Belle fille 12

Il fait nuit maintenant, nous roulons Aurélie et moi vers notre but. Elle me demande :

Tu es toujours d’accord ?

Tu sais comme ça me dérange, mais je le ferai pour toi. Comme tu le souhaites !

J’en ai vachement envie ! Mais si tu as peur, on arrête tout de suite et on rentre.

D’accord pour ça !

Nous arrivons au petit bois et roulons jusqu’au parking en terre. Il y a deux voitures stationnées, vides apparemment. Je tremble d’inquiétude pour la suite, mais Aurélie me détend. Elle allume le plafonnier et baisse les vitres. Le courant d’air tiède de cette soirée d’été est chargé de senteurs de pin fort agréables.

Elle quitte son haut et m’invite à goûter son sein.

Ma main courre sur son ventre tandis que je la tète. Sa peau est si douce sous mes doigts !

J’oublie totalement où je suis, pour m’évader dans ces délices merveilleuses, que sont de lécher sa peau, sa langue, mordiller son cou Je suis dans une passion totale quand j’entends que l’on s’approche de nous.

Aurélie, aussi, a entendu. Elle jette un bref regard et me repousse lntement sur mon siège, pour ouvrir ma braguette déformée. Je me demande comment j’arrive à bander si fort, malgré une journée épuisante, et surtout, en la présence de cet inconnu qui s’approche un peu plus.

Il est à la lisière du bois et ne se cache plus pour nous mater.

Aurélie jette à nouveau un coup d’il vers le gars, derrière qui se profile une autre silhouette. Ma chérie se penche pour me sucer. Je lui caresse les cheveux et les épaules tandis qu’elle me malaxe les testicules.

Le voyeur s’approche sans gêne, pose sa main sur la portière et se baisse pour nous regarder faire. Nous voyant sans réactions indignées, il se pétrit sans vergogne la braguette, qu’il finit par ouvrir pour en extirper son sexe gonflé.

D’une pression sur l’épaule, je signale à Aurélie, que c’est le moment. Je le fais à contrecoeur, mais c’est ce que nous avions convenu de réaliser.

Elle se redresse, se tourne et offre sa bouche à la portière. Le gars ne doit pas en croire ses yeux, mais ne réfléchit pas beaucoup pour y engager son membre. Le gland violet est absorbé entre les lèvres de ma belle, qui s’active à le pomper.

Ça me fait bizarre de voir ma chérie en train de sucer ce pervers. Mais, elle me l’a demandé, en promettant que cette fois sera la seule ! Sa position penchée sur le siège me permet de lui caresser les fesses, alors que le type lui malaxe un sein, avec des grognements de satisfaction.

Derrière lui, l’ombre se matérialise et s’approche.

C’est un gars qui doit avoir le même âge que moi, bien habillé, du genre représentant ou cadre en déplacement. Ça ne l’empêche pas de sortir son sexe et de s’approcher auprès de l’autre. Le premier ne veut pas céder sa place. Et le second attend son tour. Aurélie, constatant cela, s’interrompt et lui fait signe de contourner la voiture pour me rejoindre.

L’homme s’exécute et n’est nullement gêné de me présenter sa queue. Je me saisis de sa colonne chaude et me mets à la branler. Il en veut plus !

Je l’ai promis à Aurélie, aussi, je vais le faire.

Je réplique la position de ma chérie, en passant ma tête par la fenêtre, ouvre la bouche et engobe le gland, tout en masturbant la hampe.

Je suce un homme pour la première fois. Si j’avais cru ça possible !

Nos partenaires respectifs semblent apprécier notre prestation. Tous deux geignent et grognent de se faire tailler une pipe de cette façon peu banale.

Aurélie s’arrête de pomper sentant son amant prêt. Elle me tend un préservatif et ouvre le sien, qu’elle déroule sur le membre de son gars. Je fais de même pour mon partenaire. J’ai un peu peur, me sens gêné, mais accomplit ma tâche.

Nous ouvrons les portières, nous agenouillons face à face, le cul offert à ces inconnus.

Aurélie est pénétrée la première et fait une grimace quand son gars la brusque un peu.

Je sens une boule chaude sur mon anus et suis pénétré à mon tour. J’émets un soupir quand le gars s’enfonce. La préparation que m’a prodiguée ma chérie, il y a peu dans notre cave, m’a ouvert les chairs, heureusement !

La sensation de cette bite qui m’emplit est différente de celle du gode. Le rythme aussi !

Mon partenaire se veut délicat et va et vient en douceur en me cramponnant les hanches.

Aurélie me regarde en souriant, elle est fière de moi et me tend ses lèvres. Notre baiser est bref, tant les mouvements imposés par nos amants à nos corps ne nous appartiennent plus.

Elle se fait besogner par son gars avec passivité. Elle ne semble rien apprécier d’autre que le spectacle que je lui offre.

Son type, probablement trop excité, se vide dans un râle en moins de cinq minutes et se réajuste en repartant sans un mot. Aurélie referme la portière, puis sa vitre et se rhabille en me regardant me faire prendre. Mon gars s’active davantage et j’apprécie de plus en plus les mouvements qu’il fait en moi. Je me cramponne au rebord du siège pour maintenir mon équilibre. Son pubis claque de plus en plus fort sur mes fesses à chaque coup de sabre.

Je le sens se crisper et m’envoyer de grands coups de reins pour finir de gicler dans mon intimité qui l’enserre. Le préservatif contient son sperme, il vaut mieux être prudent dans ces circonstances. Après s’être retiré, il cherche à entamer la conversation, mais poliment, nous prenons congé de lui et retournons à la maison.

Aurélie me demande :

— Ca t’a plu de recevoir une vraie bite ?

Bon, oui, je l’avoue, mais c’est uniquement pour toi que j’ai fait ça !

Menteur, tu gémissais d’extase. Et puis tu bandais dur ! à moins que ça soit de me voir prise par autre homme ?

Ça m’a gêné au début mais moins à la fin

En moi-même, je concède que si la voir sucer ce type me perturbait, j’ai éprouvé moins de ressentiment quand elle se faisait prendre. C’est paradoxal, j’en ai conscience.

Je voulais faire cette expérience pour sceller notre amour. Par contre, si toi tu veux recommencer, je n’y vois pas d’inconvénient. J’ai beaucoup apprécié de te regarder.

On verra ! Mais toi, plus d’inconnus, c’est promis ?

Promis mon chéri. Je suis à toi uniquement ! Ou Peut être, un peu à ma sur, quand même !

Coquine, va ! Je t’aime ma chérie !

Et moi Si tu savais comme je suis heureuse avec toi !

Nous allons nous coucher avec plaisir après cette journée éprouvante.

A peine suis-je dans le lit, que mon téléphone bipe. D’ordinaire, je ne le prends pas dans la chambre, mais là, je l’ai laissé dans la poche de mon pantalon. Je me lève, curieux de savoir qui m’envoie un message à cette heure tardive. Ce n’est pas Laetitia, c’est Brigitte, mon épouse, la mère de celle qui est dans mon lit.

Après avoir pris connaissance de son message, je tends l’appareil à Aurélie, totalement effondré en lui signifiant :

— Ta mère revient demain !

— Ne t’en fais pas ! Et puis, regarde, elle a écrit « je viens demain en fin d’après-midi ». Si c’est « Je viens », ce n’est pas « Je reviens », donc ça veut certainement dire qu’elle va repartir, tante Françoise doit encore avoir besoin d’elle

— Tu as raison ! Je ne l’avais pas remarqué ! C’est « je viens » qu’elle a écrit.

Qu’elle vienne ou revienne, c’est presque la même chose. Il va falloir être prudent !

J’ai du mal à m’endormir en pensant à l’avenir. Je suis follement amoureux d’Aurélie et la réciproque est également vraie, mais je suis marié avec une femme que je respecte, que j’ai aimée. Je ne souhaite pas blesser Brigitte, surtout en lui avouant les relations que j’ai eues avec ses filles.

Mais je sais, bien au fond de moi, que c’est une forme de lâcheté de ma part.

Oserais-je lui dire combien j’aime Aurélie, ou que j’apprécie les baisers et les mots crus de Laetitia, que je me suis fait enculer par sa fille et même par un inconnu sur un parking ?

Non je ne suis pas prêt à ces révélations qui la feraient sombrer dans le désespoir.

Aurélie, perçoit ma crispation due à l’inquiétude :

— Encore une fois mon chéri, je te demande de ne pas te faire du souci. Un jour à la fois, on verra bien !

— J’admire ton attitude, j’aimerais tant être aussi détendu que toi.

— Ne pense qu’à nous deux ! Le reste suivra

Ce disant, elle se positionne à califourchon sur mes jambes et entreprend un massage pénien qui me fait tout oublier. Surtout quand elle me chevauche pour une balade extrêmement sensorielle.

Au petit matin, outre une brûlure de l’anus c’est une sensation plus agréable qui me réveille. Aurélie, penchée sur moi est en train de suçoter mes tétons à tour de rôle. Je constate que ceux-ci sont sacrément érigés, surtout quand elle me tète et me mordille. Mon picotement entre les jambes se transforme vite en une raideur qu’effleure la main douce de ma chérie.

Je l’interromps et l’attrape par les hanches pour la faire me chevaucher la bouche. Sans attendre, son clitoris roule sous mes lèvres pincées, sa cyprine coule sur mon visage et moi je suce sa petite bite avec passion. Elle se redresse et mes mains ont le loisir de s’occuper de ses seins.

Comme je l’ai appris la veille, elle aime qu’on lui pince les tétons et, quand mes doigts les enserrent pour pulser de brèves, mais fortes pressions, elle se met à roucouler, puis geindre.

Je m’applique à lui donner le plaisir qu’elle souhaite en tirant même sur ses mamelons.

Plus je lui fais mal, plus elle apprécie ! Par contre, ce n’est pas dans ma nature et c’est à contrecoeur que je pratique ce sadisme envers elle. Je la respecte tant !

Mes doigts serrés sur ses tétons, conjugués à mes dents qui mordillent son clitoris, procurent en elle une vague de plaisir insoupçonnée. Elle crie un orgasme puissant qui doit réveiller tout le quartier.

Dans la matinée, nous sommes conscient qu’il faut faire du ménage. Les draps sont tachés, il y a plein de longs cheveux blonds un peu partout, le parquet n’est pas très net.

Tandis que je passe l’aspirateur, aère, m’occupe du sol, Aurélie s’occupe de la lessive.

Ma mission terminée, je redescends et cherche ma bien aimée.

À mon appel, elle me répond :

— Viens chéri, j’ai besoin d’aide !

Je me précipite à la buanderie et découvre Ma Belle, totalement nue, assise sur la machine à laver, genoux relevés sur la poitrine. La machine ronronne son cycle de lavage et ma chérie me lance des yeux de biches.

A nouveau, elle me surprend avec les situations incongrues qu’elle propose. Pour attiser mon désir, elle écarte ses jambes et m’expose sa main dans sa fourrure à tenir le nouveau gode « magique » qui la pénètre.

Elle me fixe avec un regard provocateur auquel je ne résiste pas longtemps. Elle extirpe l’envahisseur et de deux doigts, écarte ses grandes lèvres en se positionnant au bord de la machine.

Cette scène d’exhibitionnisme est d’un érotisme absolu.

Elle m’enlace le cou quand j’entre en elle, et me souffle :

-Baise moi fort !

Ce que je fais ! Nous jouissons tous les deux et, alors que nous sommes encore enlacés, la machine passe en mode essorage et se met à s’agiter dans tous les sens. Dans un grand éclat de rire commun, je soulève ma douce pour lui faire rejoindre la terre ferme.

En fin de matinée, nous réalisons que Laetitia, n’est pas informée du retour de sa mère. Nous l’appelons en lui recommandant de rapporter le gode de ma femme, qu’elle a emprunté pour s’occuper de son ami. Il faudra également penser à y remettre les anciennes piles et que tout soit à sa place avant l’arrivée de mon épouse.

Laetitia passera dans l’après-midi, rapidement a-t-elle dit, car elle doit aller voir une copine après.

Après le repas, Aurélie continue à déambuler dans la maison, juste vêtue d’un string très mignon. La dentelle qui sépare chaque fesse en souligne le galbe. Je suis en admiration quand elle me tire de ma rêverie, en disant :

— Mon derrière te plaît ?

— Oh oui ! Tu as un cul magnifique !

Je réalise ma grossièreté, mais elle en semble ravie et ajoute :

— Tu ne voudrais pas le fesser ?

— Ben Heu Je n’ai pas envie de te faire mal !

— Moi, j’ai envie ! Je veux avoir mes fesses toute rouges. Car je suis une vilaine fille qui doit être corrigée !

Encore un de ses trucs ! Cette fois, il me vient une idée dont je tire fierté. Je souhaite agrémenter, à ma façon, le supplice qu’elle me demande.

Après avoir été cherché ce qu’il me fallait, je me dirige vers une chaise et m’y assieds.

Aurélie s’approche, un doigt dans la bouche, dans une attitude faussement coupable.

Je l’attrape par la taille, la bascule en travers sur mes genoux, lui baisse la culotte et lui applique quelques claques qui la font se trémousser en gloussant.

Je glisse mon doigt entre ses jambes et recueille un peu de cyprine que je me fais grand plaisir à déguster. Je reprends une série de claques un peu moins fortes que les précédentes. Cette fois, sa liqueur coule abondamment quand je vais la recueillir.

Au lieu d’entamer une autre série, je me saisis d’un des glaçons que j’ai préparés, pour le frotter sur sa chair rougie. Elle se contracte, mais semble apprécier mon initiative. Le contraste de température de ses globes brûlants, fait fondre la glace rapidement.

Une petite série supplémentaire se fait avec le clapotis de l’eau sur ses fesses trempées.

Nouveau glaçon, que je fais courir sur son échine, badigeonne les fesses, puis avec le petit bout restant, force son anus pour lui administrer ce suppositoire gelé.

Loin de protester, elle se cambre et me demande :

— C’est super agréable ! Mets moi un glaçon entier maintenant !

— Ils sont gros pour pouvoir faire ça !

— Justement !

Le froid lui provoque des contractions involontaires, mais le cube entre entièrement !

J’ai un mal fou à contrôler mon émotion. Je bande comme un taureau et, comme Aurélie se frotte sur ma verge avec insistance, elle n’ignore rien de mon état. Elle déclare tout à coup :

— C’est trop bon ! Encule moi s’il te plait !

D’un seul mouvement, elle se relève et après que j’ai baissé mon short, vient s’empaler à califourchon sur membre. L’eau froide qui sort de son anus permet de le lubrifier, je sens au bout de mon gland, le résidu du glaçon et le pousse bien au fond en m’introduisant dans son fondement.

Elle m’embrasse et part dans une chevauchée qui fait grincer les pieds de la chaise. Sa frénésie est telle que j’ai du mal à contenir mon plaisir. Heureusement, son orgasme précède le mien !

Nous restons soudés dans un baiser passionné quand Laetitia franchit la porte du séjour.

Elle constate rapidement la rougeur des fesses de sa sur et, que je suis toujours fiché en elle.

— Oh, j’arrive trop tard ! J’aurais bien aimé jouer avec vous !

Aurélie répond :

— Une autre fois soeurette ! Tu as ramené le gode ?

— Oui, mais je n’ai pas eu le temps de bien le nettoyer, vous pouvez le faire ? Il faut que j’y aille !

Elle tend un sachet dont Aurélie se saisit en se redressant. De nouvelles taches jonchent le sol. Le ménage n’est pas fini !

Après que tout soit remis en place, mon amour et moi, revêtons une tenue correcte puis regagnons la terrasse, pour nous allonger sur les chaises longues, main dans la main à nous dispenser mille mots d’amour.

Brigitte ne devrait plus tarder à arriver, dommage !

Related posts

Bastien – Chapitre 6

historiesexe

Maman au concert – Chapitre 1

historiesexe

Le club des nymphes – Chapitre 9

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .