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Le fol anniversaire d'Antonia – Chapitre 13




Abandonnant les surs quelques instants, Viviane et moi passons par la salle de bains. Provocatrice, elle dit :

— Je t’ai connu plus endurant.

— J’ai carrément des circonstances atténuantes !

Elle rit.

— N’empêche. Je reste quand même sur ma faim.

Je rentre dans son jeu :

— Tu veux dire quelque chose par là ?

— Et bien, on n’est plus ensemble et je trouve vraiment dommage que tu finisses comme ça.

J’éclate de rire, elle aussi.

— Si je comprends bien, je dois me faire pardonner ?

— Une invitation dans un bon restaurant, en tête à tête, pourrait certainement arranger les choses, en effet.

Je m’approche d’elle et l’embrasse. Elle caresse mon torse, mes fesses. Je dis :

— J’ai vraiment dû être d’une médiocrité crasse.

— On pourrait envisager que tu aies l’occasion de te refaire après le restaurant.

— Peut-être que je n’en aurais pas envie.

— Je peux faire en sorte de te la donner cette envie.

Elle prend mon sexe entre les mains et me masturbe doucement. Je bande mou.

— Ma curiosité me pousse à te demander des détails.

— Mmmh, là, je pense à une robe très décolletée, qui découvre la moitié de mes seins.

— Pas mal.

— Tu préfères une minijupe ? J’en ai une très courte et je pourrais oublier de mettre une culotte.

— Avec un haut un peu transparent et pas de soutif non plus. Pour que tout le monde mate tes gros seins et ton cul de rêve.

Elle sourit.

— Mon cul de rêve ? Celui-ci ?

Elle se tourne. A peine durcit, je glisse dans son vagin et la prends doucement. Elle gémit :

— Tu viens chez moi et tu choisis ma tenue. Aucune limite du moment que tu restes avec moi tout la nuit et qu’on baise encore et encore.

— Tu es une belle salope. Suce-moi.

— Et tu adores ça.

Viviane se tourne, s’agenouille et me pompe quelques instants. Yeux dans les yeux.

Nous revenons dans la chambre. Tous les quatre, nus sur le lit. Samuela est bien décidée à savoir ce que je préfère chez elle. Je réponds tout de go :

— Ta langue.

— Quoi ma langue ?

— Ta langue, c’est ce que je préfère en toi.

— Super

Antonia et Viviane rient.

— J’adore ta langue pour deux raisons. La première, très terre à terre, c’est que tu l’utilises divinement lors de nos rapports. La seconde, c’est que tu ne sais pas la tenir et ça m’a permis de sauter un sacrée nombre de tes connaissances !

Samuela rougit et rit :

— T’es vraiment con !

— Mais c’est la vérité ! Anto et Viviane peuvent en témoigner, tes cousines étaient au courant, sans compter toutes les autres.

Viviane intervient :

— C’est vrai ce qu’il dit. Tu as répété à tout le monde qu’il était un super coup, que tu n’avais jamais pris autant ton pied avec un mec, etc. Je ne suis pas sûre que tu sois au courant de toutes celles qui ont couché avec lui.

— Les "copines de Sam", ça représente facile une dizaine de nanas.

Samuela n’en revient pas :

— Quoi ?!? Autant ?

— Je t’assure. Tu peux compter.

— Bon ben, Anto, Viviane, Prisca et Joëlle, ça fait quatre. Vanessa, cinq. Anne-Marie, six

— Non, pas Anne-Marie. Enfin, pas encore.

Samuela sourit puis fronce les sourcils. Antonia lui vient en aide :

— Il y a Sabine et Sophie.

— T’as sauté Sabine et Sophie ?

— Un soir d’été pour Sabine, durant une semaine au printemps pour Sophie.

Viviane ajoute :

— Aurélia et Hélène aussi.

Samuela comptabilise :

— Ça fait neuf. Pfff, je n’en reviens pas. Vous étiez au courant et vous n’avez rien dit. Il y en a d’autres ?

J’hésite. Il en manque deux.

— Puisqu’on en est aux confidences. Mais deux choses à promettre : muettes comme des carpes et

— Et quoi ?

— Vous ne devez pas m’en vouloir.

J’ai un peu glacé l’ambiance avec cette remarque. Le silence qui suit est particulièrement solennel. Je crache le morceau :

— Angela.

Stupeur au milieu des draps. Angela a une réputation de droiture et de fidélité sans faille. Elle sortait depuis deux ans avec l’homme qui allait devenir son mari quand nous avons eu notre liaison.

— Durant cinq jours, peu après la soirée chez Viviane où tu avais beaucoup parlé. Donc non, Angela n’est pas la femme d’un seul homme, comme le veux la légende.

Antonia reprend son souffle la première :

— Vous travailliez ensemble à cette période, non ?

— Oui, et c’est arrivé au moment de son départ de l’entreprise.

Samuela est dès lors à l’affut :

— Bon, raconte alors.

— Deux jours avant son départ, je l’avais invitée à manger à midi. Ce n’était pas la première fois, loin de là. Elle était particulièrement jolie avec une jupe longue évasée brun foncé, une chemisier blanc et des bottes. Au dessert, elle m’avait avoué combien elle me trouvait craquant lorsque nous étions à l’école ensemble. Ça m’avait surpris et fait rire. J’avais moins ri lorsqu’elle avait posé sa main sur la mienne et avoué qu’elle se masturbait en pensant à moi. On était en décembre et il y avait un sacrée vent glacial ce jour-là. Aussi, pour revenir au travail, nous étions passés par un parking souterrain. En bas de l’escalier descendu en vitesse, un smack s’est vite transformé en baiser fougueux. Dans le parking, derrière une camionnette, nos baisers s’accompagnent de caresses. Elle s’agenouille et me suce. J’explose dans sa bouche. Nous retournons au boulot.

Samuela est bouche bée :

— C’est fou, totalement fou. Je n’arrive pas à y croire. Tu n’es pas en train de nous faire marcher, hein ?

Viviane répond pour moi :

— Il dit la vérité.

Nous nous tournons vers la belle blonde.

— Il y a deux ans, nous avons passé une soirée toutes les deux, Angela et moi, et elle m’a tout raconté. Tout ce qu’il vient de dire est rigoureusement ce qu’Angela m’a raconté. Et ce n’est rien par rapport à la suite.

Samuela sourit :

— Je suis impatiente de t’écouter.

— Le lendemain, un jeudi, il ne se passe rien le matin et je me dis qu’elle a eu ce qu’elle désirait. Erreur. En début d’après-midi, alors qu’une séance entre tous les responsables de l’entreprise a lieu, Angela arrive dans mon bureau et me dit qu’elle a beaucoup pensé à moi depuis la veille, qu’elle se sent un peu mal vis-à-vis de son copain, mais c’est plus fort qu’elle. On s’embrasse, on se caresse. Elle va fermer le bureau à clef. De retour vers moi, nouveaux baisers et caresses puis elle me repousse dans mon fauteuil, s’agenouille devant moi et me suce à nouveau. A nouveau, c’est divin, et à nouveau, elle m’emmène très vite au bout. Elle retourne dans son bureau.

Je marque une pause :

— En milieu d’après-midi, elle m’appelle et me dit en murmurant que la séance ne finira pas avant 16h et qu’elle va aux toilettes. Je la rejoins. Dans une cabine, sans attendre, j’ouvre son chemisier noir, son pantalon rouge et glisse la main dans son string : trempé. Elle me suce encore une fois. Cette fois, sa fellation est rapide. Elle se relève, se tourne et je m’introduis en elle. Ses petits seins entre les mains, je la prends plus fermement et jouis en elle.

Samuela a rosi. Antonia aussi.

Je bois une grand verre d’eau avant de continuer mon récit.

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