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Mes premiers congés payés – Chapitre 40




Lorsque nous arrivâmes à la maison, il était 1h du matin, Jeanine constata que Brigitte nétait pas rentrée et alors que je lui disais que jallais prendre une douche elle me dit « ben allons-y tous les deux mon chaton », et quelques minutes plus tard nous étions tous les deux sous la douche à nous savonner puis à nous caresser, nous sortîmes de la douche pour aller au lit et là je contentais Jeanine en lenculant comme elle me lavait demandé, épuisés nous nous endormîmes non sans quelle me dise « jadore ta bite dans mon cul, par contre beaucoup moins de plaisir avec le god, et maintenant dors chaton, car demain tu vas à la ferme et noublies pas de passer voir Marianne pour lui demander ce quelle veut, quand à moi je vais discuter avec Brigitte, je veux léloigner un peu dici pendant quelques temps, jespère quelle ne va pas mobliger à lui répéter tout ce que Cathy nous a dit hier soir», je répondis « oui » et mendormis dans la foulée.

Je me réveillais la joue appuyée sur un des seins moelleux de Jeanine, je me levais et maperçus que la veille nous avions carrément oublié de fermer la porte, jallais prendre une douche et vis que Brigitte dormait à poing fermés, je me dis quelle allait avoir un réveil dont elle se rappellerait puisque sa maman allait lui proposer justement ce quelle voulait. Dehors il faisait bon, javais décidément de la chance pour ces vacances, du sexe à gogo et un temps superbe. Jenfilais un pantalon, un tee-shirt et mes baskets.

A 9h je partis chez Marianne et Fernand avant de prendre la direction de chez leur fille.

Alors que je sortais de la voiture, je vis Marianne à une des fenêtres qui me faisait signe de faire le tour de la maison, jarrivais sur la terrasse quand elle sortit de la maison avec un plateau sur lequel il y avait une cafetière et deux tasses, elle déposa un baiser sur mes lèvres en disant « bonjour mon poussin, on va boire un ptit café tous les deux, Fernand dort encore »,

Moi : « oui, si tu veux mais vite fait parce que je vais chercher ta fille pour aller à la ferme, cest pour ça que je suis là »

Marianne : « je sais, elle ma appelé pour me prévenir cest pour ça que je me suis levé et que jai préparé le café », je métais assis sur le banc, Marianne passa une de ses jambes par-dessus le banc et sassit, tournée vers moi, à califourchon, les pans de la blouse quelle portait glissèrent de chaque côté de ses cuisses ouvertes par la position quelle venait de prendre, offrant à ma vue ses cuisses à la peau flétrit et surtout son sexe dont les grandes lèvres venaient de souvrir et pendaient un peu, voyant mon regard et la direction quil venait de choisir, elle me dit « attention, le café doit être chaud, ne te brûles pas », je tendis le bras en direction de ses cuisses et les caressais doucement en remontant vers la fourche, Marianne frissonna et dit « euh, là aussi cest chaud mais pas au point de se brûler », mon doigt venait datteindre sa fente ouverte et je le fis remonter du bas vers le haut, arrivé sur son clitoris, celui-ci sortit de sa gangue pour montrer son approbation, Marianne posa ses bras derrière elle sur le banc et glissa un peu plus vers moi, soffrant totalement, jeffleurais son clitoris et elle gémit doucement « tu me rend folle, je suis trempé depuis que je suis levée et que je tattends », je fis descendre doucement mon majeur et le glissais dans son sexe, il rentra tout seul tellement Marianne était mouillée, mon sexe était en tension maximum, je commençais à bouger mon doigt dans son sexe, caressant les parois internes, Marianne gémit à nouveau « si tu fais ça tu vas au bout, sinon, tu arrêtes », je retirais mon doigt et elle lâcha un « nonnnnn, petit salaud, tu nas pas le droit »

Moi : « ben si ta fille mattends pour aller à la ferme, alors je suis venu chercher la liste de ce que tu as besoin, mais après je reviens te rapporter la viande »

Marianne se pencha, posa sa main sur lérection qui déformait mon pantalon, la caressa et dit « et ça, cest quoi ? Tu vas y aller comme ça chez ma fille ? »

Moi : « ben oui, obligé, puisque sa mère au ptit déj moffre sa chatte à dévorer en sachant que je nai pas le temps, par contre quand je vais revenir, je te promet que je te dévore jusquà ce que tu jouisses sur ma langue », puis je bus mon café (froid) et je me levais, Marianne mattrapa par la ceinture de mon pantalon, louvrit et pris ma queue à pleine bouche sans que je nai eu le temps, ni lenvie de réagir, puis après avoir fait coulisser sa bouche sur mon sexe, elle le rangea et ferma mon pantalon, et avec un grand sourire elle me dit « la suite tout à lheure ».

Lorsque jarrivais chez Michèle, elle mattendait dehors, elle était en jogging, je descendis de la voiture et elle sapprocha de moi, alors quelle allait membrasser, je lui demandais « cest quoi cette tenue ? »

Michèle : « ben cest plus pratique pour aller à la ferme, mais ne tinquiètes pas, ça senlève tout seul »

Moi : « si tu restes comme ça, je pars, je te veux en robe ou en jupe, et rien dessous bien sur » et je fis mine de remonter en voiture,

Michèle : « attends, sil te plaît, je vais me changer, jen ai pour 5 minutes », et lorsquelle revint, le jogging avait fait place à une petite jupe et un sweat, je lui dis « tu vois, jaime mieux, avec ça je vois bien tes grosses cuisses et ton gros cul de salope et aussi tes mamelles de truie en chaleur » en même temps je lavais appuyée contre la voiture et passais une main entre ses cuisses, sa chatte était déjà trempée alors que je ne lavais pas encore touché.

Moi : « tu vois grosse salope, tu es trempée, toi aussi, tu préfères ça, comme ça je peux te doigter la chatte » puis retirant ma main, je présentais mes doigts devant sa bouche « lèches ma grosse truie, lèches ta mouille, et nettoies bien mes doigts », Michèle fit ce que je lui demandais puis me dirigeant vers ma portière, je lui dis « montes, et tu lèves ta jupe avant de t’asseoir, je veux ton cul directement sur le siège et je te préviens si il y une seule tâche, tu nettoieras avec ta langue ».

Pendant le trajet jusquà la ferme, je mamusais à lexciter rien quen effleurant ses cuisses grasses avec ma main, je la voyais qui se trémoussait pour essayer davoir plus, et lorsque japprochais mes doigts de sa fente, je sentais la chaleur qui sen dégageait et je lui dis « tu es vraiment une grosse truie, on te touche à peine et tu mouilles, tout le village a dû te passer dessus, avoues »

Michèle : « non, parce que mon mari connait tout le monde et jai peur que quelquun lui dise si je me fais baiser par un autre homme »

Moi : « tu sais très bien que ton mari, baise à tout va, il monte toutes les salopes qui le veulent bien, et si il te disait quelque chose tu pourrais toujours lui balancer à la gueule »

Michèle : « peut-être mais je nai pas envie de le voir se tirer ailleurs, et puis jai flashé sur toi quand je tai vu, on te donnerait le bon dieu sans confession, mais jai senti que tu étais un vrai cochon qui me donnerait du plaisir, et je ne me suis pas trompée »

Moi : « jaime le sexe depuis que jy ai goûté, et les salopes comme toi ne courent pas les rues, et puis je reconnais que moi aussi jai flashé sur toi, à cause de tes formes, jadore les femmes bien en chair et puis jai lu dans tes yeux que tu étais une salope dès que tu mas regardé » en même temps je fouillais sa chatte avec deux doigts, lorsque nous arrivâmes à la ferme, mes doigts étaient trempés et heureusement que les housses de mes sièges étaient noires

Un homme vint à notre rencontre et il prit Michèle dans ses bras « comment va ma nièce préférée ? »

Michèle : « je suis ta seule nièce mon tonton Jacques adoré » jétais derrière eux et les mains du tonton glissèrent très rapidement sur les fesses de Michèle et les pelota sans vergognes sous mes yeux, Michèle gloussa « arrêtes tonton, tu nes pas sérieux »

Jacques tout en continuant à malaxer à pleines mains le cul de sa nièce « qui est ce gamin qui taccompagne, tu les prends au berceau maintenant »

Michèle : « cest le neveu de la Jeanine, il est en vacances dans le coin et comme il est très serviable, il est venu me chercher et emmènera la viande à Maman.

Le tonton ressemblait beaucoup à Marianne, avec une grosse différence, cest le cas de le dire, il était gros et puait lodeur de son élevage, Michèle se dégagea et dit en minaudant : « je lui fais visiter la ferme et je te rejoins pour te payer, mon tonton chéri »

Jacques : « je serais dans la porcherie, la dernière stalle, une truie va mettre bas et il faut que je la surveille, tu me rejoins là-bas mais seule, tu sais quune truie dans cet état peut être très méchante » et il lui fit un clin dil que je surpris au passage, puis sadressant à moi « fais attention à ma nièce toi » dun air possessif. Michèle prit ma main et nous prîmes la direction dun grand bâtiment, et en marchant je lui dis « dis donc entreprenant le tonton, il na pas les mains dans ses poches, Michèle me regarda et me dit « je vais te confier un secret que personne ne connait et même mon tonton qui en connait une partie, ne sait pas tout. Nous arrivions devant le bâtiment, et nous y entrâmes alors que Michèle commençait à parler.

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