Jai toujours comme une boule dans mon ventre. Pourtant je ne suis pas malade. Les visites chez mon médecin traitant ne donnent rien. Jai vu un spécialiste de labdomen, rien à signaler. Il ma demandé daller voir un gynécologue. Je ne pense pas souffrir de ce coté là.
Bien sur je suis comme la plus part des filles de mon âge, je me masturbe souvent. Jai perdu mes virginités il y a pas mal de temps. En plus jaime quand jai une bite dans le vagin ou le cul, même dans la bouche. Nous supposons que jai un kyste mal placé.
Rendez vous pris je vais voir le gynéco: un type relativement jeune, pas plus de 35 ans en tout cas. Ce qui ne gâte rien cest un bel homme. Avant dentrer je dois me faire connaître à sa secrétaire: un belle fille bien faite qui doit avoir du succès. Je pense quelle doit coucher avec son patron. Dans son cabinet il me fait passer linterrogatoire habituel: vierge ou pas ( poser cette question à une fille de 22 ans, cest gonflé) mes habitudes sexuelles, mes masturbations, enfin une foule de questions qui finalement me gênent. Il me fait passer dans la pièce à coté où il y a entre autre la table dexamen.
Pour je ne sais quelle raison médicale il faut que je sois nue. Il assiste à ma mise à poils en ne se gênant pas pour me regarder: je dois lui plaire. Je mallonge sur sa table, il me fait ouvrir les jambes pour que mes pieds soient dans les étriers. Dès que je suis écartelée, il entre son spéculum froid dans le sexe. Jen frisonne pas mal en le lui disant:
réponse:
— Bien sur ce nest pas chaud comme ce que vous y mettez dhabitude.
Sous entendu une bite.
— Cest vrai, mais même si je mets un gode, cest plus chaud.
— Ne vous en faites pas, je vous ausculte. Ce sera vite fait.
Cest vrai quand parlant je sens moins le métal froid. Il inspecte tout le vagin. Il enfonce ses doigt dans le bas ventre pour détecter une légère anomalie dun canal interne: rien de grave, quelques comprimés et tout disparaîtra.
Maintenant il se relève, il vient me toucher légèrement les seins. Ce nest plus un médecin, cest un homme qui me touche qui va plus loin, qui commence à me peloter. Le salaud sait bien me caresser, je sens mes seins durcir, mes tétons bandent un peu. Je commence à mouiller. Sa braguette est à la hauteur de ma figure. Je vois quil commence à bander. Pourtant il a du en voir pas mal de femmes nues.
Il continue à caresser un seul sein, son autre main est sur le ventre quil caresse légèrement. Elle descend lentement mais sûrement vers ma chatte. Etant rasée, je la sens bien quand elle dépasse le pubis. Il me fait sacrément mouiller. Jaurais pu larrêter avant dabord en me révoltant, ensuite en sortant sa bite pour le faire jouir. Mais je suis prise dans ce début de plaisir. Jaime être caressée, pelotée, branlée. Alors je le laisse faire.
Quand sa main est sur ma chatte, il commence aussitôt à caresser légèrement le clitoris. Je creuse mon ventre: il a compris depuis longtemps que je suis sa proie que je vais me laisser faire. Il change de position, il est maintenant entre mes jambes. Si dune main il me branle de lautre il caresse mes cuisses. Je lève la tête pour voir ce quil fait. Je ne vois que sa braguette est plus que gonflée. Jaimerai bien voir sa bite.
Même sil bande de plus en plus, il me fait partir alors que je nétais pas encore prête à jouir. Je gémis depuis un bon moment. Enfin quand je jouis, il commence à se déshabiller: je peux voir sa bite: un joli morceau de sexe qui me contentera. Il est toujours entre mes jambes, il commence à me baiser. Il connaît assez les femmes pour savoir ce quil faut leur faire. Ses va et vient me font un bien fou, il me fait jouir encore.
— Si tu veux, je peux te faire jouir davantage.
— Je veux, oui.
— Attends un moment.
Il sort carrément de la pièce, je lentend parler. Il revient vers moi, membrasse sur la bouche, me caresse encore la poitrine. Jentend un bruit étrange: cest la secrétaire qui vient elle aussi baiser. Si elle me touche ce serait ma première fille, mise à part quand javais 13 ou 14 ans. Elle vient remplacer le médecin entre mes jambes. Sa tête est contre mes fesses. Où va-t-elle ?
Je sens son visage entre mes fesses, je sens sa langue venir sur mon cul. Jai déjà eu des langues à cet endroit, des langues dhommes pas de femme. Je suis surprise quand je sens un doux plaisir envahir mon cul. Sa langue cest durcie pour entrer légèrement et petit à petit je reçois toute la longueur dune langue dans le cul. Elle accompagne cette intrusion dune autre dans ma grotte: je reçois deux doigts qui me font un bien fou dans la foufoune. Dès que jai jouis, elle se lève un peu, se penche à nouveau cette fois pour me lécher lentière chatte. Cest meilleur quavec mon amant. Elle reste coupée en deux: le médecin qui bande toujours passe derrière elle.
— Je vais te la mettre au cul. Branles toi.
— Oui, jen ai envie.
— Et moi ?
— Tout à lheure tu la sucera.
Je me fais sucer par une fille qui se branle en se faisant enculer. Drôle de boite. Je peux voir en effet la bite aller et venir dans un cul ouvert que lui je ne peux pas voir. Jentend les cris de contentement de la fille et de son patron. Jen suis au point despérer quils jouissent pour que moi aussi je fasse jouir cette fille qui ma donné tant de plaisir avec sa seule langue dans le cul et le con.
Ils finissent, ils viennent vers moi tous les deux: je vois une bite légèrement dégonflée, une chatte qui me semble attirante. Elle tient encore la bite dans sa main. Elle monte sur la table en menjambant. Je reçoit dans mon nez son odeur de femme en chaleur, dans ma bouche le goût âpre de sa cyprine. Rien ne me dégoûte. Je mouille toujours. Je me décide à lécher ce qui ressort de son con. Je suis un peu surprise de sentir du sperme sécouler de son cul vers ma bouche. Tant pis javale tout.
Je libère mes jambes pour quelle vienne elle aussi me sucer normalement. Cest bien meilleur à deux un vrai 69: jouir et faire jouir. Lui recommence à bander. Son sort est vite réglé. Je peux lui prendre la bite dans une main. Je le masturbe très lentement: il gémit. Il force ma main à aller plus vite. Je refuse de le faire jouir rapidement.
Il a le temps, il a déjà joui je ne sais combien de fois. Nous restons longuement en 69 avec sa secrétaire: cest trop bon pour cesser. Cest comme davoir une bite dans le cul. Une vrai bite qui sait sodomiser, pas comme certaines qui crachent dès quelles entrent.
Je ne pensais jamais avoir un tel plaisir avec une autre fille. Nous prenons rendez vous pour le lendemain dans un petit hôtel pour nous aimer entre filles.
Tout ce passe bien laprès midi dans lhôtel. Nous sommes venues les mains vide, sauf que javais des boules de geishas et elle un plug anal. Nous étions déjà bien mouillées avant de commencer. Notre premier baiser était enflammé, nos langues fouillaient la bouche de lautre pendant que nous nous déshabillions. Cette fois nous étions à égalité, sauf quelle avait une expérience que je navais pas. Je lai laissé faire quand elle ma étendu sur le lit, les jambes ouvertes, sa tête entre. Jai reçu sa langue comme un bienfait dEros. Je me suis laisser aller jusquà léclatement, dans mon ventre, de lexplosion. Ma main sest acharné sur sa chatte. Jai du lui faire mal. Elle nen disait rien. Je me suis tourné pour la lécher. Cétait ma première initiative: je lai bien réussi quand jai senti ses crispations sur ce con. Je regardais avec plaisir les mouvements de son vagin avec un plaisir extraordinaire: de moi-même javais fait jouir une fille. Elle me caressais le cul avec deux doigts. Elle les a entré dans lanus: cétait bon. Moins bon quune bite quand même.
Nous avons recommencé je ne sais combien de fois. Il nous arrivent de nous rencontrer, même chez moi, au gré de nos envies sexuelles communes.