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Ambassadeur de France aux antipodes – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra.

Je suis Franck relativement beau gosse âgé de dix-neuf ans et l’esprit aventureux. N’ayant vraiment aucune attache sur le vieux continent, j’ai décidé de répondre à une annonce pour un poste en Australie où je devais m’occuper d’un motel qui s’occupait aussi de chevaux. L’avantage c’est qu’on était logé-nourri-blanchi avec un peu d’argent de poche par-dessus un modeste salaire. J’ai mis toutes mes économies pour le voyage, qui s’est avéré être assez long, j’ai attendu très longtemps ma correspondance à Sydney à destination de Alice Spring. Là, une superbe blonde de ma taille et approximativement de mon âge, est venue me récupérer l’aéroport, nous sommes ensuite partis en direction de leur ranch motel, installé dans un magnifique pick-up double cabine, bizarrement de marque européenne et inattendue. Durant les trois bonnes heures de route qui nous séparaient de mon point de chute, j’ai réussi à faire connaissance, malgré la barrière de la langue, avec mon hôtesse conductrice. J’avais affaire à Kristiana qui avait une sur Marie et leur maman se prénommait Caroline.

Moi qui étais venu en Australie avec mon pucelage, je ne savais pas combien de temps j’allais rester, mais jespérais bien que je resterai ici. Bien que d’aspect très solide, mon interlocutrice était d’une grande beauté. J’ai tout de suite été surpris par son côté naturel quand nous nous sommes arrêtés pour des besoins tout aussi naturels. C’est en pleine nature qu’elle a garé le "char" sur le bas-côté, j’en ai profité pour uriner et elle s’est assise contre le véhicule pour faire de même. J’étais assez stupéfait par le parfait état de la route, qui n’était en fait qu’un trait bien droit sur une carte. Nous avons croisé que très peu de voitures et seulement un gros Road train, pour ce qui était du paysage, il était assez monotone. Au début il y avait un petit peu de verdure, nous avons même longé une rivière quelque temps avant que cela devienne du désert à perte de vue, ici on dit le Bush. Par contre, nous avons longé une voie ferrée, nous sommes ensuite passés au-dessus quand nous avons pris sur la droite direction plein ouest. Ce qui m’a fait drôle aussi c’est de voir les cadavres de kangourous percutés par les véhicules, un peu comme les lapins et les hérissons sur nos routes.

Kristiana était vêtue d’un t-shirt, que je qualifierais de déchiré, et d’un short, qui vu sa taille, ne devait pas être bien lourd. Elle savait qu’elle était belle et elle était consciente qu’elle ne me laissait pas indifférent, je ne comprenais pas exactement ce qu’elle me disait mais seulement un sens vague. J’allais donc devoir m’occuper des animaux ainsi que des petits travaux dans le Motel. J’avais un jean sur moi et je peux vous garantir qu’il me tenait chaud, mais je ne pouvais pas partir en short t-shirt de Paris. Cette jeune femme était vraiment très familière avec moi car maintenant elle me tapait à l’intérieur des cuisses pour ponctuer ses phrases. Je ne sais pas si elle était innocente dans ses actes ou elle voulait me chauffer, toujours est-il qu’à force d’agir ainsi, elle était en train de me réveiller mes ardeurs. Durant le parcours j’ai appris que c’est la maman Caroline, qui avait fait savoir son besoin de main-duvre et que ses filles s’étaient chargées de trouver le profil idéal.

J’ai vaguement compris que le mari, Claude, était chef de projet sur une mine en Russie. Quand nous sommes arrivés j’ai pu constater que le ranch était une sorte d’oasis de verdure au milieu de nulle part. Au premier abord on pouvait constater que toute cette végétation était le fruit du travail de l’homme. Il y avait des chevaux, des bufs, quelques chèvres, plusieurs chiens et même des chameaux. Le plus beau c’est que la propriété s’étendait sur des milliers d’hectares, ils avaient choisi ce point car il y avait une source. En arrivant Caroline et son autre fille Marie sont venues m’accueillir, les trois femmes étaient des blondes aux yeux bleus d’une grande beauté avec peut-être une préférence pour la maman. A voir la carrure des trois femmes, il n’y avait pas de doute, elles travaillaient durement au ranch toutes les trois. J’étais un peu gêné car les deux filles me regardaient comme si elles se demandaient qui allait me croquer la première.

J’ai pris mon sac à dos pour aller le poser à l’endroit où j’allais dormir durant très longtemps je pense. À ma grande surprise, c’était une maison indépendante de plusieurs pièces, j’ai compris que Marie et Kristiana dormaient aussi dans cette maison et il y avait des parties communes comme le séjour, la salle de bain, la cuisine. Accolées à cette maison se trouvaient des écuries, de son côté Caroline avait aussi une maison mais six chambres de motel y étaient collées, à voir l’état des places de parking pour ce dernier, on pouvait rapidement en conclure qu’il n’était pas très fréquenté. En peu de temps, j’ai pu constater qu’en plus de sa beauté, Caroline était une femme formidable par sa force de caractère à mener ce ranch toute seule. Le plus amusant c’est qu’elles avaient des chiens typiquement australiens tricolores avec des prénoms particulièrement bizarres: Groucho Gummo Zeppo Harpo et Chico.

Je ne vous raconte pas le contraste par rapport à la région parisienne où on ne pouvait pas faire un pas sans marcher sur son voisin, ici pour voir son voisin il fallait prendre sa voiture et s’assurer qu’il y avait ce qu’il fallait en essence dans le réservoir. À ma grande surprise j’ai découvert que la maman parlait un petit peu français, mais dans l’ensemble je pense que quand je reviendrai de ce séjour je serai totalement bilingue. Les deux surs m’ont expliqué qu’il fallait que je me méfie quand même des serpents et des araignées même sil n’y en avait pas beaucoup. Je me suis installé en dix minutes dans ma chambre puis je suis ressorti les retrouver, elles étaient en train de tailler des piquets avec des machettes. Tout comme leur mère, les deux jeunes filles étaient très débrouillardes et je pense qu’elles devaient me battre au bras de fer. À force d’efforts de compréhension j’ai réussi à en conclure qu’elles étaient en train de refaire l’enclos pour les poules car un cheval avait cassé plusieurs poteaux. Pour vous faire une idée il y avait aussi une vingtaine de cochons destinés à la consommation personnelle.

Pendant que je filais un coup de main aux filles dans leurs travaux, j’en profitai aussi pour les mater et quelque part, un peu fantasmer sur elles. Par contre de mon côté j’étais en train de commencer à sentir le contrecoup du décalage horaire. Caroline avait essayé de me faire comprendre qu’il fallait que je me couche en même temps qu’elles par contre je ferai une énorme nuit. Le contrecoup du voyage et la chaleur ne m’aidaient pas à tenir le coup. Je regardais autour de moi, il y avait quelques hangars pour le bétail, pour entreposer les véhicules, une grosse écurie. Il y avait surtout un grand château d’eau en fer avec une cuve métallique à une dizaine de mètres de haut. Cela me faisait tout drôle de voir ces trois femmes loin de tout, heureuses de vivre comme elles le faisaient alors que moi j’aurais eu les pétoches. Heureusement pour moi, la journée commençait à prendre fin et nous nous sommes retrouvés à table. Chacun avait ses tâches imparties pour le bon déroulement du vivre-ensemble.

Dès le premier soir, je me suis retrouvé à faire la vaisselle, à tour de rôle, il allait falloir que je mette la table, que je la débarrasse, que je passe le balai, que je fasse le ménage dans la maison, nous qualifierons cela de travaux d’intérêt généraux. Les trois femmes m’ont regardé faire la vaisselle car elles voulaient s’assurer que je fasse cela à leurs convenances, heureusement j’ai passé l’examen. J’étais pressé que la journée se finisse car je mourais d’envie d’aller me coucher. J’avais oublié de vous dire au-dessus de mon lit se trouvait une moustiquaire qui ne protégeait pas contre les moustiques mais contre les araignées. Tout le monde a pris sa douche et à ma grande surprise les filles sont sorties avec des t-shirts assez longs qui leur servaient de chemise de nuit, c’était un appel au viol. J’avais l’air d’un con avec mon boxer en lycra qui rapidement a laissé apparaître ma poutre apparente. Bien évidemment les deux surs n’ont vu que ça, j’étais mal à l’aise mais cela m’excitait encore plus.

En plus de ne pas être farouches, les deux surs n’étaient pas vraiment pudiques. Est-ce qu’elles voulaient m’allumer ou étaient-elles vraiment naturelles à ce point, toujours est-il qu’au moment de m’endormir j’avais vraiment envie d’étrangler le borgne. Il était vingt et une heures et j’étais déjà couché. C’est la fatigue qui a eu raison de mes projets, j’ai dormi jusqu’au lendemain midi. C’est Caroline qui est venue me réveiller avec une tendresse toute maternelle à mon égard. Ses deux filles sont arrivées avec un grand sourire, il n’y a pas à dire elles avaient déjà commencé à bosser depuis pas mal de temps. Nous avons pris un déjeuner gargantuesque, Caroline avait l’air contente que je mange tout ce qu’elle préparait car elle savait bien que la nourriture n’était pas tout à fait la même qu’en Europe. J’étais arrivé hier et ces trois femmes faisaient vraiment tout pour que je me sente de la famille à part entière.

Moi qui étais très sensible aux odeurs et surtout des effluves féminins, j’étais vraiment comblé, car après l’effort, ces trois femmes sentaient vraiment très bon. Leurs odeurs, on ne peut plus féminines me remuaient complètement la tête, le résultat était une réaction que je ne dissimulais que difficilement. Au fond de moi, je me disais qu’il fallait quand même que je sois ambassadeur de mon pays, et donc que je ne passe pas pour un obsédé sexuel ou un primaire qui ne pense qu’avec sa queue. Par moment, c’était quand même plus fort que moi, je ne pouvais pas me retenir de m’approcher de l’une ou l’autre, juste pour pouvoir humer leurs fragrances naturelles. Ce qui faisait drôle ici c’est qu’il n’y avait strictement aucun bruit à part celui que nous faisions le cri de quelques oiseaux de toutes tailles ou animaux divers du ranch. La seule trace de vie que nous pouvions discerner, c’était le passage d’un avion à très très haute altitude. J’ai appris plus tard que c’était un vol Perth Brisbane. J’ai appris que les habitations les plus proches se trouvaient dans un village du nom de Indulkana.

C’était un village aborigène à un peu plus d’une heure de route de chez nous, quand je vous parle d’une heure de route il s’agit plutôt d’une heure en voiture. Il s’agit plutôt de chemins tracés à travers le bush, je vous laisse imaginer l’espérance de vie d’une petite voiture européenne dans ces immensités. Ce jour-là nous avons eu pour mission avec Kristiana de retaper un enclos, heureusement quelle était là car avec les avertissements au sujet des araignées et des serpents, je n’étais pas vraiment très fier. Nous étions armés d’une bobine de fil de fer de gants épais, d’une pelle, d’une pioche, d’une tenaille et des poteaux étaient déposés partout où il devait être changé. Au premier coup de pioche, j’ai réalisé combien la terre était dure, c’est à ce moment-là que j’ai compris pourquoi une foreuse amovible avait été fixée à l’avant du pick-up. Ma collègue de travail m’a expliqué comment tenir la foreuse pour commencer le trou.

Là, à ma grande surprise elle est venue se coller derrière moi, pour me montrer l’attitude à adopter, mais au fond de moi je pense que c’était surtout pour que nos deux corps rentrent en contact. Disons que le geste était quand même beaucoup plus commode car elle m’expliquait tout en anglais donc je n’étais pas sûr de comprendre le sens parfait de ce qu’elle me disait. Je peux vous garantir que cet après-midi, avec le soleil je trouvais que mon jean était quand même un peu superflu. En plus de mon pantalon moi je portais un t-shirt emploi alors que Kristiana avec un short de la taille de sa culotte et une chemise sur laquelle elle avait fait un nud en bas. Je ne vous raconte pas comment cela mettait son corps en valeur, alors imaginez ma réaction quand elle est venue se coller à moi. Moi qui avais chaud dans mon pantalon et surtout dans mon boxer, mon sexe a eu du mal à se mettre en position d’érection. Au bout d’une bonne heure et demie de travail nous sommes partis nous mettre sous un magnifique eucalyptus pour boire un coup.

Il y avait un gros rondin sur lequel nous nous sommes assis, la sur est venue s’asseoir devant moi en se calant bien contre moi. Vu comment elle s’était collée, elle ne pouvait pas ignorer mon sexe confiné et érigé dans mon boxer. Au loin j’étais en train de regarder le ranch, quand tout à coup, Kristiana a glissé sa main derrière elle pour venir jauger la chose qui était calée dans son dos. Quelle ne fut pas mon malaise quand elle a saisi mon sexe de belle taille que l’on pouvait aisément deviner à travers le pantalon. Par sa plastique et son comportement, cette femme m’excitait au possible, et voilà maintenant qu’elle se mettait à me saisir mon cerveau du bas. Vu qu’elle ne voyait pas ce qu’elle faisait, elle s’est retournée pour constater la bosse dans mon pantalon. Sans me demander mon avis et sans que je le sache comment réagir elle a libéré mon sexe pour mieux pouvoir le caresser. C’était la première fois de ma vie qu’une femme était à ce point entreprenante avec moi, si je m’étais écouté je lui aurais balancé la purée quelques secondes après.

Heureusement, j’ai su me contenir d’autant qu’il ne lui a pas fallu longtemps pour prendre mon sexe en bouche. Nous étions loin de tout, l’horizon était dégagé, seuls les oiseaux et les insectes s’unissaient pour faire une animation sonore et surtout témoigner de la prise d’initiative de Kristiana. Jusqu’à maintenant je m’étais limité à tirer sur l’élastique dans mon lit, sous la douche ou dans les toilettes. Voilà que maintenant une Australienne de mon âge, que je connaissais depuis vingt-quatre heures, tenait mon membre en bouche. Il n’y a pas à dire, Kristiana n’en était pas à son coup d’essai, mais vu sa gourmandise cela devait faire longtemps qu’elle n’avait pas pratiqué de fellation. J’étais gêné et mal à l’aise car c’était la première fois, mais en même temps je n’osais intervenir car elle me faisait un bien fou. Maintenant mes mains reposaient sur l’arbre sur lequel j’étais adossé, je n’osais rien dire ou faire, pour ne pas déconcentrer ma collègue de travail.

Elle s’est redressée pour venir m’embrasser avec passion, je pouvais reconnaître le goût de mon sexe dans sa bouche. Il était évident que Kristiana savait ce qu’elle voulait, je l’ai constaté quand elle s’est totalement relevée, pour m’offrir son bas-ventre à embrasser. Avec la chaleur ambiante, nos deux corps transpiraient, c’était une découverte pour moi que de plonger mon visage dans la sueur de ma partenaire. Moi qui suis très sensible aux odeurs intimes féminines, je vais vous avouer qu’il m’arrivait souvent de sentir les culottes souillées de ma maman mais aussi de ma tante quand j’allais la voir. J’avais le nez juste en dessous du nud de sa chemise et ma langue pouvait se faufiler sous l’ouverture de son short. J’ai pris confiance en moi en commençant à lui picorer le bas du ventre, je me suis alors étonné de constater oh combien elle était sensible à cet endroit-là. Je ne vivais que des premières aujourd’hui, ma première fellation, la première fois que j’embrassais le corps d’une femme.

À la voir se contorsionner, j’ai pu conclure qu’elle aimait ce que je lui faisais. Ce qui me plaisait le plus c’était son odeur corporelle mélangée à sa fine odeur de sueur et surtout une odeur de minou qui n’était pas si loin que ça. Je venais d’arriver dans ce pays continent et j’avais projet d’y rester un an minimum, mon séjour s’annonçait bien. Je venais de lui déboutonner son mini short pour lui embrasser sa culotte, au moment où elle s’est remise à genoux devant moi pour se remettre à me pomper. Je sentais maintenant sa langue se promener sur ma barre de chair, toutes les secondes je sursautai de plaisir à chaque fois que sa langue changeait d’emplacement. Maintenant je lui caressais les cheveux ainsi que le dos, je soupirai maintenant de plus en plus fort, tant ma partenaire me faisait un bien fou. Avec une telle prestation buccale, ce qui devait arriver arriva, j’ai senti ma semence monter au bout de mon membre. Kristiana ne pouvait pas ignorer ce qui était en train de se passer, c’est à ce moment-là qu’elle s’est fermement accroché à mes fesses et a enfoncé mon sexe au fond de sa gorge.

Quelques instants plus tard de longs jets de liqueur se vide est au fond de sa gorge, c’est ma partenaire qui dirigeait les opérations. Elle a continué à me pomper de longues minutes jusqu’à ce que cela devienne insupportable pour moi. Elle n’a pas perdu une goutte de ma semence, je venais de vivre ma première fellation. Bien qu’étant en sueur avec la température extérieure, je venais de me prendre une seconde suée. Kristiana s’est relevée, m’a regardé avec beaucoup de complicité, elle avait l’air comme satisfaite du devoir accompli puis m’a embrassé comme si elle voulait me faire partager le goût de ma semence. Nous sommes restés un long moment à nous regarder, comme sil y avait du désir entre nous, avant de repartir travailler comme si de rien n’était. En une journée ou plutôt un après-midi je commençais à prendre de l’assurance dans ce que je faisais pour les travaux extérieurs. Nous avons quand même travaillé jusqu’à huit heures avant de ranger tous les outils dans la benne et de reprendre le chemin de la maison.

Marie et Caroline nous attendaient pour passer à table, il était convenu que nous prendrions une douche après le repas. Durant le repas, Kristiana et moi n’avons pas arrêté d’échanger des regards pleins de complicité, peut-être même y avait-il un peu de désir. Les deux surs ont causé entre elles mais trop rapidement pour que je puisse saisir le sens de leur sujet de conversation. Pendant ce temps Caroline me donnait des petits détails sur la maison, par exemple nous étions totalement indépendants au niveau énergétique. Il y avait une télé dans le séjour, mais manifestement elle ne servait pas beaucoup. Contrairement aux repas familiaux en Europe, les repas étaient l’occasion de parler, de rigoler ensemble, de se soulager la conscience, de partager des idées ; et si c’était ça un repas en famille. Une fois le repas terminé, les tâches ménagères effectuées, les surs et moi sommes partis dans le pavillon et nous avons laissé Caroline de son côté. Je suis parti prendre ma douche, puis en sortant c’est Kristiana qui a pris le relais, voilà comment je me suis retrouvé en petite tenue avec Marie elle aussi l’était.

Elle s’est approchée de moi et a fait en sorte de me parler avec des mots que je comprenne, j’ai compris que sa sur lui avait avoué ce que nous avions fait ensemble. Marie m’a fait comprendre qu’elle voulait constater par elle-même la taille de mon sexe, dans la seconde qui suivait, elle m’avait débarrassé de ma serviette qui me servait de cache-sexe. Mon membre s’est retrouvé au garde-à-vous en quelques secondes, alors que Marie me poussait dans le canapé. Je me suis retrouvé à poil, allongé sur le canapé, alors que Marie commençait à me prendre en bouche. Voilà quelques heures, je vivais ma première fellation et maintenant j’en étais à comparer deux prestations buccales. Tout comme sa sur, il n’y avait pas de doute, Marie n’en était pas à son coup d’essai, elle faisait tourner la peau sur ma colonne de chair, cela me faisait un bien divin. Le plus par rapport à sa sur, c’est qu’elle me pinçait la pointe des tétons et s’amusait à glisser ses doigts dans ma raie culière.

Tout ce qu’elle me faisait arrivait maintenant à me faire pousser de petits cris de plaisir bien peu masculins. Marie avait l’air très satisfaite de me voir réagir ainsi et du coup elle prenait confiance avec mon corps. Quand Kristiana est sortie de la douche, elle nous a surpris dans nos ébats sexuels, cela l’a juste fait sourire. Elle nous a laissés pour partir dans sa chambre et est revenue quelques instants après parée d’une belle nuisette toute douce. Sans aucune gêne, elle est venue vers nous et à ma grande surprise m’a donné à sentir sa culotte qui manifestement devait être de la journée. J’étais à la merci de ces deux surs qui avaient vraiment l’air d’aimer le sexe. J’étais en train de me dire que si je subissais leurs assauts quotidiennement durant mon séjour, il se pourrait fortement que ce ne soit pas le boulot qui m’épuise le plus. Pour l’instant, j’étais en train de me faire pomper le dard par Marie, qui me l’aurait volontiers mangé et sa sur m’avait collé sa culotte souillée sur le nez en guise d’aphrodisiaque olfactif.

Il n’y a pas à dire Marie et Kristiana avaient un sens de l’accueil très développé pour les Européens. Bien évidemment, avec un tel traitement, je n’ai pas été bien long à prendre mon pied. J’étais sur le point de crier tellement c’était bon au moment où tu partais dans la bouche de Marie, mais sa sur est venue étouffer mes cris en m’embrassant. Tout comme sa sur quelques heures auparavant, Marie n’a pas gaspillé une goutte de ma liqueur, j’étais en train de découvrir où se trouvait le septième ciel. Une fois le sexe bien nettoyé, ma partenaire est venue m’embrasser en écartant sa sur. C’était amusant car nous avions beaucoup de mal à nous comprendre dans la vie de tous les jours, mais pour le sexe, il y avait une langue internationale sans aucun doute. Voilà comment ce soir-là je me suis endormi épuisé, le sexe vidé, les narines aux odeurs de minou et la bouche avec un petit goût de sperme. Quand vous conjuguez travail sous le cagnard plus Folies sexuelles à la maison, je peux vous garantir que vous n’êtes pas bien long à vous endormir.

Bien évidemment, vous vous en doutez, j’ai fait des rêves très érotiques avec comme héroïnes, les deux surs. A ma grande surprise, à mon réveil, c’est Caroline qui était là pour me réveiller tout en douceur ; elle était vraiment comme une mère pour moi. Vu la chaleur de la nuit, nous n’avions pas de couverture, seul un drap me recouvrait, il était plus protecteur qu’autre chose.

— Alors comme ça tu as une grosse érection le matin.

— Tu as vraiment dû faire des beaux rêves.

Je ne savais plus où me mettre car ce drap léger mettait bien en valeur la taille de mon sexe en érection. Allez expliquer à une femme de l’âge de votre mère que ce n’est que physiologique. Son regard venait de changer et moi j’étais rouge de honte. J’ai complètement perdu la face quand Caroline se mit à m’embrasser tout en saisissant mon sexe à travers le drap.

Vous aurez la suite dans le prochain chapitre si ce premier vous a plu, n’hésitez pas à me le faire savoir.

Bisous à vous.

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