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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 10




Chapitre 10 :

Morgane se retira du cul de sa supérieure. Son anus était fortement élargi et l’on pouvait y apercevoir une grande quantité de liquide blanc. Eugénie serra son sphincter et du sperme s’en échappa et coula le long de sa raie.

Elle était par terre, la tête collée contre le sol et le cul relevé au maximum. Elle venait de se faire enculé à deux reprises.

-Que c’est bon, putain ! je n’avais pas joui comme ça depuis ma sixième primaire, sans compter notre séance d’hier, naturellement.

-C’est vrai que c’est plutôt chouette, admis Morgane.

Sa queue pendait, inerte, le long de ses jambes. La directrice se mit à quatre pattes et vint suçoter le gland de la prof. Cette dernière lui caressa les cheveux et sentit le désir poindre à nouveau. Elle saisit la nuque d’Eugénie et la tira vers elle. Sa bite fut rapidement engloutie.

-je ne suis pas encore en érection, susurra Morgane. Mais ça ne va pas tarder

La directrice la regarda intensément et lui enfonça sans prévenir deux doigts dans la chatte. L’érection de Morgane fut immédiate. Sa queue s’agrandit rapidement, prenant de plus en plus de place dans la cavité buccale de sa supérieure. Elle finit par dépasser la glotte et la directrice se retrouva en train de faire une gorge profonde à Morgane.

-Waouw, Eugénie ! c’est si profond !

Mais la directrice n’en avait pas fini. De son autre main, elle se mit à titiller l’anus de morgane. Cette dernière ouvrit de grands yeux quand elle sentit le plaisir monter en flèche.

-Oui, je vais jouir encore une fois ! Tu es ma pute, Eugénie. Mon petit sac-à-sperme rien qu’à moi.

La directrice était tellement encombrée par l’imposant engin placé dans sa bouche qu’elle ne pouvait même pas approuver du chef. Elle fit donc ce qui lui paraissait être le meilleur signe d’assentiment : elle enfonça trois doigts dans le cul de Morgane. Ce fut comme appuyé sur un bouton pour faire exploser un barrage.

La jeune femme cria à s’en déchirer les cordes vocales. Ses deux trous, qui étaient comblés, se contractèrent et laissèrent tous deux échapper des jets de cyprine qui inondèrent les mains de sa supérieure.

Dans les profondeurs de la gorge d’Eugénie, la bite de Morgane grossit et déversa un flot de sperme qui vint directement se perdre dans l’estomac de la directrice. Cette dernière n’avait même pas besoin de déglutir. Son ventre gonfla à vitesse grand V tandis que Morgane se déversait lubriquement.

Elle se retira et la directrice prit une énorme goulée d’air. Morgane, quant à elle, fonça vers l’évier et avala à grands traits des litres d’eau. Une fois rassasiée, elle vint se frotter contre sa supérieure qui était toujours étendue par terre. Elles firent un câlin. Morgane dit soudain :

-Il faudrait que tu m’aides pour quelque chose

-Tout ce que tu veux

-Donc voilà,

******

Quand Morgane rentra chez elle, Simon l’attendait sagement sur le pas de la porte.

-Mais, tu es accroc à moi ou quoi ? s’exclama-t-elle, exaspérée.

-Pas du tout, rétorqua le jeune chercheur, sur la défensive. Je m’assure juste que ma petite protégée ne fait pas trop de bêtise.

-Mais oui, bien sûre. Qu’est-ce que tu veux ?

-juste savoir comment tu vas et passer un peu de temps avec toi.

-Tu veux qu’on nique quoi.

Simon ne répondit pas mais la tête qu’il fit indiqua clairement à Morgane qu’elle avait visé juste.

-Bon, soupira la jeune femme, entre.

Simon passa l’heure suivante à aspirer la chatte de Morgane de manière consciencieuse et très avide. Ils se séparèrent avant minuit et Morgane put enfin se reposer en se disant qu’elle ne tiendra jamais comme ça tous les jours.

Le lendemain, à la fin des cours, une de ses élèves vint la trouver alors qu’elle était assise à son bureau.

-Madame Shem ?

-Oui, Juliette ?

-Je ne comprends pas quelle est ma faute, ici, dit-elle en indiquant une phrase qui avait été biffé en rouge.

-Oh c’est parce que tu as conjugué le verbe au subjonctif et non à l’indicatif

-C’est juste pour ça ? Vous ne pouv

-Je ne peux pas quoi ? Demanda la prof en regardant son élève d’un il suspect.

Juliette s’était arrêté en beau milieu de sa phrase et regardait sa prof avec un drôle d’air.

-Juliette ? Est-ce que ça va ?

La jeune adolescente ne répondit pas. Elle avança brusquement, saisit la tête de Morgane entre ses mains et l’embrassa. La prof ne sut pas comment réagir. Morgane poussa son élève.

-Juliette ! Mais qu’est-ce qui te prends enfin ?!

-Je n’en sais rien, répondit cette dernière, sa respiration soudainement devenue haletante. Je mouille comme jamais, dit-elle en enfonçant sa main dans son pantalon.

Elle s’assit à califourchon sur sa prof et recommença à l’embrasser férocement. Morgane la repoussa encore une fois.

-Juliette, lui-intima-t-elle, je ne crois pas que ce soit une bonne idée. Et si quelqu’un entrait, on pourrait

La jeune élève se leva prestement, courut jusqu’à la porte et ferma cette dernière à clefs. Elle retira son pantalon et revint s’asseoir sur Morgane. Celle-ci ne trouva plus le courage de la repousser. Elle glissa ses mains sous les fesses de son élève et la souleva pour la poser sur son bureau et ce, toujours en l’embrassant fougueusement. Elle glissa sa main sous le fin tissu de la culotte de son élève et caressa sa vulve gonflé et déjà fortement humide.

Juliette gémi :

-Madame Shem Doigtez-moi

-Demande-le moi gentiment, jeune fille.

-Je vous en supplie, il faut que vous éteigniez le feu qui brûle en moi ! Allez-y maintenant.

Morgane enfonça un doigt dans le minou de sa jeune élève qui geignit intensément.

-Ouuiii, c’est bon ! Encore ! Encore ! Demanda-t-elle en retirant prestement son t-shirt dévoilant de gros seins fermes retenus par un joli soutien-gorge noir.

-Waouw, tu es si serrée. C’est trop bon.

Morgane ajouta un doigt dans le vagin de son élève qui se cambra tant qu’elle due s’allonger sur le bureau. Elle retira son soutien-gorge et joua avec ses seins, suçotant ses tétons devenus tout dur.

La jeune prof, quant à elle, n’était plus capable de cacher la formidable érection qui soulevait sa jupe. De plus, elle n’avait pas mis de culotte ce que fit que son sexe sortit de lui-même. Elle n’avait pas envie que Juliette voie son sexe, les ragots allait assez vite dans une classe. Elle se mit donc à genoux et brouta sauvagement l’abricot luisant de sa jeune et superbe élève.

Celle-ci, ne s’attendant pas à recevoir de sa prof un cunnilingus si ardent, eut cri de surprise mêlée de plaisir.

-Madame Shem ! Ouuuiiiiii !!

Morgane arracha la culotte de son élève et poursuivi sa délicieuse dégustation en se branlant lubriquement sous son bureau.

Soudain, on frappa à la porte.

-Morgane, c’est Mathilde. Tu es là ?

La jeune prof retira vivement sa langue de l’intimité de son élève. Elle paniqua un peu puis repris rapidement contenance.

-Oui, mais je suis occupé pour le moment.

Morgane regarda Juliette qui mordait son doigt pour s’empêcher de gémir. La prof mit son doigt devant sa bouche pour lui faire signe de se taire. La jeune fille approuva du chef. Morgane lui lança alors un regard lubrique où brillait un immense plaisir et elle enfonça le doigt qui venait de lui intimer le silence dans l’anus de son élève.

 

Cette dernière se cambra violemment sous le coup du plaisir mais parvint malgré tout à garder le silence. Morgane recommença à lui brouter avidement le minou tout en doigtant son délicat anus.

-Ah, d’accord. C’était juste pour te dire que la directrice nous convoque dans son bureau

-Très bien, dis-lui que je fini d’expliquer les subtilités de la langue française à une élève et ensuite j’arrive.

-D’accord, à tout de suite.

Elles entendirent les pas s’éloigner dans le couloir.

-Madame Shem, je vais jouir, geignit Juliette. C’est trop bon !

Encore quelque coup de langue puis elle jouit intensément en hurlant de plaisir dans la bouche de sa prof qui avala tout sans retenu. Morgane jouit à son tour, déversant des litres de sperme sous son bureau.

-Waouw madame Shem ! C’était incroyable !

Morgane sourit et rangea rapidement son sexe sous sa jupe.

-Rhabille-toi vite parce que la directrice m’attend.

-D’accord. Dites, est-ce qu’on pourrait recommencer ?

Morgane répondit par un sourire gourmand. Elle se lécha les lèvres pour seule réponse. La jeune élève lui renvoya son sourire puis s’en alla. Morgane épongea rapidement le sperme étalé sous son bureau puis alla trouver la directrice.

Quand elle entra dans le bureau de sa supérieure, elle eut la surprise de voir cette dernière en train d’embrasser Mathilde. Les deux femmes se retournèrent. Mathilde eut un regard paniqué tandis que Eugénie lui lançait un sourire lubrique.

-Ah, je vois que vous avez déjà commencé sans moi, dit Morgane à la directrice.

-Je n’ai pas pu résister

— je ne suis pas sûre de comprendre, dit la pauvre Mathilde qui était toute perdue.

-Ne t’en fait pas, la rassura Morgane en enlevant sa jupe. Tu vas très vite saisir où on veut en venir

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