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Isabelle et Valériane – Chapitre 2




Elle me rend mon baiser puis sans brusquerie, me repousse.

Arrête Val, c’est pas bien, je pourrais être ta mère, j’ai une fille qui a presque de ton âge, tu sais !

Et si elle nous surprenait ?

Premièrement, tu n’es pas ma mère, et ta fille dort aujourd’hui chez sa mamie de ce que tu m’as dit !

Oui c’est vrai, mais cette situation me gêne, ça me perturbe !

Tu veux que je rentre chez moi ?

Je n’ai pas dit ça !

Tu ressens rien pour moi, je te fais aucun effet, mon corps contre le tien te laisse froid ?

Tu m’ennuies avec tes questions, tu me chamboules toute, je ne sais plus où j’en suis avec toi !

Je lui saisis la main et la pose sur mon sein et lui dis:

Ecoute comme mon cur bat pour toi !

Val, tu me rends folle !

Isabelle pousse un soupir terrible et dit:

Si c’est faire l’amour avec moi que tu veux, alors vas-y, je suis ta proie, et finissons-en !

Oui oui, je veux que tu sois à moi, oh comme je t’aime !

Je remonte sa nuisette, tout en la fixant de mon regard amoureux, je vois bien que cela la met mal à l’aise. Elle se contorsionne pour me faciliter la tâche. Mes mains effleurent son corps laiteux, elle frissonne en hochant la tête comme pour dire non non. Je passe délicatement mes mains sur ses seins, je taquine doucement les bouts épais, les coquins se dressent entre mes doigts agiles. Isabelle ferme les yeux, lorsque ma bouche lui aspire un mamelon, elle se cabre légèrement et geint faiblement.

Le mamelon durcit entre mes lèvres, je le titille avec ma langue râpeuse, il s’érige davantage, je le suce avidement, Isa grogne de plaisir. Je passe à l’autre et lui fais subir le même sort. Je délaisse les bouts dressés, et commence à descendre sur son corps tremblant, je donne de nombreux baisers sur sa peau frissonnante, son odeur corporelle m’enivre, elle dit en pressant mes épaules:

Mon Dieu, mon Dieu, je deviens folle, tu es un monstre Val !

Je caresse longuement son ventre plat, ma langue fouille son nombril, elle s’arc-boute en poussant des râles rauques, gênée, elle les étouffe en se mordant la main. Je descends sa culotte lentement, elle lève un peu les fesses et ondule des hanches, la culotte est maintenant à mi-cuisses, ma bouche est presque sur sa toison, je hume l’odeur agréable qui s’en échappe, et dépose un baiser bruyant sur son triangle soyeux. Elle tente de se dérober en poussant avec ses mains sur ma tête, je m’agrippe à ses hanches larges et appuie avec ma bouche sur son temple, le baiser que je donne le fait gémir. Je me relève, et ôte entièrement sa culotte, je lui écarte doucement les cuisses avec mes mains, et prends place entre ses jambes aux galbes parfaits. Nos regards se croisent, ils brillent de mille feux, je lui souris, elle répond par un profond soupir, des larmes troublent de ses yeux, elle s’accroche à moi et me prend les lèvres.

Mon cur bat la chamade, c’est elle qui m’embrasse, cela me rend folle de joie. Nos langues se cherchent, se nouent, nos salives se mêlent, le baiser est interminable. Enfin, nos lèvres se séparent, mes mains partent à l’assaut de ses formes. Ma bouche brûlante cherche son antre, ma langue monte et descend de nombreuses fois sur la fente humide, avec mes doigts, je sors de son écrin la perle d’amour et la gobe. L’aspiration puissante la fait sursauter, elle pousse un grognement terrible, je tète et lèche le bouton sauvagement, Isa geint de plus en plus fort, brusquement, elle se cabre et explose, sa cyprine gicle, le lit en est trempé. Je la regarde, ses yeux sont embués, elle halète, sa respiration est rapide, son souffle court.

Je caresse doucement le puits d’amour qui laisse échapper encore de la cyprine, je porte à ma bouche le nectar et me lèche les doigts un à un. Elle me sourit. Je lui demande si ça va. Elle répond :

Mon Dieu, c’est la première fois qu’une femme me fait l’amour !

Tu trouves ça comment ? répliqué-je.

Isabelle bègue un peu:

C’est… c’est merveilleux, je… je dois être une salope pour me livrer comme ça !

Non, tu es mon amour, tu es à moi, je vais t’aimer comme jamais tu ne l’as été !

Je lui enfonce un à un mes doigts dans son cratère, j’arrête au troisième, il est encore trop tôt pour en mettre plus. Je lui fais un ramonage très lent, elle couine comme un animal en me regardant avec ses yeux larmoyants de bonheur.

Val, Val, tu me rends folle, tu es un monstre !

Jaccélère, elle ondule du bassin, avec les doigts de ma main libre, je lui frotte énergiquement le clito, le bougre a doublé de volume. Mon amour grogne comme une bête blessée, elle agite sa croupe en poussant des :

Oui oui oh c’est trop bon !

La femme de ma vie gicle à nouveau. Elle s’assied sur le lit et me retire mon t-shirt trop large. Elle pousse un cri d’admiration.

Mon Dieu, ils sont magnifiques tes seins Val, comme je t’envie !

Je m’étends sur le lit. Ses mains douces palpent mes lobes généreux, elle taquine mes tétons, les pince, les étire, les écrase doucement entre ses pouces et ses index. Isabelle sait être douce et sauvage à la fois. Elle me regarde puis gobe à tour de rôle mes mamelons, les bouts se dressent fièrement, elle les tète goulûment comme pour en extraire du lait. Les bouts soumis à de nombreuses attaques deviennent douloureux, j’adore ce mélange de douceur et de douleur, que j’en voudrais encore plus, mais je ne veux pas que mon amour me prenne pour une maso.

Je suis super excitée, mon corps tremble, sous les douces caresses, je ferme les yeux et geins comme une damnée. Sa main glisse sur mon corps fiévreux, elle passe par la large échancrure des jambes de mon short et atteint aisément ma chatte rasée, deux doigts montent et descendent sur ma fente qui suinte de plus en plus, elle taquine le clito qui se cachait dans son écrin. Je me cabre lorsqu’elle le presse, il est devenu énorme. La garce sait y faire, elle le branle comme une petite bite, elle cesse de téter mes seins, et épie toutes les réactions incontrôlées de mon corps. Moi qui la prenais pour une sainte-nitouche, là je suis soufflée. Je me raidis, elle écrase mon clito et enfonce trois doigts dans mon temple trempé, elle le fouille profondément, je pousse des couinements de bêtes.

Je m’arc-boute et hurle en jouissant ; mon corps est secoué de spasmes violents. Isabelle retire mon short et pose sa bouche sur ma rivière en crue, elle avale ma cyprine et aspire mon bouton, et le travaille férocement, je gicle encore et encore.

Je ne peux m’empêcher de lui dire :

Tu es à moi pour toujours, tu sais me faire jouir comme une dingue, je t’aime, je t’aime !

C’est à bout de souffle que je m’écroule sur le lit trempé de notre jus abondant. Elle se penche sur moi et me donne un furtif baiser sur les lèvres.

Tu vois, tu m’as décoincée, Val, jamais je n’aurais imaginé faire des folies avec une autre femme !

Je lui pose la question :

Tu m’aimes ?

Elle me répond :

Il est trop tôt pour le dire !

Pendant tous nos échanges verbaux, elle n’a jamais élevé la voix, j’admire son calme, elle cherche toujours à arrondir les angles, moi très speed. Mon langage la désarçonne de temps en temps (elle me traite de charretier, mais avec le sourire quand même). Nous sommes le jour et la nuit, je ny peux rien.

Nous sommes ensemble depuis quelques années, nos délires sexuels ont évolué. Nous nous aimons comme des dingues, notre amour est sincère. Mes parents et sa fille ont pris la chose mieux qu’espérée. Sa fille poursuit des études en Angleterre, mon amour est toujours cheffe cuisinière dans le restaurant gastronomique. Moi, jai fait des études de droit et je bosse actuellement dans une boîte de transport international, je vais entrer dans une grande banque luxembourgeoise au début de l’année.

Rien n’est inventé tout est réel dans ce récit.

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