’espère que t’as faim parce que je ne sais pas combien ils sont là dehors…

— J’ai une faim de loup !

Une autre bite noire venait d’apparaitre, elle la caressa un peu puis se remis à l’ouvrage.

Je l’admirais un peu en train de se délecter de ce morceau d’ébène puis je sortis de la cabine pour voir ce qu’il se passait à l’extérieur. Je ne pouvais pas verrouiller de l’extérieur, mais je tirais néanmoins la porte derrière moi, juste au cas où…

Je me retrouvais donc face à cinq hommes, plus celui qui était dans la cabine en train de se faire sucer par ma blonde, tous Noirs (Antillais pour être exacts), donc six mâles pour ce soir en comptant Anicet.

Ce dernier me salua :

— Alors, tout se passe bien ? Avec un clin d’il

— Ma foi pour l’instant elle se régale

— J’avais oublié à quel point elle suce bien ta salope

— Elle adore ça

— Alors je te présente mes cousins, et le grand en train de régaler ta femme c’est mon frangin

— Vu sa tête c’est plutôt lui qui se régale !

Le gars dans la cabine :

— Je confirme, c’est génial ! D’ailleurs… AaaaAaaah

Apparemment il venait de lui remplir la bouche à son tour.

Anicet lança :

— Putain t’es un rapide ! A qui le tour ?

— Moi !

— Moi !

— Pas tous en même temps les gars !

La porte s’ouvrit derrière moi :

— Si, si, tous en même temps, venez par-là !

Cette gourmande était au milieu de la cabine, et se caressait ses gros seins couverts de sperme et de salive.

Les six s’engouffrèrent dedans et ceux qui n’avaient pas encore pu goûter à sa bouche se mirent autour d’elle le membre tendu.

Les "compliments" fusèrent : "bonne", "salope", "gros seins"" etc… Ils palpaient sa poitrine, ses fesses sans douceur.

Elle s’en moquait, ses yeux pétillaient à la vue de ces quatre membres pointant vers elle. Elle en prit un dans chaque main et commença à les branler en cadence, un troisième larron lui enfonçant sa bite dans la bouche. Elle passait d’une bite à l’autre comme une furie, branlant, suçant, léchant autant qu’elle pouvait.

Un des gars lui attrapa les seins à pleines mains et logea son sexe entre. Il lui baisa les seins vigoureusement. Quand il commença à éjaculer elle se jeta dessus et l’avala à fond pour qu’il finisse de jouir au plus profond de sa gorge.

Un autre lança :

— Viens m’avaler aussi sale pute

Elle ne se fit pas prier.

Elle prit les deux derniers en main, approcha les deux glands près de sa bouche et les branla en leur léchant le bout. Ils finirent par jouir presque en même temps. Encore fois, elle prit soin d’avaler un maximum de nectar.

Elle était radieuse. Elle se releva comme elle put. Et du coup se retrouva nue au milieu de ces affamés. Elle avait des mains partout sur le corps, dans le moindre repli de son intimité.

Anicet la poussa face contre un mur.

— Je peux ? Me demanda-t-il en pointant son membre de nouveau tendu vers sa croupe.

— Ce n’est pas ce qui était prévu pour ce soir mais je suis sûr qu’elle en meure d’envie

— Ok…

Et il l’enfila.

Elle était tellement trempée qu’il put la pénétrer sans la moindre préparation.

Les autres regardaient la scène avec envie. Je voyais qu’ils recommençaient à bander.

— On va la baiser nous aussi…

— Non, pas ce soir, mais sa bouche est encore libre si vous vous sentez de lui remettre une dose.

Il ne fallut pas leur dire deux fois. Aussitôt dit elle se retrouva penchée en avant, de nouveau avec une grosse bite au fond de la gorge.

Elle s’agrippait aux hanches du type devant elle pendant qu’Aniset la besognait. La jouissance montant, elle avait de plus en plus de mal à coordonner ses mouvements. Elle poussa soudais un cri rauque étouffé par le membre qui lui occupait la bouche.

— Oui ! Ma belle ! Jouis ! Lui lançait son baiseur.

Il la laissa reprendre son souffle puis reprit ses coups de boutoir. Elle ne pouvait plus sucer, ce ne fut qu’un cri continu jusqu’au moment où il finit par remplir sa chatte.

Elle s’écroula par terre.

Ils se marraient tous.

— Putain, tu l’as tuée !

— Allez, on la baise nous aussi !

— Non, les gars, elle a eu son compte pour ce soir je crois…

Anicet se pencha vers elle, lui attrapa le visage et lui enfonça un doigt dans la bouche.

— A demain ma belle !

Elle ne réalisa pas tout de suite ce qu’il venait de lui annoncer.

Ils refermèrent leurs pantalons et se dirigèrent vers la sortie en "refaisant le match".

Je l’aidais à se relever, elle s’accrocha à mes épaules :

— La vache ! Que c’était bon !

— Bon anniversaire mon amour !

— A ton tour maintenant, prends-moi…

— T’es sure ?

— Oui je te veux en moi…

Je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir, aussi je m’empressais de la retourner pour la prendre, sauf qu’au lieu de l’appuyer sur contre le mur, je la tournais vers la porte de la cabine, restée ouverte, une main de chaque côté. De cette façon, si un autre client passait par là il pourrait la voir en train de se faire prendre, et admirer le mouvement de ses gros seins.

Elle se laissa faire et se mit à soupirer dès que je lui enfonçais mon organe. Je la baisais ainsi en prenant mon temps et en jouant avec mon pouce sur son petit trou. Elle recommençait à jouir, sa tête dépassait maintenant complètement de la cabine et ses cris devaient résonner jusque dans la boutique.

Un homme se présenta devant elle, surement un client attiré par les cris, il la regarda un instant, tendit la main à ses seins, les soupesa un moment, puis il sortit sa bite tendue et se masturba en jouant avec ses seins. Penchée bien en avant elle ouvrait la bouche en direction de ce membre inconnu, mais sans pouvoir l’atteindre, le type se rapprocha mais au lieu de profiter de sa bouche il posa le bout sur sa joue et la gratifia d’une belle éjaculation faciale et se retira comme il était venu, sans un mot.

De mon côté, je finis par jouir en elle avant son orgasme, mais elle ne m’en tint pas rigueur.

Elle était heureuse, cela faisait tellement longtemps qu’elle fantasmait sur ce "retour" sans jamais l’avouer ouvertement.

Elle essuya comme elle put puis remis sa robe.

En sortant, elle me demanda :

— Pourquoi a-t-il dit "à demain" au fait ?

— D’après toi ? Pourquoi ai-je prévu un week-end de trois jours ?

— Qu’est-ce que t’as prévu ?

— Tu verras bien, mais on a tout organisé pour ton anniversaire.

— "On" ?

— Oui, "On".

— Je sens que je vais encore avoir mal au cul

— C’est probable en effet…

A suivre

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