Malheureusement, profiter de cette bite bien dure n’était guère possible. Il fallait aller bosser. Je dus me contenter d’une belle fellation suivie d’une vigoureuse branlette menée d’une main autoritaire pour le faire éjaculer très vite entre mes seins.
– A ce soir ! me dit-il.
– Non, pas ce soir.
– Pourquoi ?
– Faut que je prenne du recul
– Prends tout ce que tu veux comme recul du moment que je…
– D’accord, d’accord…j’ai pigé…
– Alors demain ?
– Je sais pas. Plutôt non.
– OK
– Tu m’en veux pas ?
– Non, non, toute façon Lucien pouvait pas ce soir.
– Ah c’est ton deuxième pote….
– Non, non… c’est un autre parce que Jean il est à l’étranger en ce moment. C’est Lucien. J’lui ai parlé de toi. Il est atypique… mais tu verras, au lit, c’est un ouragan. Je lui dis de venir quand ?
– J’sais pas. Peut-être dimanche après-midi… A moins qu’on fasse une pause… ou juste toi et moi…j’sais plus….j’te redis.
– Oui, redis-moi vite.
– Allez, bonne journée.
– A toi aussi.
Et je partis au travail en reprenant mes réflexions tirées de mes insomnies.
C’est en effet en me réveillant, en pleine nuit que je m’étais dit qu’il fallait que je fasse le point.
Me retrouver nue en pleine nuit à côté d’un homme nu aussi, ronflant doucement, que je connaissais finalement très peu, cela m’avait fait réfléchir. "Qu’est-ce que je fous là" ? Je m’étais donnée le soir pour faire le point, pas besoin de me matagraboliser le cerveau en pleine nuit pour m’empêcher de dormir….
J’y repensais dans le bus mais le trajet fut court.
Au bureau, fort heureusement le travail était important. Les dossiers s’accumulaient et c’était mieux pour éviter de penser et me distraire.
Pourtant, en rentrant chez moi, seule dans l’escalier j’eus la tentation d’aller frapper chez JP… mais je me retins. Lui ayant dit que je ne viendrais pas, je ne pouvais revenir sur ma décision aussi vite… Sans quoi je passerais vraiment pour une salope ou une chaudasse et je ne pourrais plus jamais lui dire non ensuite si je ne faisais pas montre d’un plus grande volonté.
Je rentrai donc chez moi, retrouvant l’appart tel que nous l’avions laissé la veille au soir, avec des verres sales sur l’évier, un carton de pizza à moitié déchiré sur la table, le plaid du sofa tout chiffonné, le tapis de travers, le slip de Baobab sans doute volontairement oublié là, accroché au montant d’une chaise, comme un trophée…Il faudrait que je range tout cela, mais d’abord je pris une douche.
Ceci fait je revins dans la cuisine:salle à manger. En regardant de près la table, il y restait du sperme séché. Je passai mes doigts dessus et revis tout ce qui s’était passé depuis 48 heures.
Une rétrospective s’imposait.
J’avais donc découvert dans ce laps de temps que mon mec était gay et me trompait avec un pote, de dépit je m’étais livré à mon voisin que certes j’appréciais beaucoup mais que je ne connaissais finalement pas. J’avais découvert aussi avec lui ce qu’était l’amour et j’avais fait des trucs que je ne me serais jamais vu faire avant et qui même m’auraient dégoûtée rien que d’en parler. J’avais fait l’amour comme si cela avait été la première fois, j’avais connu des orgasmes inimaginables et, pour la première fois de ma vie, répétés; j’avais redécouvert mon corps, reconnu que je pouvais être désirable et sensuelle, autant de choses que j’avais oubliées avec Kevin.
Je m’étais laissée entraîner par mon nouvel amant à faire l’amour avec un total inconnu dont l’énorme queue m’avait éclaté la vulve. Je m’étais offerte sans la moindre résistance et la moindre gène au livreur de pizza dans une débauche sexuelle des plus débridées où j’avais perdu tout contrôle de moi-même.
Ma vie avait basculé en si peu de temps, ma vie sexuelle et ma vie affective. Etais-je tombée si vite amoureuse de JP, un homme plus âgé que moi ? ou étais-je simplement encore avide d’expériences sexuelles nouvelles avec lui. L’aimais-je ou lui étais-je seulement reconnaissante de m’avoir rendu la fierté de mon corps et de m’avoir entrouvert les portes du plaisir, de la jouissance, de l’orgasme ?
Tout cela m’excitait au plus haut point.
Toujours contemplant le sperme sur la table, je défis mon peignoir et me couchait pour que mes tétons frottent la semence séchée.
Je mis la main entre les jambes, je mouillai. J’avais envie de faire l’amour, encore, encore et encore… vite appeler JP pour satisfaire mon désir et éteindre le feu qui me dévorait…. Mais non, si je le faisais, si je lui montrais qu’il avait allumé un feu que je ne voulais plus éteindre, je serais son esclave tous les jours. Je devais apprendre à me maîtriser, à dire non, à dominer cette libido qui se libérait comme un fauve trop longtemps maintenu en cage et nourri au yaourt (C’est peut-être le fantasme du sperme qui me suggéra cette image). Kevin m’avait tellement privée de sexe que j’avais un immense retard à combler.
Que faire ?
Et si je commandais une pizza ! Rémi saurait me soulager sans que j’ai besoin de reconnaître ma déroute morale devant JP. J’avais apprécié sa queue juvénile et bien rigide. C’était une bonne idée. Je pris mon téléphone.
Une vingtaine de minutes après, on sonnait. J’avais eu le temps de remettre de l’ordre mais n’avais pas eu le courage d’essuyer les larmes de sperme figé sur la table.
Je m’étais imaginée la scène. J’ouvrirais, puis enlèverais immédiatement mon peignoir, reculerais vers le canapé et écarterais les jambes. Rémi s’avancerait, baisserait son froc, et s’allongerait sur moi. Nous ferions l’amour sauvagement et rapidement jusqu’à ce qu’il éjacule en moi dans un cri de victoire et cela m’apaiserait pour un temps.
Mais ce n’était pas Rémi, c’était un jeune que je ne connaissais pas. Je n’osais pas me livrer au premier venu.
– Bonsoir M’dame.
– Ah ! ce n’est pas Rémi ?
– Non, non le patron a pas voulu. Rémi il allait partir mais le patron il a dit que ce serait plus rapide si c’était moi qui venait chez vous… j’sais pas pourquoi il a dit ça.
– Ah bon…
Je payai et me dit qu’il faudrait coucher avec le patron pour pouvoir disposer du commis à volonté.
J’eus envie de dire au livreur de demander à Rémi de passer après son service, mais je me retins.
Je laissai la pizza, fis le ménage de fond en combles pour me calmer et allai me coucher.
Je me fis plaisir mais si le clitoris répondit au quart de tour mais mes pauvres petits doigts ne purent satisfaire entièrement la faim inextinguible de mon vagin. Je léchai la table pour gober le sperme qui y était collé mais ne récoltai que le goût du bois verni.
Il était à peu près vingt trois heures quand, lasse de me doigter, pour un maigre résultat, je décidais d’aller chez Jean-Pierre. Je n’y tenais plus.
Là encore, comme avec le livreur de Pizza, je fantasmais en me projetant la scène à venir. Je l’imaginais dans son canapé, la bite en l’air en train de se mâter un porno. Je décidai de traverser le pallier nue. Avec un peu de chance, il n’aurait pas laissé sa clef sur la porte, j’entrerai d’un coup et irais m’agenouiller immédiatement devant la grosse queue pour lui rendre hommage. Puis je viendrai m’empaler sur le vit dressé pour un rodéo qui me ferait jouir comme il convenait.
Je pris donc me clefs et les siennes, entrouvris la porte et n’entendis rien dans la cage d’escalier si ce n’est une sourde rumeur qui venait de chez JP. Comme je le prévoyais, il était devant sa télé.
Je ne prenais pas de risque à y aller entièrement nue. Personne ne me verrait. Je traversai le pallier toute frémissante, les seins gonflés et les tétons durs et pointés comme de véritables petits détecteurs de bite.
La clef tourna je poussai la porte, entrai précipitamment en la refermant violemment derrière moi.
— Tu as gagné, prends-moi, dis-je en me tournant vers le canapé… vide.
Je portai alors mes regards vers le coin cuisine et je crus mourir de honte.
Quatre hommes étaient attablés, jouant aux cartes mais s’étant interrompus pour me regarder.
– Ben tu m’avais dis que tu viendrais pas ce soir !
– Oh excusez-moi ! dis-je en essayant de recouvrir ma toison d’une main et mes seins de l’autre, tout en faisant tomber mes clefs. – je ne savais pas que tu avais du monde.
Un gars demanda.
– C’est la fille dont tu nous as parlé ?
– Oui ! En même temps, une nana qui débarque à poil chez moi, j’pense qu’il n’y a pas suspense !
– Putain, t’as raison, elle est canon !
J’essayai de ramasser les clefs en balbutiant que j’allais les laisser mais, avant que j’ai pu tourner les talons, JP était déjà sur moi.
– Ah ! non tu vas pas nous laisser comme ça !
– J’vais revenir quand ils seront partie dis-je un peu affolée.
– Des couettes ! Tu arrives, tu nous chauffes et tu veux repartir ! Tu imagines ce que ça fait une belle pouliche à poil au milieu d’étalons fougueux, dit-il en sortant son sexe tendu de son survêt, allez, avance !
Et il me poussa violemment vers ses amis.
Il se mit derrière moi et se plaquant contre mon dos, écrasa ses mains puissantes contre mes seins et le haut de sa queue contre ma raie culière.
– Visez les nibards les gars, alors, hein, je ne vous ai pas menti ? Et la chatte, vous avez vu comme elle est rose et fraîche… et toute mouillée… regardez la bouche, c’est pas une bouche de bonne pipeuse ça, c’est de la pompe à jus de première !
Les gars acquiescèrent et l’un déjà défaisait son ceinturon.
– Bien mon Pedro, bien ! viens me baiser cette salope. Vous privez pas les gars, elle aime ça a plusieurs. Hier soir on l’a prise à trois, hein ma petite chérie… et pas que de la p’tite pine !
Je sentais la bite de JP tendue entre mes fesses, je voyais le zob décalotté de Pedro, petit mais très courbé avec un gland bien dessiné. Il me serait impossible de résister. Je n’y songeais même pas. J’étais venu pour avoir une grosse bite et j’en aurais trois en plus !
Un deuxième gars descendit sa braguette en disant :
– Vous direz rien à ma femme ?
– Ni moi à la mienne ? Dit l’autre.
– Non, on leur dira rien… mais moi, avec le cul qu’elles ont vos bonnes femmes j’suis sûr qu’elles vous font cocu…. alors vous avez pas de complexe à avoir.
Sitôt qu’il fut à poil, Pedro vint prendre la place de JP et, posant mes mains de part et d’autre de la table, je lui offris ma croupe tendue en arrière, jambes écartées.
Il trouva ma chatte d’un coup et m’enfila aussitôt puis s’agrippa à mes hanches.
Un mec, Gabriel, le second à avoir demandé de la discrétion au sujet de sa femme et qui avait été très rapide à se déloquer, vint se mettre sur la table. Bien qu’il bandât, son gland n’était pas décalotté. Je le suçai immédiatement et ce fut un plaisir de lui découvrir le gland rien qu’en jouant avec mes lèvres.
JP et l’autre type, Martial, me pelotaient les nichons.
– Alors Pedro, tu la trouves comment cette petite chatte ?
– Bonne… c’est de la sacré bonne chatte. Ça glisse au pays des merveilles !
– C’est pas mieux que de jouer aux cartes, les gars ?
– Y’a pas photo ! Répondit Martial Ça fait plus de vingt ans que j"ai pas baisé en groupe. Ça m’excite grave. Et vous les gars ?
– Moi, répondit Pedro, depuis que je suis divorcé, j’vais souvent en boîte échangiste… alors le cul en groupe je connais. J’aime bien baiser la femme des autres.
– Euh, tu pourrais peut-être mettre une capote alors ! Dis-je, pas rassurée du tout par ce que je venais d’entendre.
– Pas de problème ma belle. J’ai fait un test il y a dix jours et j’suis aussi pur qu’une pucelle.
– Tu peux lui faire confiance, ajouta JP.
Forte de cette garantie, je me remis donc à sucer Gabriel de plus belle pendant que l’autre se déchainait en me tapant le cul. Il eut pitié de Martial qui se pignolait.
– Vas-y, à toi !
L’autre tâtonna, guida sa quéquette de la main et s’introduisit d’un coup.
– Allez, venez dans mon baisodrome !
Nous y fûmes en un rien de temps.
Pendant que je m’emboitai sur Pedro en le chevauchant, ce qui fut facile vu qu’il s’était allongé sur un banc de muscu, JP était allé chercher des tapis de sol pour que nous puissions nous étendre sans au sol craindre le contact froid et dur du carrelage.
Comme il avait la place, Gabriel vint se coller contre mon dos et m’invita à basculer sur le corps de Pedro pour que je présente mieux ma fente bien occupée et me prendre en double.
Je n’eus qu’à tourner la tête pour prendre la troisième queue dans ma bouche.JP arriva et tout en me couvrant de petits bisous, il me chuchota à l’oreille :
– J’suppose que tu as pris toutes les dispositions pour que je t’éclate le cul.
Je répondis, sans suspendre ma pipe, par un "oon oon" affirmatif.
– Tu me laisses la place Gabi ? J’vais prendre l’autre trou.
– J’pourrais aussi demanda Martial ?
– Bien évidemment !
– Ah super.
Malgré l’abondance de gel, je dus m’arrêter de sucer le temps que la grosse trique m’élargisse le fion. Pedro s’agitait toujours et les deux autres gars alternaient pour se faire avaler le dard.
– Ah putain, ça c’est de la bonne pipe… elle avale ?
– Tout, elle bouffe tout.
– Ah d’enfer, y’a longtemps que j’ai envie de juter dans une bouche. Ma femme veut pas.
– La mienne non plus ! dit Gabriel avec du désespoir dans la voix.
– Allez les gars régalez-vous, c’est ma tournée.
Je n’eus pas longtemps à attendre pour sentir le gars se cambrer. Sa bite cracha une faible quantité de liquide que je n’eus aucun mal à absorber jusqu’à la dernière goutte.
– Tiens Pedro, on change.
JP marmonna quelques mots aux oreilles de Martial qui débandait déjà. Ce dernier roula des yeux ébahi puis fit un signe positif de la tête. Qu’est-ce qu’il tramait ? Puis, JP s’allongea sur le banc non s’en m’avoir au préalable roulé une pelle bien baveuse à la salive et au foutre.
– Mets-toi en sens inverse ma chérie. J’vais continuer à te prendre dans le cul et tu vas t’ allonger sur moi en laissant ta chatte à ces gentlemen.
Ce fut Gabriel qui me chargea le premier. Puis Pedro prit sa place et ainsi de suite. JP me ramonait le cul en variant le rythme et en donnant de grands coups de reins au moment où les mecs se laissaient la place. Gabriel moins résistant éjacula dans ma chatte. Pedro l’eut désormais pour lui tout seul et y plongea son pénis sitôt que l’autre l’eût quittée.
Pedro avait plus de savoir-faire et d’endurance. Ses coups de bite additionnés au mouvement de JP dans mon cul allaient avoir raison de moi. Je sentis l’orgasme approcher. Il s’annonçait dévastateur.
Autour de nous, les deux types tripotaient leur biroute désormais molle en regrettant d’avoir été si précoces.
JP, dans mon cul, ne bougeait plus. Il se contentait de me pincer les tétons. Il faut dire que Pedro me bourrait su vigoureusement que ses frottements massaient bine les deux sexes de part et d’autre de ma délicate paroi.
Je commençai à crier.
– Ouiii…. ouiii… encore… bourre-moi…
Les premiers assauts de l’orgasme se répandaient, impétueux.
– Maintenant ! Dit JP.
Alors je vis s’approcher Martial et je compris le sens de leur conciliabule.
– Sa…laud…. aahhhh…. t’es…..qu’un ….gros….. ouiiiiii, un gros….
Je n’eus pas le temps d’achever. Martial déjà urinait sur mes seins que JP broyait de toute son ardeur. La pisse coulait et ruisselait vers mon cou, mon nombril et mes flancs, recouvrant de son souffle chaud le corps de JP. Gabriel se joint au premier.
Les gars avaient bu de la bière et leur vessie respective était pleine comme une bonbonne.
Pedro accéléra et, sans hésitation mit ses doigts sur mes hanches toutes trempées. J’étais au comble de l’orgasme, les gars pissaient encore…. et ma bouche grande ouverte gueulait des insanités avant que Gabriel ne la transforme l’espace d’un instant en urinoir.
Les types se retirèrent, sans doute pour ne pas marcher dans la mare de pisse qui s’écoulait lentement vers la bonde de la douche. L’espace dégagé, Pedro vint se finir en secouant son dard au dessus de mon visage. Le sperme s’accrocha à mes narines ou me remplit les orbites, que je dégageais d’un coup de doigt.
JP me souleva et m’entraina sur les tapis de sol. Il m’y prit en missionnaire sans m’avoir séchée et, en se contorsionnant, il parvint à m’embrasser dans le coup ou à sucer mes seins et ma peau couverts de pisse. Ses coups étaient violents. Il me démontait avec une force encore inégalée et pourtant il n’avait pas fait semblant jusqu’ici. Puis il se mit debout pour éjaculer au dessus de moi. Le sperme fusa très loin et je ne reçus que les dernières larmes expulsées avec moins de force.
Alors il se pencha de nouveau sur moi, et me lécha intégralement le visage, m’embrassant dès qu’il avait assez de jus sur la langue.
Quand il se retira, ce fut un concert d’applaudissements et de louanges. La douche fut collective mais Gabriel et martial refusèrent le savon de peur que l’odorat de leurs épouses ne s’étonne de ce parfum extra-conjugal.
On but une dernier verre et les mecs sortirent en me remerciant chaleureusement.
Comme Gabriel ouvrait la porte il se retourna :
– Y’a un gars assis devant ta porte on dirait.
Sans aucune gène, JP, toujours nu, vint voir.
– C’est Rémi.
Alors je me montrai à mon tour.
– J’ai su que tu avais voulu une pizza, dit-il, j’espère que tu l’as eue. J’ai fini mon service, j’attendais devant ta porte pour m’en assurer. J’allais partir.
Les autres mecs éclatèrent de rire, ne se méprenant évidemment pas sur le sens de la commande et la nature de la livraison.
Je roulai une méga-pelle à JP en prenant bien le gros pacson dans ma main.
– A plus.
— Quand tu veux ma …p’tite chatte !
Je traversai, rentrai chez moi suivi de Rémi. Je fermai la porte. Fièrement tendue sortant de sa touffe de poils dont l’épaisseur me ravissait, la gaule du livreur aspirait à me rendre hommage. Je la pris dans la main, attendis qu’il ait oté une jambe de son pantalon et, désormais libre de ses mouvements, le trainai par la queue jusque dans mon lit.
A suivre.