Mon nom est Sophie. En plus d’être danseuse nue, je fais du porno hard. Et j’aime ça!

La première que je me suis présentée, le type il m’a demandé de me mettre à poil, puis de faire la salope devant lui. Il m’a demandé tout de suite: " t’es au courant, j’espère… Maintenant pour vendre il faut de l’anal. Montre voir ton cul ?. Pas gêné, le mec, il me rentre deux doigts, tourne bien pour me dilater le cul et dit ; " Ouais, pas mal, t’en as déjà pris des grosses dans ton cul ? Et à sec ? Et des doubles? C’est pas de ma faute, c’est ça qu’il faut faire maintenant…Il appelle un type dans la pièce d’à côté. Le type rapplique. Un beau mec, calme, dans un beau costume de maquereau. " T’as une minute ? J’aimerais que tu fasses un petit essai avec la petite nouvelle, là. Tu sais quoi faire "

Le type s’approcha de moi, me prit la raite à deux mains et me força à lécher sa braguette. Je sentis cette braguette se gonfler instantanément. Il baissa le zip brusquement. La queue sorti brusquement et me voilà avec cet énorme truc dans la bouche. Alors il me dit : " Crache-lui dessus, crache sur ma queue en la secouant, enfonce -la dans ta gorge, comme ça, voilà. Regarde comme elle belle pleine de bave maintenant "

C’est sûr, il pouvait être fier, une très belle queue, bien luisante de salive… Je me pris au jeu et commençai à lui lécher les couilles par en dessous, ce qui l’excita visiblement. Sa queue frétillait, et il ne put s’empêcher de se branler pendant qu’avec ma petite langue j’humectais ses couilles bien sphériques.

Le Boss coupa court : " Allez, maintenant tu lui défonces le cul, pour voir… j’ai hâte de voir si ça rentre. Ces petites, elles sont toutes jeunes, on va quand-même pas les défoncer comme des vieilles putes!…

Le mec qui tenait sa grosse queue brandie hors de sa braguette me fit signe de me mettre à quatre pattes par terre, les fesses bien tendues vers le haut. Ce qu’il fit alors me déconcerta au début, puis me troubla profondément. Il me considéra vraiment comme un objet. Il me mit le médium de la main droite dans le cul, tranquillement, puis le pouce de la main gauche, puis il agrandit lentement le trou, puis cracha plusieurs fois dedans avec vulgarité. Il présenta ensuite son énorme gland à l’entrée et poussa ; je me sentis forcée comme jamais, et reconnus mentalement la forme du gland que je venais d’enduire de ma bave.

Il força par petits coups, puis se recula et dit : "Non, je vais la déchirer, ce n’est pas possible, je préfère travailler avec des plus vieilles, qui ont le cul bien élargi… "

  Alors je me dis : Sophie, tu veux le poste? Alors, fais-le. Rentre-toi cet engin dans le cul sans frémir. Et Brusquement, je me jette sur la queue, lui crache dessus plusieurs fois, puis la rentre dans ma chatte bien mouillée. Ensuite je me rentre violemment trois doigts dans le cul, pour bien me dilater, et quand le travail est fait, je fais ma chienne, montre mon cul bien ouvert et ordonne au type : vas-y maintenant.

Tout excité par le spectacle, le patron avait aussi sorti sa queue et se branlait à mort. Le gland, encore plus gros se présenta à nouveau devant mon trou élargi et s’y engouffra d’un coup sur toute sa longueur.

Certes, mon copain m’enculait de temps à autre, et je m’envoyais de temps en temps un god ou deux. Mais un pareil membre entre mes fesses, Jamais! Il était très large et très long et très chaud et il me labourait maintenant tant et plus.

  Et me voilà maintenant avec en plus la queue du patron dans la bouche… Plus petite, mais pas désagréable sous la langue. Le gars derrière, commence à y prendre goût. Je sens sa queue qui frétille dans mon cul. A croire qu’il apprécie maintenant les culs un peu serrés, non? Poliment, il demande à son patron" Je jouis où? " C’est peut-être à moi qu’il devrait le demander, non? Mais, non, c’est le patron qui décide!

Et le patron a décidé que ce serait la totale. Il allait donc lâcher le contenu de ses énormes couilles dans mon cul. Bien contente, à vrai dire. Comme un pro, le mec accéléra le rythme, puis gicla, gicla et gicla encore à l’entrée de mon cul, au fond de mon cul, à mi-parcours. Et le patron, le salaud, c’était sans doute sa signature d’embauche, il dégorgea sans la moindre gêne sur ma langue. Je sentis le sperme dégouliner hors de mon cul et de ma bouche. Je ne pus m’empêcher d’aller chercher un peu de sperme qui coulait entre mes fesses, de le mélanger avec celui qui sortait de ma bouche, et de me frotter la chatte violemment avec ce mélange délicieusement gluant .Entre mes fesses, une langue féminine, sortie d’on ne sait où ( une secrétaire sans doute ) me titillait le trou en léchant le sperme qui s’en écoulait. C’est le moment que je choisis pour leur faire à tous , MA TOTALE À MOI!!! Le me mis sur le dos, au milieu du salon, par terre, et me masturbai frénétiquement jusqu’à ce que de ma chatte brûlante jaillisse une fontaine vers le plafond. Je me tordis de plaisir devant eux pendant un long moment, me barbouillant les fesses et la chatte de leur sperme… La secrétaire, n’y tenant plus avait pris un objet quelconque, un stylo en or je crois, et se l’introduisait nerveusement dans la chatte puis entre les fesses.

Je vis alors arriver toute l’équipe de tournage, la queue à l’air, se précipiter sur moi pendant que l’un deux se saisissait d’une caméra. Je n’avais jamais connu ça. Me voilà avec plein de queues autour de ma bouche.

Ils me rentrent leurs queues dans la bouche, dans la chatte, dans le cul. Ils sont tous jeunes, leurs queues sont bien frétillantes. Je me régale: une m’éjacule sur la joue, pendant qu’une autre se branle entre mes fesses, Je suis pénétrée de partout par des queues, des gods, des objets qui traînent. Il y en a un qui adore mon petit trou rose dégoulinant de foutre, et qui le lèche comme un fou avec sa langue vicieuse. Il a du sperme des autres hommes plein la bouche, mais il a l’air d’aimer ça. Il me lèche mon petit cul comme jamais il ne l’a été. Je sais ce qui l’excite, je connais les hommes, ces petits salauds : ce qui j’excite c’est de voir dégorger du sperme de mon cul, ça lui fait penser que je suis une salope , une garce de m’être laissée remplir le cul de foutre par un inconnu. Et il lèche, me fouille, me rentre toute la langue, je me tortille, je sens qu’il se branle en même temps. Et voilà, je le savais, il décharge en plein sur mon petit trou, il vise bien le salaud, il veut voir son sperme sur mon petit trou, il écarte mes fesses pour voir son foutre descendre dans mon cul, il me lèche à nouveau, se barbouille de son propre sperme. Pour finir, il me rentre deux doigts, puis trois… Qu’est-ce qu’il me fait le salaud ? Il me branle le cul à pleine main, me secoue comme une pute, trempe ses doigts dans le foutre qui remplit mon cul, il tourne sa main dans tous les sens, ça fait des bruits gluants, j’adore, je me sens une vraie PUTE. Le foutre gicle de mon cul, c’est ça qu’il veut voir et entendre le salaud.

je suis tombé sur un malade, il m’écarte le trou à deux mains maintenant, je me sens désirée, violentée, humiliée. J’ADORE! Le salaud revient avec sa langue qu’il enfonce le plus loin qu’il peut. Les autre se branlent et déchargent dans mon cul grand ouvert, et l’autre reçoit du sperme partout, il s’en fout, ce qu’il veut, c’est pénétrer s’il le pouvait sa tête tout entière dans mon cul, Des flots de sperme s’écoulent en moi, m’alourdissent, la langue s’active toujours sur les parois à vif, je vais jouir, je jouis à nouveau inondant la bouche béante de celui qui me léchait la chatte pendant tout ce temps. Enfin, je m’évanouis. Virilo ( la suite dans"en chaleur 8 ")

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