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Captive d'un soir – Chapitre 1




Tu attends. Dans ton petit appartement d’étudiante, un sentiment d’hésitation soudainement quand tu reçois un message sur ton portable. Tu entends ma voix, pour l’instant douce et amicale, qui t’annonce mon arrivée imminente. Alors tout à coup tu t’actives, tu te déshabilles comme nous l’avions prévu plus tôt, tu allumes quelques bougies dans ton salon et ta chambre, et en toute hâte tu va t’agenouiller devant la porte d’entrée, tête baissée et cuisses écartées, comme le stipulent les consignes que je t’ai envoyé la veille. Dans cette position inconfortable, tu t’impatientes, tu te poses des questions, tu sens ton excitation monter dans ton corps. Nous ne nous sommes jamais rencontrés physiquement, nos discussions sont restées exclusivement virtuelles. Nous avons beau nous être décrit longuement l’un envers l’autre, nous ressentons tous les deux une certaine agitation dans notre esprit en imaginant encore et encore l’apparence de l’autre.

La porte s’ouvre enfin, tu sursautes. Les yeux toujours baissés, tu ne peux voir que mes jambes qui viennent tourner autour de toi. Je reste plusieurs minutes à t’observer, à juger ton corps, à sourire attendri en remarquant les tremblements qui parcourent ton corps. Et sans crier gare, tu entends ma voix, cette fois autoritaire, t’ordonner de te lever. Dés que tu entends mes mots, tu te hâtes de te redresser et t’immobilise, droite, bras le long du corps.

Tu conserves ton regard au sol, pendant que mes mains commencent à caresser tes hanches pour remonter le long de ton ventre jusqu’à palper la timidité de tes seins qui pointent déjà. Tu ne peux laisser échapper un gémissement quand un doigt vient frôler ton entrejambe, fouillant ton intimité jusqu’à s’imprégner de l’excitation que tu ne peux retenir.

— Tu mouilles, te dis-je doucement à l’oreille. Cette situation te plait ?

Tu hésites avant de répondre, profitant de mes caresses qui t’émoustillent encore plus

— Oui Monsieur, elle me plait.

— Maintenant parle-moi de ta nouvelle condition, prouve-moi que tu as compris ce que j’attends de toi ce soir.

— Oui Monsieur, chuchote-tu, tes gémissement venant entrecouper tes paroles. Je suis votre esclave, Monsieur. Je vous appartiens, Je suis née pour vous servir, vos ordres façonnent mon existence. Je ne vis que pour obéir à votre volonté. Mon corps vous est offert, Monsieur, j’attends vos ordres et espère vous satisfaire du mieux que je pourrais malgré mon manque d’expérience.

Ce soir tu vis pour la première fois cette situation de soumise. Je ressens encore tes tremblotements pendant que je t’explore, pendant que tu restes figée, interdite. Relâchant mon étreinte, je viens me placer devant toi, puis d’une main je relève ton visage que je tiens fermement, tu continues à baisser le regard, là encore tu me montres que tu as bien compris les consignes que je t’ai envoyé.

— Tu es belle, tu as tout pour plaire et je suis fier de pouvoir partager cette soirée avec toi.

— Merci monsieur, vous aussi êtes charmant, je suis heureuse de vous servir ce soir.

— Dans ce cas, prouve-moi ton obéissance et ta joie de te soumettre.

— A vos ordres, Monsieur. Ai-je l’autorisation de vous offrir ma bouche ?

Tu essaies de cacher ton excitation, mais tes yeux pétillent de lubricité. Me voyant acquiescer de la tête, tu t’agenouilles et vient défaire la braguette de mon pantalon. En le baissant, tu souris en constatant la bosse qui s’est formée sous mon caleçon. Sans hésiter, tu le baisses également pour empoigner avec douceur mon membre qui durcit encore plus dans tes mains. Lentement, tu joues avec mon sexe, tu le caresses, tu l’empoignes. Puis, après avoir posé un discret coup d’il en l’air tout en évitant de croiser mon regard impérieux, tu approches tes lèvres du gland rougi qui s’offre à toi. Avec ta langue, tu tournes autour, tu le lèches avec amour et douceur. Puis, toujours en prenant ton temps, sentant mes yeux toisant ton corps nu, tu engloutis ma verge que tu laisses s’engouffrer dans ta bouche, à la limite de frôler ta luette. Tu t’étouffes, je le vois, quand tu toussotes en même temps que ta bouche va et vient sur mon membre enflammé. Tu sens mes mains agripper tes cheveux, les serrer d’abord avec tendresse puis ensuite avec force. Je joue avec toi, j’impose mon rythme en faisant aller ta tête d’avant en arrière, te forçant à enfoncer davantage ma mâle raideur dans ta glotte. Et quand arrive le summum de l’extase, tu gémis en même temps que moi, pendant que ma semence bouillante se répand dans ta bouche harassée. Je sens, par mon membre, ta gorge qui avale ma jouissance jusqu’à ce que le flot se tarisse. Alors, toujours avec délicatesse, je retire mon sexe et t’observe, pitoyable et belle en même temps, haletant au sol comme un animal fatigué.

— Nettoie.

Ton obéissance ne se fait pas attendre, et sans hésiter tu recommences à sucer mon gland, faisant aller ta langue partout pour récupérer les dernière traces de sperme dégoulinant sur mon sexe et mes parties. Tu t’appliques à la tâche, à chaque instant tu me plais davantage. Puis une fois ton labeur achevé, tu te remets en position d’attente au sol, cuisses écartées et visage baissé, avilie et attendant ta prochaine humiliation.

— Cela vous a-t-il plu, Monsieur ?

— Beaucoup, tu t’es montrée très motivée, je suis content de voir à quelle point tu évolues rapidement malgré ton manque d’expérience. Plus tard dans la nuit, je saurai te récompenser, Mais tout de suite j’ai envie de tester tes limites.

Tu oses alors soulever ton regard incrédule et, troublée, tu violes les consignes et te risques à croiser mon regard. Tes yeux verts brillent, je les vois emplis à la fois de débauche et de peur. Tu me vois sourire, car c’est bien une erreur de ta part que j’attendais. En m’observant, tu comprends soudainement ta faute. Aussitôt, tu baisses de nouveau ton regard et te remets à trembler.

— Tu viens de briser une règle, esclave.

— Ou… Oui monsieur, je m’en excuse monsieur. J’ai eu un moment d’égarement, je promets de ne pas recommencer.

— Bien sûr, mais pour cela tu vas devoir comprendre ton erreur.

— Oui Monsieur, tout ce que vous désirez. Montrez-moi comment vous satisfaire.

Tu joues avec moi, je le vois bien. Tu te prends pour une âme apeurée, implorant ma pitié, mais en réalité tu jouis de l’intérieur en songeant à ce qui va suivre. Tu m’as déjà avoué, lors de nos conversations sur internet, à quel point tu adorais être châtiée par un autre. Je souris car, bien que tu joues la comédie pour me plaire, en réalité je sais que tu n’attendais que ça depuis le début.

— Va chercher un fouet, petite insolente.

A suivre

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