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Première rencontre avec Clémentine – Chapitre 3




IX

Pour la première fois j’allais me rendre chez Clémentine. Elle avait pris soin, lors de ses derniers devoirs surveillés de mathématiques d’avoir des notes encore un peu plus faibles, au point de convaincre ses parents de la nécessité pour elle de prendre des cours particuliers afin de redresser la barre avant le bac qui se profilait à l’horizon. Elle leur avait dit avoir trouvé mes références sur un panneau de petites annonces. Un ingénieur qui donne des cours particuliers pour préparer sa fille à une échéance aussi importante, quoi de mieux. C’est sa mère qui me contacta et après un bref entretien téléphonique, nous convînmes d’un rendez-vous chez eux pour pouvoir débuter le premier cours à domicile.

J’arrivai donc devant le portail de sa maison. Une grande maison blanche avec un étage. Après avoir sonné, sa mère me fit entrer dans le salon. Une pièce très imposante et lumineuse munie d’une mezzanine donnant l’accès à l’étage. Comme j’aurais pu m’en douter en connaissant la fille, la mère de Clémentine est une femme tout à fait charmante, la quarantaine, un peu plus jeune que moi. Elle s’appelle Sophie. Brune à la base, elle arborait des mèches blondes et de magnifiques yeux bleus comme sa fille. Ses cheveux étaient plutôt courts, coupés au niveau des épaules. Sophie est de taille moyenne, un peu moins d’1,70m, plutôt fine avec de superbes formes. Sa poitrine est plus généreuse que celle de sa fille et ses hanches superbement galbées. Elle m’apparut immédiatement comme une femme élégante, vêtue d’une jupe ample de couleur bleu nuit, descendant sur ses genoux avec un chemisier blanc et de petits talons. En l’observant, je remarquai qu’elle me dévisageait également. Son regard me sembla plutôt bienveillant à mon encontre. Je ne faisais pas mauvaise impression pour ma première apparition.

Clémentine se tenait derrière elle, toute sage, baissant légèrement le regard comme si elle était un peu intimidée face à un inconnu. Elle portait, quant à elle, une élégante robe orangée, très sage puisque descendant au-dessous des genoux, légèrement cintrée. Ses lunettes accentuaient son air sérieux d’étudiante modèle.

— C’est un grand plaisir que vous acceptiez de vous occuper de ma fille.

— Mais c’est à moi de vous remercier de me faire confiance. Je vais faire de mon mieux pour la faire progresser, lui donner des méthodes de travail et la préparer au mieux afin qu’elle ait toutes ses chances de réussite.

— Je pense qu’elle en a besoin. C’est plutôt une bonne élève, mais elle a besoin de plus pour passer un palier.

— Je sais ce qu’il en est et je ferai en sorte qu’elle soit prête. Je suis très heureux de pouvoir m’occuper de toi Clémentine.

— Merci Monsieur, je suis moi aussi très contente de pouvoir travailler avec vous. Je vais faire de mon mieux. Me répond-elle avec un petit sourire timide. Il est impossible à ce moment de se douter quelle petite salope se cache derrière ce sourire. Je me demandai alors ce qu’il en était de la mère.

— Alors c’est parfait je vais vous conduire à sa chambre où vous pourrez lui donner son cours. Après j’aimerais que nous puissions faire un bilan si vous voulez bien.

— Mais très certainement Madame.

La chambre de Clémentine se trouvait à l’étage. Sa mère passa donc devant. En me retournant, je ne pus m’empêcher d’admirer de superbes fesses que je ne fis pourtant que deviner. Clémentine lui emboîta le pas et je fermai la marche. Devant moi dans les escaliers, Clémentine releva sa robe au-dessus de ses fesses, dévoilant à mon regard son cul rebondi dans une magnifique contre-plongée. Cette petite salope était désormais bien éduquée et ne portait plus de culotte en ma présence. A cette vue, je sentis immédiatement mon sexe gonfler dans mon pantalon. Ne perdant aucune seconde, je fais glisser mon index dans la raie de ses fesses de haut en bas. Je sentis son humidité, le relief de son anus et Clémentine manqua de trébucher avant de se reprendre avant de laisser retomber sa robe alors que nous arrivions à l’étage.

Après nous avoir introduits dans la chambre de Clémentine, sa mère nous laissa en refermant la porte derrière elle. Nous l’entendîmes s’éloigner et rejoindre le rez-de-chaussée. Nous étions tranquilles. La chambre de ma petite salope est toute simple. Un petit lit d’angle blanc pour une personne sur lequel trônent encore ses peluches de petite fille qu’elle n’est plus. Sur le mur d’en face son bureau d’étudiante avec deux chaises, et un placard dressing dont les portes sont couvertes de grands miroirs. Clémentine se mit face à moi, debout, et sans rien dire retira sa robe pour dévoiler son corps entièrement nu.

— Tu es une bonne petite fille.

— Je suis si heureuse que vous soyez ici dans ma chambre, c’est tellement excitant.

— Tu mouilles déjà petite chienne ?

— Oui Monsieur, à cause de vous.

Je lui attrapai le visage entre le pouce et l’index de ma main droite, l’attirai vers le mien pour l’embrasser. Nos langues, nos salives se mélangèrent. Cela faisait trop longtemps que je n’avais pas senti son goût en bouche. Sa langue était fraîche, elle bougeait vite autour de la mienne, s’enfonçait dans ma bouche. Je fouillai la sienne, fis couler un long filet de salive au fond de sa gorge. Son corps réagit instantanément, comme le mien. Nous étions en manque l’un de l’autre. Elle se frotta contre moi en m’embrassant, mes mains se portent sur ses fesses que je malaxai. A nouveau mes doigts glissèrent dans sa raie et mon majeur massa son anus. Je décrivis de petits cercles en appuyant et son petit trou ne mit pas longtemps à s’ouvrir. J’enfonçai mon doigt dans son cul, elle étouffa un gémissement dans ma bouche toujours plaquée sont la sienne. J’élargis son trou avec mon majeur et y approchai mon index qui s’introduisit progressivement à son tour. Je me baissai sur sa poitrine et vins mordiller ses tétons déjà tous durs. Je doigtai son petit cul de pute en aspirant ses seins, titillant ses bouts avec ma langue. Mes doigts rentraient et sortaient de son cul de plus en plus vite. Sa mouille coulait le long de ses cuisses. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir trop fort. Elle allait jouir. C’était trop rapide. Je m’arrêtai tout de suite. Elle me lança un regard interrogatif, son corps tremblait légèrement. Elle voulait que je continue.

— Il faut te calmer ma petite, nous ne faisons que commencer. Mets-toi à genoux devant moi.

— Bien Monsieur, dit-elle en s’exécutant à contrecur.

— Écarte bien tes cuisses, le carrelage va refroidir ta petite chatte en chaleur.

— Oui, c’est tellement agréable Monsieur.

— Je suis ton professeur aujourd’hui, je suis là pour te dispenser un cours à domicile, alors que ta mère se trouve à quelques mètres à peine de nous. Tu imagines si elle te surprenait ainsi.

— Oh non Monsieur, ce serait terrible.

— Tu aimes ce risque, cela t’excite salope ?

— Moui Monsieur.

— Il va falloir calmer tout ça. Tu vas te mettre face au miroir et branler ta petite chatte pour moi en te regardant dans le miroir.

— Mmm Monsieur, avec plaisir.

— Tu vas le faire d’une façon particulière. Tu vas te frotter contre une de tes peluches comme tu m’as raconté que tu faisais quand tu as commencé à te masturber dans cette chambre. Quand tu as commencé à prendre conscience que ton corps pouvait te donner du plaisir.

Elle me lança un regard plein d’envie, en passant sa langue sur ses lèvres rouges. Je lui tendis une peluche panda qu’elle glissa entre ses cuisses en se mettant face au miroir. Je m’assis près d’elle à son bureau pour admirer le spectacle. Tout doucement Clémentine se mit à onduler faisant aller son bassin d’avant en arrière, son minou frottant le pelage de sa peluche. Elle était vraiment superbe comme ça, à la fois si innocente et si provocante. Son corps s’agita de plus en plus vite à mesure que plaisir et désir montent en elle. Elle gémit doucement, ses tétons pointant fièrement à l’extrémité de sa petite poitrine ferme.

— Regarde-toi dans la glace jeune fille.

— Oui Monsieur, dit-elle en relevant le regard. Elle pouvait se voir entièrement nue en train de branler sa chatte contre sa peluche de petite fille, comme elle avait dû le faire tant de fois dans l’intimité.

— Que vois-tu Clémentine ?

— Une petite salope qui se branle Monsieur.

— Oui c’est tout à fait ça. Regarde ce qui arrive par ta faute.

En restant assis sur ma chaise, je baissai ma braguette et sortis mon sexe tendu.

— Hmmm Monsieur je suis si contente de vous faire cet effet.

— Oui ma petite c’est pour toi que je bande, que ma queue palpite. Continue à te branler, ne t’arrête pas.

Clémentine reprit alors ses mouvements toujours plus rapides en regardant alternativement son propre spectacle dans le miroir et ma queue turgescente. Bientôt son corps se raidit alors qu’elle atteignait l’orgasme, avant de s’effondrer sur elle-même écrasant complètement sa peluche qui disparut sous ses cuisses. Je me levai de ma chaise et m’approchai d’elle pour venir mettre ma queue à hauteur de son visage.

— Tu as aimé cette mise en bouche ?

— Oui beaucoup Monsieur.

— Ce petit exercice semble t’avoir exténuée. Tu as mérité je pense un petit remontant.

Elle lève vers moi un regard interrogatif. Je sortis alors de la poche de ma chemise un petit sachet de poudre blanche que je déversai précautionneusement sur la génératrice supérieure de ma bite. Je l’étalai pour former une fine ligne blanche de la base de mon sexe à mon gland.

— Monsieur, mais c’est… ?

— Oui jeune fille, un peu de cocaïne, rien de tel pour te rebooster.

— Mais je ne peux pas…

— C’est un produit dangereux et tu n’en prendras jamais sans mon contrôle, et sans que je te le demande. Mais si je le veux, tu dois t’exécuter et me faire confiance.

— Vous êtes sûr Monsieur ? Clémentine n’était pas rassurée.

— Tu ne le regretteras pas tu verras. Tu te bouches une narine avec un doigt et tu aspires avec l’autre.

Sans plus rien dire elle se pencha sur ma bite et y posa sa narine gauche. Elle aspira d’un trait jusqu’au milieu de ma queue, reprit rapidement son souffle qu’elle avait coupé et termina sa ligne dans un deuxième assaut. Ses yeux s’écarquillèrent, l’effet était immédiat. La voir sniffer comme ça m’excita fortement et une pulsation de ma queue vint heurter la base de son nez.

— Alors ma belle comment tu te sens ?

— Bien, trop bien, je me sens en super forme, c’est carrément génial.

— Tu es ma belle pute à coke maintenant Clémentine.

— Hmmm ouais carrément j’ai une pêche d’enfer.

— C’est très bien jeune fille car je crois que tu as envie de me sucer.

— Oui votre belle queue.

— Regarde mon sucre d’orge, il y a encore quelques petites traces de sucre dessus, lui dis-je en lui en giflant doucement sa bouche et ses joues avec mon gland.

Sans en rajouter, elle se pencha, ouvrit grand sa bouche et goba ma queue d’un trait. Je saisis ses cheveux à l’arrière de sa tête avec ma main droite et la guidais d’avant en arrière le long de mon membre. Sentir sa bouche chaude et humide envelopper ma bite est décidément une sensation dont je ne peux plus me passer. Je baisai sa bouche de plus en plus vite en tapant au fond de sa gorge. Quelques larmes perlèrent aux coins de ses yeux, sa bave coula sur mes couilles.

— Finis-moi avec tes mains salope

Elle prit ma queue huilée par sa salive entre ses petits doigts fins et me branla dans un bruit de succion excitant. Elle était décoiffée, ses lunettes de travers sur son visage, ses narines légèrement rosies. Elle accéléra, cracha sur mon gland désinhibé par la drogue. J’étais fier d’elle, de la manière dont je l’avais transformée. C’était maintenant une vraie débauchée, une pute perverse. Je ne résistai pas longtemps et sous ses caresses éjaculai violemment sur son visage, puis sur le haut de sa poitrine. Mon sperme épais forma de gros amas qui pendaient de son menton et de ses joues. Avec ses doigts, elle les ramena vers sa bouche et les avala tous un à un sans quitter mes yeux. Avant de finir par étaler le sperme de sa poitrine sur ses seins en les massant de ses deux mains. Je passai doucement ma main dans ces cheveux, me mis à genoux face à elle et l’embrassai langoureusement.

X

— Toujours en chaleur jeune fille ? Dis-je en passant mon doigt entre ses cuisses

— Oui Monsieur toujours, bien sûr.

— Oui, je vois que ma petite salope est encore bien humide et prête à recevoir la suite de son cours… En pleine forme.

— Grâce à vous, je sens que je progresse beaucoup Monsieur.

— C’est ce que nous allons voir, maintenant j’aimerais voir ma petite pisseuse à l’uvre. Tu vas te redresser et pisser debout devant moi.

— Mais Monsieur je vais salir ma chambre…

— Tu vas prendre ce cache-pot sur ton étagère et tu pisseras dedans.

— Bien Monsieur.

— Bonne petite fille.

Clémentine s’exécuta, positionna le réceptacle de son nectar entre ses chevilles, alors que je m’asseyais devant elle à quelques centimètres de sa chatte pour être au plus près du spectacle qu’elle allait m’offrir. Ses cuisses étaient légèrement écartées, et l’index de ma main droite vint frôler la base inférieure de ses lèvres intimes. De si près je pouvais voir sa peau frémir. Elle était si humide. Bientôt un fin filet de pisse vint tapisser l’intérieur du haut de ses cuisses. Je sentis la chaleur de sa pisse sur le bout de mon doigt. Son urine coula en un fin filet vers ses mollets avant de rentrer dans ses petites chaussures à talon qu’elle avait conservées. Les premières gouttes s’écrasèrent bruyamment dans le fond du cache-pot, précédent un premier jet. Clémentine poussa un petit cri et sourit. Elle aime ça, elle adore nos petits jeux humides. Elle se mit alors à pisser de manière régulière et le cache-pot se remplit dans un bruit de petite fontaine d’intérieur. Avant qu’elle achève, je ne pus me retenir de recueillir sur le bout de ma langue la fin de son délicieux nectar. Je buvais à la source de ma jeune princesse. Sa pisse chaude remplit ma bouche, sa chaleur descendit dans ma gorge et dans mon ventre. Je remontai un peu plus ma bouche vers son intimité et ma langue vint titiller sa fente. J’attrapai ses hanches et plaquai ma bouche sur sa chatte que je léchai assidûment. Sa mouille remplaça sa pisse dans ma bouche, ses goûts se mélangèrent. Je sentis sa main venir agripper mes cheveux, tirer mon visage un peu plus vers elle, ses cuisses naturellement s’ouvrirent un peu plus. Ma langue la pénétra, la baisa à nouveau. Elle ne put plus tenir droite debout, ses jambes avaient du mal à la porter et de plaisir, elle se plia en deux. Ne voulant pas la faire jouir maintenant, je retirai ma langue et stoppai mon cunnilingus. En me redressant, je retrouvai ma Clémentine haletante en train de masser sa petite poitrine, les yeux pleins d’envie.

— On dirait que tu as un peu pissé dans tes chaussures ma chérie.

— Oui Monsieur, il y en a un peu qui est rentré dedans.

— Ta pisse mélangée à ton jus de pied en voilà un cocktail intéressant. Tu vas retirer tes chaussures et goûter cette nouvelle boisson.

— Si vous le désirez Monsieur.

Clémentine retira alors ses chaussures devant moi. L’un après l’autre, elle les porte à ses petites lèvres, penche la tête en arrière et fait le contenu de ses chaussures vers sa bouche. Je la regarde, si belle, si pute. Je la voyais déglutir. Elle fit une petite moue mais but docilement en se léchant les lèvres après avoir absorbé le contenu de chacune de ses chaussures. Pour l’accompagner je lui enfonçai deux doigts dans sa petite chatte humide. Immédiatement la moue se transforma et le plaisir transparut sur son visage. Elle avait bien mérité que je la baise.

— Alors petite chienne, on dirait que ta chatte réclame quelque chose.

— Oh oui Monsieur, s’il vous plaît, baisez-moi, je veux jouir encore, je veux sentir votre queue dans ma chatte.

— Tu vas être satisfaite petite pute mais d’abord mets-toi à quatre pattes comme une chienne que tu es.

— Oui Monsieur, me répond-elle en joignant l’acte à la parole.

— En tant que chienne assoiffée de sexe, tu vas commencer par laper la pisse que tu as récoltée dans ce pot, lui dis-je en le faisant glisser sous son nez.

— Oui Monsieur, tout de suite, tout ce que vous voudrez.

A quatre pattes, Clémentine se pencha en avant, mit son visage de côté pour continuer à me regarder. Je la vis alors sortir sa petite langue rose qui vint effleurer la surface de son bol de pisse encore chaude. Sa petite langue rejoignit alors avec son chargement de nectar, sa petite bouche. Elle répéta ce geste, lapant goulûment son urine comme je le lui avais ordonné.

— C’est bien bonne fille, lui dis-je en lui donnant une claque sur ses fesses dressées et gonflées.

Elle gémit. Elle aimait. Je recommençai à la fesser plus fort, plus vite. Elle poussait de petits cris à chaque contact de la paume de mes mains sur ses fesses. Ses lèvres trempaient dans sa pisse qu’elle aspirait maintenant directement avec le même son que si elle buvait une soupe trop chaude. Je sortis de ma chemise un second sachet de poudre, et le déversai en haut de la raie de ses fesses pour former un rail. Je me penchai sur son cul, lui écartai bien ses deux fesses et le sniffa d’un trait. Elle avait le goût particulier de son petit cul. Pour ne rien perdre, je finis en lui léchant la raie consciencieusement. Le regain d’énergie fut foudroyant et amplifia encore mon excitation. Je bandai dur désormais et ma queue remplaça mes mains pour gifler ses fesses et sa belle chatte offerte et ouverte qu’elle tendait au bout de ses fesses. Je ne pouvais pas résister plus longtemps et me mis à genoux derrière elle. Je retirai mon pantalon et positionnai mon gland sur l’entrée de son vagin, attrapai ses cheveux et la tirai d’un coup en arrière. Ma queue s’enfila en elle brutalement lui arrachant un petit cri. Je lui donnai une nouvelle claque sur les fesses en commençant à la pistonner. La paroi intérieure de sa chatte était si douce, si chaude, une véritable drogue pour ma bite en fusion. De ma main gauche je lui attrapai un sein que je triturai, puis descendis sur son téton que je tirai vers le bas. Ma queue venait taper au fond de son vagin arrachant à chaque va-et-vient un nouveau gémissement. Heureusement sa mère n’était pas au même étage sinon elle n’aurait pu faire autrement que nous entendre. Alors que je la baisai, ma Clémentine continua d’essayer de boire sa pisse. Le bout de ses cheveux finit par tremper dans le pot. Je la retirai alors en arrière et accélérai fort dans sa chatte. Son cul tapait sur mon ventre. Ma bite était aspirée en elle dans un bruit de succion obscène. Nous jouîmes en même temps. Nos corps se contractèrent simultanément, ma queue s’enfouit au plus profond de sa petite chatte pour libérer mon jus de couille. Mon sperme gicla en elle en plusieurs spasmes violents. Je sentis son corps trembler entre mes doigts. Nous nous effondrâmes au sol tous les deux. Mon bas ventre, ma bite, et le haut de mes cuisses ruisselaient de son jus collant, tandis qu’un filet de sperme ressortit paresseusement de sa petite chatte.

Je la relevai doucement et lui demandai de se rhabiller. Elle enfila rapidement sa robe alors que je remettais mon pantalon. Nous nous assîmes enfin à son bureau pour nous remettre de nos émotions.

— J’ai joui fort Monsieur. Plus fort que jamais…

— J’ai vu ça ma belle.

— Je me sens tellement sale, tellement pute. Faire ça chez moi, avec ma mère à côté… Je n’aurai jamais cru, et pourtant rien n’aurait pu m’arrêter. Même si elle était entrée j’aurais voulu que vous continuiez à me baiser.

— Tu aimes ça Clémentine ?

— Oui beaucoup, je ne pense plus qu’à ça, au sexe, à ce que je fais avec vous, ce que je vais faire et que je ne connais pas encore. Je veux jouir tout le temps, m’abandonner, vous obéir.

— Tu es une fille très douée Clémentine. Comme je suis ton professeur, il est normal que je te donne aussi quelques devoirs en mon absence, entre nos cours.

— Oh oui Monsieur je les ferais.

— Dis-moi qui sont ces deux jeunes gens sur la photo sur ton bureau.

— Il s’agit de mon frère jumeau Lucas dont je vous ai parlé et de sa petite amie asiatique Noémie. C’est aussi ma meilleure copine.

— Très intéressant. Ton frère est très mignon Clémentine, très fin, assez androgyne. Je suis sûr que tu as déjà fantasmé sur lui, et qui tu t’es masturbée en pensant à lui.

— Oui Monsieur c’est vrai, dit-elle après une petite hésitation en baissant la tête.

— C’est bien normal. Alors voilà tes devoirs. Les vacances arrivent et je veux qu’avant notre prochaine rencontre tu trouves le moyen d’assouvir tes fantasmes vis-à-vis de ton frère. Je veux que tu baises avec lui et que tu filmes pour me le montrer.

— Oh Monsieur, non, ce n’est pas possible, ce n’est pas bien.

— Tu dois assouvir tes fantasmes Clémentine… Et tu dois m’obéir. Ne me dis pas qu’au fond de toi tu n’en as pas envie.

— Si, finit-elle par dire après une nouvelle hésitation.

— Très alors c’est décidé, tu vas le séduire et le baiser. Cela te fera découvrir une autre queue. Ce n’est pas tout jeune fille. Il faut aussi dans ton apprentissage que tu découvres le plaisir avec une autre fille. Il me semble que ta meilleure amie fera un excellent sujet. Elle est très belle, alors tu vas aussi la séduire et vous filmer.

— Mais c’est impossible, je ne pourrai pas.

— Tu n’as pas envie avec une fille ?

— Si bien sûr Monsieur, j’aimerais beaucoup essayer… Mais Noémie, je ne sais pas comment faire.

— Vous avez bien dû jouer à touche minou toutes les deux… Alors je suis sûr qu’avec ton imagination fertile tu trouveras un moyen. Tu as les vacances pour y songer. C’est ton devoir et ton premier examen en quelque sorte. Je n’impose rien d’autre, tu as champ libre ma belle. Et, comme tu as bien travaillé, tu as mérité une petite récompense. Lui dis-je en glissant un billet de cent euros plié entre ses petits seins.

— Bien Monsieur, je ferai de mon mieux, me répondit-elle en attrapant le billet du bout de doigts avant de le ranger dans le tiroir de son bureau.

— Pour te donner du courage, je te laisse aussi ces deux sachets de poudre. Tu en prends un à chaque fois avant de passer à l’action. Roule le billet que je t’ai donné pour sniffer ce sera plus facile.

Elle me sourit, mais je voyais que mes instructions lui causaient du souci. Toutefois, je savais qu’elle allait y arriver et qu’elle y prendrait un grand plaisir.

Le cours touchait à sa fin. Nous nous levâmes et nous embrassâmes tendrement avant de rejoindre le rez-de-chaussée pour aller faire un petit bilan à la maman de Clémentine.

XI

— Comment s’est passé ce premier cours ?

— Mais très bien Madame, Clémentine montre d’excellentes dispositions, c’est une fille sérieuse et je ne doute pas qu’elle progressera rapidement.

— Je suis heureuse de l’entendre, si vous voulez bien me suivre dans mon bureau j’aimerais m’entretenir en privé avec vous.

— Mais bien sûr Madame, au revoir donc Clémentine, lui dis-je en lui tendant la main.

— Au revoir Monsieur, me répondit-elle avec un petit sourire.

Sa mère me conduisit dans un bureau au fond du couloir au rez-de-chaussée. Le bureau était positionné devant une bibliothèque et un petit sofa blanc lui faisait face. Elle m’invita à m’asseoir dessus et me proposa à boire. J’acceptai et elle nous servit deux verres de whisky. Elle prit place à côté de moi en tendant mon verre.

— Je voulais vous remercier d’accepter de rester un peu pour échanger plus en détail. J’attache beaucoup d’importance à la réussite de ma fille et vos cours lui seront très précieux.

— C’est moi qui vous remercie de votre confiance, Madame.

— Oh appelez-moi Sophie je vous prie.

— Alors appelez-moi Alex.

Elle but une gorgée avant de reprendre.

— Si je voulais vous parler en privé, c’est parce que je suis très ennuyée. Mon mari et moi avons en ce moment des difficultés financières et je vais avoir du mal à pouvoir payer ces cours…

— Cela peut effectivement constituer un problème. Mais peut-être pouvons-nous trouver une solution.

— Je vous l’ai dit, je suis prête à tout pour que ma fille réussisse. Néanmoins je n’ai pas d’argent à consacrer à ses cours en cette période difficile, alors je me disais que nous pourrions voir de quelle manière je pourrais compenser vos services.

En disant cela elle me fixait dans les yeux et posa sa main sur mon genou. Je fus surpris par la tournure rapide des choses ne m’y attendant pas, mais je décidais de rentrer dans son jeu pour voir où cela nous mènerait.

— Je ne suis pas sûr de bien comprendre Sophie. De quel genre de compensations parlez-vous ?

— Je pourrais disons vous accorder certaines faveurs… Me dit-elle en faisant remonter sa main le long de ma cuisse et en ingurgitant une nouvelle rasade d’alcool pour se donner du courage.

— Vous êtes une femme très belle et très forte Sophie, mais cela est-il bien raisonnable pour votre ménage, et éventuellement le mien ? Lui rétorquai-je avec un petit sourire.

— J’ai bien réfléchi, mon mari n’est quasiment jamais à la maison en semaine, cette solution me semble la meilleure si vous l’acceptez.

Sa main était remontée au niveau de mon entrejambe et le bout de ses doigts passa sur ma braguette. La mère serait elle aussi salope que la fille ? Cela m’en avait tout l’air et je me demandai si cette histoire d’argent n’était pas qu’un prétexte. Elle se pencha un peu vers moi et posa ses lèvres sur les miennes en fermant ses yeux. Sa main se referma sur mon sexe. J’ouvris ma bouche sans résistance pour accueillir sa langue. Je sentis le parfum de son rouge à lèvres sur les miennes et sa salive avait un fort goût d’alcool. Tout en m’embrassant, et du bout de ses doigts, elle frottait ma bite qui gonflait à nouveau sous mon pantalon. Ma main se posa sur ses cuisses et remonta sous sa jupe à mesure qu’elle écartait ses jambes, jusqu’à ce que mes doigts viennent en contact avec le tissu dentelé de sa culotte. Je me mis alors à frotter sa chatte au même rythme qu’elle frottait ma queue. Nos bouches ne s’étaient pas décollées. Elle ouvrit ma braguette de ses doigts experts et sortit ma bite poisseuse de son logement. Elle arrêta de m’embrasser pour la regarder en commençant à la branler doucement. « Suce-moi Sophie » lui dis-je, et sans hésiter et elle plongea ses lèvres sur mon gland rougeoyant. En appuyant derrière sa nuque je la fis descendre vers le bas de ma queue encore collante du jus à peine séché de sa fille. Sophie ne se doutait pas qu’en me nettoyant la bite, elle gouttait par procuration à la mouille de sa petite Clémentine. Cette situation m’excitait fortement. Sophie était maintenant à quatre pattes à côté de moi pour me sucer. Sa bouche était toute chaude et onctueuse. Sa bave abondante échouait sur mes couilles. Je décidai alors de soulever sa jupe, d’écarter sa petite culotte et de venir masser sa chatte. Elle était trempée, mes doigts glissèrent sur sa fente et sans résistance je lui en rentrais deux dans le vagin. Je me mis à la doigter de plus en plus vite et elle commença à gémir doucement. De petits jets de mouille jaillissaient de son intimité et venaient s’écraser sur mon bras avant de retomber sur le sofa. Je sortis mes doigts de sa chatte et les suçai. Elle avait bon goût, sa mouille était plus forte que celle de sa fille. Je repris un peu de son jus de chatte sur le bout de mes doigts et l’utilisai pour lubrifier son petit trou. Je me mis à masser son anus avec mon majeur et lui enfonça en appuyant progressivement. Le gémissement se transforma en râle.

— Tu aimes Sophie ?

— Oui Alex, ne t’arrête pas.

— C’est toi qui es censée me dédommager, lui dis-je avec un petit sourire.

— Mmm je vais te baiser alors, je veux sentir ta grosse queue en moi.

Elle fit tomber sa jupe au sol, et se mit alors à califourchon au-dessus de moi. Sa fente en contact avec la pointe de mon gland, qui disparut bientôt, aspiré par ses lèvres intimes. Très progressivement, je sentis la chatte trempée de Sophie glisser vers le bas le long de ma bite. Après avoir été quelques minutes auparavant enserrée dans la chatte de la fille, elle se trouvait maintenant dans celle de la mère. Celle-ci était moins étroite, mais tout aussi chaude et agréable. Alors que Sophie s’empalait sur ma queue à un rythme régulier et en poussant de petits gémissements de plaisir, je lui défaisais son chemisier. Sa poitrine volumineuse était protégée par un soutien-gorge blanc en dentelle. Je glissai mes doigts sous l’armature et le fis remonter pour découvrir ses magnifiques seins en forme de poires. Pendant un moment, je les regardai ballotter de bas en haut, synchronisés avec ses mouvements sur ma bite. Ses tétons posés sur des aréoles larges et rosées pointaient fort. Ils étaient longs et fins. Je les pinçai doucement entre mes doigts avant d’entreprendre de les téter, les mordiller. C’était un réel plaisir de passer de l’un à l’autre. Dans le même temps, mes mains venaient malaxer ses fesses, et imprimer la fréquence de ses va-et-vient sur mon membre. Bientôt, mes doigts s’insinuèrent entre ses fesses et mon majeur s’enfonça à nouveau dans son cul. Elle se rabattit alors brutalement sur moi, ma bite enfoncée complètement dans son vagin. Je la sentis alors se contracter pour serrer ma queue et sans remonter d’un millimètre, Sophie se mit à faire de petits mouvements circulaires avec son bassin. J’étais au paradis, ma tête plongea à nouveau dans sa poitrine voluptueuse et je me mis à doigter son anus plus vite. Mes couilles, le haut de mes cuisses était trempé de son jus de moule.

En relevant la tête, je vis la porte du bureau qui me faisait face et qui était juste poussée, s’entre-ouvrir. Clémentine, pieds nus, apparu alors dans l’encadrement. Elle nous observait en train de baiser. Sa mère, à cheval sur moi, lui tournait le dos et ne pouvait donc pas la voir. Clémentine releva alors d’une main sa robe pour me dévoiler sa chatte. Elle ouvrit ses cuisses et commença à se toucher. En la voyant ainsi, mon excitation, si cela était possible, grandit encore. Mon index vint rejoindre mon majeur dans le cul de sa mère, la bouche de Sophie plongea alors vers la mienne et nous nous embrassâmes fougueusement. Sophie se mit à accélérer, ses fesses claquaient sur mes cuisses et mes couilles ballottaient de plus en plus fort. Je jetai un coup d’il à Clémentine qui se doigtait debout et désormais de manière obscène dans le dos de Sophie. L’image de la mère et de la fille, ma queue baisant la chatte de Sophie, mes doigts baisant son cul, firent que j’étais proche de l’éjaculation. Sophie qui respirait de plus en plus fort et bougeait de plus en plus vite était également au bord de l’orgasme. Clémentine avait également l’air d’être très excitée en arrière-plan, elle malaxait ses seins tout en continuant de branler sa chatte. J’attrapai alors sans ménagement Sophie par un sein que je comprimai de ma main libre, lui enfonçai mes doigts au plus profond de son petit cul et d’un dernier violent coup de reins ma queue vint taper au fond de sa chatte avant de se mettre à déverser mon sperme en plusieurs giclées rapprochées. Sophie jouit en même temps, elle ne put retenir un cri et son corps se mit à trembler. Nos yeux étaient accrochés l’un à l’autre dans cet orgasme. Elle s’effondra sur moi, ses lèvres molles s’écrasant sur les miennes. En relevant la tête, je vis que Clémentine avait disparu, elle s’était éclipsée discrètement. Voir sa mère se faire baiser comme ça avait dû la faire jouir et cette scène alimenterait sûrement de nombreux fantasmes pour elle. C’était parfait. Ma bite, toujours dans la chatte de Sophie ramollissait progressivement, et je vis une coulure de sperme refluer de son vagin pour venir couler sur mes couilles. Elle se releva doucement et commença à se rajuster et se rhabiller.

— Pouvons-nous considérer ce mode de paiement comme recevable ? Me lança-t-elle

— Mais tout à fait chère Madame, tu es une femme superbe et j’ai vraiment pris énormément de plaisir.

— Moi aussi je dois le reconnaître. Je n’avais plus joui comme ça depuis trop longtemps.

— Alors nous pouvons considérer que nous avons un marché conclu, je pourrai ainsi profiter de ton superbe corps chaque semaine.

— J’ai honte de le dire, mais j’ai déjà hâte que tu reviennes t’occuper de ma fille.

Sophie arborait un grand sourire. Nous embrassâmes une dernière fois avant que je rentre chez moi. Sur le chemin du retour je pensais déjà aux devoirs de vacances que j’avais donnés à Clémentine ainsi qu’à notre prochaine session.

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