Mon homme est la, il ne se doute de rien, c’est horrible…

Je profite à la fois de l’un et de l’autre, je fais comme si de rien étais avec mon copain et dès qu’il s’éclipse j’en profite pour embrasser mon tatoueur…

Cela fait quelques mois que ça ne va plus trop avec mon copain, je lui demande un câlin, que je n’aurai pas. Par cette même demande je rends fou mon amant, à quelques mètres seulement de nous.

Le lendemain c’est compliqué, alors que nous parlions sans gêne de nos envie la veille. Cette fois mon homme est la, il nous regarde, nous écoute et discute avec nous. Je suis stressée, la douleur des aiguilles sous ma peau est à la fois délicieuse et affreuse. Ses mains me caressant la cuisse me rendent dingue, j’en veux plus, beaucoup plus. Je feins parfois d’avoir mal et je gémis, je sais que ça l’excite et son regard me foudroie d’envie.

Toute la journée nous jouons à ce jeu, s’exciter sans se faire prendre.

Evidemment il fallait que cela se fasse remarquer… Un ami de mon tatoueur nous grille, il dit que nos regards ne trompent pas, je l’ignore et la journée passe.

Malheureusement le concours Best of day était truqué et nous ne remportons aucun prix malgré la qualité et la beauté de mon nouveau tatouage.

Nous rentrons à deux voitures, nous arrêtons à la même station essence qu’à l’aller, celle du bouquet de fleurs…

Je sens que mon amant veut faire durer le moment et moi aussi je veux le voir jusque tard dans la nuit. Il propose qu’on aille boire un verre chez lui. Sa femme est la, il l’embrasse en arrivant, BIM ça fait mal, ne montre rien.

Leur fille dort, on entend de la musique sur le babyphone… BIM, ah t’avais oublié hein qu’il avait un enfant avec une autre !

L’excuse du nouveau tattoo est géniale pour se retrouver tout les deux dans sa salle de bain, elle lui permet aussi de me caresser la cuisse devant tout le monde sans aucune ambiguïté et pourtant qu’est-ce que c’est gênant. Je sens mon corps se réchauffer et ma cyprine se déverser dans ma culotte devant mon homme et sa femme.

Mon copain et moi rentrons. Je feins la fatigue pour ne pas avoir de rapport avec lui, la vérité, c’est que notre tatoueur m’a démoli l’intérieur et même lorsque je m’assieds une légère douleur me rappelle tout le plaisir que j’ai pris.

La douleur après le plaisir de sa queue qui s’engouffre au fond de moi.

Le lendemain, c’est lundi, mon mec bosse alors je profite pour parler par texto à mon cher amant.

Nous nous remémorons les instants de plaisirs vécus et nous envoyons des snaps dénudés, moi de ma poitrine, de mes fesses, ma chatte et ma bouche. Lui de son sexe et de son visage que j’aime tant. Il fixe quelques règles, ne veut pas que je couche avec mon copain, ni que je dorme nue à côté de lui. Il dit que je lui appartiens.

Le soir même nous sortons au restaurant entre couples. Lui et sa femme, mon homme et moi et un couple de leurs amis.

Je me sens bizarre, les deux autres femmes ne parlent que de leurs gosses ou alors de leurs hommes lorsque l’on sort fumer une clope. Entendre d’une autre bouche parler de la libido de mon amant m’énerve. Entendre parler de leur super petite fille me fait rêver, j’aurais voulu que ce soit la mienne. La soirée passe, très bon dîner, petits regards et messages codés échangés dans les conversations.

Nous rentrons, ce soir le prétexte, c’est les maux de tête. J’avoue en fait je crève d’envie de faire l’amour, mais pas avec mon homme.

Mardi, je profite de finir ma prérentrée à la fac pour passer le voir au shop. Ouff ! Sa femme n’est pas là, il n’y a qu’un client, son apprenti et lui.

Robe obligatoire pour ne pas étouffer mon tatouage tout neuf, j’en joue lorsqu’il est le seul à me regarder. J’adore le chauffer.

Je décide de pimenter la journée en demandant à son apprenti ce qu’il pensait de me faire un underboob (un tatouage juste en dessous des seins). Hmm’ je le sens rugir depuis l’intérieur ahah. Plaisir de courte durée puisqu’une cliente arrive pour lui montrer l’évolution de son tattoo, du haut de la hanche jusqu’au mollet, je n’aime pas son espèce de perroquet. Même si c’est lui qui l’a fait, sur elle, je n’aime pas. Cette pouffe à même pris le soin de mettre un string ficelle. Que mon amant ne manque pas de faire remarquer à haute voix. Je bous… J’ai joué, j’ai perdu.

Il se rattrape quelques minutes après en me caressant sous ma robe derrière le comptoir, genre de rien.

Je finis par rentrer et comme à chaque fois que mon copain n’est pas la, nous discutons par sms, échangeons encore ces mêmes snaps en essayant de faire preuve d’imagination pour exciter l’autre.

Il fixe une nouvelle règle. À chaque fois qu’on se voit, je dois être en jupe ou robe et ne pas porter de culotte. J’accepte, ça m’excite.

Je deviens jalouse, possessive et délaisse un peu ma vie de couple… Mercredi nous nous textons et nous appelons pendant que mon homme travaille. Nous prévoyons de nous voir jeudi, dans son shop après son taff.

Mon homme rentre à 18 h du boulot, il est 16 h je suis dans ce shop que je connais si bien. Petite clope et je ne tiens plus je me jette sur lui. Il me parait plus petit à cause de mes talons, mais sa carrure me remet à ma place. Bordel.

Ses baisers, ses mains sur moi… Il sourit lorsqu’il voit que j’ai respecté les règles en portant une robe que je sais qu’il aime et sans sous vêtement.

Il est fier en me disant que j’ai faim, mais oui j’ai faim ! Je veux le dévorer, l’embrasser, le sucer…

Encore ce côté dominant qu’il a. Je ne peux rien faire qu’il me pilonne déjà sur la table de tattoo. La grille métallique derrière la porte entre-ouverte est la seule chose qui empêche les passants de voir qui pousse ces cris de plaisirs. Il alterne ses doigts et sa queue en moi, ses coups de reins me rendent complètement folle et je jouis. Encore une fois il me fait jouir facilement et plusieurs fois. Je crie son prénom. Une tortue ninja tombe d’une étagère derrière moi tant la violence de nos ébats est grande. J’adore qu’il m’empale comme ça en me regardant me tordre de plaisir.

Il jouit sur mon corps, s’occupe une dernière fois de mon clitoris et nous rangeons un peu le shop, que nous avons mis sens dessus dessous.

Nous fumons une autre clope et il sous-entend qu’il va falloir partir. Je ne suis pas rassasiée et en demande encore, je veux le prendre en bouche mais il refuse en me disant de patienter jusqu’à la prochaine fois…

Une dernière tentative de ma part en m’allongeant à plat ventre, jambes écartées et vulve à l’air sur la table, mais seuls deux doigts me pénétrèrent et ses dents se plantèrent dans mes fesses. Une dernière jouissance et je m’en vais.

Quelques minutes plus tard, je suis bloquée dans les bouchons Lillois… 17 h. Une heure seulement et tant de choses vécues dans mon corps et dans ma tête. Mes jambes tremblent encore, il m’appelle.

Sa femme est arrivée au shop à peine une minute après mon départ, on a failli se faire griller… Je prie pour qu’elle ne m’ait pas vue, pas reconnue…

Cette femme ne se doute de rien, mon homme non plus ne se doute de rien… Et nous, nous vivons cette passion qui nous anime dès que l’occasion se présente…

Un snap de trop ce soir là alors que nous sommes dans un bar en amoureux, mon homme doute… Alcoolisés tout les deux, on se dispute, je veux partir, il refuse, je n’ai plus ma ceinture, il accélère, puis freine… Boum. Ma tête heurte le pare-brise, je perds connaissance…

Réflexe défensif de mon cerveau, brouhaha des médecins autour de moi pendant que je cogite…

Vais-je continuer à jouer avec le feu dans mon couple ou finir vieille fille amoureuse de l’homme d’une autre…

Cet homme m’a volé mon cur, avec un regard, un bouquet de fleurs et ses aiguilles…

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