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Mireille et moi – Chapitre 2




Enfin les vacances, un peu de repos et de plaisirs. Nous sommes à la mer, dans un coin tranquille sans grand monde. Ma belle mère nous a rejoint par le train et je suis impatient de pouvoir me retrouver seul avec elle.

La gare est assez loin, ma femme devant faire des courses, je me propose d’aller chercher sa mère. Quand j’arrives elle nous attend et ses beaux yeux s’écarquille d plaisir lorsqu’elle me voit seul.

Tu es seul mon grand ?, me dit-elle

Je l’embrasse – et comme il n’y a pas grand monde – pas comme un gendre, mais bien comme un amant.

Je suis heureux de te voir ma chérie, je lui réponds.

Nous montons en voiture et tranquillement prenons la route du retour. C’est à combien de kilomètres, me demande t-elle. Oh une bonne vingtaine, par les petites routes il faut bien compter une demi heure, lui dis-je.

Tu crois que nous pouvons nous arrêter vite fait quelque part, j’ai faim, me dit-elle. La regardant, je lui dit : ça peut s’arranger.

Une dizaine de minutes plus tard, a l’arrêt dans un sous bois, Mireille est déjà à genoux devant moi et dévore ma queue. Sa bouche exquise coulisse autour et ses va et vient se font de plus en plus rapide. A ce rythme, il me paraît improbable de durer longtemps, de toute façon ce ne serait pas prudent de prendre trop de temps. Mon sperme gicle puissamment au fond de sa gorge, elle me laisse lui remplir la bouche puis déglutit. Elle se relève, remet de l’ordre dans sa tenue et m’embrasse doucement sur les lèvres.

Merci mon chéri, dit-elle.

Comme souvent nous sommes en mobile home avec deux chambres. Les activités sont nombreuses et vacances obligent, pas d’obligation, ni contraintes, chacun fait ce qu’il veut.

Nous avons réussi à nous éclipser le plus simplement du monde. Ma femme et les enfants voulaient aller à la grande piscine, toboggan, descente, tourbillons et tutti quanti – l’horreur quoi ! Et quand on a un problème de conduit au niveau de l’oreille c’est compliqué.

Mireille de son côté ne souhaitait pas se baigner, alors je lui ai proposé une promenade en voiture jusqu’à un endroit touristique bien peuplé. Enfin c’est ce que croyais ma femme.

A peine dans la voiture, ma belle-mère était volubile, n’arrêtant pas de parler, de tout, de rien, je la sentait heureuse de s’éclipser avec moi.

Alors, Mireille, heureuse d’être avec son gendre préféré ?

Non, ravie, aux anges, quel est ton programme, mon chéri ? – répondit-elle.

D’abord, si tu veux bien, tu pourrais caresser ton amant, non ?

Elle lève les yeux vers moi et directement pose sa main sur mon membre à travers le short – c’est qu’elle a déjà envie, me dit-elle.

Je te crois ma chérie, tu lui as manquée.

A ces mots Mireille rougit toujours un peu, elle est une femme extraordinairement sensuelle, aimant l’amour, sans inhibition, elle adore me sucer et se faire sodomiser pendant des heures, mais conserve cette réserve par moment, son éducation sans doute.

Quoiqu’il en soit, ses doigts ont réussi à extraire ma queue du short, et elle la caresse doucement. Je l’arrête avant d’aller plus loin.

Attends mon amour, on va trouver un coin tranquille, pas la peine d’aller loin, tu veux ?

D’accord, répond t’elle avant d’ajouter, tu m’as manqué, tu sais ?

Je la regarde attendri, lui touche la main : toi aussi ma chérie.

Rapidement nous trouvons un endroit assez retiré, dès qu’on s’éloigne de la côte, les endroits calmes ne manquent pas.

Nous sortons de la voiture, l’endroit semble idéal, personne, aucune maison, pas de routes, ni champs, ni tracteurs, bref le coin idéal pour s’aimer !

Je l’attire vers l’arrière de la voiture, ouvre le coffre – avec un monospace grand comme le notre, il y a de la place – et l’enlace. Nos bouches et nos langues jouent l’une avec l’autre, mes mains sont parties à l’assaut de ses gros seins. Elle me regarde, geint, et toute rougissante me dit :

S’il te plaît mets la moi dans le cul !

Je souris, la retourne et l’aide à retirer sa jupe. Son beau cul apparaît alors dans toute sa plénitude de superbe femme de 70 ans. Je lui pétris les fesses, lui retire sa culotte. Elle n’a plus que ses sandalettes, et elle me mets dans tous mes états, Mon short et mon slip sont déjà à terre.

Je bande déjà et je place mon gland sur son petit illet. Mireille soupire et ses mains aux longs ongles manucurés écartent ses superbes globes, pour faciliter l’intromission. Je pousse un peu, elle se contracte soudain, mais se relâche immédiatement, alors que je m’enfonce dans son trou de balle. Je suis bientôt rentré et je commence à aller jusqu’au fond puis à presque ressortir. Ses halètements me confirment que Mireille avait vraiment envie. Je l’encule en cadence quelques minutes, puis à un moment je décule, son trou se dilate, libérant ma grosse queue. Ma belle mère se retourne interrogative, je la sens déçue, avant de me dire :

Mais que fais-tu mon gendre ?

Ne lui répondant pas je la retourne et appuyant doucement sur ses épaules la force à s’accroupir.

Suce-la Mireille, s’il te plaît

Elle écarquille les yeux, mais me sourit et approchant ses lèvres de ma bite, y dépose un bisou rapide. Puis sa bouche s’en empare, ses mains attrapants mes couilles bien pleines et commence à me sucer. Ce qu’il y a d’extraordinaire chez Mireille, c’est la douceur de sa langue, elle sait y faire et là elle se met à lécher ma queue sur toute sa longueur, descendant jusqu’à mes boules. Je l’interromps, la relève et la retournant remet mon sexe dans son anus. Je glisse mes mains sous son buste et lui malaxe amoureusement les seins. Elle apprécie énormément, ses râles en disent long sur le plaisir qu’elle prend. je décule encore et lui demande doucement de se retourner. D’elle même Mireille s’accroupit et reprend ma queue en bouche. Mais je l’arrête presque aussitôt et la redressant, lui plaque un bisou sonore sur la bouche, la soulève un peu et glisse mon membre dans son trou. Je la sodomise comme ça de longues minutes, lui suçant les pointes de seins, avant de me retirer de nouveau.

Là je commence vraiment à avoir du mal, Mireille le comprend parfaitement, elle commence à connaître assez bien mes limites et veut me soulager.

Tu veux que je te finisse ?

Je ne réponds pas, guidant mon gland dans sa bouche. Elle me fixe de longues secondes alors que je coulisse dans sa cavité buccale.

Alors anticipant toutes mes demandes, comblant et mon orgueil et ma volupté, Mireille ressort ma queue gonflée de sa bouche et vigoureusement me masturbe. Je ne suis pas long à venir, le premier jet de sperme lui éclabousse l’il gauche, suivi de plusieurs giclées bien épaisse qu’elle se prend sur les joues, les lèvres et même le nez.

Hum, c’est bon, me dit-elle doucement, tu as beaucoup jouis !

Je ne peux répondre, la voir à mes genoux, le visage recouvert de sperme blanchâtre, c’est d’un érotisme incroyable.

Mireille se redresse, jette un coup d’il à la vitre et recule, stupéfaite.

Mon dieu, tu as vu ce que tu m’as mis, cochon ?

Elle ne dit plus rien, cherchant rapidement un kleenex pour s’essuyer le visage. Je crains qu’elle ne soit fâchée, mais à ma grande surprise, elle se tourne vers moi, se rapproche et à moitié nue se blottit dans mes bras en me disant :

Tu pourras éjaculer chaque fois que tu voudras sur mon visage, mon gendre chéri j’aime ça !!

Passé cette étreinte incroyable, nous prenons le temps de nous reposer un peu, puis nous reprenons la voiture. Je passe par la bourgade la plus proche, nous y faisons quelques emplettes, puis nous retournons à la résidence, où ma femme et les enfants nous attendent.

Alors, vous avez fait des courses, on croyait que nous allions au restaurant ce soir ?

C’est vrai répond Mireille, on avait pas dit ça ?

D’accord, d’accord – je réponds – on va garder tout ça et manger dehors.

Puis l’après midi se passe tranquillement, nous racontons que nous nous sommes promenés, mais qu’il y a beaucoup de monde sur la côte, et quand le soir arrive, nous reprenons la voiture pour aller diner.

Si seulement ma femme savait à quel point sa mère est chaude et combien elle aime le sexe

Moi en tout cas je suis comblé et je ne cesse de me répéter que j’ai une chance inouïe.

La soirée se passe tranquillement, j’avoue que le restaurant est vraiment bon. Comme ma femme a un peu bu, que ça ne lui réussit pas, nous rentrons assez vite et je la couche avant de ressortir prendre l’air. Les enfants se sont faits des copains et sont partis jouer sur la plage. Nous les suivons avec Mireille quelques instants. Mais alors que nous allons descendre, elle me retiens et me dit : viens, c’est plus tranquille par là

Nous nous éloignons et sommes bientôt isolés dans les dunes. L’endroit est assez sombre, mais nous n’avons pas réellement besoin de lumière.

Ma belle mère s’agenouille devant moi et dégrafant son corsage, laisse jaillir son opulente poitrine. Je joue quelques secondes avec ses mamelons, tandis qu’elle extrait ma queue hors du pantalon. Mon membre érigé disparaît bientôt entre ses gros seins et elle entame la plus délicieuse des cravates de notaire qui soit. Elle masse délicatement ma bite entre les douces masses et lorsque je sors presque totalement, elle donne un léger coup de langue sur le gland. Elle s’applique comme ça durant plusieurs minutes, puis commence à accélérer la cadence. C’en est presque insupportable, tant j’ai envie de jouir. Mireille lève d’ailleurs un il vers mon visage et constate mon émoi croissant

Elle prend alors mes couilles entre ses doigts et les pétrit avec violence. Ma queue tressaute sans qu’à aucun moment ses doigts ne la touchent.

ce n’est qu’avec le malaxage de mes testicules qu’elle obtient cet effet. Mais toute bonne chose a une fin et je ne peux que regarder ma bite se tendre encore plus alors que j’ai l’impression qu’elle m’arrache les boules. Je me raidis, un jet épais et gras lui macule soudain les lèvres suivi de plusieurs autres que Mireille se prend sur les joues et les seins, ils en sont bientôt recouvert.

Nous n’échangeons pas un mot, elle me sourit, récupère ma semence et l’avale avec un air gourmand sur le visage. Je l’aide rapidement à se nettoyer et nous reprenons le chemin de la plage. Je suis pour ma part vidé et repu, mais je la sens heureuse et détendue à mon bras, je serre alors doucement sa main et elle pose sa tête contre mon épaule.

à suivre

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