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les fantasmes de Lisa – Chapitre 1




Série : Les fantasmes de Lisa

Retour chez le vieux

Grâce à mon homme, mon retour de laéroport a été léger, presque joyeux, et ma journée a été consacrée à me préparer pour être parfaitement exacte au rendez-vous du vieux Schuller.

Je voulais être très belle et disponible pour satisfaire tous ses caprices. Je pensais à Arnault et à ce quil attendait de moi. « Je vais être très gentille avec lui ce soir. Cest promis mon amour! »

Après-demain soir, avec Alfred, ce sera plus difficile, mais je vais tout faire pour quArnault soit fier et heureux. Je le sais déjà, Alfred sera content, car je serai très gentille avec lui, très gentille, très obéissante, quoi quil me demande, quoi quil exige car un cadeau pour Arnault na pas de prix.

Vêtue dun ensemble de dessous hyper sexy, parées de tous les bijoux que le vieux mavait offerts, chaussée descarpins à talons hauts, jai sonné à la porte de son appartement. Bizarrement, il y avait moins dangoisse en moi, comme si le retour dArnault et ce qui sétait passé mavait libérée dun poids ; je ressentais tout juste une légitime appréhension à lidée davoir à me soumettre encore aux exigences de ce vieillard imaginatif et au corps repoussant.

Il a ouvert la porte de lappartement et ma accueillie, en me baisant la main comme un parfait gentleman. Il portait sa veste dintérieur et son bas de pyjama, comme, lautre jour. Quimporte ! « Entrez, quel plaisir de retrouver ma soumise, ma petite chienne! »

Il ma accompagnée dans le salon et ma servi une coupe de champagne. Je lui ai transmis les remerciements dArnault puis les miens en lui disant que, pour le remercier, jallais tout faire, pendant la soirée, pour lui prouver ma reconnaissance et jai insisté sur le tout par lequel jentendais me livrer à lui et à tous ses désirs sans aucune réserve. Il en fût enchanté. Ses sourires étaient autant de grimaces repoussantes. Jétais en position devant lui et malgré mon regard baissé je percevais parfaitement laspect du personnage qui, même sil avait perdu un peu de poids, demeurait effrayant.

Nous nous sommes ensuite installés sur le canapé et il a allumé la télé : « Je vous ai réservé un petit film, un montage de nos soirées. Vous le remettrez à votre mari, mais dabord, et en apéritif à notre soirée, nous allons le regarder ensemble. Ce film va nous mettre en appétit, nest-ce pas ? Mais dabord, montrez-moi le plug. »

« Oui, monsieur ! »

En pensée, je me suis dit que la soirée sannonçait chaude. Je me suis levée et penchée et ai écarté mes jambes et mes fesses des deux mains pour quil voie le gros plug enfoncé en moi. Il la saisi et fait tourner en moi. Cétait bon. De même, il a joué un peu avec les pinces puis, à sa demande, je me suis assise à ses côtés. Jai porté la coupe à mes lèvres et attendu que le film démarre. Le vieux sest calé tout contre moi et sa main droite est immédiatement partie en exploration. Je lai laissée faire tout ce quelle voulait et me suis concentrée sur le film, jambes suffisamment écartées pour accueillir cette araignée agile.

Le film a démarré : dabord, un diaporama des meilleures photos sur fond de musique baroque, puis après ces photos, le premier film, celui tourné au restaurant, à travers le miroir sans teint. Les images ne sont pas de la meilleure qualité, bien sûr, mais on me voit recevoir et porter les bijoux offerts par le vieux, celui-ci jouer avec ma cheville, avec gros plan sur la fine chaîne qui la pare. On distingue parfaitement sa main araignée remonter sur mon bas, vers mon string, immiscer un doigt sous la dentelle puis sy attarder sans trop me déplaire, à lévidence.

Pour la deuxième scène, je me lève et suis le serveur, je suis installée à genoux sur le coussin et linconnu au gros sexe arrive. Le film sattarde ensuite sur la fellation que je prodigue à cet homme, sur mes réactions lorsque son gros sexe me pénètre, sur ma jouissance et, enfin, sur mon regard lorsque je prends sa queue en bouche pour avaler le sperme et la lécher.

En regardant cette scène, jai commencé à ressentir une violente excitation. Il faut dire que la main du vieux sen donnait à cur joie. Ses doigts en griffes se promenaient librement sur les lèvres de mon sexe orné des deux pinces.

Je me suis installée en mefforçant décarter mes jambes autant que possible. La main froide du vieux a pris possession de ma fente pour sy amuser et sy incruster.

Dans la troisième scène, on voit le vieux jouer avec moi, mhumilier, me traiter comme une chienne, faire de moi tout ce quil veut. On me voit me livrer entièrement à lui. Cette scène produit vraiment un effet érotique puissant, dévastateur. Un remake hard de la Belle et la Bête, en quelque sorte !

Au même moment, la main du vieux a commencé à déclencher en moi un violent désir daller plus loin, moi aussi, et mes doigts se sont portés au niveau de la braguette de son pyjama.

Au contact de mes doigts fureteurs, il a soulevé son bassin pour moffrir son bas ventre et ma main sest glissée dans louverture du tissu et a exploré lespace ainsi offert puis mes doigts ont attrapé le membre flasque, tout en douceur. Le film a continué, faisant monter lexcitation.

Il a fini par suspendre le film et je lai aidé à se déshabiller entièrement. Mes mains sont parties explorer son corps, du moins tout ce quil métait possible de toucher, de caresser, tant jétais excitée par ce film torride. Javais hâte de le regarder et de le savourer avec Arnault.

Je jouais, en attendant, avec la queue à demi érigée que moffrait le vieux, avec ses couilles velues, ses cuisses écartées, son bas ventre.

Il a pris mes cheveux et a attiré ma tête vers son bas ventre et pour répondre à sa demande, et à la commande dArnault, pour bien me faire plaisir aussi et jouir à fond de la situation, je dois ladmettre, car faire ça avec ce vieux mexcitait de manière incroyable, jai tout fait pour le rendre fou de désir et de plaisir. Après lavoir aidé à sinstaller confortablement à laide des deux poufs marocains et des coussins, jai fait tout ce quil a exigé, tout ce quil aime, longuement, et je lavoue, jai été bien plus salope encore que dans le film car je ne jouais plus du tout la comédie, je tenais vraiment à satisfaire cet homme en me livrant totalement à lui et, surmontant mes derniers dégoûts, jai léché chaque centimètre de sa peau, tous les plis, tous les replis, sa muqueuse anale où ma langue sest longuement mise à frétiller jusquà le faire gémir et à me déclencher des douleurs de la mâchoire.

A la fin, le moment venu, il a joui dans ma bouche et le regardant les yeux dans les yeux, jai pris tout mon temps pour avaler le sperme, jouer avec son sexe, le nettoyer de la langue et de la bouche, ramasser les dernières gouttes de mon index, sucer mon doigt dun air gourmand.

En faisant cela, je lai rendu fou de plaisir, je lai mesuré à son regard. Javais rempli mon contrat. Je pourrai le dire à Arnault et savourer, avec lui, ce bonheur de lui avoir obéi et notre était dexcitation.

Ensuite, le vieux Schuller ma demandé de laider à se rendre dans la salle de bain. Là, il a exigé de moi que je lave son sexe au dessus du lavabo et je lai fait avec application, le nettoyant à fond, prenant mon temps, la main enduite de savon, en lents aller et retour, puis je lai rincé et délicatement essuyé avec une serviette disposée à cet effet. Malgré mes attentions expertes, son membre demeurait flasque, désespérément.

« Mettez-vous à genoux, ma chère ; jentend pisser dans votre bouche ! Avez-vous déjà fait cela ? »

« Non, monsieur ! »

« Parfait, alors, ce sera donc une première mémorable. Vous allez avaler et apprécier ce nectar! »

Jétais à lui et il pouvait tout exiger, tout, je dis bien tout ! Je lavais promis à Arnault. Encore une limite à dépasser ? Pourquoi pas après tout ! Cest bien ça que je recherche, non ?

En réalité, à cet instant là, je nétais même pas surprise, même pas effrayée, même pas envahie de dégoût, un peu comme si je my attendais, comme si cette demande se situait dans la logique des choses.

Jai simplement répondu, dun ton calme : « Oui, monsieur ! » et je mesurais que jallais avoir la possibilité daller encore plus loin, de me dépasser, de dépasser encore tout ce que je croyais capable de faire pour faire plaisir à un homme et bizarrement, je me sentais forte. Un sentiment incroyable sétait emparé de moi!

Je me suis donc mise à genoux devant lui, comme il la exigé. Il a attrapé son sexe de deux doigts pour le glisser entre mes lèvres, après avoir soigneusement décalotté son gland violacé. Jétais étrangement calme, détendue, impatiente de voir comment jallais réagir à cette expérience insolite.

Le gland, la chair flasque et fraîche du membre sont venus se poser sur ma langue. Jétais très excitée, sexuellement et intellectuellement et quelques instants plus tard, le liquide tiède et salé a envahi ma bouche refermée sur ce membre. Cétait surprenant ! Jai dégluti à plusieurs reprises pour avaler le liquide tiède de mon mieux mais une partie est sortie de ma bouche pour couler sur mon torse et mon ventre, puis le jet sest tari et seules quelques gouttes venaient encore se répandre sur ma langue.

Il sest retiré, puis a réintroduit son sexe dans ma bouche pour, selon son désir, que je le lave en le léchant. Je me suis acquittée de cette tâche en ressentant, je dois lavouer, une immense excitation.

De fait, ma main par réflexe, sétait calée sur ma vulve et mon doigt titillait mon clitoris. Je gémissais de plaisir. Je men suis rendue compte à ce moment précis.

« Debout, ma chère, il faut bien que je moccupe un peu de vous ! » Il ma tendu une serviette de toilette.

Je me suis essuyé la poitrine puis il ma emmené sur son lit, my a fait allonger à plat ventre, mes genoux posés sur la descente de lit. De la tapette en cuir, il a entrepris de me corriger méthodiquement, déclenchant en moi une douleur mêlée de plaisir. Je frétillais au rythme des coups quil me portait. Jadorais tellement cela que jai décidé den offrir une à Arnault pour quil profite un peu de mon goût pour la fessée et plus particulièrement pour cet instrument dont la simple vue me fait mouiller.

Lorsque la correction a été terminée, le vieux Schuller ma demandé de me mettre sur le dos, lui-même se mettant difficilement à genoux entre mes jambes largement ouvertes et remontées, puis il a entrepris de lécher mon sexe, mon anus, de me pénétrer le sexe et lanus de ses doigts boudinés pour finalement mamener à un plaisir inouï sur fond dacceptation de ce que je suis vraiment, dabandon total. Mes fesses étaient en feu. Javais mal, mais cétait trop bon. Jai joui comme rarement, comme une folle. Javais été capable de boire son urine et dy trouver une forme de plaisir. Jétais fière de moi !

Une question me vint à lesprit : Où se trouvent, finalement, mes limites ? Où et quand vais-je les trouver ? Ai-je même des limites ? Cette perspective, je lavoue, ma effrayée puis grâce à la jouissance, je me suis assoupie.

La suite de la soirée a été plus calme mais il a voulu que je lembrasse longuement avant mon départ puis il ma remercié avant de me confirmer le rendez-vous du surlendemain, de 15h à 17h, chez Alfred.

Avant de refermer la porte de son appartement, il ma remis un petit paquet contenant plusieurs DVD à regarder sans modération, selon lui : des DVD contenant les films de nos petites soirées et dautres sur des pratiques diverses et destinées, selon ses termes, à mon édification personnelle.

« Alfred, » ma-t-il indiqué, « a pour recommandation de vous corriger très sévèrement avec son martinet : trente coups pour lui, trente pour moi, autant pour votre époux et quelques uns de plus, selon votre désir et votre endurance, pour satisfaire votre appétit personnel. Ensuite, il disposera de vous, comme il lentend, pour satisfaire ses envies mais sans cependant pouvoir vous corriger encore. »

-« Cest daccord ? »

« Oui, monsieur, selon vous, comment dois-je mhabiller pour lui faire plaisir ? »

-« En bourgeoise, ce sera parfait ! Je le connais, il va adorer soccuper du dressage dune petite bourgeoise élégante. Vous vous y rendrez en taxi, voici son adresse. La course sera payée et le taxi vous reprendra devant chez Alfred à lissue de la séance. Ah oui, la soirée sera filmée et dans quelques jours vous aurez le film à votre disposition. » Tout était impeccablement prévu.

« Ah, LARDOIS vous attend, soyez éblouissante ! Remisez ces DVD chez vous et allez le rejoindre le plus vite possible pour faire tout ce quil exigera de vous. »

« Oui, monsieur, jy vais ! »

Jétais presque nue sur le palier, juste devant sa porte. Il ma demandé de me retourner vers lui. Je lai fait, malgré la crainte de voir surgir quelquun, pour le remercier encore avant de monter dans lascenseur. Je suis entrée chez moi, pour déposer les DVD et le plug, jai retiré les pinces (à suivre)

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