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L'Histoire mène à tout… – Chapitre 8




Ma nuit fut particulièrement agitée et courte après la « prestation» des deux femmes de la famille.

Ma mère et ma sur, après s’être échangé mon sperme à coups de langue et de bouches avides, se sont finalement assises l’une à côté de l’autre, dans le grand fauteuil, pour se masturber encore une fois avant de s’écrouler, pantelantes l’une contre l’autre, couvertes d’une fine pellicule de sueur dans un râle de bête épuisée.

Ma mère et ma sur se sont finalement levées péniblement, les jambes encore tremblantes de leur dernier orgasme, pour se diriger vers leur chambre respective, non sans se donner un dernier baiser en se séparant. J’entendis quelques secondes plus tard leurs douches se mettre en action.

Je dois reconnaître qu’elles en avaient particulièrement besoin après leurs nombreux échanges de fluides corporels, ainsi qu’après leurs efforts physiques.

C’est ainsi que, comme je le disais en débutant mon récit, que je me réveille le lendemain matin, salement groggy par la situation dans laquelle je viens de me mettre, mais aussi à cause de la courte nuit que je viens de passer.

Mes cogitations nocturnes m’ont permis de mettre en place les différents éléments du puzzle que je vais, avec patience, construire afin de montrer à ma mère et ma sur qu’elles ne sont pas les plus machiavéliques au jeu de la manipulation. Même si cela prendra un peu de temps. Je me donne quelques jours. Et non pas quelques heures. Tout doit se mettre en place calmement, comme par le plus grand des hasards.

D’ailleurs, Nicolas Machiavel a écrit dans son livre, Le Prince, cette citation que je fais mienne à présent : « La soif de dominer est celle qui s’éteint la dernière dans le cur des hommes ». Tu vas voir comment je vais te les dominer, ces trois femmes.

À ce stade de mon récit, ne pensez pas que j’en veuille réellement à mes parents ou à ma sur. Certes, je donne probablement cette impression. Je suis peu démonstratif dans mes sentiments et dans mon ressenti de cette situation pour le moins particulière, dans une famille qui n’est même pas recomposée.

Non, je les aime.

Profondément.

Je sais que ma mère et ma sur, avec le consentement de mon paternel, n’ont commis ces gestes, posé ces actes immoraux que dans le but de me rendre le bonheur et la joie de vivre auxquels elles pensent que j’aspire et que je dois mériter.

Et je leur en sais gré.

Quelle plus belle preuve d’amour que de braver la société et la morale au nom du bonheur de son fils ou de son frère ?

Ce qu’elles n’ont visiblement pas compris, c’est qu’elles auraient simplement dû avoir confiance en moi en me racontant toute la vérité à propos de Vanessa. Mais ma mère, dans un accès de crainte que je ne lui connaissais pas, s’y est refusée par peur de ma réaction.

Comme je vous l’ai déjà plusieurs fois signalé, je déteste viscéralement me faire manipuler. Même pour la bonne cause. Pas question de laisser passer ça.

Mais je vais joindre l’utile à l’agréable.

Ma mère, ma sur et Vanessa vont le découvrir.

Car s’il est vrai que j’ai vraiment adoré ce que Caroline et ma mère ont fait ensemble, je n’en suis pas moins toujours très amoureux de Vanessa. Même si elle m’a trompé, et probablement plus souvent que je ne l’imagine, j’en suis amoureux fou.

J’ai beau faire le macho en la traitant de tous les noms et en refusant ses appels, je n’en suis pas moins raide dingue de cette nana.

Ne riez pas, si vous la contempliez comme je l’ai vue, vous feriez probablement moins les malins.

Elle est tout simplement irrésistible.

Et si les membres de ma famille lui ont servi le plat de la fidélité et du respect, je suis certain qu’ils en ont été flattés. Ne fut-ce que pour leur ego.

Car je sais à présent que ma mère et ma sur pourraient avoir eu une ou des relations sexuelles avec Vanessa. Elles viennent de me prouver de la plus éclatante des manières que les rapports chers à Sappho ne leur sont pas étrangers.

Mais reprenons, si vous le voulez bien, le récit de mes aventures familiales.

En me levant péniblement, je prends une douche réparatrice, m’habille d’un short et d’un tee-shirt, puis descends dans la cuisine sans faire de bruit afin de ne pas réveiller la maison encore endormie.

En me servant mon premier café, je décide définitivement de mettre mon plan à exécution. Un coup de téléphone plus tard, je suis assis, souriant et heureux de ma décision.

Ce n’est qu’une heure plus tard et après ma troisième tasse de café que ma mère se montre en passant la tête par la fenêtre de la cuisine.

Bonjour, mon chéri ! Bien dormi ? me demande-t-elle, certaine de ma réponse.

Bonjour, maman chérie ! Parfaitement. Et toi ?

Comme une souche. Décidément, ces vacances vont me requinquer en un rien de temps si nous continuons à bien dormir ainsi, me lance-t-elle en accompagnant sa phrase d’un clin d’il sans équivoque.

Ainsi, ma mère pense réellement qu’elle a rattrapé le coup et qu’elle m’a prise dans ses filets ?

Cela tombe bien, j’adore la pêche.

Après avoir bu une tasse de café ensemble, ma mère revient vers moi, uniquement vêtue de son bikini blanc, laissant plus que deviner la forme de son corps magnifique. Pourquoi s’en priverait-elle, d’ailleurs ?

Je vais parfaire mon bronzage, mon grand. Si je m’endors, tu n’hésites pas à me réveiller, d’accord. Je ne voudrais pas attraper un coup de soleil mal placé.

Comme tu veux, maman. Tu sais bien que je suis ton chevalier servant pour ces vacances, dis-je en entrant dans son jeu.

Je t’aime, mon fils !

Je ne doute absolument pas de sa sincérité. Je sais qu’elle m’aime. D’un amour inconditionnel, sans nuance, et qu’il est absolu. Elle porte le même amour à ma sur et à son mari. Cela ne fait aucun doute dans ma tête.

J’ai un instant de doute concernant ce que j’ai déclenché. Car le savoir est une chose. L’entendre en est une autre.

Je reprends très vite mes esprits en me rappelant à quel point cela va être amusant et surtout, si j’arrive à mes fins, excitant.

Laissant ma mère à son bronzage, je me dirige vers la cuisine afin de préparer un lunch pour midi.

Car il est déjà tard dans la matinée et ma sur dort encore.

Quelques instants plus tard, après avoir préparé une salade niçoise et placé une bouteille de rosé au frigo, je termine la vaisselle lorsque des pas résonnent dans mon dos.

Ma sur vient de faire son entrée dans la cuisine.

Elle est déjà en bikini bleu. Il est assez minimaliste également, ce qui me permet d’admirer sa plastique irréprochable.

Flattée de mon regard, elle minaude quelques secondes avant de me demander :

Cela te convient ? Je suis assez sexy pour toi ?

Bien sûr. Tu es toujours jolie et sexy, Caroline. Mais n’oublie tout de même pas que je suis ton frère aîné.

La belle affaire. Après hier soir, ne joue pas les effarouchés s’il te plaît. Cela ne te va pas du tout.

Je le lui accorde en éclatant de rire. Je pense m’en tirer ainsi, mais c’est mal connaître ma chère petite sur adorée.

Au fait, si nos actes passés ne me gênent absolument pas et que le plaisir que j’y ai pris n’a d’égal que son immoralité, sache, grand frère, que je ne suis absolument pas dupe de ton attitude.

J’ai un moment de panique. Ma sur m’aurait-elle démasqué ? Me connaît-elle vraiment à ce point ?

Je ne peux que tenter le tout pour le tout

De quoi parles-tu encore ?

Comme si tu ne le savais pas ? Arrête de me prendre pour une cruche, Alexis. Je t’ai déjà dit que je te connais par cur. Tu es mon grand frère adoré. J’ai grandi en t’observant. Je connais toutes tes petites manies.

Alors, éclaire ma lanterne, Caroline. Que suis-je donc en train de manigancer ?

Tu as probablement l’intention de ne pas te laisser manipuler par maman et moi. Tu n’es pas homme à supporter cela.

Merde.

Elle est extralucide ou quoi ?

Pas question de flancher maintenant.

Parce que tu penses que je ne cherche que la vengeance face à ce que vous m’avez montré hier ? Tu ne penses pas que j’aurai pu y prendre assez de plaisir pour simplement en profiter avec vous ? Vous avez réalisé pour moi le fantasme le plus répandu dans la gent masculine. Admirer deux femmes se donner mutuellement du plaisir. Tu en penses pas que je puisse avoir envie de vous voir recommencer plusieurs fois plutôt que de risquer de tout gâcher par un ego mal placé ?

Mwouai… c’est une possibilité, je te l’accorde. Mais je ne suis pas convaincue à cent pour cent. L’avenir nous le dira.

C’est tout vu, ma grande. Vous m’avez trop fait bander hier soir.

Quoiqu’il en soit, je m’en moque. J’aime trop ce que nous faisons ensemble. C’est très… stimulant, et c’est une expérience qui me fait mouiller en permanence. J’adore. Alors si tu veux en profiter, tant mieux. Si tu veux tout arrêter, ce ne sera que de ton côté. Maman et moi, nous continuerons à baiser ensemble. Tiens-le-toi pour dit.

J’ai bien l’intention d’en profiter aussi.

Bon. Je vais m’allonger près d’elle et continuer ma nuit encore un petit peu, si tu veux bien.

Mais je t’en prie. Faites comme si je n’étais pas là.

En s’éloignant de sa démarche féline, je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement.

Ce n’est pas passé loin.

Mais visiblement, elle n’a rien deviné. Elle veut juste assurer ses arrières et me convaincre qu’elle compte bien profiter du sexe à domicile durant ces vacances. C’est tout bénéfice pour elle. Pas besoin de sortir de la propriété pour chercher un ou une quelconque partenaire. Tout est à disposition.

Mais le vent du boulet n’est pas passé si loin. Je vais devoir la houer le plus finement possible et ne pas leur laisser la moindre once de soupçon sur ce que j’ai mis en place.

D’ailleurs, la soirée s’annonce particulièrement intéressante. Je me réjouis déjà d’y être.

L’après-midi se passe agréablement.

Le programme ne varie guère avec celui de la veille. Bronzette pour ces dames, natation pour moi. J’ai bien l’intention de perdre définitivement les quelques kilos en trop sur ma balance. Et puis, cela ne peut pas me faire de mal de surveiller ma forme physique.

Comme j’ai décidé de garder les idées claires, plus question en plus de boire de l’alcool, si ce n’est que le strict minimum afin de ne pas éveiller les soupçons.

Ma sur me lorgne quelquefois durant les heures les plus chaudes lorsque je prends mon téléphone portable. Mais elle ne se doute absolument pas que cela fait partie intégrante de mon plan.

Les messages échangés me rassurent en tout point, et vers 17 heures, je me lève pour aller me changer. En redescendant vêtu d’un short en jeans et d’un tee-shirt blanc, ma mère me demande.

Que fais-tu, Alexis ?

Je vais faire un tour. J’ai oublié de vous préciser que j’ai invité une connaissance à passer la soirée avec nous. Elle est dans les parages. Je vais la chercher à la gare de Narbonne.

En s’asseyant immédiatement sur son fauteuil, ma mère me lance.

Tu aurais tout de même pu nous demander notre avis, tu ne penses pas ?

Pourquoi ? Cela vous dérange d’avoir un invité pour passer la soirée avec nous ? Cela t’ennuie que je cherche à m’occuper l’esprit pour passer à autre chose ?

Non, ce n’est pas cela. Mais c’est juste une question de…

Maman ! S’il te plaît. Ce n’est pas si grave tout de même. Si tu veux, j’annule.

Non, non… ce n’est pas cela. Mais… enfin… Alexis. Nous avions prévu autre chose, ce soir.

Si tu veux parler de vos exploits sexuels, rien ne vous interdit d’en profiter durant mon absence. Vous tiendrez bien ensuite quelques heures sans vous jeter l’une sur l’autre, non ?

Mais… Et toi ? me demande en souriant ma sur.

C’est gentil de t’inquiéter, Caroline. Mais vous m’avez vidé hier soir. J’en ai encore mal au sexe, dis-je en faignant si parfaitement le jeu que ni l’une ni l’autre ne doute de ma sincérité. Après tout, elles ont claironné hier soir que je ne suis qu’un homme, donc faible par nature.

Pauvre petite chose, me répond alors ma sur en souriant de plus belle. Va soigner ta petite queue. Maman et moi ne sommes pas rassasiées. N’est-ce pas, maman ?

Non. Tu as raison, Caroline. Vas-y mon chéri. Vers quelle heure comptes-tu rentrer ? Ce serait plutôt embêtant que tu ne nous surprennes dans une position compromettante avec ton ami.

Vers 19h30 ! Promis, je ne serai pas rentré avant.

Alors, vas-y. À ce soir !

Je ne sais si ma sur est dupe de mon manège, car cela ne correspond pas vraiment à mon discours de ce matin. Mais je compte sur ma mère pour dissiper le malentendu. Car je suis convaincu qu’elle ne doute pas de m’avoir ferré une bonne fois pour toutes. Elle se fera fort de convaincre ma sur si lucide sur mes intentions.

Ma pauvre maman.

Elle n’est pas au bout de ses surprises. Et Caroline va comprendre sa douleur dans quelques heures.

C’est donc souriant que je m’installe au volant de ma voiture et que je prends la direction de Narbonne pour y récupérer mon invitée. Car il s’agit d’une femme, pas d’un homme comme le croit ma génitrice adorée.

Elle est tellement convaincue que son stratagème fonctionne qu’elle n’a pas soupçonné un seul instant qu’il ne puisse s’agir que de l’un de mes amis.

En ce début de juillet, la route est dégagée. Je suis rapidement à Narbonne et je récupère mon colis et son bagage. Car je compte bien qu’elle reste plus d’une nuit parmi nous.

À l’heure dite, je remonte l’allée qui nous mène à notre maison de vacances.

En entrant par le côté, sur la terrasse, j’aperçois ma mère vêtue d’une robe légère jaune et des talons hauts et ma sur, portant un short en jeans minimaliste et un top à fines brides blanc. Elle porte des baskets blanches. Elles sont vraiment belles et en grande discussion, un verre de rosé à la main. Je donnerais cher pour savoir si elles ont vraiment baisé durant mon absence ou si ma mère en a profité pour parfaire son petit stratagème me concernant avec la complicité de sa fille adorée. Je parierais plutôt sur la seconde hypothèse. Car si ma sur est affamée de sexe, ma mère reste ma mère. Et ma "guérison" est plus importante à ses yeux.

En ouvrant la barrière, un léger crissement se fait entendre, je sais que le moment de vérité est arrivé.

Le moment où elles se retournent vers nous restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Un coup de tonnerre n’aurait pas eu le même effet.

Je suis fier de ma stratégie. Je sens que je vais m’amuser comme un petit fou.

Elles sont tétanisées lorsque Vanessa se lance vers elle pour les embrasser à grand renfort d’effusions, comme si elles s’étaient quittées depuis des années et que ce moment marquait des retrouvailles inespérées entre trois amies que la vie a éloignées.

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