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Ma tante de 45 ans reste sublime – Chapitre 1




Si vous avez manqué le début…

Je m’appelle Jean. En 1995 à 18 ans, j’échoue en fac de droit.

Ma mère, Annie m’envoie en Angleterre chez sa sur Chantal, jolie blonde de 45 ans pour 1M70, 54 kg avec une poitrine de 85b.

J’intègre sa firme en tant que stagiaire pour y parfaire également mon anglais durant 1 an.

Finalement, tout ne se passe pas exactement comme prévu…J’ai une relation avec ma tante puis je reprends mes études achevées en 1999. 

Nous nous retrouvons cette même année pour ne plus nous quitter.

Nous voici en 2017, j’ai désormais 41 ans et ma tante 62 avec un physique irréprochable, ainsi que notre fille de 17 ans prénommée Anne.

Dernier chapitre

Mes parents nous invitèrent pour fêter Noël, nous acceptâmes même si ma tante émit quelques réticences à rencontrer ma mère à nouveau.

Le 24 décembre 2016, nous fûmes à Paris.

Nous arrivâmes vers 15 heures chez eux et mon petit frère fut de la partie pour nous accueillir.

Fraîchement divorcé, il nous accompagna à l’étage. Une fois dans notre chambre, il nous livra quelques confidences.

— Jean, je voulais te dire, maman est furax en ce moment à cause de mon divorce.

— C’est pas un scoop depuis le temps !

— Je tenais à te prévenir aussi Chantal et toi comment vas-tu ma belle-sur ou ma Tatie ?

— Oh tu ne vas pas t’y mettre aussi ! Répondit Chantal sur le ton de la plaisanterie.

— Tu restes avec nous ce soir ? Lui demandai-je.

— Pour le dîner ensuite je m’éclipse…j’ai un rdv.

— Tu ne perds pas de temps petit frère !

— Eh on ne vit qu’une fois. Dit-il en rigolant.

— Et elle est jolie ? Rajouta Chantal.

— Comme un soir de Noël…un vrai cadeau !

— Excellente réponse. Lui répondis-je.

Ma mère tout comme ma tante revêtirent leurs robes de soirée. Chantal fut exquise dans un ensemble noir avec un large décolleté. Elle eut beau dépasser la soixantaine, elle n’en garda pas moins une silhouette à faire pâlir des femmes de 40 ans.

Ma belle Tatie ne porta pas de bas, faisant apparaître la peau blanche de ses mollets jusqu’à mi-cuisse. Cela la rendit sensuelle à l’extrême. Je n’eus qu’une envie en la voyant, glisser ma main sous sa robe sachant que pour l’occasion, je lui avais dit de ne pas mettre de culotte. 

Au départ, j’eus droit à non catégorique de ma tante puis pour me faire plaisir, elle accepta de se retrouver nue sous son ensemble noir. Pour le haut ce ne fut guère envisageable, ma tante trouvant cela ridicule et particulièrement voyant.

Les cadeaux furent distribués et notre fille fut considérablement gâtée.

Avec le temps, elle comprit notre relation incestueuse, même si nous gardâmes en considération le fait que sa mère ne fut que la demi-sur de sa mamie, histoire d’atténuer notre consanguinité.

Notre repas se déroula calmement avec une belle entrée au foie gras. S’en suivit pour finir une bûche pour le dessert et aussitôt, mon petit frère rejoignit sa promise comme convenu.

Vers 23 heures, notre fille Anne regagna sa chambre bien accaparée par ses cadeaux.

Nous primes un petit digestif dans le salon.

J’allumai une cigarette et ma tante m’en demanda une. Ma mère la regarda, surprise de la voir fumer.

— Je vois que mon fils t’a dévergondée !

— Oh Annie, si tu savais…Répondit Chantal sur le ton de la provocation.

— Je préfère ne rien savoir ! 

— Mais tu peux demander ce que tu veux ! Continua Chantal en tirant une bouffée.

Il fallut avouer que la soirée fut bien arrosée, ma tante étant visiblement sujette à un excès de vin blanc puis de vin rouge et enfin du digestif.

Elle termina d’ailleurs son verre cul sec et en redemanda un autre. Mon père poliment lui en servit un autre. Chantal ralluma une autre cigarette dans la foulée . Je crus deviner son petit manège consistant à excéder ma mère, ce qui ne tarda pas.

— Chantal, tu fumes trop, c’est cigarette sur cigarette !

— Et alors ? Dit-elle en vidant son verre.

— Fais attention à ton âge.

— Ton fils me dit que j’en parais 50 ! Et même, il me trouve super sexy !

Un malaise général s’installa et ma tante essuya un refus de mon père pour un autre digestif.

Chantal ne fut pas ivre, seulement un peu pompette. Elle commença à me faire peur en ayant la parole trop facile.

— Tu n’es pas très bronzée Chantal ? Demanda ma mère tandis que mon père nous salua pour se coucher.

— Dès que je suis sur un transat, ton fils me met tant de crème que je ne bronze pas, pas vrai mon chéri ?

— Euh Chantal, il se fait tard…Dis-je pour écourter la dispute se préparant avec ma mère.

— Oh je peux dire ça et puis tu sais Annie, avec Jean j’ai découvert des trucs inimaginables avec lui, ton fils est un génie avec ses mains !

— Que veux-tu dire ? Demanda ma mère curieuse au possible.

— Depuis que je suis avec ton fils, les années passent à une vitesse, il sait me faire oublier le temps. Dit-elle en parlant vite.

— Profite-en ! Tu pourrais être sa mère…Dit-ma mère excédée des propos de sa sur.

— Ne t’inquiète pas, ton fils me câline comme il faut.

— Bon je préfère me coucher et passez une bonne nuit ! Et ma mère se leva et monta directement se coucher.

Du coup, nous fûmes seuls dans le salon et Chantal me fit signe de la servir, tout en se dandinant dans son fauteuil. 

— Arrête, tu as assez bu !

— Oh mon amour…Me dit ma tante en relevant sa robe.

— Nous sommes dans le salon et maintenant on va se coucher.

Ma tante se leva et me rejoignit dans notre chambre. Elle s’endormit immédiatement.

Je ne trouvai pas le sommeil et je me rappelai l’année 1999, quand nous vînmes ensemble en février et que nos parents ne furent pas au courant de notre relation incestueuse.

A cette époque, ils nous préparèrent chacun notre chambre et je me rappelle très bien de la fin de notre dîner.

J’avais 23 ans à l’époque et ma tante en afficha 44, superbe, la belle blonde mûre à croquer.

Mon père prit congé tandis que mon petit frère dormait paisiblement depuis un moment. Ma mère nous tint compagnie un instant puis nous souhaita une bonne nuit.

Ma tante me regarda, assise et songeuse et légèrement pompette comme ce soir. 

— Alors mon neveu, ce soir on va faire chambre à part ?

— Bah oui, nous n’avons guère le choix.

— Il nous reste cet instant. Dit-elle avec un air coquin.

— Oui bon nous sommes chez mes parents !

— Hep fiston ! tu te rappelles de ce que tu m’as demandée ? 

— Oui tu n’as pas de culotte mais ça n’est pas prudent de se faire un câlin.

Chantal fit comme si de rien n’était et leva sa jambe pour la poser sur l’accoudoir. Cet acte provocateur se révéla fort séduisant au demeurant, mais voir ma tante robe relevée avec les cuisses écartées dans le salon de mes parents, qui plus est avec une absence de culotte, me parut néanmoins déplacé sur le moment. Chantal ne s’en soucia pour rien au monde et se déchaussa affichant ses pieds séduisants.

— Alors ? On ne sert pas sa Tatie…Dit-elle en balançant sa jambe.

— Non tu as déjà assez bu ma chère tante.

— Jean, je pourrais me montrer très docile avec mon jeune étalon. Me promit ma tante en suçant son index.

— Arrête Chantal et nous devrions monter nous coucher.

— Oh comme c’est mignon, on veut faire comme sa maman ? 

— Arrête s’il te plait

— Tatie Chantal aimerait un gros câlin de son neveu, tu veux pas lécher la belle chatte de ta tante ?

— Bon je te raccompagne à ta chambre. Lui dis-je en avançant vers elle.

— Ou alors je te suce ton beau sexe, humm…j’en meurs d’envie !

Je tendis ma main afin que ma belle Tatie puisse se lever. Elle la saisit et une fois debout, je ne sus comment, mais sa robe de soirée fit un tour de passe-passe pour se laisser tomber jusqu’à ses hanches.

J’eus Chantal face à moi, sa poitrine à l’air et sans complexe, elle m’interpella.

— Mon neveu, je te suis à une seule condition !

— Ah d’accord je vois…Lui dis-je connaissant ses intentions.

— Que tu viennes prendre ta tétée auprès de ta Tatie !

— T’es ivre.

— Bon c’est oui ou alors je me rassois ?

— On peut en reparler demain…Dis-je fatigué de cette conversation inutile mais tout en restant attentif devant sa belle poitrine.

— Regarde comme ils sont beaux, ils sont à toi, viens les sucer mon chéri et je monte.

— Promis ?

— Ouiii mais viens…

Ma main se porta à la base d’un de ses seins et en fit le tour. Chantal cambra son buste et je n’eus plus qu’à me pencher pour lui lécher son aréole. Ma tante me caressa la nuque tendrement tandis que ma langue s’activa autour de la pointe de sa poitrine. Je saisis ce fruit bien mûr et ma bouche toute entière happa son téton pour l’aspirer jusqu’à son extrémité et le lui pincer délicatement en le suçotant. 

Ma belle Tatie se mit à gémir et m’incita à m’occuper de son second sein, désireux de subir le même sort. Je m’en acquittai pour le plus grand bonheur de ma douce Chantal.

— C’est bon…tète ta Tatie…tète ta chérie…

— T’es super excitée ?

— Un peu…Dit-elle dans un sourire.

— Non ! T’es super excitée !

— Oui ! Répondit-elle toujours en souriant.

Tout à coup, nous entendîmes du bruit dans l’escalier. Ni une ni deux, comme deux gamins nous regagnâmes nos places respectives, Chantal se rhabillant dans la précipitation. J’allumai une cigarette pour me donner une contenance.

Situation ridicule.

— Mais vous n’êtes pas couchés ?

— Non maman, on discute mais on ne va pas tarder.

— On monte Annie ! Hurla ma tante sans s’en rendre compte.

— Je ne suis pas sourde, je cherche un verre d’eau pour la nuit, bonsoir. 

Ma mère jeta un regard féroce à ma tante, agacée de voir sa sur au bord de l’ivresse. Nous perçûmes le bruit d’un verre puis les pas de ma mère montant l’escalier, jusqu’au claquement de porte de sa chambre.

Chantal me jeta un regard rieur, telle une lycéenne faisant des sottises. Elle resta assise et croisa ses jambes somptueuses avec ses pieds nus d’une finesse irrésistible. 

— Chéri, on reprend ? En écartant ses cuisses pour me montrer son sexe séduisant.

— Chantal, ma mère peut très bien redescendre.

— Oh tu es avec ta Tatie chérie, regarde ce qu’elle t’offre ? Ma tante se leva subitement et se déshabilla.

— Tu es folle ?

— Allons, tout le monde dort, viens dévorer mon petit minou…

Ma tante prit possession du canapé et se mît en position de levrette en prenant soin d’exhiber sa croupe. Je l’observai de profil et ses formes resplendissantes eurent raison de mon sexe, réclamant son dû face à elle. Ma tante, férue de salle de sport, de fitness prit un malin plaisir à s’exhiber parfaitement nue dans le salon parental.

Ce fut une forme de provocation à l’encontre de ma mère, une forme de défi ou de jeu fortement risqué.

— Viens prendre la sur de ta maman sur son canapé…En dandinant son joli derrière.

— C’est pas raisonnable du tout.

— Et c’est raisonnable de baiser avec sa tante ? Bon tu viens…J’ai envie de toi ! Dit-elle exaspérée en haussant le ton.

— Du calme…et tu vas attraper froid.

— Bon, dans ce cas je viens sur toi ! Chuchota-t-elle.

— Je préfère en parler en haut dans ta chambre.

— Mais on ne peut pas et c’est plus excitant ici…

Chantal changea de position pour s’allonger sur le dos, les jambes bien écartées tout en creusant son ventre. Elle se montra fort désirable dans cette attitude, mettant en avant sa poitrine flamboyante. 

Mon esprit me dit non mais mon sexe guida mon corps. Je quittai mon fauteuil pour faire face à ma tante avec des yeux remplis de désir. 

Mon pantalon se retrouva à même le sol, le caleçon suivant la même direction. Mon sexe gonflé à bloc attira l’attention de ma tante.

— Belle bête ? Puis-je goûter mon bel étalon ?

— Régale toi ma belle Tatie ! 

Sans un mot, mon sexe devint mon maître et me montra la voie à emprunter pour atteindre la lave tant redoutée, capable de faire imploser un intrus dans la chaleur de son cratère. 

Mon sexe accepta ce défi de taille et ma tante prépara tout son attirail, les lèvres humides, un rictus accueillant et bien entendu, sa fée charmante avec comme seul bagage, sa baguette gracieuse, habile et belligérante. Je mis en garde mon sexe face à cette princesse rusée, apte à recueillir sa semence par des gestes ingénieux.

Mon membre puissant apparut face à la fée rusée qui se fit invisible pour faire place à l’escadrille qui se mit en place. 

Je me fis à nouveau sous-marin mais je ne restai guère en immersion sous les doigts fins de ma tante.

La guerre fut déclarée, ma tante disposant d’une puissance de feu bien supérieure à la mienne, tel un affrontement entre un porte-avions et le submersible que je fus.

L’État-major fut réuni pour nous déclarer en niveau d’alerte 5, niveau d’alerte maximale. Force est d’avouer que la tension atteignit un degré palpable, dans la mesure où le recours à l’arme nucléaire fut envisagé pour parer à une descente improviste d’une troisième force, venant du 1er étage.

La tactique de l’ennemie fut claire, impressionner l’équipage afin qu’il envoie directement nos torpilles face à une panoplie de contre-mesures comme deux brouilleurs et un leurre. 

Ma tante posséda cette panoplie avec ses lèvres délicieuses ainsi que sa langue gracieuse. Elle voulut, pressée par le temps récupérer nos torpilles au fond de sa bouche…

Nous fûmes à la surface, incapable de faire immersion, aussi ma tante en profita pour lancer les hostilités. Nous vîmes décoller deux avions de chasse armés de missiles. Le tir fut d’une précision chirurgicale, les missiles pointèrent directement vers la tour du périscope. Nous fûmes sans réaction face à cette attaque foudroyante.

Ses lèvres vinrent échouer face à la cuirasse de notre bâtiment de guerre. Nous fûmes légèrement ébranlés et je donnai l’ordre d’une contre-attaque immédiate.

J’engageai des pourparlers avec l’adversaire pour la déstabiliser, erreur monumentale de ma part.

— On peut dire que tu aimes me sucer Tatie !

— Oooh ouiiii j’adore mon neveu chéri.

— T’es une vraie experte.

— Tu as un sexe beau, fort et j’aime l’avoir dans ma bouche pour le sucer, le lécher. C’est mon péché mignon ! 

Chantal caressa ma verge avec ses doigts fins et approcha à nouveau sa bouche somptueuse.

Privé de périscope, nous entendîmes grâce au sonar deux puis quatre missiles en approche. La fée silencieuse se fit jour, longeant la coque de notre bâtiment. A l’aide des contre-mesures, ils explosèrent en chemin engendrant des secousses interminables. Notre bâtiment fut privé de propulsion et une chaleur intense se dégagea. Le second voulut prendre l’initiative, nous rendre à l’ennemi en envoyant des torpilles en rafale, geste ultime voire désespéré.

Chantal engloutit ma verge et débuta ses allers-retours telle une prédatrice. 

Il me fallut garder les idées claires, j’ordonnai l’amorçage des torpilles et le chef-mécanicien fut convoqué sur le champs. Il nous recommanda une semi-immersion pour refroidir les machines. Par ruse, j’entamai une caresse dans les cheveux de ma tante, obnubilée de m’avoir en bouche. J’envoyai un groupe de commando, des plongeurs expérimentés capable de tout.

J’évitai de regarder le visage de ma tante, de voir ses lèvres et sa bouche absorber mon pénis auraient eu raison d’un départ inopiné de nos torpilles.

En semi-immersion, nous retrouvâmes de la propulsion et notre commando aborda le porte-avions, dernier cri de la technique américaine. 

J’en oubliai qu’il fut un bâtiment de guerre, je me remémorai les dernières visions de ce navire avant notre immersion. En plein océan, on le vit fendre l’écume laissant derrière lui les vagues grondantes. Je fus ébloui par son aspect majestueux, sa puissance devenant grâce.

Mes plongeurs débarquèrent par l’entrée principale du hangar, situé sous la coque, lieu où les chasseurs se préparent pour déverser leurs pluies de diamants. Mes hommes se mirent à l’ouvrage, à l’abri des regards.

Chantal continua de me sucer tandis que mon commando se fraya un passage entre ses cuisses à la peau si lisse. Mes hommes aux doigts de fée progressèrent vers la tour de commandement, enjambant les passerelles. N’ayant d’yeux que pour mon submersible, le porte-avions continua sa route sans s’occuper des intrus. 

Habilement, ils prirent peu à peu possession de cette tour, cur de la défense du navire.

Mes doigts se collèrent aux lèvres intimes de ma tante, débutant une danse de caresses à laquelle elle ne fut pas insensible. Elle ralentit sa succion pour me garder en bouche, ouvrant naturellement ses cuisses en oscillant son bassin.

— Si ta maman nous voyait. Dit ma tante en gardant ses lèvres posées sur mon gland.

— Elle dort heureusement ! Lui dis-je tout en introduisant mon majeur dans son orifice trempé.

— Hummmm…j’aime ce que tu fais. S’exclama ma belle Tatie en promenant sa langue sous ma verge.

— C’est délicieux, comme tu sais bien me sucer, mais je crois qu’il ne faut pas perdre de temps ma belle Tatie.

— Ah tu as déjà envie de me sauter petit coquin ! Dit-elle en me jetant un regard rempli de malice.

— Pas qu’un peu ma belle…

— Mais j’en ai pas fini avec ton gros sexe ! S’exclama Chantal en glissant ses lèvres sur mon gland, pour finir par l’engouffrer dans sa bouche sublime.

Je repartis dans cette guerre aéronavale sans précédent.

La décision fut prise, inéluctable : rentrer en collision avec le porte-avions (!).

Le chef-mécanicien me fit signe que notre groupe propulseur fut opérationnel. Notre commando nous indiqua la trajectoire idéale et activa les préparatifs.

Désormais je doigtai ma tante avec vigueur, mon arme fatale fut mon majeur. Je m’attardai sur le crépuscule de sa partie intime, puis mon doigt plongea dans son orifice précieux. Ce fut le coup de grâce, Chantal se désintéressant de mon submersible, il fut aisé de remonter à la surface en mettant la puissance maximale.

Mais je voulus plus ce soir-là, posséder l’ennemie, la faire jouir comme jamais sur un terrain hostile pour nous deux.

Ma belle Tatie dandina son merveilleux bassin, prête à se faire prendre par son jeune neveu. 

— Viens mon chéri…viens me prendre…viens me pénétrer…Gémit-elle.

— T’es un vrai régal ! Dis-je, mon sexe abandonnant ses lèvres pulpeuses.

J’abandonnai mon navire et ma tante fit de même laissant les torpilles, missiles et autres pour nous sublimer dans un regard commun.

Mon sexe approcha pour consommer ma tante. Dès le début de ma pénétration, Chantal émit un long râle, synonyme de satisfaction de sentir en elle, mon gros sexe progressant dans son orifice consentant.

Ma tante se laissant aller à voix haute, il me fallut la ramener à la raison.

— Ouiii…plus fort mon neveu !…plus fort…!

— Chut Tatie, on peut nous entendre.

En plein coït avec Chantal, j’entendis un grincement dans l’escalier. Ni une ni deux, je disparus derrière le canapé, ma tante ayant tout juste le temps s’enfiler sa robe.

Ce fut ma mère, ayant oublié je ne sus quel médicament.

— Chantal, que fais-tu ?

— Je fume une dernière cigarette et je monte.

— Et Jean ?

— Il est monté depuis longtemps. Dit-elle mentant éperdument.

— C’est drôle, je ne l’ai pas entendu.

— Tu dormais sans doute.

— Non justement et je prends des somnifères, bonne nuit petite sur.

— Bonne nuit Annie.

Durant la fin de cette brève conversation, j’eus le temps de passer par le couloir, empruntant l’escalier pour foncer dans ma chambre. A l’affût du moindre bruit, le claquement de la porte de mes parents fut le signe que la voie se libéra.

Cinq longues minutes s’écoulèrent et le ronflement de ma mère me signifia la possibilité de rendre une visite à ma tante. En simple caleçon, j’accédai à sa chambre.

Dès mon arrivée, elle se leva du lit arborant un simple tee-shirt et se serra contre moi. 

— Ce serait plus prudent d’éteindre la lumière. Suggéra-t-elle.

— Oui et le réverbère de la nuit va nous éclairer.

— Alors on reprend ? Dit-elle impatiente.

— Bien sûr, je n’ai pas encore fini avec la petite sur de ma mère. 

— Ah ah ! Tu veux continuer à sauter ta Tatie. Murmura-t-elle avec une voix joyeuse.

— Tu n’imagines pas combien tu me plais.

— Si je vois bien, tu as tout le temps envie de me faire l’amour. Dit-elle en haussant les épaules d’une façon malicieuse.

— T’es une belle femme mûre qui aime se faire prendre par le fils de ta sur et ça t’excite, non ?

— Bah…tu es jeune et tu me fais très bien l’amour, je suis comblée avec toi, t’es mon jeune chéri.

— Ca t’excite que je sois ton neveu…

— Non, ce qui m’excite avec toi, c’est ta délicatesse et toi, tu aimes baiser ta propre tante ?

— Je l’adore ma tante, je t’aime comme un fou, t’es mon fantasme !

— Moi aussi je t’aime Jean malgré le fait que tu sois mon neveu, allez montre à ta Tatie combien tu l’aimes, elle voudrait savoir…

Je la pris par la main, m’assis sur une chaise en me débarrassant de mon vêtement. Ma belle Tatie, sensuelle comme jamais avec ses longues jambes, regarda admirative mon sexe en pleine effervescence.

— Tu veux que je vienne…Dit-elle avec une moue boudeuse.

— Approche.

— Je vois que mon jeune neveu désire sa Tatie ! Dit-elle faisant face à moi.

— Assieds-toi sur moi Chantal.

— Tu crois pas qu’on exagère un peu mon bel étalon ? Dit-elle sans conviction.

— Viens te couler en moi, tu en crèves d’envie.

— Oui j’en crève mais on fait vite ! Se réjouit-elle.

Ma grande blonde de 44 ans avec ses seins en poire vint se mettre sur moi, elle saisit mon sexe et le dirigea dans son intimité. 

Ce ne fut que pure formalité de me retrouver en elle, bien au fond en la serrant contre moi. Gracieusement, ses mains fines se posèrent sur mes épaules et elle approcha sa bouche, désireuse d’un long baiser. Je l’embrassai goulûment, caressant ses fesses bien fermes pour remonter le long de son dos.

Elle imprima un rythme lent par des balancements de son bassin, ma langue plongée dans son palais virevolta avec la sienne.

Je pelotai le cul sublime de ma tante, se laissant faire en éprouvant un plaisir palpable. Elle mît ses mains derrière ma nuque, se faisant chevaucher lors de mes ruades. 

Je la saisis toute entière pour la porter sur un petit bureau d’écolier conservé dans cette chambre d’amis.

Étalée, je me retirai d’elle pour goûter son intimité, ses jambes posées sur mes épaules. Très vite elle me prit la tête pour me plaquer contre son orifice, désireux de se savoir savourer par ma langue.

Je léchai Chantal, je bouffai son sexe toute éveillé, j’aspirai ses lèvres à pleine bouche. Ma tante ne put se contenir et sa précieuse liqueur abonda dans ses gémissements intempestifs.

— Ouiii….continue à lécher Tatie Chantal !

— Tu aimes ma belle ?

— Ouii bouffe moi ma chatte, elle est à toi !

— Attends…

Je descendis plus bas, passant outre son vagin pour atteindre son orifice secondaire. Ma langue tourna autour de son anus si pur. Je déposai suffisamment de salive et mes doigts uvrèrent comme il fallut.

Je relevai ses jambes fines et j’approchai mon membre de cet orifice mystérieux.

— Oh Jean, tu sais que j’adore ça…

— Je sais Tatie, tu as découvert cette pratique avec moi.

— Oui, c’est si intense et tu t’y prends si bien et j’avoue que j’en raffole quand c’est toi !

— Je te connais par cur.

— Oui en effet et tu fais de moi ce que tu veux…

Ma tante se détendit et mon sexe reluisant effleura cette douce extrémité. Posément, mon membre conséquent s’introduit dans ce passage étroit sous les yeux contemplatifs de Chantal. Ma belle femelle bien mûre se laissa sodomiser par son jeune neveu en me tenant fermement les avant-bras. 

Plus je pris possession de son corps et plus de je vis ses yeux se fermer.

Des va et vient timides débutèrent accompagnés des soupirs de ma Tatie, totalement soumise à mes désirs. Mes mouvements s’amplifiant, je la vis rouvrir les yeux pour m’adresser un sourire de satisfaction. Elle contracta ses muscles par intermittence et mes mains glissèrent sous son tee-shirt pour y attraper ses seins affolés. 

— Oh non…c’est pas possible…c’est trop bon ! Murmura-t-elle.

— Détends toi ma toute belle. Dis-je caressant ses seins avec son tee-shirt relevé.

— Que c’est bon Jean…Soupira-t-elle.

— J’aime t’avoir pour moi tout seul.

— Ouiii…continue de baiser ta belle Tatie. Dit-elle dans un soupir.

Dans la pénombre du réverbère, je devinai les formes de ma tante, se tortillant du plaisir de se faire sodomiser, s’offrant à moi sans la moindre retenue.

Puis vint l’extase, Chantal ressentant aisément les ardeurs de mon sexe en elle.

Elle n’eut plus la force de contracter son sphincter, mon sexe coula dans son canal et enfin se libéra en lui. Ma belle Tatie me serra les bras, se tendit face aux multiples coups de butoirs de ma part.

Ce fut sublime de voir son corps se remplir de ma semence, voir son ventre se creuser et entendre son souffle court.

Du haut de mes 23 ans, je fis jouir ma tante de 44 ans qui cria son plaisir, sa joie, sa délivrance.

— Mon Dieu ! Que tu es beau mon neveu.

— T’es magnifique !

— Baise moi encore…baise la petite sur de ta maman…baise-la ta petite sur…

— Jouis avec moi Chantal. Dis-je en plein effort.

— Plus fort…encore plus fort…défonce-moi mon neveu.

— Je t’aime.

— Moi aussi ! Oooh je jouis Jean…et je te sens fort…mon dieu que c’est bon avec toi !

Sur ces dernières paroles, je conclus par des petits mouvements brutaux et rapides enfonçant mon sexe au plus profond de son être.

Le temps passant, je n’oubliai pas les risques encourus et je pris congé délicatement en rejoignant mon lit.

Parenthèse fermée sur ces souvenirs inoubliables, je me retrouvai dans notre chambre…en 2016 et Chantal ayant trop bu eut quelques difficultés pour se déshabiller.

Elle se glissa sous le drap, attendant mon arrivée. Ma tante voulut bavarder…

— J’ai un peu trop bu, tu m’en veux ?

— Mais non, ça met du piment !

— Ah je préfère que tu le prennes ainsi et comment faire pour que tu me pardonnes ?

— Que tu dormes ma chérie, ça te fera du bien.

— Je me ferai pardonner demain matin à la 1ère heure mon amour…

— Oui mais dors.

Suivant mes conseils, elle posa amoureusement sa frimousse sur mon torse et s’endormit.

Ma tante se réveillant avec la gueule de bois, le programme de promesse fut vite écarté.

Nous descendîmes de bonne heure rejoindre mes parents tandis que notre fille dormant profondément en profita pour se lever en fin de matinée.

Mon père ne s’attarda et partit faire sa toilette. Chantal et ma mère engagèrent une explication pour hier. Je les regardai bavardant sans oublier les jambes terriblement sensuelles de ma tante, ainsi que ses pieds élancés.

— Chantal, hier tu as été ridicule et tes insinuations avec mon fils étaient vraiment déplacées.

— Bon Annie on va pas en faire un drame. Répondit ma tante tout en me caressant la cheville avec ses orteils délicieux.

— Maman, ça n’était rien de grave et Chantal n’était pas ivre quand même !

— Oh toi, toujours à prendre la défense de ta tante !!

— Inutile de s’énerver maman, alors que fait-on ce matin ? Dis-je sous les frottements incessants du pied de Chantal.

— Je vais aller prépare le déjeuner de Noël, vous avez le temps.

— Annie, je prends une douche et je te donne un coup de main. Demanda ma belle Tatie en me lançant un regard coquin.

— Ah volontiers ma petite frangine !

Elles rigolèrent et je m’éclipsai rapidement. Les frottements de ma tante m’incitèrent à prendre une douche bien froide, histoire de contenir mes ardeurs. Un beau soleil illumina cette journée de Noël et je décidai de faire un petit jogging.

Je vis ma mère avec ma tante s’affairant à dresser la table dans le salon. 

— Tu vas faire un peu de sport Jean ? Demanda ma mère.

— Oui j’en ai envie et avec le soleil, un petit parcours me fera du bien.

— Tu ne vas pas courir seul, Chantal va venir avec toi ?

— Mais Annie tu n’as pas fini ? S’interrogea ma tante.

— Ne t’inquiète pas, rejoins ton neveu et partez en forêt !

Ma tante toute heureuse, fit un petit bisou spontané à ma mère, qui ne cacha pas son émotion. Le temps d’une douche et d’enfiler son jogging, elle redescendit aussitôt.

Nous nous retrouvâmes en pleine forêt parmi quelques couples, eux aussi matinaux. Quelques échauffements pour éviter un claquage, puis nous débutèrent à un rythme léger notre petite randonnée. J’observai ma tante en train de courir et malgré un pantalon large, je discernai sans mal sa paire de fesse bien ferme. Au bout d’une 1/2 heure de course, nous fîmes une pause et un petit bistrot à la sortie du bois nous tendit les bras.

Avec un soleil radieux, nous nous installâmes en terrasse et ma tante commanda un chocolat chaud, je fis de même. Malgré l’hiver, la chaleur diffuse des rayons nous réchauffa au point que Chantal en enleva la veste de son jogging.

Sous son tee-shirt blanc, la pointe de ses seins se fit arrogante, aussi j’en déduisis aisément qu’entre cette fraîcheur hivernale et ce regain de température, la sensibilité de ma tante en fut plus qu’exacerbée.

Ultra sexy ma tante dans cette tenue.

— Oh ça fait du bien Jean. Dit-elle après plusieurs gorgées.

— Oui, j’aime partager ce genre de moment avec toi.

— On est bien tous les deux. Dit-elle songeuse en se passant les mains dans ses cheveux.

— On va rentrer tranquillement, on est à deux pas de la maison en prenant un raccourci.

— Ouh là là…mais où m’emmènes-tu ? 

— Dans des endroits mystérieux Tatie ! Dis-je en plaisantant.

— J’ai chaud, je vais retirer mon soutien-gorge, ça ne te dérange pas ? Dit-elle un brin allumeuse.

Nous fûmes sur un petit sentier et très vite nous aperçûmes la demeure familiale. Chantal marcha devant moi avec son sous-vêtement enveloppé dans sa veste, puis elle se retourna. Une cinquantaine de mètres nous séparèrent de l’entrée du jardin, située à l’arrière. A l’abri des regards, ma tante s’approcha gracieuse et je sentis son haleine tiède.

— Embrasse-moi. Dit-elle la voix posée.

— C’est un ordre ?

— Absolument et je tiens mes promesses. Chantal haussa les sourcils, sexy au diable avec peu de maquillage.

— Tu parles d’hier soir ? Alors je t’embrasse ma belle Tatie.

— J’ai d’autres projets pour toi.

— On verra ce soir.

— Mais nous partons aujourd’hui !

— Où avais-je la tête…nous verrons chez nous dans ce cas.

— Oh c’est bien trop long…Dit-elle avec un petit sourire mystérieux.

Je serrai ma tante contre moi, lui collai mes lèvres aux siennes et nos langues habituées s’emmêlèrent joyeusement. Elle laissa tomber sa veste et me prit avec ses deux mains par le cou, pour continuer notre baiser enflammé. Puis lentement, je sentis sa main descendre le long de mon corps s’attardant sur mes parties intimes et sans complexe, Chantal glissa ses doigts fins à l’intérieur de mon pantalon de jogging. Elle arrêta de m’embrasser pour me fixer du regard en promenant ses doigts le long de ma verge qui, malgré le froid se mit à se raidir.

Chantal me stimula à travers mon jogging avec la peau douce de ses doigts et la sensation devint fort agréable avec une température de 4 à 5 degrés.

— On dirait que tu apprécies ce que fait Tatie.

— C’est pas mal du tout mais nous serions mieux à l’intérieur, tu ne crois pas ?

— Personne ne peut nous voir alors laisse faire ta petite sur…

Et la petite sur de ma mère s’accroupit et me descendit mon jogging. Elle se retrouva nez à nez face à mon sexe, gorgé de sang, excité comme un beau diable. Je vis un regard contemplatif de ma tante puis elle sortit sa langue et vint tournoyer sur mon gland. Elle prit soin de ne pas le décalotter et s’affaira à déposer des baisers le long de mon gros sexe. Ma tante releva la tête, désireuse de continuer plus loin.

— Alors mon chéri ? Dit-elle la mine réjouie.

— T’es ma Tatie chérie !

— Wouah alors le grand jeu…

Je ne vis que sa chevelure blonde et je ressentis la chaleur de sa bouche quand elle absorba mon sexe en une seule fois. Toujours bonne élève, ma tante me suça avec plaisir, avec une lenteur savoureuse, laissant glisser ma verge entre ses belles lèvres pulpeuses.

Moment de pur régal que d’apercevoir ma tante en train de me sucer avec tant de délectation.

— Viens mon chéri…donne-moi ta semence…

— Oh comme c’est bon !

— J’aime avoir ton sexe entre mes lèvres…allez viens…donne à Tatie…Ma tante me suça avec un plaisir évident.

— T’es folle Chantal. Dis-je sentant mon sexe batifoler avec la langue de ma tante.

— Oui c’est bien…continue…Dit-elle en collant sa bouche contre mon pubis.

Puis Chantal se retira, laissant mon sexe à l’air libre dans cette température glaciale. Ce ne fut que pour me reprendre en bouche et cette fois, elle engloutit délicieusement mon beau pénis se retrouvant bien au chaud et ne fit que le laisser entrer et sortir à sa convenance tout en l’aspirant avec une dextérité sans pareil.

Ses mains plaquées contre mes fesses, mes premiers spasmes arrivèrent et je caressai les cheveux en bataille de ma tante sous l’effet de ma jouissance.

— Oh je jouis Chantal ! Dis-je en lui prenant la tête.

Ma tante avala ma semence puis se recula.

— Encore chéri ! Dit-elle les yeux fermés avec la bouche ouverte.

— Ouiii…prends ça…

Chantal en eut sur le visage et sa langue se précipita pour récupérer la précieuse substance autour de sa lèvre supérieure. Elle s’essuya et reprit mon sexe pour le pomper à nouveau. J’adorai les fellations de ma tante…

— C’était bien mon chéri ? Demanda ma tante tout en suçant mon gland en souriant.

— Juste parfait.

— Je recommencerai mon amour. En finissant sa phrase, Chantal ne put s’empêcher de glisser à nouveau mon sexe à ’l’intérieur de son palais.

— Mais tu n’arrêtes jamais ma chérie !

Elle fit non d’un signe de la tête en dégustant ma verge amoureusement.

Puis elle se mît debout tout en remettant mon jogging en place. Dans la foulée, je soulevai son tee-shirt pour apercevoir ses seins enivrants sous la pureté d’un soleil d’hiver. Ses tétons autant durcis par le froid que par sa propre excitation furent immédiatement recouverts, j’eus peur que ma merveilleuse tante ne prenne froid.

Nous arrivâmes dans la cuisine, ma mère terminant le repas pour midi.

— A voir vos mines, il ne doit pas faire chaud ! Dit-elle sans se douter de ce que sa sur venait de faire à son fils.

— Oui Annie et nous allons prendre une douche pour nous réchauffer.

— Prenez votre temps, Anne dort toujours.

— Maman, il est près de 11 heures…

— A son âge, tu dormais toute la matinée !

Chantal pouffa de rire et prit le chemin de notre chambre. Je restai avec ma mère, heureuse que je reste seul avec elle. 

— Ca en fait du chemin parcouru avec ta tante ou avec ma sur !

— Bah oui et nous avons une fille de 18 ans, tu te rends compte.

— Oui mais tu sais j’ai eu du mal à l’accepter, que tu couches avec une femme plus âgée, ça ne me regarde pas mais avec ma propre sur…

— Je comprends maman mais nous sommes heureux.

— Oui c’est l’essentiel mais cela reste contre-nature pour une mère et je ne me suis aperçu de rien au départ.

— Ecoute, ça faire un bon moment que nous sommes ensemble et personne n’est au courant.

— Oui Jean.

— Maintenant je suis content d’avoir cette conversation depuis le temps.

— Si tu es heureux avec ma sur…

Ma mère essuya une larme, elle se retourna pour me cacher son émotion. 

Il est vrai que la pilule fut difficile à avaler, mais le désir de ma tante depuis mon adolescence devint pour moi comme une évidence, de pouvoir enfin coucher avec elle fut une sorte de consécration. Et à l’heure actuelle, je reste toujours béat devant Chantal, je poursuis cette sorte de rêve éveillé depuis près de 20 longues merveilleuses années.

Nous parlâmes de l’avenir de ma fille, de ses études…

Ma tante arriva, printanière, en jupe avec de jolis escarpins flattant ses jambes longilignes. Son chemisier bleu marine dissimula ses seins en forme de poire et je devinai sans mal une absence de soutien-gorge.

Une envie soudaine de cueillette de fruits mûrs me vint à l’esprit.

Ma tante se rendit compte de mon regard attentif et me fit un petit clin d’il en tirant sur son chemisier. 

— Chantal, tu vas attraper froid et en plus tu n’as pas mis de bas ! S’exclama ma mère.

— Si j’ai froid je mettrai un pantalon ! 

— Et peut-être un gilet…Dis-je en observant ma belle Tatie.

— Mais pourquoi ? Répondit ma mère.

Chantal fut pris d’un énorme fou-rire avec la question de sa sur. Je ne mouftai pas mais nous échangeâmes un regard complice. Anne arriva enfin en baillant et en traînant les pieds.

— Bonjour ! 

— Ne mange pas trop, nous déjeunons à 13 heures. Lui dit sa grand-mère.

— T’inquiète mamie.

— Bon moi je vais me changer…euh Chantal je mets quelle chemise ? Dis-je d’une manière innocente.

— Attends je vais te montrer, tu vas encore mettre n’importe quoi ! S’écria-t-elle.

Nous nous retrouvâmes dans la chambre et ma tante se dirigea vers la valise. J’observai ses mollets fins, ses chevilles minces et sa paire de fesses à travers sa jupe. 

Ma tante ne changeait pas, du haut de son mètre 70 avec ses 54 kg, elle demeurait une femme quasi parfaite.

Elle se retourna et comprit immédiatement en remarquant les traits de mon visage. Elle me fit un sourire et s’approcha pour me chuchoter dans le creux de l’oreille.

— Toi tu aimerais faire quelque chose à ta tante…

— Tu devines tout. Lui dis-je en glissant ma main sous son chemisier défait.

— Ah je vois, on veut peloter les seins de la belle Chantal mais j’ai une autre idée.

Chantal recula, se baissa pour ôter son slip et releva sa robe, puis s’allongea sur le bord du lui en prenant soin d’écarter ses jambes somptueuses. Sublime, fascinante, magique voire divine furent les mots qui me vinrent à l’esprit en contemplant le formidable spectacle offert par ma tante.

Je pensai à Oscar Wilde : "La beauté est dans les yeux de celui qui regarde".

Sur le moment, je ne sus lequel des deux fut le plus beau tant nos yeux se figèrent l’un dans l’autre.

— Alors chéri, comment me trouves-tu ? Dit-elle en se caressant les cuisses.

— Tu me fascines toujours autant.

— Wouah quel compliment après tant d’années…Prononça-t-elle avec gaieté.

J’enlevai dans la hâte mon pantalon et mon tee-shirt pour me retrouver nu face à ma tante, admirative de ma forme retrouvée. Une fois encore, je la vis diriger son regard vers mon entrejambe et elle ne put s’empêcher de me murmurer ses mots à elle.

— Je crois que je vais être gâtée ! Dit-elle les yeux pétillants.

J’adorai cette phrase et en guise de réponse, je lui fis un sourire en m’approchant de son intimité, qui à première vue n’eut nul besoin d’être stimuler. 

J’entendis la douche, notre fille Anne étant remontée, il fallut accélérer la manuvre. 

Point de romantisme, juste un acte sexuel entre ma tante et moi se dessina.

Mon sexe ardent ne fit qu’une bouchée pour pénétrer Chantal, avec une entrée progressive durant laquelle nous nous regardâmes fixement, savourant mutuellement notre copulation incestueuse. Ma tante releva ses longues jambes et au passage, je la débarrassai de ses escarpins ce qui lui permit de poser ses pieds élancés sur mon torse poilu.

— Aaaah tu vas profiter de mes petits pieds…

— Monte plus haut que je puisse les embrasser. Lui dis-je sur un ton pressé.

— Oui grand chef ! Répondit ma tante en allongeant sa jambe.

Je saisis ses mollets et tout en débutant des entrées comme des sorties dans l’orifice dévoué de ma tante, je savourai la peau exquise de ses orteils.

Tout s’accéléra, mon rythme devenant infernal, ce qui fit la joie de ma superbe Tatie au passage, je suçai avec frénésie ses somptueux orteils.

— C’est bon mon chéri…ne t’arrête plus…Dit-elle dans un soupir.

— Que tu es belle !

— Ouiii je sais…baise-moi fort…baise ta tante adorée…S’écria-t-elle en plein orgasme.

Chantal ressentit ma jouissance, je perçus ses ongles se planter dans mes avant-bras tandis que ma langue se perdit dans la peau lisse du dessus de ses précieux orteils.

— Je jouis Chantal…

— Ouiii…Jouis en moi…vide toi à l’intérieur de moi…remplis moi de ta jouissance…Renchérit-elle.

J’imprimai un rythme infernal, je baisai ma

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