La sortie d’hôpital de Maman
— Cela va être un peu trop rapide, papa.
Annonce Angèle pendant qu’elle dégrafe son soutien-gorge, en permettant à ses voluptueux seins de se balancer librement et qu’elle baisse sa culotte, la faisant glisser à ses pieds.
— . Nous devons aller à l’hôpital bientôt et voir maman.
— Nous avons le temps, Poussin. l’infirmier a dit qu’on en a pour quelques heures, comme la dernière fois.
Répond Denis, en enlevant ses vêtements pour rejoindre sa fille nue en jetant un coup d’oil à sa montre,
— Je ne vois pas pourquoi Bertrand ne peut pas y aller et la chercher.
Rétorque Angèle irritée quand elle couche sur le lit et soulève ses jambes, en plaçant ses pieds délicats sur les épaules de son père. Les jambes largement écartées, Denis a une vue parfaite sur con d’Angèle exposé qu’il a le plaisir d’observer depuis pas mal de temps et sa bouche bave comme chaque fois d’excitation et son pieu grandit.
— Nous devons tous y aller et la chercher quand Bertrand arrive à la maison, Poussin. Maintenant, veux-tu baiser ou non ?
Dit Denis, en tenant sa bite palpitante dans sa main, son gland violacé dégagé du prépuce.
— Quelle question idiote papa.
Glousse Angèle, en mettant ses mains en bas pour écarter ses lèvres.
— . je ne dis jamais non à ta langue chaude et humide.
Angèle écarte sa vulve aussi large qu’elle peut le faire, Denis se lèche les lèvres. Il se couche sur ses cuisses, étend une main pour faire rouler doucement les mamelons biens raides de sa fille entre son pouce et son index avant de baisser la tête pour téter les seins fermes, goutte chacun à tour de rôle et fier d’être celui qui est en partie responsable de la venue au monde d’une si magnifique créature.
— Suce-moi les fort, papa.
Implore Angèle,
— . comme tu me le fais toujours.
Denis ouvre sa bouche et prend un adorable sein de sa fille et le suce, il descend une main pour caresser son minou, ses doigts explorent impatiemment les replis de peau qui suintent goutte à goutte déjà de cyprine. Angèle halète quand Denis fouille avec ses doigts l’intérieur de son con en feu tout en mettant sa bouche sur l’autre sein de sa fille et se met à le sucer aussi fort qu’il peut.
— Descends sur mon minet, papa. mon trou a vraiment besoin d’une bonne lèche.
Denis se met vite à genoux et baisse la tête en direction du chat trempé d’Angèle. Il descend rapidement sur la vulve en feu. Il inhale avec délectation la délicatesse odeur de la féminité de sa fille et commence ensuite à diriger sa langue expérimentée le long de la fente entre les deux lèvres douces comme de la soie.
— Baise-moi, papa.
Soupire de bonheur Angèle.
— Si j’avais dix euros chaque fois que tu m’as léché ma minette en feu, je serais millionnaire aujourd’hui.
Denis sourit heureusement, il adore lécher le con de sa fille. Angèle n’a absolument aucun blocage et Denis a été vite transporté à un niveau supérieur d’excitation quand avec la personne que lui et Marie ont fait, ont eu des relations intimes pour la première fois et fait l’amour ensemble. Angèle ferme les yeux et pousse plusieurs grands cris quand elle frissonne sous l’attaque de la langue de Denis. Son plaisir devient de plus en plus fort à ce moment là quand son père absolument captivé attaque son clitoris revigoré. Sa fille déplace sa main droite pour empaumer sa poitrine toujours mouillée par la salive de son père et se les frotte ensemble pendant qu’avec l’autre main elle plaque la tête de son père contre elle.
— Oh, comme tu es belle, Poussin.
Soupire Denis, après une dizaine de minutes, il se relève pour reprendre son souffle, et savourer le goût du jus d’Angèle sur sa langue. Son pieu se dresse fièrement devant lui. Angèle lui sourit. Elle se déplace autour sur le lit pour se mettre à genoux, en concentrant toute son attention sur l’érection de son père et de ses testicules gonflées de semence. Depuis de nombreuses années le père et la fille ont des relations intimes entre eux. Et une entente parfaite et il n’y avait aucun besoin pour Denis de dire quoi que soit, Angèle sait exactement ce qu’il veut.
— Espérons que la maman appréciera ta bite et celle de Bertrand quand elle rentre à la maison, maintenant qu’elle sera capable de mieux les voir.
Commente Angèle, en souriant. Ses yeux contemplent tous les détails de l’appendice stupéfiant de son père, le gland tremblant en attendant encore une fois de prendre place momentanément dans son orifice du visage. Angèle est maintenant aussi hypnotisée que captivée que Denis et, sans inquiétude, elle ouvre sa bouche douée et engloutit la bite de son père dans une longue aspiration, la longue tige glisse sans effort sur sa langue et le noud frappe le fond de sa gorge, en l’asphyxiant, ce qui est juste le moment qu’elle préfère.
— Quelle pipe d’enfer.
Arrive une voix depuis l’entrée. Angèle continue de pomper la bite de Denis en entourant avec sa main gauche autour de ses couilles et en se frottant ses seins avec l’autre.
— C’est-il une partie privée ou quelqu’un d’autre peut-il participer ?
Denis, tremblant sous l’excitation de sa fille pro de la pipe, tourne sa tête pour voir Bertrand, son fils est debout là, revenu d’une course il se frotte une grosse bosse dans le minuscule de short blanc qu’il porte. Le jeune homme, comme son père a une belle bite, il a aussi un corps superbe avec des larges épaules musclées, poitrine virile et ventre plat qui sont mis en valeur par un gilet sans manches moulant, blanc pour concorder avec le short de Bertrand.
— Salut, Bertrand. comment ça c’est passé ?
Questionne Denis, content comme toujours de voir son fils obsédé par le sexe et ses yeux allant directement au paquet du jeune homme.
— Très bien papa. et vous voir tous les deux comme ça m’a excité à fond.
— Je le constate. pourquoi ne te déshabilles-tu pas et nous rejoint ?
Plaisante Denis, en léchant ses lèvres, il lui semble que la tente devant le short de son fils devient sensiblement plus grande avec chaque seconde,
— J’aimerai bien papa. mais tu ne crois pas que nous devons partir et chercher maman ? Elle doit être prête pour sortir maintenant.
— Évidemment. Je tire ma charge et ensuite nous y allons.
— Mmmm !
Crie Angèle, le grand pieu de son père encore enfoncé profondément dans sa bouche, en indiquant que, encore une fois, elle est très heureuse de laisser Denis balancer sa semence au fond de sa gorge.
Malgré son inquiétude pour passer prendre sa mère de l’hôpital, la vue de son père sur le point d’exploser dans la bouche de sa sour est trop pour Bertrand. Il se dépêche vers la porte et se place à côté de Denis, il met ses mains à l’intérieur de son short et en sort sa bite bandée pratiquement aussi longue et épaisse que celle de son père. Angèle gémit doucement, quelques secondes plus tard, elle est récompensée pour ses efforts toujours mémorables avec plusieurs longs jets d’épaisse crème paternelle, son père rejette sa tête en arrière et gémit de plaisir, Il lance ses reins quand il donne à sa fille les dernières goutte de son sperme incestueux.
— Ouiiiiii !
Hurle Denis quand il inonde la bouche d’Angèle. Bertrand a augmenté l’allure de sa branlette quand il regarde sa soeur avaler autant de sperme qu’elle peut. De grandes gouttes tombent des coins de sa bouche lorsque Denis enlève son coq assouvi et jette un coup d’oil son de fils à côté de lui, ses yeux vont directement sur le pieu dur de Bertrand que le jeune homme branle rudement de sa main.
— J’aimerai te baiser, sourette.
Annonce Bertrand comme la sueur commence à perler sur son front
— . mais on n’a pas assez de temps, on ne peut pas faire attendre la maman. Tu devras te contenter juste d’un soin du visage maintenant.
— C’est parfait par moi frérot.
Répond Angèle, en savourant encore le goût salé délicieux du sperme de son père et en levant son visage vers son frère pendant que Denis tend une main et commence à palper et caresser le cul habillé du short de son fils.
— Nous pouvons te baiser plus tard quand maman sera à la maison.
— On te baisera sûrement, Poussin.
Dit Denis, en évaluant le cul de Bertrand comme il prend les fesses de son fils dans la paume de sa main.
— . Peut-être que ça t’aidera à éjaculer plus vite, fils.
Continue-t-il, en souriant. Un peu à contrecour, Denis ôte sa main du cul de Bertrand, mais son excitation est encore forte, il se baisse et choppe le pieu épais de Bertrand d’une main, passe l’autre par la jambe droite de son short et tâte ses lourdes couilles trempées de sueur, met dans sa bouche illico la bite de son fils.
— Oh, suce-moi, papa. c’est fantastique. Mon gros pénis est bien ainsi dans ta bouche.
Halète Bertrand. Denis lève ses yeux vers Bertrand pour montrer sa joie à la remarque de son fils pendant qu’Angèle s’est assise sur le lit, en regardant son père vicieux tailler une pipe à son fils. Elle a déjà vu que Denis et Bertrand se sucent régulièrement depuis pas mal d’années, Bertrand a une année de plus qu’Angèle, tous les deux sont des adultes consentants, comme d’habitude, le plaisir de Bertrand peut se constater dans le regard enthousiasmé de son visage. Denis suce Bertrand depuis cinq minutes, Angèle demande de sucer à son tour la grande baguette de son frère un peu et pendant que Denis s’écarte pour regarder et se masturber. Il ne se passe pas longtemps avant que Bertrand ne fasse comprendre que son orgasme approche rapidement.
— Ça va venir, sourette.
Lance Bertrand, Angèle laisse vite sortie la pine de son frère de sa bouche, il se repose et s’en remet à son père et sour pour finir sa masturbation. Bertrand ferme les yeux quand il s’apprête à vider ses boules bouillonnantes il a l’impression qu’elles vont exploser, un frisson annonciateur de son orgasme parcours son corps avec une intensité fulgurante et il arrive rapidement.
— Ouiiiii. là… Ça y est !
Il pousse des cris de plaisir, quelques secondes plus tard, pendant que Denis, se met à genoux pour regarder plusieurs jets épais de foutre de la bite fière de son fils,
— C’est le pied avec vous. nous sommes une famille de petits vicieux.
Angèle sourit et caresse son minet se procurant une tapée d’orgasmes. Bertrand a le sien en gémissant fort et en se balançant sur ses jambes. Il lance sa charge, le premier jet frappe le front d’Angèle et le deuxième son nez. Un peu entre dans ses yeux mais Angèle laisse faire, elle aime être tartinée. Plus ses parents masculins lui donnent de foutre plus elle aime. Et le fait que leur père regarde rend tout cela plus excitant pour les gosses fous de sexe.
— Balance tout sur moi, Bertrand.
Dit la salope de la famille, ravie de recevoir une deuxième ration de foutre après avoir avalé celui de son père
— . vous giclez bien chaud les hommes.
Denis ôte sa main du cul de Bertrand et applaudit. Il lui passe le bras autour des épaules quand le visage d’Angèle est devenu méconnaissable sous les giclées épaisses du sperme de son frère qui reste retenu par son père. Denis est vraiment fier de son fils et de sa fille de beaucoup de façons, mais jamais autant que quand ils le faisaient ensemble comme aujourd’hui, et en éjaculant et jouissant tous ensemble.
Angèle avale encore ses rafraîchissements de l’après-midi pendant que Bertrand est à ses côté, il respire lourdement, son éjaculation toujours abondante, les derniers jets de jute sortent. Maintenant Bertrand a terminé, le visage d’Angèle est complètement transformé, pas un pouce de peau visible, maculé par la masse de matière poisseuse et collante.
— Bon sang, fiston… tu en balances plus qu’un acteur porno.
— Ouais.
Dit Angèle, en souriant le mieux qu’elle peut. Bertrand a tourné sa tête vers Denis et embrasse son père sur les lèvres.
— Et toi aussi, papa…
Dit Angèle pendant que Denis et Bertrand se sont agenouillés de nouveau devant le visage altéré de foutre de la salope de famille et se servent de leurs langues pour lécher le sperme et ramener le visage d’Angèle à la normalité. Angèle sourit comme ses joues au teint de pêche commencent lentement à apparaître devant les yeux des hommes.
— Je crois que nous devons tous aller nous préparer maintenant.et ensuite aller à l’hôpital. Votre mère va se demander où nous sommes.
Annonce Denis, en se levant d’un bond et suivi aussitôt par Bertrand,
— Ou jusqu’à quoi nous sommes allés
Glousse sottement Angèle.
— Maman ne dira rien si certains s’amusent sans elle.
Répond Bertrand ; ils reconnaissent tous que c’est vrai. Il n’y a aucune jalousie dans la famille, ils ont des relations sexuelles chaque fois qu’ils en ont envie, même si certains membres de la famille sont absents. Bertrand et Denis ont les yeux scotchés aux fesses nues et rondes d’Angèle se balançant devant eux. Ils avancent jusqu’à la salle de bains. Angèle jette un coup d’oil par dessus son épaule et sourit, ravi de voir son père et son frère reluquant et appréciant la vision fabuleuse de son arrière train délicieusement féminin. Denis est aux anges aussi de l’image du cul de Bertrand dans son short serré. Dans la salle de bains, Bertrand set déshabille vite de sa tenue de sport et arrive sous la douche qu’Angèle a déjà allumée. Denis les rejoints et ils commencent á se savonner.
— Tu peux parler de notre partie de cul à maman.
Dit Denis en frottant les seins d’Angèle avec gel de douche.
— Mais ne lui dit pas ce que nous avons vraiment en tête, n’est-ce pas ? C’est une surprise.
— Sûrement pas, papa mes lèvres sont scellées.
Répond Angèle.
— Il n’y a pas longtemps, elles ne l’étaient pas.
Murmure Bertrand quand l’image de sa sour recevant une bonne dose de foutre de leur vient à son esprit et les trois d’entre pouffent.
— Sale con !
Réplique Angèle, affectueusement. Bertrand qui, comme toute la famille, aime autant penser et parler du sexe que de le faire, continue :
— Je vais donner à cette minette si chaude et si adorable. un long et agréable cunnilingus. dès que maman sera rentrée à la maison.
— Ce sera agréable, frérot.
Angèle soulève son visage vers les jets d’eau et en le lavant de toutes les traces du cran de Denis et Bertrand,
— Et j’espère que tu donneras à maman de bons coups de langue, aussi.
— La baiser aussi.
Dit Bertrand, en arrivant à la douche avec une serviette sur le bras.
— Nous allons tous à l’hôpital, alors ?
Demande Bertrand, tandis qu’il essuie son dos et ses épaules avant de sécher ses cheveux, sa bite maintenant à moitié bandée, mais il a déjà un commencement d’érection à la pensée d’avoir leur mère à la maison et de pouvoir recommencer à faire leurs gang bang.
— Je ne vois pas pourquoi non.
Répond Denis.
— Finissons notre douche.
Angèle sort et commence à se sécher.
— Ensuite nous partons.
Quarante-cinq minutes plus tard, le père, la fille et le fils fraîchement douché et habillé plus convenablement, entrent dans l’enceinte de l’hôpital trempée de pluie, Bertrand gare la voiture. Il ouvre la porte et aide son père et sa sour à sortir du siège arrière, alors ils entrent dans l’aile de l’hôpital moderne et parcourent les couloirs jusqu’à la salle où Marie doit se détendre maintenant avec une agréable tasse de thé. Marie est assise dans un fauteuil, sirote son thé, la soucoupe sur une table basse ou s’étalent quelques magazines et journaux vieux d’au moins deux ans. Le pansement sur son oil droit est énorme, Marie donne l’impression qu’elle revient d’une zone de combat.
Marie lève un oil quand sa famille s’approche et elle sourit le mieux qu’elle le peut.
— Ne dites rien. je suis de nouveau épouvantable à regarder.
Constate -elle.
— Pas du tout maman
Réplique Bertrand,
— Tu n’es jamais affreuse, même avec ce pansement sur ton oil.
— Merci, Poussin, les docteurs ont dit que l’opération est de nouveau un succès mais je dois garder la compresse sur jusqu’à demain, comme la dernière fois.
— Viens Chérie. tu rentres à la maison
Dit Denis. Un infirmier arrive avec une liste de recommandations de ce qu’elle doit ou ne doit pas faire, et une bouteille de collyre. Elle termine sa tasse de thé tiède, Marie est libre de sortir de l’hôpital.
Ils retournent à la voiture. Bertrand conduit Angèle à côté de lui tandis que Denis berce Marie dans ses bras sur le siège arrière. Bertrand regarde fixement la route, en essayant de ne pas être hypnotisé par le mouvement des essuie-glaces. La pluie qui a menacé sur le chemin pour aller à l’hôpital et commence juste au moment où ils rentrent.
— Tu vas bien, Chérie ?
Demande Denis à sa femme.
— Bien sûr je vais bien
Répond Marie, en regrettant immédiatement son ton agressif quand son mari montre juste une réelle inquiétude pour elle,
— C’est seulement une opération courante, ils en font tout le temps
Finit-elle, en baissant sa voix à ce qu’elle pense être plus aimable.
— Nous allons organiser une fête pour ton retour ce soir
Dit Denis.
— Une fête ?
Répond Marie, étonnée puis elle a une crise des rires,
— Je ne suis partie que ce matin. A t’entendre on peut penser que je suis à l’hôpital depuis des mois au lieu de quelques heures seulement.
— Une partie pour fêter le succès de l’opération de ton oil.
Dit Bertrand, les yeux fixés sur la route comme la voiture roule lentement à cause de la pluie qui tombe violement.
— Peut-être nous devrions reporter la fête demain si tu ne te sens pas en forme., Chérie ?
Suggère Denis,
— Non. non. je vous connais trop bien les mecs, vous êtes toujours la bite en l’air. pour baiser. et je peux voir tout à fait bien d’un oil
Répond Marie.
— C’est géant. maman.
Continue Bertrand, ne voulant pas attendre jusqu’au lendemain la chance de baiser sa mère chérie encore une fois,
— .de penser que ce sera mieux pour toi quand tu n’auras plus ce pansement et que tu pourras voir ma bite, celle de papa et le minet d’Angèle beaucoup mieux depuis une éternité.
Marie enchaîne :
— Je ne peux pas attendre, mais jusqu’à ce que demain je ne devrai les voir que d’un oil.
De plus elle continue.
— C’est le plaisir de chacun qui compte.
Tout le monde éclate de rire. Il y a une pause dans la conversation avant qu’Angèle se met à parler, désireuse de raconter à sa mère le bon temps qu’elle a eu avec son père et son frère avant de passer prendre la chercher l’hôpital.
— Papa et Bertrand tous les deux m’ont balancé deux très grandes giclées il y une heure environ maman.
— J’aurai parié que vous l’aviez fait.
Commente Marie, nullement jalouse que son mari, son fils et sa fille aient eu une rapide relation à trois sans elle.
— Vous ne pouvez jamais vous retenir de baiser ou de vous faire baiser quand l’occasion se présente.
— Seulement notre sperme, maman.
Glousse sottement Bertrand, en se souvenant de toutes les séances licencieuses qu’ils ont fait dans le passé les chaudes journées d’été où ils sont allés dans les bois près de leur maison.
— Tu aurais dû me voir maman. papa et Bertrand m’en ont foutu tellement que j’ai été totalement couverte. J’en ai bouffé une grande partie. ça a été délicieux.
Continue Angèle. Marie se lèche les lèvres et répond :
— Je sais ce que c’est. j’ai avalé pas mal moi-même au cours des ans.
— Ouais et j’en ai encore pas mal, maman. et je le garde tout pour toi.
— Ce sera adorable, Poussin. mais alors que ta grosse et agréable queue ne me déçoive jamais
S’extasie Marie.
— Merci, maman.
Bertrand, frissonnant de plaisir au compliment sincère de sa mère pour sa technique, sa colonne vertébrale picote à la pensée d’une autre séance torride avec elle.
— J’espère que tu es bien excitée. parce que je vais te baiser. comme une tornade.
— Ta mère est toujours partante, fiston.
Dit Denis,
— .comme le reste d’entre nous.
Ajoute-t-il, en se frottant la bosse dans son jean.
— Raconte-moi quelque chose que nous ne savons pas, papa.
Plaisante Bertrand qui ne peut encore baiser sa mère et a hâte de faire de nouveau quand ils arriveront à la maison, même s’il n’y a seulement que vingt-quatre heures depuis que Marie lui a accordé cet honneur et ce privilège. La chose faite à la hâte avec sa sour et son père avant qu’ils partent chercher Marie a mis l’eau à la bouche de Bertrand à l’idée de ce qu’il va pouvoir faire…
Peu de temps après, Bertrand gare la voiture devant la maison, en contournant la voiture sous la pluie pour tirer sa mère d’embarras. Son haut serré est plaqué contre sa poitrine, et met en valeur ses seins dans toute leur majesté, son pieu maintenant est complètement raide à l’intérieur de son jean. Marie jette un coup d’oil en bas et sourit à son fils excité, en reconnaissant les symptômes et regarde ensuite Angèle et Denis qui courent vers la porte d’entrée, désireux de ne pas trop se mouiller.
— He bien maman.
Dit Bertrand, en allongeant la main pour caresser ses seins par-dessus le tissu quand ils sont tous mis à l’abri. .
— je ne peux pas attendre pour te baiser de nouveau.
— Je ne peux pas attendre plus pour me faire baiser moi aussi, mon chéri.
Marie étend une main et pose sur la bosse du jean de son fils une pression affectueuse.
— Pourquoi nous ne nous mettons à poil pour le dîner ?
Suggère Denis,
— Nous pourrons commencer à besogner plus tard."
— Bonne idée.
Dit Marie, en entrant dans le salon avec sa famille à sa suite, les yeux de Bertrand scotchés sur son cul mis en valeur par une jupe serrée qui accentue les formes de son derrière et ses courbes agréables. Bertrand laisse déjà tomber son jean et enlève sa chemise quand Marie et Angèle entrent dans la cuisine pour voir ce qu’il y a à manger et Denis sourit comme il commence lui aussi à se débarrasser de ses vêtements. Les deux hommes nus ont une trique d’enfer.
— Bordel. fils, il semble que tu sois très impatient de recommencer.
Dit Denis, incapable de sortir ses yeux de la vision spectaculaire du pieu bien raide de son fils et de ses couilles pleines.
— Papa, je suis si allumé, que mes noix me font mal. Je sais que tu as dit de commencer à les besogner plus tard mais je veux pouvoir le faire immédiatement. Ma pine a l’impression d’être en feu.
— La mienne aussi, fiston. je constate que ton gros chibre ne peut pas attendre plus longtemps.
Comme il l’a fait plus tôt cet après-midi, Denis tombe à genoux et colle vite sa bouche autour de la queue frémissante de Bertrand. Celui-ci place ses mains sur la tête de son père et l’attire plus près et Denis avance une main pour caresser les boules de Bertrand quand il accélère se fellation.
— Ho merde papa. c’est encore très agréable.
Dit Bertrand, dix minutes plus tard quand Denis reprend son souffle.
— Pourquoi ne colles-tu pas ta chaude langue sur mon fondement ?
Bertrand tourne son dos et se penche en avant, en prenant ses fesses et en les écartant, montrant son trou du cul à son père. Denis est autant un enculeur qu’un bouffeur de bite et Bertrand halète quand le bout de la langue chaude de son père entre en contact avec son trou étoilé.
— C’est super papa.
Dit Bertrand, cinq minutes depuis que Denis a trempé de salive le trou de son fils et embrassé et promené sa langue sur les fesses de Bertrand.
— Maintenant je crois qu’il est temps que je te retourne le compliment.
— Tu peux y aller, fiston.
Bertrand s’est mis à sa hauteur et se tourne pour faire face à son père, son coq dur se balançant contre le visage de Denis.
— Tu es un suceur de bites aussi bon que ta maman et ta frangine. Plus tard, tu pourras m’enculer aussi, devant les femmes.
— Tu peux parier cher que je vais le faire papa. et tu pourras me baiser, aussi pendant que maman et sourette regardent. Elles aiment quand nous leur faisons un spectacle porno vivant pour elles.
— Sûr que je t’enculerai fiston.
Dit Denis, branlant sa bite palpitante dans sa main,
— Mais maintenant, je veux que tu me remercies pour cette feuille de rose.
Denis est debout, son corps tremble par avance, Bertrand descend à ses genoux et entame immédiatement de sucer le pieu de son père pour le récompenser de sa science incontestable de léchage de cul. Denis soupire de plaisir, il y a sans doute de ça, il a songé à lui qui l’a fait des centaines de fois dans le passé, ses gosses ont hérité certainement de l’amour intense en famille.
— Vas-y mon gars.
Bertrand enfourne finalement dans sa bouche avide la bite de son père.
— . et montrons à ces dames ce nous voulons comme prestations.
Le père et le fils nus marchent ensemble, avec leurs grands mandrins bien bandés, vers à la cuisine, Denis admire les fesses nues de son fils devant lui. Les femmes sont nues dans la cuisine, ayant enlevé leurs vêtements après avoir préparé quelques sandwichs, elles se tournent et sourient aux hommes quand ils entrent avec leurs bites raides comme la justice.
— Oh bon sang. regardent ces pines bien raides, maman
Elle continue, en faisant un signe de tête montrant les hommes.
— N’est-ce pas magnifique ?
— Superbe.
Répond Marie, souriant à son mari et à son fils d’un oil et ravie de les voir nus et prêts pour l’action. Dit renchérit :
— Laissons le repas un petit moment. on a encore pas mal de temps jusqu’à…
— Jusqu’à quand ?
Demande Marie.
— Non rien.
lâche seulement Denis, il jette un coup d’oil à Bertrand et espérant qu’il n’a pas fait de gaffe. Bertrand et Angèle et lui sont partis sur d’autres sujets pour empêcher Marie de se faire une idée sur la surprise qu’ils lui ont préparé, les autres membres de famille, le frère de Denis et la sour de Marie et leurs époux et les gosses adultes, ont tous été invités plus tôt dans la semaine pour faire une surprise pour Marie et fêter le succès de son opération à l’oil avec belle partouse familiale.
— Jusqu’à ce que nous mangions. nous ne sommes pas affamés, n’est-ce pas. papa ?
Poursuit Bertrand, en venant au sauvetage de son père.
— Oh… pas encore.
Répond Denis.
— Au moins pas pour la nourriture.
— C’est ça.
approuve Bertrand,
— Il y a seulement une chose pour laquelle je suis vorace.
Poursuit-il, il s’avance vers Marie et bien qu’elle soit temporairement borgne, la vision parfaite de l’autre lui permet de reluquer le pieu raide de son fils, en le voyant dans toute sa grandeur revigorée, de sa vingtaine de centimètres, dressé fièrement, s’avance vers elle, suivi par le reste du corps bien foutu nu de son fils.
— Bon dieu, chéri. Ta bite me semble tellement plus grande maintenant que je peux la voir mieux.
— Ouais, maman. Attend juste de prendre la bête et puisse le voir avec tes deux yeux. Cela te semblera le double de grandeur tu vois maintenant, comme celle de papa.
Dit Angèle, en pouffant. Bertrand sourit pour les compliments de sa mère et de sa sour comme il pose son torse nu dans les bras de Marie et l’embrasse sur les lèvres. Angèle lève les yeux vers Denis, le même qu’a dû avoir son père quand il l’a baisé sa mère la première fois.
— Bien.
Constate Angèle, contente que Marie n’ait pas semblé piger que les autres membres de la famille arriveraient plus tard,
— je savais bien que nous ne serions pas capables de nous retenir trop longtemps.
Bertrand couche sa mère sur la table de la cuisine pendant qu’Angèle y grimpe et se met sur son dos, en soulevant ses jambes tandis que son père pousse le fromage et les sandwichs complètement oubliés. Bertrand a promène ses mains sur le cul nu et rond de Marie et s’est mis entre les jambes de sa mère et admire la vue ensorcelante de son minet complètement exposé. Il soulève la tête, il tire sa langue et donne à Marie un long et tendre cunnilingus, son con bien lubrifié Marie frissonne quand son inassouvi apprécie encore une fois l’attention de son fils pendant qu’Angèle s’appuie sur elle et a commencé à téter les seins de sa mère.
— Oooh, chéris.
Soupire Marie, heureuse.
— .c’est géant. paradisiaque. ce que vous me faites. vous m’excitez tous les deux.
Et ça sera bien plus meilleur quand les autres arriveront. Songe Denis, silencieusement pour lui et pensant à la surprise que Marie va avoir avec leurs bites bandées et leurs minets juteux.
— J’aime lécher ta chatte, maman, c’est toujours agréable il est si et serré et si baveux.
— J’aime aussi quand tu me le lèche, Poussin.
Répond Marie, sa voix est teintée de désir. Les bouts de Marie sont devenus plus gros quand Bertrand passe la langue sur le con de sa mère, ses cris collant avec ceux d’Angèle qui a aussi son minet occupé par Denis pendant qu’elle suce avec sa langue chaude les seins de Marie.
— Ça baise bien.
Murmure Angèle, en lâchant la prise de sa bouche sur les seins de Marie et quand la langue de son père aspire son clito.
— Quelle fabuleuse famille vicieuse nous sommes.
Les quatre membres incestueux commencent à perdre la notion de temps tandis que Bertrand et Denis continuent de les lécher profondément, les dames tremblent quand ils finissent de les besogner avec leurs langues et elles sont prêtes à se faire mettre. Bertrand est le premier à cesser et se positionne derrière sa mère pour la baiser, en mettant sa bite en face de son minet. Par une association d’idées, Denis fait la même chose et s’est coulé jusqu’à Angèle et il se prépare à lui donner une autre bonne baise intense.
— C’est vraiment une belle fête.
Dit Marie, en soulevant sa jambe droite et en plaçant son pied sur la table quand le gland de Bertrand se pousse à l’entrée à son minet.
— Je vais devoir entrer à l’hôpital chaque jour si c’est ce que comme ça que vous me traitez à quand je reviens à la maison.
— Tais-toi maman.
Bertrand fait glisser lentement tout son pieu dans son lieu de naissance, en grognant quand les muscles du vagin de Marie lui serrent sa bite, en la tenant fermement,
— Ça va être un tel ravissement que tu ne l’oublieras pas de sitôt. Mais qui j’espère, te fera oublier toute ces horrible opérations des yeux.
Marie a déjà oublié qu’elle porte encore un bandeau sur son oil quand Bertrand martèle son minet avec sa bite bien raide et ignorant qu’il avoir plus de passetemps et d’ébats à venir avant que la nuit soit finie.
En cet instant ils ne sont juste que tous les quatre et Marie exalte encore une fois à son fils à lui donner encore une fois tout qu’il a.Sa fille grogne et gémit allongée à côté d’elle sur la table. Angèle écarte ses jambes pour se faire prendre pas la bite de Denis, en pensant ne pas être baisée uniquement par son père, mais elle frissonne à l’avance d’être baisée par son frère, aussi. Les deux femmes se cambrent pour aller à la rencontre à chaque poussée les pines de leurs baiseurs, la table menaçant de céder sous leurs poids combinés pendant la chaude action, Denis et Bertrand, sont vite trempés de sueur.
— Oh ouiiiiiiiiiii !
Crient Marie et Angèle à l’unisson. La mère et la fille qui ont leurs chattes qui dégoulinent, elles s’abandonnent complètement au plaisir que leur procure leurs hommes et leur prodigieuse baise.
Denis aime baiser sa fille autant que Bertrand sa mère, les deux hommes se sentent encore une fois énormément fier d’eux de pouvoir de donner tant de plaisir à leurs aimées. En outre, Il y a long temps depuis leur dernière partouse en famille dans la cuisine et ça fait un agréable changement par rapport au salon ou à la chambre à coucher où ils se retrouvent d’habitude pour satisfaire leurs désirs charnels.
Avec les autres qui doivent arriver, Denis à prévu de surprendre Marie au cours des prochaines heures, il semble que ça va être une très longue nuit avec beaucoup de pénétrations et abondance de sperme giclant de partout. La pluie semble s’être installée pour le reste de la journée et ruissèle sur les fenêtres, la cuisine paraît même plus douillette qu’à l’ordinaire.
Denis espère que le mauvais temps n’empêchera pas aux autres de venir, il sait bien qu’avec les années de partouses en famille, une goutte de pluie ne les ont jamais arrêtés dans le passé. Effectivement, cela a été mouillé la dernière fois que le clan entier s’est réuni, pas aussi mauvais qu’aujourd’hui, mais ils sont tous venus, comme toujours, ça a été un réel succès, véritable bain de foutre. Chacun a apprécié les hommes baisant les femmes, les hommes enculant les hommes – Denis, surtout, a aimé prendre le cul de Bertrand et de son propre frère et neveu, aussi – et les femmes montrant leurs connaissances lesbiennes, la façon parfaite pour une famille de passer une soirée ensemble.
Si ce soir c’est aussi bon, songe Denis, ils sont partis pour une partie de baise intense.
Pendant ce temps, en attendant l’arrivée de leurs parents, Marie et Angèle continuent de crier et haleter dans la cuisine quand Bertrand et Denis fouillent fièrement les minets de leurs maitresses…