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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 28




Chapitre 28 : Un plan infaillible ou presque

-Antoine, appela Morgane. Veux-tu bien venir ?

Les élèves qui étaient en train de sortir de la classe lancèrent un regard interrogateur à leur ami. Ce dernier voyait de plus en plus régulièrement leur prof de français et ses camarades commençaient à se poser des questions

Lorsque tout le monde fut sorti, Morgane se lança :

-Dis-moi, ton père est-il à la maison, aujourd’hui ?

-Non, il est en voyage d’affaire.

-Parfait, j’ai une mission pour toi.

-Une mission ? S’étonna Antoine. Pour quoi faire ?

-Pour tenter de guérir ta mère.

L’attention d’Antoine fut immédiatement captée. Morgane sourit.

-Voici une ceinture de chasteté, Poursuivit-elle en brandissant un curieux objet. Une fois qu’elle est attachée autour de la taille d’une personne, il n’y a plus aucun moyen pour elle de l’enlever à moins qu’elle n’ait la clé

-Vous voulez que je mette ça à ma mère ? Jamais elle n’acceptera !

-Je n’ai jamais dit que tu devais lui demander la permission

Antoine prit la ceinture et l’observa. Il s’agissait d’une ceinture normale sur laquelle avait été posé une imposante pièce de métal incurvée. Au centre de celle-ci trônait le trou d’une serrure. Il était évident que cette pièce devait se placer contre le pubis de l’intéressée.

-Où se trouve la clé ? S’enquit le jeune homme.

-J’en suis la seule détentrice, naturellement. Ce que je te demande c’est de mettre cette ceinture à ta mère cette nuit, pendant qu’elle dort. Tu feras cela aux alentours de deux heures du matin et je serai à ta porte un peu après.

-Je ne comprends pas, si vous venez par la suite, pourquoi ce n’est pas vous qui la lui mettez ?

-Disons que ta mère et moi avons eu un léger différent la dernière fois et soit assuré que si elle me voit de nuit chez elle, elle n’hésitera pas à appeler la police.

-Mais elle vous verra de toute façon

-C’est exact, mais si la ceinture est correctement mise, tout se déroulera comme prévu et la police ne sera pas appelé.

Antoine s’enfonça dans un silence songeur.

-Vous êtes sûre que ça va l’aider ? Demanda-t-il.

-Non, mais il y a des chances que ça marche. Il faut essayer. Donne-moi ton numéro pour qu’on se coordonne cette nuit. Tu t’en doute, interdit de donner mon numéro de téléphone à tes amis.

Il approuva du chef et sortit son GSM.

A deux heures trente du matin, Morgane se présenta à la porte de la résidence d’Isabella. Elle envoya un sms à son élève qui vint immédiatement ouvrir la porte.

-La ceinture est mise, dit-il en l’accueillant.

-Bien. Ta mère risque de faire beaucoup de bruit durant les prochaines heures, je te conseille de mettre des boules quies pour la fin de de ta nuit.

Antoine ne sut pas comment il devait prendre l’information et se contenta d’acquiescer sceptiquement. Il retourna dans sa chambre et Morgane prit la direction de la chambre d’Isabella.

Elle sortit son flacon de parfum et poussa la porte. La lumière du couloir éclaira rapidement la chambre puis Morgane ferma la porte et l’obscurité revint. Elle s’approcha doucement du lit et tâtonna à travers les couvertures. La silhouette d’Isabella se découpait clairement et la jeune femme n’eut aucun mal à trouver la tête de la maman. Avant que cette dernière n’ait le temps de se réveiller, Morgane diffusa un nuage de parfum dans l’air.

-Mh ? Où suis-je ? Mmh Gémit Isabella en émergeant du sommeil. Qui est là ?

Morgane vaporisa un autre nuage de sa cyprine sur la maman par acquis de conscience.

-C’est moi, chuchota Morgane.

Elle entendait Isabella humer l’air en gémissant. Ça marchait. Morgane alla allumer la lumière et lorsqu’elle posa son regard sur Isabella, elle constata que celle-ci avait enfoui ses mains entre ses jambes. Elle affichait une expression avide de sexe mais aussi contrariée. Avec un vif mouvement du bras, elle renversa sa couverture sur le côté.

-Mais, qu’est-ce que  ? S’ébahit-elle.

Morgane sourit lubriquement. Antoine avait correctement fait son travail. 

Isabella lorgnait la ceinture de chasteté avec incompréhension et essayait de glisser ses doigts en-dessous pour soulever la pièce métallique qui l’empêchait d’atteindre son sexe.

-Non ! S’exclama-t-elle. Je veux Aller ! Qu’est-ce que c’est que ce machin ? Mmh ! Non ! Mmh enlève-le !

Elle se mit à quatre pattes et tenta par tous les moyens de passer sous la ceinture. Son cul bougeait dans tous les sens et ses mains avides farfouillait follement entre ses jambes. Ses ongles grattaient désespérément la pièce métallique émettant un désagréable crissement que même ses gémissements ne parvenaient pas à couvrir. Malgré son incommensurable désir, rien n’y fit, elle ne parvint pas à toucher son sexe.

-Oh ! Pourquoi ? Pourquoi je n’y arrive pas ? Mmh ! Morgane, aide-moi ! Mmh !

Elle se mit sur le dos et écarta en grand ses jambes. Morgane put voir que la ceinture de chasteté était luisante de cyprine : le désir d’Isabella devait être une véritable torture.

Morgane sourit lubriquement et vint placer son énorme sexe contre la pièce métallique.

-C’est ça que tu veux ? S’enquit-elle sournoisement.

-Oui ! Oui, je t’en prie

Morgane fit aller et venir sa verge entre les jambes de la maman sur lesquelles des gouttes de sueurs se mettaient déjà à perler.

-Imagine ma queue qui rentre en toi Susurra Morgane avec régale.

-Mmh oui ! Prends-moi Morgane ! Je t’en supplie !

-Imagine-la écarter divinement tes parois humides, poursuivit la jeune femme comme un chat jouant avec une souris. Imagine-la te prendre et s’enfoncer profondément en toi

Alors qu’elle disait cela, Morgane fit glisser sa queue le plus loin possible contre la ceinture de chasteté. Le sexe luisant glissa avec aisance répandant sur son chemin une trainée humide.

-Mmh ! C’est tout ce que je veux ! S’exclama Isabella qui n’en pouvait plus de cet intolérable supplice.

Morgane réitéra son mouvement avec une lenteur des plus exaspérante qui ne fit qu’accentuer la torture que subissait la maman.

-Prends-moi ! hurla Isabella, incapable de se contenir davantage.

Morgane vint se placer à califourchon sur le ventre de la maman et son imposante verge se cala immédiatement entre les seins d’Isabella. Le sourire narquois qu’arbora la jeune femme eut le don d’exaspérer au plus haut point la maman.

-Tu veux une bite ou tu préfères ceci ? Fit la jeune prof en sortant la clé de la ceinture.

Les yeux d’Isabella s’agrandir de stupeur mêlée de désir.

-C’est toi qui

Avant qu’elle n’ait le temps de finir sa phrase, Morgane poussa avec jubilation. Sa queue passa entre les lèvres de la maman et s’enfonça profondément dans sa bouche.

-Mmhmm, gémit Isabella.

Ses joues s’empourprèrent et, instinctivement, sa langue s’activa autour du membre gonflé. Elle lui tourna autour puis s’immisça dans toutes les interstices. Elle caressa coquinement le frein et finit même par titiller l’urètre tout en aspirant goulûment.

Morgane se régala de ces petites attentions et le lui fit savoir en se mouvant délicieusement lentement.

-C’est divin ! Sourit-elle en caressant sa généreuse poitrine.

Les gémissements d’Isabella ne cessaient en rien et il était temps pour Morgane de mettre son plan à exécution. Elle se pencha en avant et susurra presqu’amoureusement :

-Tu veux la clé, pas vrai ?

Isabella approuva vivement sans pour autant arrêter de téter le sexe enfoui dans sa bouche. Morgane voyait la supplique dans les yeux de l’espagnole et jubilait intérieurement. En plus de cette profonde satisfaction, les sensations que lui renvoyait sa queue était tout bonnement incroyable.

-Très bien ! Alors

Morgane se pencha sur le côté mais se rendit compte que son sac n’était pas là. L’aurait-elle laissé en bas ? Tout ce dont elle avait besoin se trouvait dedans.

Ça ne fait rien, pensa-t-elle. Nous n’avons qu’à descendre

Elle se retira de la bouche d’Isabella qui fut aussi surprise qu’un enfant à qui on retirerait son biberon. Elle voulut protester mais Morgane l’en empêcha en lui faisant signe de la suivre. Le superbe déhanché que fit cette dernière en quittant la chambre exacerba le désir de la maman si cela était encore possible vu l’état dans lequel elle se trouvait et elle ne put que partir à la suite de la prof.

Alors qu’elle marchait dans le couloir, Isabella ne pouvait s’empêcher de triturer la ceinture de chasteté, essayant de glisser ses doigts sous la plaque de métal. Ses yeux étaient braqués sur les fesses de Morgane et elle malaxait ses seins avec intensité.

Les deux femmes passèrent devant la chambre d’Antoine et Morgane entreprit de descendre les escaliers. Une fois qu’elle atteignit l’étage du dessous, elle se retourna. Personne. Isabella n’était plus là.

-Isabella ? Appela-t-elle mais seul le silence de la maison lui répondit.

Elle s’empara de son sac et remonta prestement les escaliers. Le couloir était vide et aucune trace de la femme en chaleur. Où avait-elle bien pu passer ? Elle perçut un gémissement ténu provenant de d’un endroit tout proche. Morgane soupira de contrariété : elle savait où se trouvait Isabella.

Elle passa la tête par la porte de la chambre d’Antoine et ne fut même pas surprise de tomber sur la scène qui se présenta à elle.

La mère de son jeune élève était accroupie devant ce dernier et lui taillait une pipe ! Antoine s’agrippait aux cheveux d’Isabella et accompagnait ses mouvements de tête en soupirant de bonheur.

-Oh ! Maman ! Gémit-il.

Morgane jura intérieurement. Elle voulut entrer puis elle se rappela qu’elle était toute nue et n’avait aucunement envie que le jeune homme la voie dans cet état. Elle fonça dans la chambre d’Isabella, se rhabilla et entra dans la chambre d’Antoine sans prévenir.

Antoine non plus ne fut pas surpris de voir sa prof de français débouler dans sa chambre.

-Bonjour madame, sourit-il de toutes ses dents.

-Antoine, que fais-tu ? Tu ne veux pas que ta mère guérisse ?

-Vous faites bien de me poser la question, fit-il en faisant semblant de réfléchir. Non, je ne veux pas.

Morgane en fut estomaquée. Elle regarda son élève en train de se faire sucer par sa mère et ne sut pas quoi répondre à cela.

-Mais pourquoi ? Finit-elle par demander.

Antoine se mit à rire :

-Vous me demandez pourquoi ? A votre avis ?

Alors qu’il disait cela, il poussa sur la tête de sa mère qui fut contrainte de lui faire une gorge profonde. Si profonde que Morgane eût une violente envie de se trouver à la place de son élève. Elle mit sa main contre son entre-jambe afin de masquer son érection et tenta de rassembler ses idées.

-Mais c’est ta mère Bafouilla-t-elle.

La situation lui échappait complètement et les bruits de succions que faisaient Isabella la déconcentraient atrocement. À présent, elle ne pensait qu’à une seule chose : baiser.

Antoine l’observait avec un regard de défi sans lâcher la touffe de cheveux d’Isabella qu’il tenait fermement. La balle était dans son camp et il le savait pertinemment. Il se leva, s’empara d’un couteau qui était posé sur sa table de nuit et vint se positionner derrière sa maman.

-Qu Qu’est-ce que tu fais ? S’alarma Morgane.

Antoine ne répondit rien. Il plaça sa queue contre le cul de sa mère et glissa le couteau sous une des lanières en cuir de la ceinture.

-Je n’aurais jamais dû mettre ça à ma mère.

-Oh oui, Antoine ! Tu vas me niquer ?

-Oui, maman.

-Non, attends ! Paniqua Morgane.

Soudain, poussée par la peur de voir tout son plan être réduit en miette, la jeune femme fut saisie d’une idée. Elle s’empara de son téléphone et, avant qu’Antoine n’ait le temps d’esquisser le moindre geste, elle prit le couple incestueux en photo.

-Qu’est-ce que  ? Fit le jeune homme, interloqué.

-Si tu coupes cette lanière, l’avertit Morgane, je montre cette photo à ton père.

Antoine ouvrit de grands yeux alarmés et la jeune femme vit un intense combat intérieur se dérouler en lui. Allait-il ruiner les liens unissant sa famille en assouvissant ses plus bas instincts ou bien renoncer ?

Après un intense combat intérieur, il finit par ranger son couteau en lançant un regard meurtrier à sa prof. Il s’éloigna ensuite sous les yeux dépités d’Isabella.

-Non, Antoine ! Je t’en supplie, reviens Que quelqu’un me baise !

Antoine sortit de sa chambre d’un pas rageur en lançant un regard courroucé à Morgane. Cette dernière s’approcha de la maman.

-Isabella, je vais te niquer.

Les yeux de l’espagnole se mirent à luire d’un éclat nouveau. Enfin elle allait être baisée. Elle avait l’impression que ça faisait des heures qu’elle suppliait qu’on la prenne alors que ça ne devait pas faire plus de quinze minutes

-Je vais te pénétrer si fort, poursuivit Morgane, que t’en auras mal au cul pendant des jours ! Tu ne pourras même plus t’asseoir sans grimacer de douleur. Une douche ne sera pas suffisante pour faire partir tout le sperme qui te collera à la peau. Tu me demanderas grâce mais je ne m’arrêterai pas, oh non ! Je vais te prendre si violemment que tu t’en souviendras encore dans plusieurs années

En écoutant ce discours, Isabella gémit d’envie et un filet de bave vint même se perdre dans les couvertures du lit.

-Oh je vais ta baiser, Isabella mais avant, j’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi

-Tout ! Je ferai tout ce que tu voudras ! S’impatienta la maman. Tout ce que je désire, c’est ta queue dans ma chatte !

-Je sais, sourit Morgane.

Elle sortit de sa poche une série de document qu’elle avait eu le temps de prendre avant de se rendre compte qu’Isabella ne la suivait plus. Elle présenta les papiers à la maman en désignant le bas de la page.

-Ce document dit que tu t’engages à gérer tous les frais de ma famille jusqu’à ce que mes filles aient atteint l’âge de dix-huit ans.

En même temps, elle baissa son pantalon et posa sa queue à moitié en érection sur le cul relevé de la maman. Cette dernière s’empara du stylo sans réfléchir davantage et signa d’un vif mouvement du poignet. Après avoir rempli d’autre formalité administrative tel que le numéro de carte bancaire, les « lu et approuvé », Morgane sortit de son soutien-gorge la fameuse clé.

-Oui ! Oui ! C’est ça que je veux ! S’extasia Isabella en remuant impatiemment son derrière.

Sans plus de préambule, Morgane inséra la clé dans la serrure et enleva la ceinture de chasteté. Les doigts d’Isabella se ruèrent sur son minou et en écartèrent largement les lèvres. De la cyprine lubrifiait intégralement son entre-jambe.

-Vas-y ! Je t’en supplie, vas-y !

Morgane fit jouer sa queue le long du vagin, faisant gémir d’anticipation la maman.

-Mmmh oui ! Je n’en peux plus d’attendre. Prends-moi !

-À vos ordres, sourit Morgane qui commençait elle aussi à avoir du mal à réfréner ses pulsions.

Lentement et avec délectation, elle fit entrer son sexe dans la molle et gluante cavité d’Isabella. Centimètre par centimètre, l’énorme queue de la jeune femme pénétrait délicieusement en profondeur et écartait les parois détrempées et chaudes du trou d’amour de la maman.

-Oooh ouiii ! Geignit cette dernière en enfouissant sa tête dans l’oreiller. Mmmh c’est boon !

Le sexe de Morgane continuait sa lente et délicieuse descente sous les acclamations gémissantes et langoureuses d’Isabella. Enfin, le gland rouge et gonflé buta contre la matrice ce qui fit sursauter de plaisir la maman.

-Je te sens tout au fond de moi ! S’exclama celle-ci.

-Et ce n’est qu’un début

Morgane recula et s’enfonça à nouveau. Encore et encore. À chaque fois, elle touchait le fond d’Isabella qui gémissait de plus en plus fort. Son con se liquéfiait littéralement sous les assauts de Morgane.

Après quelques minutes de ce rythme, le désir d’Isabella était si intense qu’elle fut balayée par un premier orgasme. Tout son corps se contracta subitement et elle poussa un long cri aux sonorités orgasmiques.

Déjà ? Paniqua Morgane. Cela veut dire qu’elle va bientôt redevenir Isabella prude

La maman, le corps tremblant et la respiration haletante, se retourna mollement, comme si l’orgasme lui avait ôté toutes ses forces. Positionnée sur le dos, les jambes levées, elle lança un regard suppliant à Morgane.

-Encore

Il faut croire que la Isabella salope ne compte pas s’en aller si facilement cette fois-ci Jubila Morgane.

Elle enfourcha Isabella qui hurla de bonheur.

-Aah ! Oui ! Oui !

Morgane accéléra ses mouvements. En même temps, elle posa sa main sur le bas ventre de la maman et, de son pouce, elle caressa le clitoris gonflé et luisant. L’effet sur Isabella fut presque immédiat : Ses cris devinrent aigus et complètement hors de contrôle.

-Aah ! Cette bite qui rentre en moi ! Et ce doigt, de puta madre ! Je viens ! Je viens !

Un fois encore, Isabella fut ravagée par un orgasme. Tout son corps fut pris d’assaut par d’incroyables vagues de plaisirs. Elle se contorsionna dans tous les sens, incapable de recouvrer les contrôles de ses membres rendu fous par le plaisir.

Morgane sortit du con et s’empressa d’y plaquer sa bouche. Elle saisit le clitoris entre ses lèvres et le suça avidement.

Sous les caresses humides de cet incroyable cunnilingus, Isabella faillit perdre la tête. Son corps se tendit comme un arc et un puissant jet de cyprine jaillit de son vagin. Morgane trouva le spectacle de cette femme absolument sublime. Elle se tendait dans tous les sens comme une marionnette folle à qui l’on aurait coupé les fils et des puissants jets de mouille fusait dans tous les sens.

Au bout d’une dizaine de secondes, Isabella retomba sur le lit, à la limite de l’épuisement. Son corps tremblait de partout et un mélange de sueur et de cyprine y perlait amoureusement.

Lentement, elle se mit à quatre pattes, écarta ses lèvres intimes avec sa main, tourna son regard vers Morgane et gémit :

-Encore

Fin de la première partie.

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