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Chantal et Aurélie – Chapitre 1




Encore un jour de pluie. Je traînais mon ennui depuis une semaine.

Foutues vacances de printemps et mes parents qui avaient voulu s’installer à la campagne dans cette grande maison retirée du village.

Nous avions déménagé l’année passée et j’avais donc du faire ma rentrée dans un nouveau lycée.

Quelle chance!! Il se trouvait à peine à 15 km de chez moi et tous les matins, je devais prendre le bus qui me déposait à 7h30 devant les grilles de l’établissement ce, après trois quarts d’heure de transport. Ce qui me faisait donc lever à 5h40 pour être à peu près présentable à l’arrêt du bus qui se trouvait encore à 10 minutes à pied de chez moi.

Mon père travaillait comme commercial pour une entreprise parisienne, mais qui avait ouvert un bureau dans la région. Vu les prix des loyers et les bouchons, mes parents avaient donc décidé de s’installer à la campagne. Ma mère avait trouvé un emploi de vendeuse dans un magasin d’une petite ville à "côté" de chez nous (je veux dire donc 15 km). Mon frère était étudiant et ma soeur avait quitté le domicile familial depuis quelques temps déjà, et s’était installée avec son copain dans les environs de Lyon.

Et moi ! Et ben moi, je traînais ma flemme chez moi entre la télé, ma chambre, et l’ordinateur. Je chattais un peu sur internet comme j’étais loin de tout … Je m’étais tout de même faite une copine au lycée, et quelle copine !!!!!!!!!!!!!.

Elle aussi habitait dans la campagne mais encore à 15-20 minutes en vélo de chez moi. Quand le temps le permettait on se retrouvait pour pleurer sur notre sort. Oubliées des dieux et des hommes.

AAAH ! Les hommes parlons-en!! Rien à se mettre sous la dent. On aurait dit que tous les blaireaux de la région s’étaient regroupés ici.

J’avais eu un petit copain, ça avait duré une semaine à peine. Affligeant le mec ! A peine m’embrassait-il, qu’il avait déjà sa main dans ma culotte tout en essayant de la mettre dans mon sexe, essayant de me pénétrer, comme ça sans plus de préambule!! Un poète quoi.

Donc depuis que j’avais quitté ma bonne ville natale de Bordeaux !! Rien Nada nothing.

Tiens ! On dirait que la pluie s’arrête ! Je crois que je vais aller voir ma copine Aurélie histoire de parler un peu.

Je fermais toute la maison, attachais le chien Mambo (un gros berger allemand que mon père avait acheté pour surveiller la maison), et j’enfourchais mon vélo (mon scooter étant en panne) et direction la maison de ma copine.

Après un quart d’heure d’effort j’arrivais enfin chez elle. Je sonnais et elle vint m’ouvrir. Elle me débarrassa et nous montâmes dans sa chambre.

Nous étions bien là toutes les deux, discutant de tout et de rien, surtout des garçons et des filles de notre classe et du lycée. Mais comme je vous l’ai précédemment dit la discussion sur ces sujets s’épuisa rapidement.

– Ah ma pauvre Chantal!! A ce rythme là, on va finir soit gouines, vieilles filles ou zoophiles!

– Zoo quoi ?

– Zoophile! Zoo animal, phile qui aime! Donc Qui baise avec des animaux, des chiens en général.

– Arrête tes conneries! C’est dégueu! Une fille encore, je ne dis pas mais un chien. Il faudrait vraiment que je n’aie plus rien à faire, et même en dernier recours …je ne sais pas.

– Tu as tors, il parait que ce sont d’excellents amants, toujours près, très endurants et vaillants avec ça!

– Ça va ! J’ai déjà vu des chiens restés collés entre eux, si c’est ça d’être endurants, tu repasseras !

    – Hi hihihi ! Et tu sais pourquoi ils restent collés? La bite du chien change de taille pendant qu’il baise elle gonfle, et elle a une boule a la base qui l’empêche de ressortir du vagin de la femelle. J’ai vu des photos sur internet, c’est impressionnant la taille que ça a. Et en plus cette boule agit sur ton point G, elle le frotte, ce quitte procure une jouissance extrême et inconnue avec le genre humain. Qui plus est, la boule joue le rôle de bouchon empêchant le sperme de sortir de ta chatte …

– Arrête tu me dégoûtes!!

– Mais pas de problème, pas de danger d’avoir un enfant!! Nous ne sommes pas compatible!! Tu imagines accoucher d’un gamin avec une jolie queue plein de poils ! Hahahhahaha!

– Mais tu n’es pas possible aujourd’hui!! Ooohh

— De toute façon ce qu’il y a de mieux, toujours selon mes sources informatiques …c’est le cuni!!! Ils ne se fatiguent jamais!!!! Tu entends un cuni d’une heure si tu veux non stop!! De quoi grimper au rideau à plusieurs reprises.

– Tu es vraiment dingue ma pauvre fille.

Je disais cela, mais je dus reconnaître que cette discussion me troublait un peu. Au delà du dégoût premier, ses explications commençaient à me titiller l’imagination.

– En plus, poursuivis-je, déjà certains mecs répugnent à nous faire des gâteries, je doute qu’un chien nous la fasse.

– Détrompe toi! Les chiens sentent toutes tes secrétions intimes du coup ça l’attire et il devient fou. Mais si tu l’attires un peu avec une sucrerie style crème ou miel, il va littéralement te bouffer ta minette, mais après il cherchera ta mouille. Et attention sa langue est vachement plus longue que celle des hommes …alors je ne te raconte pas…

– Ouah ! Mais tu m’as l’air bien informé toi !! Je te soupçonne d’avoir personnellement testé la bête.

– Inch allah! Tu as vu un chien ici? Non rien de rien! Donc pour l’instant ….je fais acte de contrition ! Par force sinon …. Je ne dis pas HAHAHAHHAHA!!

Et nous voilà toutes les deux mortes de rire.

La nuit commençait à tomber et il allait falloir que je rentre chez moi, que je quitte mon amie, sinon galère pour faire le chemin en vélo.

J’embrassais ma copine tendrement, j’avais les joues rouges et les yeux qui pétillaient sérieusement.

Tout en pédalant, je sentais que ma culotte était toute mouillée, non pas que ça me gênait tellement, mais je me posais la question quand même si ça venait de ce que Aurélie m’avait raconté .

Rentrée chez moi sous la pluie, je retrouvais mes parents qui étaient déjà arrivés. Le chien, notre chien était là qui montait la garde et je me surpris à le regarder un peu bizarrement.

Merde!! Je n’aurais pas du écouter les bêtises d’Aurélie.

J’enlevais mon manteau trempé, embrassais mon père et ma mère qui me conseillaient d’aller prendre une douche tout de suite pour ne pas prendre froid.

Je filais dans la salle de bain et en me déshabillant je pus constater ce que je craignais. Ma culotte était belle et bien trempée, mais pas par la pluie. Je me glissais sous la douche bien chaude qui me détendit. Ma main descendit imparablement vers mon entrejambe. Le contact de mes doigts sur mes lèvres m’électrisaient. J’avais les tétons durs comme de la pierre, en même temps que je commençais à me caresser, je pinçais la pointe de mes seins. Mon esprit divaguait mais revenait toujours à la même chose.

Je me voyais les jambes écartées avec un chien en train de me lécher la chatte et..

Aaaaaahhh ! ça y était ! je venais enfin de jouir.

Comme toutes les fois, que je me caressais, c’était un vrai bonheur. Je me lavais de nouveau, me sentant un peu coupable d’avoir de pareilles pensées. Je me mis à table, mangeant sans rien dire et monta me coucher.

Une fois dans le lit, je m’endormis, mais mes rêves furent tourmentés ….

Sylvain me caresse doucement les bras, je suis à ses côtés, la chambre est blanche et il y fait chaud, je suis en nage. On dirait un sauna, d’ailleurs les mur sont couvert de lambris. Il dépose un baiser délicieux sur la pointe de mes seins qui se dressent à m’en faire mal, je me sens couler. Son autre main ne tarde pas à remonter entre mes cuisses qui s’ouvrent, invitant ainsi cette aventurière à continuer son exploration.

Mes lèvres sont gonflées de sang en attente d’une caresse experte. Enfin ses doigts atteignent mon intimité et délicatement massent mes chairs tourmentées. Aussitôt sa main est enduite de cyprine, j’ai l’impression d’avoir un robinet ouvert qui secrète un flot continu de mouille.

Le bougre en profite pour introduire en moi deux, puis trois doigts, puis la main entière. Mon sexe, complaisant l’accueille avec bonheur, j’halète, je gémis sous les assauts conjugués de sa main et de ses lèvres sur mes seins. Sa tête descend à présent vers mon entre jambe, et sa bouche va s’abreuver à ma fontaine de vin doux. Sa langue se délecte du nectar intime et va chercher la source au profond de moi-même

Sa main est ressortie et s’attaque à présent à mon sillon fessier et à mon orifice étoilé. Sa langue énorme me pénètre et me masse les chairs, je la sens en moi frétiller, en quête de la moindre goutte de mouille. Ses doigts massent mon petit trou, l’assouplissent, le lubrifient puis enfin sans résistance aucune, y rentrent. Je me sens prise de partout. Quel délice, je me sens défaillir, je gémis de plaisir. Sylvain se redresse et me montre son membre viril d’une taille déjà imposante.

Intimidée, je suppose qu’il attend de moi que je lui rende la pareille. Je le saisis d’une main et m’approche, ouvre la bouche et l’avale. Il me semble que son gland m’arrive au fond de la gorge. Je devrais avoir des hauts-le cour …envie de vomir. Au lieu de cela, j’essaie de l’y enfoncer encore plus au fond. Mais Sylvain s’impatiente, se retire de ma bouche. Son sexe est vraiment impressionnant. Il écarte mes jambes et plante son membre en moi jusqu’à la garde. Je ne peux réprimer un cri de surprise et de plaisir, bien que cette intromission ne se soit pas faite sans douleur. Il me pistonne comme une bête son sexe grandit en moi, je le sens pousser les limites de mon vagin et ma matrice.

Je râle de plaisir je vais jouir.

La vague irrésistible qui me vient du fond de mon corps, du fond des âges et qui ravage tout sur son passage arrive irrésistible, je me cambre allant au devant des mouvements de mon amant, je tremble, la terre tremble. J’embrasse ses lèvres, son museau, je suce sa langue, mes yeux se retournent et je suis prise de convulsions. Je caresse la fourrure soyeuse de ses flancs, …. Quoi? Museau? Fourrure? J’ouvre les yeux c’est un chien qui fait l’Amour !!!…..NOOOOOON !!!!!!!!!!!!!!!

Je me réveillais, terrifiée, tremblante. Ce n’était qu’un rêve. J’étais en nage et il faisait une chaleur à crever dans ma chambre. La porte s’ouvrit.

— Tout va bien? Je t’ai entendue crier !

— Non ça va maman! J’ai juste fait un cauchemar …horrible!!!

Ma mère s’approcha de moi, m’embrassa et me serra fort contre elle.

— Mais ma chérie, tu es toute trempée. Et bien on est bon pour changer tes draps et ton pyjama. Quelle idée aussi de laisser le chauffage en marche le soir!! Allez lève toi! Le petit déjeuner est sur la table. Ton père est déjà parti et moi je ne vais pas tarder.

Je me levais difficilement les jambes pantelantes, les cheveux en batailles me dirigeant vers la salle d’eau histoire de prendre une douche pour me rafraîchir les idées.

En enlevant ma petite culotte, je me rendis compte qu’elle était trempée et que mon sexe était encore tout gonflé.

Je songeais à nouveau à ce plaisir fou que j’avais pris dans mon rêve quand mon ex petit copain s’était transformé en chien. Je ne voulais pas faire de psychologie à 20 centimes, mais il y avait anguille sous roche. La discussion d’hier m’avait vraiment mise les sens à l’envers.

J’enlevais ma chemise de nuit et me glissais sous la pluie chaude et bienfaisante de la douche. Les gouttes parcourant mon corps réveillaient mes sens et ne faisait rien pour apaiser le feu qui renaissait en moi. Je frottais et me savonnais, m’attardant sur mes seins qui étaient encore en pleine érection, les tétons durs et dressés.

Humm ! Quelle agréable sensation que celle de mes doigts glissant sur ma peau à vif. Mes mains s’égarait vers mon entre jambe et là encore, je me laissais aller à l’onanisme le plus éhonté. D’une main je me caressais les seins de l’autre je me titillais le clito qui était tout gonflé et extra sensible. Ma seconde main abandonnât mes seins pour prêter main forte à la première. Je me massais les cuisses, puis je passais derrière, attaquant mon petit oillet. Je me surpris à aimer ça, pourtant jamais un garçon n’avait visité ce côté de ma personne.

Mes doigts sauvagement s’introduisaient dans ma vulve onctueuse de mouille, un, puis deux, trois à présent. Mon petit trou n’était pas en reste, mon index gauche tentait une entrée timide mais avec succès de mon orifice plissé. Je ne tins plus et laissais éclater mon orgasme en me mordant les lèvres pour ne pas crier.

Ma mère frappant à la porte me fit reprendre conscience. Que voulait elle encore !

— Ma chérie ! Je m’en vais à ce soir. Je t’ai laissé de quoi manger dans le frigo. Au juste ta copine Aurélie a appelé, elle voulait savoir ce que tu faisais aujourd’hui. Alors je lui ai dit que tu la rappellerais.

— Ok Maman, pas de problème. Merci pour tout !

— Ah ! J’oubliais ! Tu sais la dame qui habite deux maisons plus loin, celle qui a la chienne labrador tu sais celle que tu adores, tu m’entends

— Oui maman je t’entends ! Et alors ?

— Et bien elle c’est foulée la cheville en descendant à son garage et elle m’a demandé avant d’aller à l’hôpital, si on pouvait s’occuper de leur chienne. Elle a pas envie de la faire emmener à la SPA, la pauvre, je la comprends, si c’était nous, j’aurais fait pareil. Alors je lui ai dit que oui, soit toi, soit moi, ça ne te dérange pas ?

– Non, maman, au contraire t’as bien fait.

Je plaignais la dame en mon fort intérieur, mais pour le moment, je n’avais qu’une envie, c’était que ma mère s’en aille pour pouvoir encore jouir à ma guise. Pendant tout le temps qu’elle me racontait les malheurs de la voisine, pas un instant mes doigts n’avaient quitté ma fente, et j’étais à deux doigts de jouir.

Alors ! Elle attendait quoi pour s’en aller ma mère !

— Bon, je te quitte, à ce soir chérie

— Oui, à ce soir! Bonne journée

Le oui de « à ce soir » ce confondit presque au « oui » de ma jouissance, jouissance profonde que je pus enfin exprimer dans un grand cri cette fois, quand j’entendis la voiture de ma mère démarrer.

Je restais un moment sous la douche pour récupérer. Je me lavais à nouveau et sortis de la douche me séchant et enfilant mon peignoir.

J’étais dingue, complètement dingue. A croire que je ne pensais qu’à cela.

Je me dirigeais vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner repensant de nouveau à mon rêve. Je sentis mon ventre se serrer. Je ne sais pas comme une angoisse, une envie, un petit plaisir naissant. Je pris la boite de céréales, m’en versais dans mon bol, cherchant le lait ..merdouille pas de lait ! Il fallait aller en chercher au garage qui servait aussi de réserve sèche.

Comme nous habitions loin de tout, nous allions une fois par mois faire de grosses courses de la grande ville. Le reste nous l’achetions dans le village d’à côté.

J’ouvris un peu excédée la porte du garage, me dirigeant vers la porte de la réserve.

Je restais interdite, immobile, paralysée . le chien était là, allongé de tout son long. J’avais complètement oublié que lorsqu’il pleuvait dehors mes parents préféraient le garder à l’intérieur pour ne pas qu’il sente le chien mouillé.

En temps normal, je lui aurais crié dessus, l’aurais poussé avec le pied, pour qu’il s’enlève de devant moi. Mais là, je ne savais pas trop quoi faire.

Il était sur le flanc, tranquille et mon regard ne put s’empêcher de se poser sur son sexe. Rien de bien impressionnant pour l’instant. Et ..si je touchais !

Non allez on arrête ! Je l’enjambais comme je pus, c’est à peine s’il leva la tête. Il renifla un peu dans ma direction puis se recoucha. Je pris mon carton de lait, respira un bon un coup.

— Allez ma chérie ! Courage !

Le cour battant, je me tenais debout devant lui, tremblante l’enjambant de nouveau. Me retournant je me dis !

– Allez juste un petit peu, une seule caresse, ce n’est pas le bout du monde

Je m’accroupis, passa la main sur son pelage doux. Il se réveilla,, me regarda, puis se recoucha. Je parcourus de mes mains, tout son corps de la tête au bas du dos, lui grattant le cou aussi. Il avait l’air d’apprécier. Je continuais à lui flatter les flancs, puis le ventre. Ma main descendit imperceptiblement vers la fourrure, cette fourrure qui protégeait son sexe. Je palpais, c’était dur et doux en même temps.

— Et si je le branlais ! Oh non ! Arrête ! Allez rien qu’un petit peu juste pour voir ce qu’il en dit.

Voilà les idées qui me trottaient dans la tête

Mes doigts allaient et venaient le long du fourreau. Pour l’instant il ne disait rien. Petit à petit je vis le bout rose de son sexe sortir de son étui. Mambo redressa la tête ne comprenant pas très bien ce qui lui arrivait et il n’était pas le seul d’ailleurs. Je continuais, dans un état second, tremblante plus de désir que de peur, je ne savais pas, d’ailleurs je ne savais plus rien. Continuant mon massage intime, sa tige grandissait à vue d’oil. Je la touchais avec soin, c’était chaud et tout doux, lisse et rose foncé. On voyait des petites veines, comme un gland allongé en forme de marqueur. Elle continuait à grandir.

  Je sentais comme une boule se former à la base, c’était sûrement ce dont m’avait parlé Aurélie. Dingue. J’approchais mon visage pour sentir un peu cette verge, est-ce qu’elle sentait le pipi comme celle des garçons ?

J’approchais, bon rien de spécial. Mais tout à coup, je reçus une giclée de sperme en pleine figure .Beurk le salop !! Je me redressais et filais vers la cuisine me laver le visage !!

Merde, je déconnais vraiment à plein tube. Voilà maintenant que ma chatte était en feu, des gouttes de cyprine coulaient entre mes lèvres, je sentais de nouveau ma culotte coller à mon sexe

Je versais le lait dans mes céréales en repensant à ce que je venais de faire. Je venais de branler mon chien !!Est-ce que je le dirais à Aurélie ? Je ne savais pas . Et encore une journée de pluie et j’étais seule ..

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