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Mon aventure avec BOUTTY – Chapitre 9




Jétais là debout comme une conne à siroter une vodka orange que lun de ses messieurs mavait bien gentiment donné. Et après quelques secondes, jai senti que les hommes se mettaient debout et se rapprochaient de moi. Une main me pris le verre alors quune autre main pesait sur mon épaule et on mordonna de me mettre genoux à terre.

Cest alors que je senti toutes ses queues qui nattendaient que ma bouche pour les revigorer.

— Hummmm cest vrai quelle suce bien cette coquine !

Je passais dune queue à une autre, et à chacune jessayais de lui appliquer le meilleur massage que jai en réserve.

Jentendais les voix au dessus de ma tête qui jugeaient mon action que je prodigué et quelques vannes de gros macho ou tout simplement des soupirs de bienêtre (cest le son de voix que jaime le plus).

Je ne sais pas au bout de combien de minutes, quon me prit par les aisselles (ouf commençais à avoir mal à la mâchoire) pour me conduire vers une chambre et on me poussa sur le lit qui sy trouvait.

Me retrouvant à quatre pattes, un des messieurs commença à me lécher la moule. Cest une caresse qui ne fit que raviver la flamme de mon puits damour, alors quun second me colla son zob sur les lèvres, et je nai eu dautre solution que de lingurgiter est lui appliquer une bonne fellation.

— Regarde moi ce cul Regardez comme elle suce, cette salope. Va sy Patrick, fais la jouir, fais la mordre les draps ! Entendis-je tout autour de moi.

Je sentais une chaleur qui montait de mon arrière train (cest un terme quon utilise pour les animaux et chienne je suis !) pour venir exploser dans ma tête.

Je ne savais plus où donner de la tête ! Une deuxième queue se présente à petite mon bouche qui délaisse la première bite pour lengloutir profondément et joyeusement je dois dire !

Patrick (je suppose que cest lui qui me bourrait la chatte) se retire pour laisser la place à un autre membre qui combla assez rapidement lespace délaissé par la queue de Patrick.

Mon baiseur, saccrocha fermement à mes hanches et à chaque que de queue quil minfligea je criais mon plaisir qui était étouffé par la bite que javais entre les lèvres.

Puis je sentais quon me claquait les fesses, une fois, deux trois. Après la dixième jai arrêté de compter. Je sentais que mes fesses devenaient toutes chaudes.

Je voulais crier darrêter mais aucun son ne sortait de ma bouche. On me bascula sur ma droite, mes lèvres laissaient échapper la queue qui comblait lespace vide de ma bouche. On me releva les jambes et cest avec grande douceur que je senti un membre bien raide pénétrer ma chatte toute chaude et dégoulinante de jus damour.

Après les premières introductions en douceur, celui qui prit possession de ma cave à bite, accéléra la cadence. A chaque coup de queue, je sentais mille feus envahir ma grotte. Cétait une succession de jouissance que jétais entrain de vivre et de déguster !

Je crois que toutes les bites me sont passés dessus, jai été tourné et retourné à mainte reprise, que jen ai perdu le compte. Car il ne mimportait plus de faire linventaire de mes amants.

Je me suis surtout concentré sur ma jouissance, mon plaisir et linstant présent.

Qui vient là ? Cest quoi ça ?

Je sens un petit doigt qui me titille mon petit trou intime. Je mentirais si je disais que cela ne ma pas plu, et cest peut être pour cela que jai crié, doucement au début, puis de plus en plus fort, pour quon ne pense même pas à y aller plus loin.

Je serrais alors mes fesses de toutes mes forces, pour bloquer cet accès.

A ma 3ème ou 4ème protestation, ce petit doigt, ou devrai je dire index se retira.

Et cest alors que je réalisais que plus aucune queue ne soccupait de moi. Cest alors que je relevais mon bandeau pour voir tous mes amants étaient affalés, qui sur le lit, qui sur une chaise et avaient la queue toute molle après une belle jouissance.

Cest alors que Philippe me tendit son préservatif et me dit :

— Tiens.. Bois !

Le fixant dun regard emmêlé damusement et de dégoût, je pris cette fine membrane en plastique et la renversa dans mon gosier pour la vider jusquà la dernière goûte.

— Cest une vraie salope ton amie, mais quest ce quelle est bonne.. Putain ! Des comme ça jen ai pas vu beaucoup !

Cette remarque fit lapprobation de toute lassemblée, alors que moi je me délecté de cette semence prise au piège de mes fines lèvres.

Après une bonne ½ heure, et après que tout le monde se soit remis de ces émotions, de ces intenses jouissances, ils remirent le couvert.

Me soulageant de cette gaine, qui je dois dire métouffait un peu, je sentais toutes les mains caresser mon corps nu, mon corps qui est à leurs merci. Je prenais plaisir à ressentir ces doigts courir sur ma chair, sur ma peau, mon ventre, mes cuisses, ma chatte. Je tortillais du cul comme pour éteindre le feu quils sont entrain de raviver tout au fond de moi. Mais cela na pas lair de faire son effet, bien au contraire, je me sens de plus en plus enflammée, chaude, excitée.

Cest alors que mon ami sallongea près de moi et me dit :

« Viens ! Pompe moi la bite ! »

Je tendis mes lèvres vers son membre tout mou et commença à le lécher, le faire de petites bises toutes chaudes. Ce qui eu pour effet de lui redonner vigueur. Timidement au début, plus jinsistais et plus cette vigueur saccentuait.

Je senti alors deux mains se poser sur mes hanches pour relever mon bassin. Une langue vint rajouter un peu de salive à ma sécrétion vaginale. Puis deux doigts ont pris place dans ma chatte pour sassurer de la bonne température des lieux.

En ressortant tout humide de mon puits damour, il étala mon breuvage entre la raie de mes fesses. Je pompais du mieux que je pouvais le zob de mon ami ainsi quune autre bite qui vint se joindre aux festivités buccales que jappliquais.

Les deux doigts, inquisiteurs disparurent, pour laisser champs libre à une bite bien chaude qui se logea entre les lèvres charnue de mon sexe.

En poussant tendrement tout doucement, on combla le vide de mon jardin intime.

Mon producteur de plaisir pris son temps pour mettre bien à fond la tige toute raide quil avait entre ses jambes. Il imprima alors de doux et long va et vient dans mon fourreau tout humide et affamé.

Il quitta mon sexe pour y replonger quelques secondes plus tard en poussant bien profondément dans ma grotte secrète. A chaque nouvelle pénétration, une longue plainte de bien être séchappait de mes lèvres alors que je continuais à sucer les deux queues quon mavait offertes.

Ce jeu dura quelques minutes, il menfila bien à fond, pour ressortir sa queue de ma chatte et en voulant la remettre en place, il frappa à la porte étroite de mon cul, mais saidant de sa main, il replaça son membre à lentrée de ma chatte pour me la mettre bien à fond.

Un plaisir, oui un vrai plaisir.

——

Jétais tellement bien, des étoiles brillaient dans ma petite tête de jouisseuse, que je ne comptabilisais plus les passages répéter de cet acteur.

Cette bite sorti en énième fois de ma chatte, mon amant de la soirée la pris en main pour la faire passer entre mes fesses, pour mettre sa bite aux portes fermées de mon cul. Je senti alors un filet de salive qui sécoula entre mes fesses et cest alors quon me saisi fermement les hanches pour forcer la porte de mon petit trou.

En sentant le gland qui avait réussi à se frayer un passage entre les portes soudés de mon cul, une longue plainte séchappa de mes lèvres :

« Nonnnnnnnnnnnnn !……. Nonnnnnnnnn »

Je voulu tomber sur le coté pour me dégager de cette introduction que javais interdite, mais on me maintenait si fermement les hanches, que je ne pus réussir mon évasion.

A chaque petite avancée de cette bite dans ses lieux interdits, je mentendis crier et supplier de sarrêter. Mais rien ny fis

On me forçait, on me violait, on me déchirait, on marrachait le reste dhonneur que je croyais avoir préservé.

« Ouiiii va sy Patrick, défonce lui le cul à cette salope ! »

« Encules la bien pour nous Patrick ! »

« Fais lui voir la douceur de ta bite à cette cochonne !»

Et encore, et encore pleines dexpressions plus cru les unes que les autres.

Cest à ce moment là que jai quitté mon corps, je me voyais solidement maintenu pour les haches par Patrick et ces amis qui le regardaient faire, qui le regardaient forcer mon cul.

Je sentais une douleur aiguë, je sentais une terrible chaleur envahir mon bassin. Jaurai cru quon mavait.. Je ne sais pas comment vous le dire. Cest comme si je messuyais le cul avec du papier verre !!!

Lhorreur !

Je ne sais plus combien de temps cela à duré, mais lorsque Patrick, me libéra les haches, je mécroulais sur mon coté gauche me mis dans la posture du ftus en ramenant mes cuisses à mon torse et en serrant mes jambes.

Des perles de larmes glissaient de mes yeux fermés. Jentendais les hommes qui riaient et sesclaffaient.

Un à un, ils quittèrent la chambres, en me laissant ainsi sur le lit, comme un chien, comme une chienne, abattue.

Je laissé quelques minutes passées, et quand je senti, que plus personne nétait en ma présence, je me suis levé, et je tins devant le miroir fixé au mur et je me mis à contempler ce corps qui se reflète.

Je vis un corps souillé, sale, malade. Un corps inconnu et pourtant je me raisonnais en me disant : « cest ton corps, cest ton corps, cest toi Douda, ce que tu vois là. Cest toi ! Une traînée ! »

Je sorti de la chambre avec des larmes qui perlaient le coin de mes yeux et fis appelle à mon ami pour quil me ramène à son appart.

Tous les yeux étaient braqués sur mon corps, cette chienne, cette salope qui a voulu jouer à des jeux qui sont plus forts quelles, à des jeux qui lont souillé.

Une fois que mon ami ait fini de shabiller et après mavoir rendu mon manteau, nous partîmes, je me sauvais sans même leurs faire des adieux quils espéraient tant avoir. Mon regard était fixé au sol en faisant attention de ne pas trébucher et tomber. Pas la peine de leurs faire encore plaisir, à ces gros cochons.

En franchissant la porte de lappartement de mon ami, je me précipite sous la douche et reste sous leau chaude une bonne demi-heure. Puis je sors et me mets au lit. Depuis que nous avons quitté la maison, je néchangeais aucun mot, aucune parole avec mon ami. Un silence de mort régnait entre nous. Je sentais aussi que mon ami se sentait mal lui aussi, car il narrêtait pas de dire « pardon, pardon !!! »

Cest plutôt à moi de dire pardon, de demander pardon à ce corps, à cette âme que jai souillé, maltraité et offerte aux pervers, offerte à un monde qui nest pas mien, à un monde que je ne veux plus vivre ni partager !

FIN

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