Chapitre 4 : Plaisirs postmodernes
Tags : bisexualité, fétichisme des pieds, futanari, BDSM switch
J’ai embrassé ma petite servante artificielle alors qu’elle était en mode « Putain ». J’aurais dû savoir comment elle allait réagir mais cela m’a tout de même surpris. Elle m’a roulé une pelle bien pétasse avec la langue puis elle a attiré ma tête contre ses seins en couinant :
« Oh oui, vas-y, papa. »
C’était ridicule. J’ai repris mes esprits et je l’ai désactivée en appuyant sur les deux boutons situés sous ses oreilles et derrière la mâchoire. Le FG-61 s’est alors immobilisé.
Ce n’était pas ça que je voulais d’elle. Pas comme ça. Pas comme si c’était une prostituée. À vrai dire, je ne sais pas exactement ce que je pensais lorsque je me suis jeté sur ses lèvres. Je venais de jouir. Ne m’avait-elle pas dit elle-même que mes vrais sentiments se révéleraient lorsque mes testicules seraient vides ? C’est stupide. Bien entendu que j’étais encore excité comme un animal.
Je l’ai rangée dans le placard après avoir nettoyé tout le sperme moi-même. Je n’en menais pas large. Je souhaitais n’avoir jamais acheté ce robot. Il me posait bien plus de problèmes qu’il ne m’apportait de solutions. Et je ne pensais pas seulement aux tentations qu’il représentait pour moi, mais aussi au fait qu’il venait de me montrer des tas de photos pornographiques de mon futur rencard, Melina ! Qu’est-ce que je devais faire avec cette information ? Je ne pouvais pas oublier ce que j’avais vu et faire comme si de rien n’était.
D’un autre côté, est-ce que ça ne mettait pas un peu de piment à l’idée de sortir avec Melina ? Je n’étais pas chaud à l’idée de m’afficher en public avec une personne au visage disgracieux, mal proportionné, mais depuis cette vue privilégiée sur ses fesses et ses seins Mon dieu, qu’en dirait le Père Velin ? S’il avait pu entendre mes pensées à ce moment là, il m’aurait certainement réprimandé.
Je ne vais pas vous mentir, c’est avec ces images perverses en tête que je suis allé à mon rendez-vous avec elle au Musée des Réalités Virtuelles et Augmentées. Je l’ai tout de suite reconnue, malgré les grosses lunettes qu’elle avait au bout de son nez. En partie parce que son décolleté plongeant ressemblait beaucoup à ce que j’avais vu d’elle sur les photos ou elle rapprochait ses seins l’un de l’autre avec ses mains pour mieux les mettre en valeur.
« Ah, te voilà ! Ça faisait longtemps, me dit-elle.
Je suis en retard ? »
Elle se mit à glousser. Un peu trop, signe qu’elle était très nerveuse. Elle me dit :
« Non, non. C’est pas ça que je voulais dire. Je voulais dire par rapport au Lycée.
Ah, oui ! Excuse-moi ! Désolé ! »
Moi aussi j’en faisais un peu trop. C’est que ce genre d’interaction n’est pas mon fort. Comme j’étais embarrassé, j’ai détourné le regard. Sur le mur du musée en face de nous, il y avait une dizaine d’affiches, comme s’il s’agissait d’un cinéma. Elle me fit :
« Tu choisis notre destination ?
Bah, le Musée.
Non mais je veux dire, quel programme ? Dans le musée. Quelle exposition ?
Le monde des dinosaures ?
Oh, fit-elle, visiblement déçue.
Tu voulais voir autre chose ?
L’exposition féministe postmoderne. »
Mon dieu, mon dieu. « Ok » fis-je alors mais c’était un petit « ok ».
Nous avons bavardé quelque peu de tout et de rien en achetant nos billets et en nous rendant à la galerie qu’elle avait choisie. Nous avons rejoint un groupe d’une dizaine de visiteurs accompagné d’un guide devant une grande double porte blanche qui contrastait avec le reste des couleurs du musée (notamment les couleurs vertes et marrons de la galerie sur les dinosaures que je voyais s’éloigner de moi). Nous sommes tous entrés dans une salle également blanche, immaculée, grande comme un de ses gymnases où on joue au handball sans pesanteur. L’écho de nos voix résonnait contre les murs. La salle était complètement vide, excepté quatre large piliers blancs situés en angle à quelques mètres des coins de la pièce et qui ne montaient pas complètement jusqu’au plafond. Au milieu de la salle, il y avait un trou rectangulaire creusé dans le sol, comme une piscine qu’on n’aurait pas encore remplie. Le guide a fait le silence dans la salle puis s’est lancé dans un monologue interminable sur l’importance philosophie de cette exposition.
« Cette expérience cérébrale, intense et exigeante va vous permettre de déconstruire tous les narratifs que la société a tenté de vous faire accepter. La propagande patriarcale, longtemps soumise à une contre-propagande devenue aujourd’hui instrument de la neo-oppression, est ici soumise à une contre-contre-propagande dialectique salvatrice dans cette épreuve synesthésique hors du commun construite par Gavin Delario. »
Pendant que le guide faisait les louanges de ce « Gavin Delario », j’ai jeté un coup d’il à mon rencard. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle semblait aimer cette présentation et avoir hâte de voir la suite. Comment pouvait-elle faire pour avaler toutes ces bêtises ? Mon regard tombait sur son décolleté. Je tentais de me consoler en me disant que si je supportais tout ça, je pourrais peut-être mettre ma queue entre ses seins après avoir arraché le soutien-gorge en dentelle noir que je devinais là. Peut-être qu’il n’y avait pas que les sornettes qu’elle avalait facilement. Je sais que c’est mal. Mais je m’ennuyais déjà comme un rat mort, et je n’étais pas particulièrement heureux d’être avec elle, alors pour supporter ma situation je l’imaginais dans des positions toutes les plus scandaleuses les unes que les autres. Je voulais qu’elle soit ma petite salope. La baiser dans les chiottes. Mettre des grands coups de butoir entre ses seins.
Comme j’étais perdu dans mes pensées, j’ai presque sursauté lorsque les drones sont tombés du plafond pour venir distribuer des casques aux visiteurs. Ils ont flotté jusqu’à nous lentement. Melina a pris mon bras et s’est serrée contre moi, sa tête contre mon épaule. Elle sentait bon. Elle était toute joyeuse. Chaque drone a délicatement déposé un casque de réalité virtuelle sur nos têtes, recouvrant ainsi nos yeux.
Soudain, la salle blanche a pris l’apparence d’un palais royal de l’Egypte antique. Le trou au milieu de la pièce était bien une piscine, mais remplie d’eau virtuelle hyper-réaliste, et de crocodiles rouges. Les murs étaient désormais ouverts sur un horizon désertique. Les quatre piliers se prolongeaient virtuellement jusqu’au plafond, beiges comme les pyramides au loin, et décorés de toutes sortes de hiéroglyphes. Le lieu était rempli d’hommes et de femmes en images de synthèse qui se hâtaient d’aller vers le mur du fond. En effet, là-bas, on pouvait voir Cléopâtre assise sur son trône.
Je me suis tourné vers Melina mais je n’ai pas vu son corps contre le mien, que je ressentais pourtant très bien et dont j’appréciais le parfum. J’ai vu à la place une sphère métallique grise à la place de sa tête et rien d’autre entre cet objet étrange et le sol. En fait, en apparence, tous les visiteurs, et le guide aussi, n’étaient plus que des sphères métalliques qui flottaient au dessus du sol à l’endroit exact où se trouvaient leurs casques de réalité virtuelle dans la vraie vie. Sur cette sphère, un petit cercle noir indiquait où se trouvait les yeux de la personne pour pouvoir suivre son regard. Nous étions tout juste assez désincarnés pour ne pas faire parti de la scène à laquelle nous assistions, mais pas assez pour que nous puissions nous rentrer dedans par accident dans le monde réel. Monde réel auquel s’était superposé des images exquises de l’antiquité égyptienne.
Finalement, cette expérience s’annonçait bien. Je redoutais le moment où, en sortant du musée, Melina allait me demander d’un air niais ce que les crocodiles rouges symbolisaient selon moi comme aspect du « paradigme sociétal » ou une connerie de ce genre, mais à part cela je sentais que je pouvais m’amuser. Toutes les vraies personnes ont contourné l’espèce de piscine du milieu pour rejoindre l’attroupement au fond de la pièce : une bonne centaine de personnes en images de synthèse entouraient le trône de la reine. Des gardes, des serviteurs, des dignitaires. Tous plus beaux les uns que les autres. Des peaux mates impeccables (la seule variété en termes de couleur de peau se trouvait chez les servantes et les esclaves). Des visages à la symétrie parfaite visiblement plagiés des robots en vente un peu partout en ville. Et bien sûr, Cléopâtre, reconnaissable au premier coup d’il. Inutile de la décrire, ce que vous imaginez lorsque vous entendez « Cléopâtre », c’est cela qu’on avait sous les yeux.
La reine avait un air hautain et crachait sèchement des instructions dans une langue étrangère. Mon cur a fait un bon dans ma poitrine lorsque j’ai vu à qui elle s’adressait. J’avais raison, les visages de ces entités numériques étaient bien plagiés des androïdes disponibles dans le commerce. En face de moi, je voyais une jeune femme qui avait exactement le même visage que mon androïde FG-61 ! Les mêmes cheveux bruns bouclés, les mêmes longs cils séduisants. La seule exception était la taille de sa poitrine, qui était bien plus imposante ici, et son vêtement, une belle robe blanche toute simple. Je pouvais voir les tétons qui pointaient sous le tissu. Elle devait être toute nue mis à part la robe. Pas de soutien gorge. Avait-elle une petite culotte ? Et Melina, la pute au gros cul, avait-elle mis une petite culotte ce matin ou s’attendait t’elle à ce que je la prenne direct ? Mon dieu, ce contexte païen me faisait tourner la tête. Mes pensées bondissaient d’objets de luxure en objets de luxure.
Ce qui s’est passé ensuite n’a pas amélioré la situation. Obéissante, la jeune servante quasiment identique à mon androïde a rampé jusqu’aux pieds nus de Cléopâtre et les a embrassés du bout des lèvres, l’un puis l’autre. La reine, insatisfaite, a ordonné sèchement quelque chose qui a fait que les baisers se sont répétés mais avec plus de passion. Cela est arrivé plusieurs fois : à chaque fois la servante embrassait les pieds, mais de plus en plus fougueusement, et à chaque fois son altesse demandait plus. Au bout d’un moment, la soumise s’est mise à titiller timidement un pied du bout de sa langue come une chatte qui lape du lait. Finalement, obéissant à la dernière injonction qui est sortie de la bouche de sa supérieure, elle a soulevé le beau pied nu et s’est mise à lécher toute la plante, du talon aux orteils. Une fois qu’elle s’est bien occupé d’un pied, elle est passée à l’autre. Toutes deux semblaient adorer ça. Et moi aussi, ma queue durcissait dans mon pantalon, et je ne savais pas si j’aurais aimé lécher ces beaux pieds ou bien recevoir ce genre d’attention de la part d’une subordonnée.
Une petite voix a alors murmuré quelque chose à mon oreille et m’a fait sursauter :
« Ça te plait comme exposition ? »
C’était Melina. J’ai jeté un coup d’il sur le côté d’où la voix venait. Mais sa sphère gisait au loin sur le sol derrière un pilier. Merde J’ai pensé que le spectacle la mettait tellement mal à l’aise qu’elle avait retiré son casque et était venu près de moi sur la pointe des pieds pour me demander de s’en aller. Elle était invisible dans le monde virtuel puisqu’elle n’était plus là où la sphère se trouvait, mais bien présente en réalité, à mes côtés. Je lui ai répondu :
« C’est que Ça peut être intéressant Mais si tu veux qu’on s’en aille
— Non, idiot. Je te demande si ça t’excite. »
Elle avait murmuré cette dernière phrase sensuellement. J’ai enfin entendu le ton lourd de sous entendus présent dans sa voix depuis le début. Ses doigts boudinés se sont posés sur la bosse de mon pantalon. J’ai protesté :
« Arrête, on va nous voir.
— Mais non, tout le monde a un casque. Le guide n’est là que pour vérifier que personne n’interpose sa sphère entre le public et le scénario. »
J’ai levé mon casque quelques secondes. Ce qui m’a fait voir qu’elle avait raison : tout le monde avait des casques et personne ne surveillait le monde réel. Elle était complètement cachée de tous à partir du moment où elle avait dissimulé le sien derrière le pilier. Elle se mordillait la lèvre inférieure et ça m’excitait. Avant de remettre le casque, je lui ai dit :
« T’es sure que tu ne préfères pas qu’on fasse ça ailleurs ?
— J’emmène les mecs ici pour savoir ce qui les branche. Personne n’a été excité comme ça par la première salle. Mais en même temps on m’avait dit que t’étais à moitié PD. »
À moitié PD ? Personne ne parlait plus comme ça de nos jours. De quoi parlait-elle ? En tout cas l’entendre dire ça avait fait tressauter ma virilité dans mon pantalon. Putain ce qu’elle m’excitait ! J’ai remis le casque et j’ai tout de suite compris de quoi elle parlait.
La servante léchait allégrement les pieds de la reine : elle léchait entre les orteils, prenait le plus gros dans sa bouche parfois comme si elle faisait une fellation, mordillait le talon avec passion Tout occupé que j’avais été à observer cela, j’avais manqué le clou du spectacle. Ce que je n’avais pas remarqué la première fois c’est qu’elle adorait tellement ça qu’elle branlait sa queue en même temps. Oui, la petite soumise avait un pénis entre les jambes. Ce n’était pas un homme, ça c’était clair au vu du reste de son physique, mais dans ce monde virtuel, elle était dotée d’une belle queue qu’elle faisait sortir de sa tunique pour se caresser. C’est alors que Cléopâtre a fait de même. L’exposition n’était pas « postmoderne » pour rien. La reine a écarté sa robe pour révéler une magnifique queue, plus grande que celle de sa suivante, et deux grosses couilles bien remplies. Elle s’est lascivement adossé contre le trône et s’est mise à faire des va et vients avec son membre pendant qu’on lui vénérait les pieds.
Les figurants du scénario virtuel regardaient passivement, avec respect. Les visiteurs aussi.
« Viens, suis-moi, je vais te montrer quelque chose qui va te faire plaisir. », m’a dit Melina.
Je voulais voir la suite du spectacle principal, mais je l’ai tout de même suivie derrière un pilier. Un de ses piliers qui, dans le monde virtuel, faisait parti de l’architecture de la salle du trône et qui, dans le monde réel, correspondait à un vrai pilier blanc qui nous isolait du reste des touristes et du guide.
Là, dans le monde numérique, nous sommes tombés sur un « uf de pâque », comme on dit chez les développeurs de scénarios virtuels : une surprise cachée par les programmeurs pour les âmes exploratrices. La surprise était une femme qui faisait au moins une tête de plus que moi, visiblement une guerrière étant donné l’épée attachée dans son dos et le bouclier à ses pieds situé à côté de sa tunique roulée en boule sur le sol. Elle était toute nue. Ses muscles étaient imposants aux bras et aux cuisses, sans pour autant lui donner un look bodybuildé qui nous ferait douter que toute cette masse musculaire puisse servir à quoi que ce soit. Elle avait une belle paire de seins bonnet C, et de magnifiques abdos au dessus d’une grande queue en érection. Elle était bien plus virile que moi et elle se masturbait comme un porc. Elle espionnait la reine depuis derrière le pilier et se faisait du bien comme si sa vie en dépendait, sans faire attention à nous.
« Qu’est-ce que tu penses de notre petite voyeuse ? » dit Melina.
C’est alors que je me suis rendu compte à quel point la voix langoureuse de Melina était sexy. J’adorais la façon qu’elle avait de me guider dans ce monde virtuel comme un esprit désincarné qui donnait libre cour à tous mes fantasmes. C’est comme ça qu’elle devait allumer tous les mecs.
« Melina, je suis désolé là, ça me chauffe trop Il faut.
— Branle-toi. »
Elle avait dit ça en plongeant sa main dans mon caleçon et en faisant sortir mon membre.
« Branle-toi, tout de suite.
— Est-ce que je peux lécher tes pieds ?
— O.K, mais alors on dit que je suis ta reine.
— Oui. Oh, oui. »
J’étais bien pathétique, mais je me suis exécuté tellement j’avais envie de jouir enfin. Ça nous a pris un moment gênant de coordination pour nous installer. Je me suis installé assis, dos contre le pilier. La guerrière perverse était un mètre devant moi, cachée du reste de la salle, et elle continuait à se palucher. J’ai jeté un coup d’il dans le monde réel et j’ai vu Melina s’asseoir devant moi, s’allonger presque sur le dos mais en levant le haut de son corps avec ses avants bras. Un double menton ressortait lorsqu’elle se tenait comme ça, mais sa grosse poitrine de salope en chaleur aussi. Je commençais à croire que ses qualités compensaient ses défauts.
Elle a retiré ses chaussures et m’a présenté ses pieds au visage. Je les ai attrapés et j’ai pressé ses chaussettes contre ma bouche. Ça faisait bizarre d’embrasser des pieds qui ne se trouvaient pas dans mon champ de vision. Visuellement, je ne pouvais que me rincer l’il avec la guerrière. Ce spectacle était tellement excitant ! Ses gros seins tressautaient parfois lorsqu’elle se touchait le plus frénétiquement. Elle grognait. Elle aurait voulu baiser la reine.
« T’aimes ça ?
— Oui.
— Oui qui ? » demanda t’elle en faisant mine de me donner un coup de pied.
Je me suis souvenu qu’elle voulait être ma reine.
« Oui votre altesse.
— Lèche mes chaussettes, esclave. »
Si c’était là le prix à payer pour pouvoir prendre mon pied
De la main droite, je faisais des va et vients avec mon sexe. De la main gauche, je pressais l’un ou l’autre de ses pieds contre ma bouche en essayant de ne pas les faire buter contre le casque. Je m’humiliais en léchant le vêtement, mais je n’avais pas à me représenter à quel point cette vue devait être étrange et dégradante.
« Dis-moi que je suis belle.
— T’es belle.
— Non ! »
— Vous êtes belle, ma reine. »
Aux bruits humides j’entendais bien qu’elle se masturbait aussi.
« Vas-y mon petit PD, retire mes chaussettes avec tes dents. »
C’est exactement ce que j’ai fait, avec hâte. Je voulais pouvoir les embrasser et les lécher comme il se doit. J’ai posé ma langue sur son talon gauche et j’ai remonté jusqu’aux orteils en léchant tout son pied. Une fois arrivé à ce point, j’avais prévu de m’occuper de l’autre. Mais elle avait une autre idée en tête. Elle a forcé doucement son gros orteil dans ma bouche.
« T’aimes ça, tapette ? C’est comme si tu suçais une queue. »
C’était trop dur de se concentrer sur les deux scénarios en même temps, ce qui était frustrant. Melina m’énervait en m’empêchant de me concentrer sur un vrai sexe masculin mais elle m’excitait aussi. Je suçais son orteil comme elle le voulait, comme un « PD ». J’ai retiré mes lunettes et j’ai quitté la scène de la belle guerrière qui se paluchait. Devant moi, mon rencard. Sa voix sensuelle qui m’insultait et qui me dirigeait. Je vivais un mélange d’excitation et de résistance. Elle était grosse, elle était laide. Mais ça me plaisait d’avoir une reine comme ça. Soudain, j’ai senti que l’éjaculation allait venir.
« Ma belle reine, s’il vous plait
— Dis-moi, mon petit PD
— Puis-je jouir sur vos pieds ?
— Vas-y. C’est chaud. »
Je me suis redressé quelque peu et puis je me suis mis à genoux. J’ai posé ses deux pieds sur le sol. J’ai redoublé de vitesse dans ma branlette pour pouvoir finir sur elle. J’ai tout giclé sur ses petits pieds. Je me suis soulagé jusqu’à la dernière goutte en grognant de satisfaction.
(à suivre)