Chapitre 35 : La punition
Morgane amena Claire dans une pièce entièrement dépourvue de meuble à l’exception d’une étrange chaise placée en son centre. C’était la première fois qu’elle entrait dans cette salle qui avait coutume de nêtre uniquement utilisée pour les ébats de ses mamans. Le siège qui trônait au milieu de la pièce n’avait absolument rien d’ordinaire et la jeune fille ne parvint pas à comprendre comment il fallait s’asseoir dessus.
Morgane sourit devant la mine sceptique de sa fille et la poussa maternellement dans le dos.
-Déshabille-toi, lui enjoignit-elle.
Claire s’exécuta sans poser de question. Sa peau immaculée apparut à Morgane qui eut un sursaut d’excitation tandis qu’elle détaillait le magnifique corps de sa fille. Ses longs cheveux bruns coulant le long de ses épaules galbées, la courbe de son dos, ses fesses et ses hanches qui semblaient supplier qu’on les empoigne avec hargne, ses cuisses fermes et musclées.
Morgane tourna lentement autour de Claire et, une fois placée devant elle, elle fit courir son regard le long de ses formes. Son doux menton, son cou dessiné tout en finesse, ses seins d’une rondeur impeccable desquels jaillissaient des tétons appétissants, son ventre plat, ses deux queues superposées l’une sur l’autre qui cachaient un pubis déjà tremblant d’envie.
La maman plongea son regard dans celui de sa fille et s’empara de l’un de ses sexes. La respiration de Claire s’accéléra instantanément. Elle voulut s’avancer pour embrasser Morgane mais celle-ci l’en dissuada en posant un index impérieux sur ses lèvres.
Les verges de Claire commencèrent à grossir sous les caresses expertes de Morgane. Cette dernière débuta un langoureux mouvement de va-et-vient tandis que leur regard était toujours rivé l’un à l’autre. La jeune fille avait le souffle court et ne savait pas quoi faire de ses mains. Elle fit mine de prendre sa queue libre mais il suffit d’un froncement de sourcil de la part de Morgane pour qu’elle abandonne cette idée.
-C’est mal ce que tu as fait à Cindy, susurra Morgane sans cesser de branler sa fille.
-Je regrette tellement, fit celle-ci en baissant les yeux.
-Regarde-moi, ordonna Morgane. Je sais que tu regrettes mais tu seras tout de même punie.
Claire approuva. Elle comprenait.
-Bien, sourit Morgane.
Elle lâcha la hampe à présent en érection de l’adolescente et poussa gentiment cette dernière sur la mystérieuse chaise. Claire dut s’agenouiller sur cet étrange siège et, une fois que ce fut fait, Morgane lui attacha les mollets à l’aide de lanières en cuir. Ses cuisses subirent le même sort. Elle fut ensuite forcée de se coucher contre le dossier de la chaise qui était à lhorizontale tant il était courbé vers l’arrière. Son dos formait maintenant un arc de cercle exhibant grandement sa superbe poitrine. Morgane appliqua une main sur le front de sa fille pour lui enjoindre de se détendre. Claire posa l’arrière de son crâne contre le dossier et sa maman chérie lui passa une lanière autour de cou. La jeune fille déglutit, anxieuse de ce qui l’attendait.
-Ne t’en fais pas, ma belle, c’est presque fini.
Claire acquiesça péniblement et prit une grande inspiration pour se donner du courage.
Ses mains furent tirées en arrière et amenées au sol où elles furent liées à leur tour.
-Et voilà ! Sourit Morgane Nous pouvons commencer.
Claire ne savait pas trop ce que Morgane voulait dire par là, mais à peine eut-elle songé à poser la question que la porte s’ouvrit pour laisser entrer Mathilde, Eugénie, Juliette et Erika. Les quatre nouvelles arrivantes se placèrent devant l’adolescente attachée et l’observèrent avec gourmandise.
-Co… commencer quoi ? Bégaya la jeune fille.
-Eh bien, ta punition.
Les cinq femmes se dévêtirent en jetant des regards emplis de convoitise aux deux verges fièrement dressées de Claire. Cette dernière se mit à mouiller d’anticipation et elle tenta de bouger son bassin. Malheureusement, celui-ci était solidement accroché à la chaise et c’est à peine s’il s’en décolla.
-Qu’est-ce que vous allez me faire ? Demanda-t-elle timidement.
-À toi ? Fit Morgane, faussement étonnée. Rien.
Suite à cette étonnante réponse, Morgane, qui bandait depuis un moment déjà, s’empara de la tête de Mathilde et l’embrassa goulument. Erika, elle, se mit à galocher Juliette pendant qu’Eugénie s’agenouillait pour enfourner le sexe tendu et luisant de la jeune adolescente profondément dans sa gorge.
Claire observa cette scène avec des yeux ronds d’étonnement. Elle sentit immédiatement des vagues de picotements naître dans son bas-ventre et titiller ses sexes gonflés d’excitation. Son anus et sa chatte se liquéfièrent instantanément, rendant ses fesses glissantes et tremblantes d’envie.
Morgane plaça une capote sur son sexe. Elle prit Mathilde par le bras et l’entraîna près de la jeune fille enchaînée. Là, elle la força à se pencher en avant de manière à ce qu’elle s’accoude sur Claire. Mathilde se laissa guider sans opposer la moindre résistance et sa tête se retrouva au niveau des seins de Claire.
-Qu’est-ce que tu… ? Débuta Claire.
-Mmmh ! Ah ouiii !
Morgane venait d’enfiler Mathilde qui se mit à gémir intensément.
-Aah baise-moi, Morgane ! Plus fooort ! Plus fort !
Claire haletait vivement tandis qu’elle lorgnait Mathilde se faire défoncer la chatte. Celle-ci faisait des bonds en avant en pressant ses seins appétissants sur le corps de la jeune fille à chaque fois que Morgane la perforait.
-Aaah je sens ta queue qui me ramone le trou ! C’est bon, putain !
-Tu aimes ça, pas vrai, ma petite catin ? Tu aimes quand je te violente comme ça !
-Oh oui ! S’extasia Mathilde. Oh c’est booon !
Claire était ballotée tout autant que Mathilde et ses deux queues étaient plus dures que jamais.
-Maman, demanda-t-elle timidement, tu peux t’occuper de moi ?
-Aah vas-y Morgane ! Défonce-moi la chatte ! Je… Mmh… je suis désolée, mon cur… Oh putain oui ! Plus fort ! C’est boon ! Mais… Ah… Mmh ! Tu es punie…
Claire sentait le corps chaud et transpirant de sa mère glisser sur le sien avec volupté et elle ne pouvait qu’imaginer être à sa place et recevoir ces formidables coups de bite. Son con se déversait en large quantité de cyprine sur la chaise et elle dut se mordre la lèvre tant le désir était important. Elle avait beau gigoter dans tous les sens, ses liens étaient solides et l’immobilisaient aussi sûrement que si elle s’était retrouvée dans un bloc de béton.
-Oh je t’en prie, maman… haleta-t-elle.
Mathilde vint glisser sa langue dans sa bouche avant de lui susurrer coquinement :
-Je meurs d’envie que tu me prennes… Mmh… Je veux me faire pénétrer… Oh mon Dieu… par tes deux queues en même temps et que… ouah !… Que tu me fasses jouir comme jamais…
À ces mots, la respiration de Claire s’accéléra et un fol espoir naquit dans son cur. Elle voulut parler mais sa mère se remit à l’embrasser goulûment, véritable tigresse affamée. Cette dernière reprit son souffle et la regarda droit dans les yeux.
-Mais tu es punie.
Claire sa sentit trahit tandis qu’elle admirait le visage extatique de sa mère qui se faisait baiser par Morgane.
C’est Eugénie qui vint à sa rescousse. Elle se retrouva au-dessus d’elle, au niveau de la tête et sans un mot, elle se pencha pour embrasser la jeune fille. Claire se laissa faire, à défaut de ne pouvoir réagir autrement et apprécia le pelotage que lui imposait l’ancienne directrice.
-Tu veux bien t’occuper de moi ? Fit cette dernière en se relevant.
Claire avait une vue imprenable sur la vulve d’Eugénie qui luisait de cyprine et elle déglutit péniblement en pensant à son propre désir. La jeune fille fut étonnée par la demande de l’ancienne directrice. Elle leva son regard vers Eugénie qui la lorgnait de toute sa hauteur, les mains sur les hanches. Elle voulut répondre mais avant que le moindre son ne s’échappe d’entre ses lèvres, Eugénie s’avança et plaqua son vagin trempé sur la bouche grande ouverte de l’adolescente.
-MmmhMmhMm, se débattit celle-ci en tirant sur ses liens.
-Aah, soupira Eugénie à la façon de quelqu’un entrant dans un bon bain chaud. Mets la langue ! Oui… aah c’est bon, ma toute belle. Aspire, maintenant. Oui, voilà… Mmmh oui…
Claire ne put faire autrement que d’embrasser ces lèvres intimes qui s’imposaient à elle. Heureusement pour elle, son nez était dégagé ce qui lui permettait de respirer librement. Elle explora le trou d’Eugénie à l’aide de son appendice buccal, caressant chaque recoin recouvert de mouille.
-C’est bien, ma belle. Oui… Mmmh continue comme ça… Accélère maintenant.
Claire s’exécuta, le corps toujours ballotté par les va-et-vient de Morgane dans sa mère. Eugénie, sans cesser de chevaucher la bouche de Claire, se pencha en avant et roula une pelle à Mathilde.
-Comment est… Mmh… la langue de ma fille ? S’enquit cette dernière.
-Tu ne te rends pas compte à quel point je prends mon pied, sourit Eugénie en fermant les yeux.
Elle débuta un langoureux mouvement de va-et-vient, frottant son sexe ultra-sensible sur la bouche de la jeune fille. Claire lapait comme une démente. Elle n’avait jamais été autant excitée de toute sa vie et reportait sa frustration de ne pas pouvoir jouir sur ce trou dégoulinant de cyprine.
Lorsque le clitoris passait à sa portée, l’adolescente se jetait corps et âme dessus. Elle le suçait, le mordillait, l’aspirait, le léchait,… Tout ce qu’elle était capable de faire avec sa bouche, elle le faisait subir à ce petit bouton rose et dur.
Eugénie était aux anges. Elle exerçait une pression sans cesse plus forte sur la bouche de l’adolescente, réclamant toujours plus.
-C’est bon, gémit-elle. Oh oui ! Vas-y !
Ses geignements se mêlaient à ceux de Mathilde et de Juliette qui se faisaient pendre dans les règles de l’art un peu plus loin. Morgane fit signe à Erika de se joindre à elles. Cette dernière approuva et elle força Juliette à venir s’accouder à Claire pendant que sa queue lui ramonait la chatte.
Les cinq femmes étaient à présent sur le point d’avoir un orgasme. Seule restait Claire qui n’était nullement stimulée ailleurs qu’au niveau de la bouche. Ses deux sexes virils coulaient littéralement d’envie et semblaient aussi dur que le marbre tant ils étaient gorgés de sang. Son intimité libérait une quantité incommensurable de cyprine qui coulait le long de ses jambes avant de venir se répandre sur le sol.
Eugénie frottait de plus en plus avidement son sexe sur la bouche de la jeune fille. La langue de celle-ci s’enfonçait profondément en elle et agaçait ses parois intimes rendues sensibles par son excitation grandissante.
-Continue, ma belle ! Tu vas me faire venir !
Mathilde fut tout à coup saisie d’un fulgurant orgasme. Incapable de contrôler ses gestes, elle pressa l’un des seins de la jeune fille et en mordit à pleine dent le téton juteux qui pointait narquoisement devant sa face. Alors qu’elle croyait avoir atteint le summum, l’excitation de Claire grimpa subitement en flèche.
Tout son corps se tendit sous cette nouvelle source de désir brut et sa langue se transforma en une véritable tornade érotique. Eugénie se mit à hurler tandis que son abricot subissait une véritable fouille frénétique.
-Aaah oui ! Ooooh c’est booon !
Elle fut à son tour ravagée par un puissant orgasme et dut même relever son bassin tant les caresses que lui prodiguait Claire étaient intenses. Aussitôt son intimité en contact avec l’air, ses doigts s’y ruèrent et furent aussitôt happés par ce trou avide et dégoulinant de mouille. Eugénie se doigta comme une possédée et fit pleuvoir une pluie de cyprine sur le visage de la jeune fille.
-Je jouiiiis ! Aaaah mon Dieu !
Claire haletait, le visage rougi par l’effort et l’excitation. Elle clignait des yeux sous l’assaut de cette brume aux saveurs féminines et tentait difficilement de récupérer son souffle.
-Faites-moi jouir ! Cria-t-elle, au comble de la frustration.
Elle n’en pouvait plus et n’aspirait qu’à se faire prendre avec violence pendant que quelqu’un s’empalait sur ses hampes tendues à l’extrême.
-Erika, viens mettre ta queue en moi ! Ordonna-t-elle.
Erika lorgna sa sur avec étonnement puis tourna un regard interrogatif en direction de Morgane. Cette dernière lui fit un clin d’il et un sourire complice étira les traits de la jeune fille.
-Mais bien sûr, chère sur.
Pour le plus grand dam de Juliette qui était au bord de l’orgasme, Erika se retira et vint se placer juste derrière la tête de Claire.
-Je t’en supplie… fit cette dernière en admirant la queue de sa sur qui la surplombait de toute sa splendeur.
-Et qu’est-ce qu’on dit ?
-S’il te pl…
La pauvre Claire n’eut même pas le temps de finir sa phrase qu’Erika enfournait de force son sexe entre les lèvres entrouvertes de sa sur. L’imposant pilier de chaire s’enfonça profondément dans la gorge de l’adolescente jusqu’à ce que le pubis d’Erika touche son menton.
-Claire ! S’ébahit Erika. Tu me fais une gorge profonde !
-C’est pas vrai ? S’étonna Morgane en approchant. Montre-moi.
Erika se retira en gémissant et laissa la place à sa mère.
-Non, attendez je… Se défendît vainement la pauvre Claire.
Morgane n’y prêta guerre attention et perfora sa bouche de son gros dard luisant. La jeune fille avala la hampe en ouvrant de gros yeux et, une fois encore, le pubis vint frapper contre son menton.
-Ouah ! S’extasia Morgane. Claire, ma belle, ta gorge est si profonde !
La pauvre fille n’en menait pas large. Son gosier était obstrué par une gigantesque bite pendant que son nez était enfoui dans le vagin suintant de sa maman. Comme ses traits viraient tout doucement au rouge pivoine, Morgane se retira.
Claire fut saisie d’une violente quinte de toux avant de pouvoir commencer à reprendre son souffle.
-Arrêtez, supplia-t-elle. Je veux jouir ! Je veux que vous me baisiez ! Je…
Morgane enfonça à nouveau son sexe dans la bouche de la jeune fille tout en poussant un soupir de contentement.
-Aah… Et bien voilà, je baise ta bouche.
Morgane mit ses mots à exécution et entreprit des allers-retours dans la gorge de sa fille. À chaque fois qu’elle s’enfonçait, son vagin venait s’empaler sur le nez de Claire et le frottait langoureusement. Claire émettait de petits gargouillis de gorge et son torse tressautait à chaque pénétration faisant vibrer ses seins pommelés.
-À mon tour, à mon tour ! S’exclama Erika que la vue de cet émoustillant spectacle la faisait bander comme un cheval.
Morgane se retira doucement pour profiter au maximum de la douceur buccale de Claire. Une fois encore, cette dernière toussa lorsque ses voies respiratoires furent libérées.
-Je vous en prie… faites-moi jouir… Je n’en peux…
Erika enfourna sa hampe brûlante comme si la bouche de sa sur n’était qu’un vulgaire trou à bite. Claire l’accueillit avec surprise et laissa le sexe buter contre le fond de sa gorge.
-Ouah ! C’est si bon ! S’ébahit Erika en faisant elle aussi des allers-retours dans le profond gosier de sa sur.
Son gland décalotté frottait avec régal contre les parois couvertes de bave de la cavité buccale de sa sur. Claire, quant à elle, n’en menait pas large. Elle subissait difficilement cette imposante intrusion qui lui raclait toute la gorge et lui bloquait la respiration.
Mais en fin de compte, ce supplice n’était rien comparé au désir ardent qui lui brûlait le bas-ventre. Elle sentait tous ses sexes couler d’une violente envie. Ses tétons étaient érigés comme jamais ils ne l’avaient été auparavant, ses queues suintaient d’un épais liquide lubrifiant qui dégoulinait grassement sur ses cuisses et son vagin ruisselait abondamment de cyprine. Tout ce dont elle rêvait, c’était de se faire prendre par tous les trous pendant qu’elle défonçait sans vergogne le cul de l’une de ses mamans.
Mais alors qu’elle s’imaginait cela, elle sentit un souffle caresser ses sexes ultra-sensibles. Erika se retira de sa bouche et, pendant qu’elle récupérait son souffle, elle put baisser son regard. C’était Juliette. La maman d’Erika était pliée en deux, les mains posées sur les cuisses de la jeune fille ligotée et se faisait lécher l’abricot par Mathilde. Elle haletait fortement et son souffle chaud agaçait l’intimité de Claire, décuplant atrocement le supplice que subissait cette dernière.
-Non, pas ça… Arrêtez… gémit Claire.
Elle tira sur ses liens dans l’espoir qu’ils cèdent mais rien n’y fit. Juliette s’en rendit compte et se mir à la narguer cruellement en mimant une pipe. Sa bouche forma un « o » parfait et elle fit des allers-retours dans le vide en verrouillant son regard narquois sur celui d’une Claire sur le point d’exploser.
-Maman… je t’en supplie… Vas-y ! Suce-moi, maman… mets ma bite dans ta bouche !
Cette torture était d’une cruauté sans pareil. Claire ne pouvait qu’imaginer les sensations que lui prodiguerait la bouche de sa maman autour de ses sexes masculins. Elle visualisait intérieurement ceux-ci se faire littéralement engloutir par la bouche de Juliette. Elle voyait la langue de sa mère racler les parois veineuses et grasses de ses bites et s’insinuer dans tous les recoins. Ses deux glands se faisaient goulûment aspirer dans un délicieux bruit de succion. Ses sexes s’enfonçaient alors dans la gorge de sa mère et…
La rêverie de Claire fut brutalement interrompue par le chibre de sa chère sur qui s’enfonça sans préambule dans les profondeurs de son gosier. Les saveurs puissantes l’emplirent immédiatement. C’était un délicieux mélange de parfum d’homme et de femme en rut puant la sueur et le plaisir animal. L’excitation de Claire n’en était que plus grande, si cela était possible. Elle avait l’impression d’avoir une orgie dans la bouche tandis qu’un incommensurable brasier consumait son entrejambe.
-Aah chère sur ! Ta bouche est si douce ! S’exclama Erika en s’agrippant fermement au sein de Claire. Aah oui ! Je vais bientôt jouir ! Je vais jouir dans ta bouche !
Tout le corps de claire se tendait à l’extrême sous la violence de cette nouvelle incursion. L’imposante hampe d’Erika entrait et sortait en elle avec régularité et profondeur.
-Ah mon Dieu ! S’écria Erika en se crispant subitement. Oh je viens, Claire ! Je viens ! Jouis avec moi, petite sur !
L’ainée des trois filles s’enfonça le plus loin possible dans le gosier de sa petite sur et se mit à éjaculer un flot incroyable de sperme crémeux.
-Aaaaah c’est trop booooon ! Cria-t-elle.
Sa chatte qui était empalée sur le nez de Claire laissa échapper de violents jets de cyprine qui vinrent arroser le visage torturé de la pauvre fille. La mouille coulait sur elle et manquait de la noyer à tout instant.
Mais, au plus profond de son orgasme, Erika eut un sursaut de conscience lorsqu’une substance gluante vint se répandre sur son front. Elle dut mobiliser toute sa concentration pour ouvrir les yeux. Son regard brillant d’orgasme se posa sur l’entrejambe de sa petite sur et un étonnement sans nom se peignit sur ses traits.
Les deux sexes de Claire sétaient soudainement transformés en geyser qui laissait fuser à travers toute la pièce de puissants jets de sperme. Les cinq femmes placées en rond autour de la jeune fille avaient été touchées par la semence qui dégoulinait onctueusement sur leur corps nu. Toutes lorgnaient la jeune fille avec ébahissement.
Erika se retira et en oublia presque le fantastique orgasme qu’elle venait d’avoir. Immédiatement, un hurlement emplit la pièce.
-Aaaaaah Je jouiiiiiiis !!
Le corps de Claire retenu par de solides liens tentait de se contorsionner dans tous les sens tandis que ses sexes n’en finissaient pas d’éjaculer. Sa chatte aussi était prise de convulsion et se déversait abondamment sur le sol de la pièce.
Sons corps se tendait intensément et faisait craquer les liens de cuir qui la retenait à la chaise.
Claire était balayée par un orgasme d’une puissance démesurée…