Encore apparemment très jeune et inexpérimenté, pendant plusieurs minutes et pour mon plus grand plaisir, l’animal enchaîne les pointages et les brèves pénétrations…..quand sur une nouvelle tentative réussie……. il donne un fort coup de reins et m’enfile à fond!

Malgré la préparation précédente c’est sur le coup assez douloureux, mais en m’efforçant de gérer mon stress, je passe assez vite ce cap difficile et la baise commence.

Son pénis à peine introduit, le chien resserre encore l’étreinte, se colle littéralement à moi et commence à me piner furieusement.

Je n’aime pas trop cette phase de baise frénétique du début, car elle est un peu trop brutale à mon goût, mais très vite ça se calme et le pénis se met à enfler.

Au repos déjà l’animal m’avait semblé plutôt bien monté, mais ce n’était rien en comparaison du volume que son membre est en train de prendre. Sous les afflux de sang il gonfle sans cesse, et ma rosette de plus en plus fortement sollicitée, forcée, étirée, dilatée commence à envoyer des s.o.s, quand par chance l’expansion cesse brusquement.

J’avais un peu oublié les sensations si particulières que procure un pénis canin une fois introduit dans l’anus, sa présence à la fois chaude, douce et agressive, son gonflement, sa masse importante en pleine érection, oui j’avais oublié tout ça……..mais qu’est ce que c’est bon! Oui c’est bon cette bite puissamment plantée comme un coin entre mes fesses, et qui m’ouvre si largement que j’ai l’impression d’être fendu en deux. Quand je pense à l’autre bidon qui n’a même pas été foutu de me pénétrer, ça ne fait que décupler mon plaisir présent et s’il y a un bon dieu pour les petites salopes, nul doute qu’aujourd’hui il s’est tout spécialement penché sur mon cas!

Après un bref instant d’immobilité comme pour s’assurer qu’il a bien atteint son objectif, le pénis de l’animal se remet en mouvement, commence à gicler avec force et me bourre littéralement le cul de son imposante masse .

Il fait chaud, très chaud, la tête me tourne, ,je transpire, le chien halète bruyamment, me mouille de sa bave, me remplit de son foutre, je suis trempé de partout, je dégouline, et dans la moiteur gluante de mon entre fesses, la rosette largement dilatée tète avidement la bite en produisant des bruits mouillés……c’est une ivresse totale et terriblement jouissive que seul un chien peut donner, grâce dès le début à l’abondance de ses éjaculations. Le sperme comme lubrifiant naturel ça vaut tous les gels du monde…… et puis c’est chaud, onctueux…… et puis ces bruits entre mes fesses…………. Oui ces bruits, ces chuintements qui accompagnent le va et viens………..c’est un plus de folie!

Je suis ivre d’odeurs, de bruits, de sensations infernales, mais ça ne doit pas pour autant me faire oublier le délicat problème du noeud…….. je me suis déjà fait verrouiller à de nombreuses reprises et j’en ai tirer chaque fois de formidables jouissances, mais là dans ces circonstances et avec un animal dont j’ignore tout des réactions, c’est le genre de truc à éviter absolument.

Sur mes gardes, j’essaie à chaque coup de reins de contrôler au mieux la profondeur de pénétration, mais quand on a un petit cul déjà bien chaud et fortement mobilisé, il est assez difficile d’analyser tous les ressentis et…………d’un coup ça fait comme un "plop" dans mon derrière, l’anus s’ouvre en grand et se referme sur la partie plus fine du lien!

Merde il est entré! brutalement redescendu sur terre, je sais qu’il faut que je m’en débarrasse avant qu’il ne gonfle trop! Un rapide mouvement de retrait de ma part et ça un nouveau "plop" entre mes fesses mais un nouveau "plop" passablement douloureux celui là.

Prise à contre sens et vraiment in extremis, la rosette s’est ouverte en grand pour expulser l’intrus, qui aussitôt ressorti et en fort appui sur elle, se met à enfler rapidement.

Là aussi…. ouf! il était temps!

Dans le danger écarté et la douleur qui s’estompe, je peux maintenant me laisser aller, malmener, piner, baiser comme j’aime…… entre mes fesses gluantes à souhait le gros mandrin s’active et le noeud servant de garde, s’enfonce profondément….. " oui le chien c’est bon! tu vas me faire jouir! continues! "

Se faire prendre comme ça en plein jour, en plein soleil, malgré les griffures et la dureté du sol….. c’est démentiel, bestial à souhait !…… je suis une femelle qui se fait monter et remplir copieusement d’une semence épaisse et brûlante, une femelle pleine de son mâle, un mâle qui ………..brusquement s’immobilise et se retire!

Sorti d’un trait, le pénis libère une forte quantité de jute qui me dégouline dans l’entre cuisses…… le chien me lèche…… s’éloigne un peu, semble hésiter, fait volte face, revient vers moi et d’un mouvement brusque me monte à nouveau.

Solidement ceinturé je me fais encore taper les fesses à plusieurs reprises, puis cette fois en pleine expansion…. sa bite trouve la faille et me fait littéralement exploser la rondelle!

Arquebouté , tendu comme un arc, l’animal redouble de vigueur et me baise si fort que le souffle me manque, ça gicle dans mon ventre, ça gicle presque en continu, c’est chaud, c’est bon et aussi bien physiquement que mentalement…… cette fois je jouis!

" Vas y le chien baises moi, ça fait un peu mal mais vas y c’est trop bon! défonces moi! brutalises moi! je ne suis plus là dans cette nature sauvage qu’une petite salope en chaleurs…. vas y fort! "

Aussi imprévisible que trop souvent brève, la phase active dans le coït canin ne dure en général que peu de temps, c’est violent, très intense, mais malheureusement court! et ……..au moment précis où je suis sur le point d’atteindre des sommets de jouissance………… grosse frustration…….. il se retire à nouveau!

Maculée, dégoulinante de sperme, ma rosette béante se trouve pour la seconde fois brusquement abandonnée au plus fort de l’action, et mon désir exacerbé ne peut pas admettre une fin si rapide.

" Reviens le chien, reviens s’il te plaît, reprends moi, baises moi encore, j’ai vraiment trop envie………" mais malgré mes supplications et mes attitudes provocantes rien n’y fait, et après quelques lêchouilles qui me laissent espérer une nouvelle reprise………..mon baiseur me plante là et se perd dans la végétation.

Les cuisses griffées, l’anus ouvert, brusquement stopé en pleine ascension j’ai les nerfs à vif, je tremble de tout mon corps, et tandis que de longs filets du sperme s’écoule de mon ventre, seul accroupi dans un cercle d’herbes foulées……. je me masturbe.

Je viens de jouir et rien pour m’essuyer, je suis foutré de partout, ça coule, ça colle, il y a bien du papier essuie tout dans la voiture mais là rien et je peux quand même pas retourner sur la route les fesses à l’air…… seule solution: retrouver ma culotte et la remettre, mais j’étais tellement excité tout à l’heure que je l’ai carrément balancée et je ne sais même plus dans quelle direction!

Tandis que je la cherche des yeux, je vois de nouveau les herbes s’agiter……. le chien est de retour!

Sa bite encore en érection m’apparaît alors en son entier et c’est vraiment un beau morceau! Violacée, épaisse et massive, avec un noeud de la taille d’une grosse mandarine, elle pend lourdement entre ses pattes arrières et agitée de soubresauts semble vouloir reprendre du service, mais pour moi c’est terminé, j’ai joui, je n’ai plus aucune envie d’elle, et la culotte enfin retrouvée, je la renfile non sans un certain dégoût sur mon petit cul tout collant et me dirige vers la route.

D’abord décontenancé, le chien m’emboite le pas en me faisant nettement comprendre son intention de me la remettre bien au chaud.

Son insistance est telle que je ne sais vraiment pas comment m’en débarrasser, il se jette dans mes jambes, me barre la route et j’ai beau le repousser fermement….. rien ne le décourage!

Son attitude commence à sérieusement m’énerver car je n’ai plus qu’une hâte: Arriver à la voiture, retirer mon short souillé, m’essuyer et enfiler à la place la combinaison de travail qui est en permanence dans le coffre avant de rentrer à la maison pour y faire une toilette poussée, et soigner mes griffures.

Toujours personne en vue, mais si dans le sens d’où je viens c’est longue ligne droite bien dégagée, dans l’autre sens la route fait un virage proche d’un cinquantaine de mètres et je risque de me faire surprendre pendant que je suis en train de me changer.

Je pense un instant à retourner dans les herbes pour le faire, mais je suis tellement pressé de partir que pour m’abriter pendant cette opération, j’ouvre en grand les deux portières qui donnent sur le bas côté et me place entre les deux.

Le chien d’abord me regarde faire, puis……………d’un bond saute sur la banquette arrière et s’y installe!

" – Sors de là sale bête! casses toi je t’ai assez vue! vas t’en laisse moi tranquille! rentre chez toi! "

Plus je l’insulte et le tire par le collier et plus il s’incruste, mais qu’est ce que je vais faire de lui? je ne peux quand même pas attendre là jusqu’à ce qu’il se décide à partir de lui même!

Une idée alors me vient: Je vais regarder s’il porte une médaille et le débarquer discrètement à proximité de son domicile, seulement voilà…………… une médaille oui mais pas d’adresse, juste un nom et un numéro de tel!

Je ne suis pas plus avancé sauf que je sais maintenant qu’il s’appelle Rouky et que Rouky à l’approche du prochain village………. je vais le feinter en lui faisant croire qu’on va à nouveau baiser, je vais arrêter la voiture, descendre et le faire descendre aussi et……….. je vais le planter là!

D’après ma carte, la prochaine agglomération est à une dizaine de kilomètres et tandis que la poussive "deuch" nous y emmène, du coin de l’oeil dans le rétro j’observe mon encombrant compagnon de route.

La bête est jeune, belle, collante mais gentille et je le sais par expérience très sexe et plutôt bien montée, bien sûr que je n’ai plus envie même s’il m’a laissé grave sur ma faim, mais……………oui pourquoi pas………….dans une heure ou deux…………….à la maison…………oui juste un bon petit coup bien à fond cette fois………..ça ne peut pas me faire de mal et à lui non plus, d’autant qu’il à l’air d’aimer ça le salaud………oui encore un bon petit coup de bite au cul pour finir la journée, et je le ramènerai dans le secteur à la nuit tombée.

Dans ma tête, Rouky passe en un instant du statut d’importun à celui de prisonnier……. prisonnier de mes sombres désirs!

Pendant tout le trajet l’idée de m’enfermer avec lui m’excite tellement, qu’une fois arrivés à la station pour y déposer la voiture, je suis déjà plus que chaud.

Les étages montés quatre à quatre avec Rouky sur mes talons, je referme la porte sur le théâtre de ce que j’espère être une énorme orgie de sexe.

— " Viens Rouky je vais te donner à boire et la carcasse de poulet qui est dans le frigo, comme ça tu vas retrouver des forces pour être en pleine forme…."

Pendant qu’il se restaure et se désaltère, au lieu de prendre la douche initialement prévue……..je me livre à un petit travail assez particulier, c’est une idée qui m’est venue comma ça brusquement!

Un vieux jean sur les genoux, une paire de ciseaux à la main, j’en découpe le fond largement pour qu’une fois enfilé mes fesses soient largement accessibles et mes jambes bien protégées.

L’ouvrage terminé je retire la salopette, enfile ma nouvelle tenue et le résultat dépasse toutes mes expériences. Habillé sans l’être, mon petit cul très largement offert je m’approche de Rouky qui semble de suite très intéressé.

Ce chien est un véritable obsédé car à peine se rend il compte que j’ai le cul à l’air, qu’en grognant d’excitation il me plante son museau dans la raie.

Malgré l’essuyage de tout à l’heure, l’endroit est encore plein d’odeurs diverses et de traces de sperme et mon compagnon se régale à renifler, puis à lêcher tout ça avec gourmandise.

Encore entr’ouverte et bien qu’un peu tuméfiée, ma rosette n’a rien perdu de sa sensibilité et accueille les coups de langue en frémissant d’un plaisir qui me vrille tout le bas ventre.

Estimant sans doute la toilette suffisante, Rouky dont le bite commence à pointer, abandonne mon derrière et se met à me tourner autour.

Tout comme tout à l’heure dans les herbes, je m’accroupis, me saisis doucement de son membre et sans forcer le fait sortir peu à peu de sa cachette.

A ce stade le bout est encore fin et effilé, mais pour l’avoir vu après la baise précédente, je sais qu’il va devenir tout plat et très massif en pleine érection et j’imagine déjà avec délice, cette radicale transformation en moi avec tout ce que ça comporte d’incomparables et voluptueuses sensations.

Seule une bite de chien peut donner ce plaisir là, un plaisir que je veux maintenant, je la veux cette bite, je la veux!

Déjà ivre de désir, je pose un coussin à terre, m’agenouille au pied du lit et me met en levrette.

Pas besoin d’appeler Rouky ni même de le provoquer….. il est déjà sur moi et me monte!

Le piquage commence, mais contrairement à la première fois il se fait bien dans l’axe, le pénis trouve rapidement le chemin et après avoir brièvement et à plusieurs reprises pénétré l’anus, il reprend possession de ma rosette qui n’oppose aucune résistance et se fait prendre bien à fond.

Pour ne pas revivre la frustration de tout à l’heure, je décide cette fois de ne pas intervenir et lorsqu’après un vigoureux ramonage bien arrosé, le noeud en début de formation se met à exercer une forte pression sur l’anus…….. je laisse faire.

Encore loin de sa pleine expansion mais déjà plus grosse que la bite qui la précède, la boule de chair qui pousse entre mes fesses a du mal à passer et malgré la souplesse de mon anneau qui s’ouvre le plus largement possible pour l’accueillir……. ça bourre à l’entrée!

Rouky ne désarme pas et sur un bon coup de reins, ma rosette encaisse une forte poussée, une brusque dilatation et gobe le noeud!

Comme à chaque fois que mon petit cul subit une pénétration brutale et hors normes, ce n’est pas une douleur que je ressens, mais un choc nerveux aussi bref qu’intense avec au passage comme une décharge de courant à haute tension.

A présent bien calée en arrière de l’anus, la "chose" qui se gorge de sang par accoups, enfle, grossit, dilate, étire les parois, occupe non seulement déjà tout l’espace mais en demande encore d’avantage………..

J’ai beau savoir l’ayant vue en plein développement après notre petit "exercice" de l’après midi qu’elle n’est pas énorme, le fait de la sentir à présent gonfler dans mon ventre c’est à la fois très jouissif, mais aussi comme chaque première fois avec un nouveau partenaire canin………un peu inquiétant.

Tandis que bien bloquée dans le rectum la grosse boule termine son expansion, la bite de Rouky se remet en mouvement et en quelques secondes je jouis comme un malade…………

Avec un homme c’est bon mais là c’est démentiel! les sensations sont énormes quasi indescriptibles……. les bruits, les odeurs………l’étreinte de l’animal pesant de tout son poids sur mon dos, ses halètements, ses gémissements plaintifs, ses effluves de mâle, son gros noeud qui me rempli, sa bite qui me ramone puissamment, les chaudes giclées dans mon ventre, les chuintements de l’anus relâchant déjà un trop plein de sperme, c’est ce que je suis en train de vivre et c’est presque insupportable, presque douloureux tellement c’est bon!

Le gros problème avec un chien même entrainé, c’est que la baise à proprement parlé, si elle comparativement bien plus intense et bien plus jouissive qu’avec un homme, elle ne dure au mieux qu’une poignée de minutes, et lorsqu’après m’avoir carrément écrasé ses couilles sur les fesses et à plusieurs reprises pompé bien à fond, Rouky se met à danser d’une patte sur l’autre…………. je comprend que la phase active est malheureusement déjà terminée et que la manuvre de retournement va commencer.

Bien bloqué par le noeud, le pénis est parfaitement verrouillé dans l’anus, mais il y a toujours le risque d’une sortie accidentelle, et pour avoir vécu ça une fois avec Lobo j’en ai gardé un si douloureux souvenir, que c’est chaque fois pour moi un grand moment d’angoisse, aussi pendant que Rouky tente de m’enjamber……. je serre les fesses de toutes mes forces!

Pendant une fraction de seconde je crains le pire, mais la grosse boule de chair reste prisonnière et fait dans mon derrière une brusque rotation sur 180°.

Ouf ça y est! nous sommes à présent liés cul à cul mais tout danger n’étant pas écarté, des deux mains je saisis Rouky par les pattes arrières et le tiens fermement collé à moi.

Le nez dans les draps, je savoure quelques instant sans bouger les éjaculations qui reprennent, puis comme je le fais toujours, attirant et repoussant doucement mon partenaire à présent passif, je fais aller et venir son membre dans mon petit cul plus que jamais avide de se faire niquer.

Combien de temps va durer le lien je ne sais pas, et toute la difficulté pour moi est de prendre le maximum de plaisir, sans arriver toutefois à la jouissance spontanée avec pour conséquence immédiate de vouloir mettre fin à un accouplement devenu brusquement indésirable.

Voilà pour la théorie mais en pratique les choses sont bien plus difficiles à gérer, d’autant que raison et excitation ne font pas trop bon ménage, et me servant de la bite de Rouky comme d’un gode vivant et crachant, je suis passé sans m’en rendre compte du léger va et vient du début à une hystérie de bite au cul.

Bien qu’un peu malmené Rouky me laisse faire et moi je me défonce tant et si bien, qu’une vague de plaisir plus forte que les autres déclenche un début de spasme orgasmique que je parviens in extremis à contrôler.

L’alerte a été chaude et le plus sage maintenant est de rester tranquille, de laisser faire la nature, de laisser Rouky finir son travail de chien, un travail qui consiste à lâcher sa semence dans un trou chaud et accueillant, d’en mettre le plus possible en y prenant je crois aussi du plaisir, un plaisir qui revient aussi pour moi, car dans une apparente immobilité qui n’est qu’extérieure, dans mon ventre ça bouge, ça tressaute, ça dégorge et comme le bouchon est efficace il n’y a pas grand chose qui ressort.

La jouissance est là aux aguets, elle se nourrit de toute cette activité interne, elle attend son heure et lorsque vingt bonnes minutes plus tard, le noeud se met lentement à dégonfler annonçant la libération imminente, je n’ai que la peine de me toucher légèrement et elle explose!!!

Tandis que j’éjacule abondamment, les fortes contractions de l’anus expulsent le membre qui ressort d’un trait, en libérant tout ce que mon ventre contient de jouissance animale et là………….bonjour le spectacle!

Ce n’est pas une éruption mais un véritable geyser! avec des couilles si modestes je ne sais pas d’où vient tout ce foutre, mais c’est impressionnant!

Le carrelage sous moi est maculé de matière blanchâtre et visqueuse, l’arrière de ce qui reste du jean est poisseux, gluant, je suis épuisé mais heureux, ma rosette aussi est heureuse, heureuse de sa béance, heureuse de sa moiteur foutrée, heureuse d’avoir été pénétrée, défoncée, gavée à deux reprises.

Rouky lui aussi à l’air satisfait et tandis qu’il me fait la rituelle toilette, je me dis qu’au lieu de m’en séparer ce soir comme prévu……….. je pourrais peut être le garder un peu.

Il s’est passé presque un semaine avant que je me décide à le ramener près de son domicile, car avec le numéro de téléphone inscrit sur la médaille, j’avais très vite trouvé l’adresse de ses maîtres, presque une semaine où chaque jour je me promettais de ne pas le garder d’avantage, mais chaque jour où après avoir fait l’amour avec lui avant de nous quitter…………….je repoussais au lendemain !

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