Yasmina, la belle quadragénaire, se regardait au travers de ses longs cheveux châtains répandus sur son visage, dans le miroir mural sur sa droite.

Elle se découvrit, nue comme un ver, à quatre pattes au milieu de son grand lit.

Dans le reflet du miroir, Yasmina, en position de levrette qu’on ne pouvait plus suggestive et provocante d’érotisme, semblait encaisser des coups car tout son corps bougeait d’avant en arrière, à un rythme régulier.

Effectivement, des coups venaient de derrière elle; des petits chocs qui faisaient danser ses seins bien lourds et pendants, comme des balançoires.

Notre jolie dame s’efforçait de ne pas gémir trop fort, mais clairement avait du mal, car elle était si bien.

Elle était si bien de recevoir des coups de reins venant du jeune homme placé derrière son beau cul.

Des coups de reins associés à un outil fabuleux, un braquemart épais et dur.

Elle se regardait encaisser ces coups de butoir qui lui donnaient tant de plaisir.

Elle n’en pouvait presque plus, elle allait atteindre son orgasme tellement le jeune homme la pilonnait bien.

Elle se mit alors sur ses coudes et reposa son visage sur ses mains qui s’agrippaient désormais au drap du grand lit parental.

Elle était prête à recevoir les ultimes attaques du jeune homme qui allait l’achever.

Mais ce jeune homme n’était pas n’importe qui, c’était son jeune hommeson propre fils !

S’il fallait raconter cette histoire depuis son commencement, il aurait fallu remonter à 2 semaines auparavant.

C’était un jour d’été trop chaud, avec une atmosphère très pesante et lourde, qui ne donnait envie à personne d’aller s’aventurer dehors, surtout quand on habitait dans une maison loin de tout.

Et c’était le cas de Yasmina, son mari et leur fils unique Paul.

Paul, le jeune plein d’énergie, s’ennuyait à mourir car la plupart de ses amis du village étaient partis en vacances.

Son scooter étant en panne, ce qui l’empêchait de sortir, et en absence souvent répétée de son père, le seul de la maison à savoir conduire, Paul passait les premières semaines de cet été à ne rien faire.

Et comme tout jeune homme de 17 ans au mieux de sa forme sexuelle, ses sens étaient éveillés et aussi il chercha par tous les moyens de les calmer.

Et cela passait, depuis quelques temps maintenant, par une séance de masturbation quotidienne.

Torse nu et en caleçon uniquement, il s’étalait au milieu de son lit et alluma son ordinateur portable avec sa connexion WIFI.

Ses recherches étaient bien sûr sur des images et des histoires cochonnes, mettant en scènes des jeunes adolescentes.

Ce qu’il aimait par-dessus de tout, c’étaient ces minettes à forte poitrine et avec un joli minou, en somme des filles toutes fraîches.

Il tomba rapidement sur les photos d’une adolescente avec une belle poitrine opulente et un sexe presque imberbe.

Le visage de la jeune lui était familier car elle était en quelque sorte une starlette du net, une reine du cybersexe, et notre jeune homme en était fan.

Paul était ravi de trouver des nouvelles photos de cette starlette, dans des poses les plus suggestives et lascives les unes que les autres.

Le jeune homme ne tardait à bander dur. Il se sentit à l’étroit dans son caleçon.

Il voulut libérer son sexe et surtout pour se soulager.

Mais soudain la porte de chambre s’ouvrit lentement.

— Paul ? Je passe te déposer tes vêtements propres

C’était Yasmina, avec un gros tas de vêtements pliés dans ses bras, qui dépassait sa tête et lui cachait le visage.

Le fils s’empressa de ranger son sexe dans le caleçon, mais dans la précipitation, ne pouvait alors pas éteindre son ordinateur portable qui gisait au milieu du lit.

Yasmina entra, et se dirigea directement vers le lit de son fils.

— Bonjour mon garçon. Tiens, tes affaires. Alors ? Pas trop chaud dans ta chambre ? Demanda-t-elle tout en se débarrassant de la montagne de vêtements qu’elle avait dans ses bras.

— Oh, je vois que tu as chaud aussi Dit-elle uns fois sa vision dégagée et constata que son fils était torse nu.

— Oui M’man, il fait une de ces chaleurs Merci pour les vêtements, mais j’aurai pu venir les chercher.

— C’est cela, depuis le début des vacances, je ne t’ai pas beaucoup vu, soit tu sortais, soit tu te cachais dans la chambre pour surfer D’ailleurs, qu’est-ce qu’il y a de si intéressant ? Tu joues en ligne ou quoi ?

En disant cela, Yasmina lorgna sur l’écran de l’ordinateur de son fils, et tomba sur une photo porno en plein affichage.

— Ah, je vois Mais bon, ne t’abîme pas la santé en veillant trop tard la nuit à regarder ces cochonneries

Paul, ultra gêné, devint tout rouge et ne sut pas quoi répondre.

— M’man !! Protesta-t-il néanmoins.

Yasmina remarqua dans quel embarras son fils était et ne put s’empêcher de pouffer.

— Bon, Je te laisse et excuse-moi de t’avoir dérangé. N’oublie pas de descendre dîner ce soir.

— Oui maman répondit Paul avec soulagement car enfin sa mère lui tourna le dos.

Yasmina quitta la chambre mais avant de fermer la porte derrière elle, elle lui glissa :

— En tout cas, tu as très bon goût mon chéri, la fille sur la photo est un vrai canon.

— Maman ! Laisse-moi maintenant.

— Bon, bon, à vos ordres monsieur.

En refermant la porte, Yasmina pensa soudain que son garçon n’en était plus vraiment un, à voir la grosse bosse qui s’était formée sous le caleçon.

Elle se dit aussi qu’elle aurait dû bien regarder, mais il lui semblait que son sexe, était vraiment gros, comparé à celui de son mari.

Mais elle eut tout de suite honte d’avoir de telle pensée et s’éloigna rapidement de la chambre de son fils.

Paul de son côté, était toujours troublé par cette irruption soudaine de sa mère dans son moment d’intimité.

Mais il éprouvait curieusement une certaine excitation.

Il avait croisé les yeux de sa mère en train de mater la bosse qui s’était formée dans son caleçon.

Il semblait y trouver dans son regard, une certaine admiration, voire de l’envie.

Mais il se dit qu’il s’était sûrement trompé car une femme comme sa mère n’était pas une salope.

— Oui, la salope c’est celle de l’écran, se disait-il en astiquant son sexe directement dans son caleçon

Le soir, Paul descendit prendre son dîner, et comme presque toujours, son père rentrera bien plus tard.

Mais mère et fils avaient l’habitude depuis longtemps et dînèrent tous deux dans une ambiance détendue en dépit de l’incident de la journée.

Paul avait remarqué un soudain changement chez sa mère.

On aurait que quelque chose avait changé.

En tout cas, Paul la trouva plus belle que d’habitude avec ses cheveux longs relevés, dévoilant sa nuque lisse et sensuelle.

En promenant son regard sur le corps de sa mère, il marqua un arrêt sur le joli décolleté qui mettait en valeur la poitrine de Yasmina.

Elle n’en avait pas une de très opulente mais c’était tout de même de très bonne taille.

— Mais qu’est-ce que tu as à me regarder comme ça mon chéri ? Remarqua la mère le regard insistant de son enfant.

— Ben non, je te regarde normalement maman

Paul trouva un sujet de conversation pour cacher la légère gêne qu’il éprouvait.

— Et pourquoi je la mate comme ça moi Arrête tes conneries Paul, termine ton dîner et branle-toi un bon coup, ça va passer se disait-il.

Mais le trouble persista et le jeune homme, malgré ses efforts, ne rata pas une occasion pour regarder dans le décolleté de sa mère.

Au moment de la vaisselle, il resta longuement admirer cette fois-ci le derrière de sa mère, qu’il trouva soudain très appétissant également.

C’était un cul plutôt bien menu, avec une belle forme de poire, bien qu’un peu large aux goûts du fiston.

Mais il allait très bien avec les jambes longues et fuselées de Yasmina, qui avait une belle peau fine, lisse et mate.

Ce n’était pas la première fois que Yasmina portait des shorts, mais celui d’aujourd’hui était particulièrement fin et moulant.

Yasmina qui faisait la vaisselle, savait pour les regards insistants de son fils.

Elle prit soudain un malin plaisir à pimenter la situation, en lui demandant de s’approcher et de l’aider à essuyer la vaisselle.

— Mais depuis quand c’est mon boulot ça ! M’man, protesta Paul

— Comment ça ? Tu es grand maintenant tu sais, et à partir d’aujourd’hui, tu dois m’aider un peu plus dans les tâches ménagères.

— Oh non !! S’il te plaît…

— Ben si, comme ça tu ne passeras pas ta journée dans ta chambre devant ton ordinateur Tu sais, quand ton père n’est pas là, j’aimerais que tu sois l’homme de la maison.

En disant cela, Yasmina sentit soudain une bouffée de chaleur et surtout un fourmillement entre ses jambes.

— Mais qu’est-ce qui me prend de parler comme ça l’homme de la maison

Yasmina était troublée car elle trouvait que ses paroles pouvaient sous-entendre quelque chose de perverse

Mais Paul ne remarqua rien d’anormal dans les paroles de sa mère et vint l’aider à essuyer la vaisselle.

Il se mit à côté de sa mère, sur sa droite.

Comme il était plus grand, d’emblée il avait une vue plongeante dans le décolleté de sa maman.

Il vit distinctement le haut de la poitrine de sa mère.

C’était une bonne paire de seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelles blanches.

Il dévora cette belle poitrine des yeux, et remplit sa tête de ces belles images de monts blancs, avec le sillon profond et mystérieux.

L’armature du soutien-gorge formait une coque assez rigide, et de ce fait, n’épousait pas au mieux la forme des seins de Yasmina.

Par moment donc, selon les mouvements qu’elle faisait, les bonnets se décollaient, n’épousant plus au mieux les formes de la poitrine et ainsi ses seins se dévoilaient un peu.

Paul était alerté par cette situation; il attendait donc patiemment le moment propice pour lorgner.

Puis vint ce moment magique, le sein gauche de Yasmina apparut dans toute sa splendeur.

On dirait un petit oiseau dans son nid, fragile, prêt à être accueilli par une main chaleureuse et rassurante.

Paul qui avait l’habitude de regarder des seins siliconés et dressés, découvrit alors la beauté d’un sein naturel.

C’était un sein avec un lobe de bonne taille, blanc et à la peau lisse.

Ce qui fait immédiatement de l’effet au rejeton, était la pointe du sein, avec une large auréole rose pâle et surtout avec un téton assez gros, de couleur rose foncé, presque dur on aurait pu dire.

Paul fut hypnotisé sur le champ; il ne quitta plus son regard de ce sein si aguichant.

Ce fut finalement Yasmina qui le rappela à l’ordre.

— T’as pas encore fini avec la vaisselle, et qu’est-ce que tu regardes encore comme ça Oh, le petit coquin !

— Mais mais je n’ai pas fait exprès pardon m’man.

— C’est bon, ce n’est pas grave, je trouve ça normal finalement que tu aies envie de voir un vrai sein plutôt qu’un sein sur papier ou sur internet Après tout, tu m’as déjà vue en mono bikini non ? Bon, je vais me coucher, et toi, ne surfe pas trop ce soir, d’accord ?

— Oui maman, bonne nuit.

Yasmina fit une bise sur la joue brûlante de son rejeton et monta dans sa chambre.

Lorsque Paul monta à son tour dans sa chambre, la première chose qu’il fit, fut de se masturber.

Contrairement à ses habitudes, il délaissa sa jeune star du net

Il n’en avait point besoin car il pensait aux images du sein nu de sa mère.

Paul eut beaucoup de mal à dormir cette nuit.

Il surfa longuement sur le web, mais au lieu de chercher des images de jeune fille, il chercha des images de femmes mûres.

Et au bout de quelques heures, il finit par tomber sur une femme qui ressemblait bien à sa mère

Le lendemain, Paul ne perdit pas de temps à télécharger toutes les photos de la femme qui ressemblait à sa mère.

Parmi les photos, une photo particulièrement provocante donna encore envie à Paul de se soulager.

Il retira son caleçon et entama sa masturbation lorsque Yasmina entra dans la chambre.

— Chéri Oh ! Pardon Paul ! Oh ! Je reviens tout à l’heure. Désolé mon chéri

Paul fut gêné mais surtout un peu en colère par cette irruption soudaine de sa mère dans sa chambre.

Il voulut soudain punir sa mère pour cela.

Au bout de cinq minutes, Yasmina était toujours derrière la porte de la chambre de son fils.

Elle avait le cur palpitant, depuis la vue du sexe érigé de son garçon.

Il était long et épais, chargé de menaces mais potentiellement synonymes de plaisir, surtout pour une femme aussi souvent seule que Yasmina.

Elle rêvassait un peu, des images interdites emplissaient sa tête lorsque son fils l’interpella.

— Tu peux venir maman.

Yasmina entra après avoir chassé les pensées vilaines de sa tête.

Elle découvrit Paul torse nu; il en avait fini avec son érection d’après Yasmina.

— Oui, c’était pour voir s’il n’y avait pas mon string dans tes affaires j’ai dû le mettre dans ta pile de vêtements d’hier…

— Waouh ! Un string, se disait Paul.

Paul se leva alors pour aller chercher les vêtements que sa mère lui avait apportés la veille.

Pendant ce temps là, Yasmina voyait l’écran allumé de l’ordinateur de Paul.

Curieuse, elle s’assit sur le bord du lit de Paul et scruta l’écran, en se penchant bien près de l’écran.

Elle remarqua alors les photos de la femme nue sur l’écran et s’étonna de la ressemblance entre cette femme et elle-même.

— Tu es passé à une autre femme à ce que je vois.

— Oui, elle est différente

— Mais dis, elle me ressemble un peu non ?

— Mais non je ne crois pas maman. En tout cas je ne peux pas comparer comme ça.

Paul s’approcha de sa mère, qui portait aujourd’hui une petite robe aux fines bretelles.

Le décolleté étant une nouvelle fois bien profond, aussitôt le jeune homme découvrit sans mal, les seins nus mal cachés de sa mère car elle s’était penchée bien en avant.

Ce fut bien agréable comme surprise.

— Euh, au fait, je trouve finalement que ta poitrine est plus jolie maman.

— Comment tu le sais oh, le coquin !! S’écria Yasmina, lorsqu’elle découvrit son fils, qui la regardait droit dans le décolleté.

Elle lui fit une tape sur la cuisse et vit enfin qu’il avait toujours sa bosse dans son caleçon.

— Tu n’as pas honte de traîner comme ça devant ta mère ?

— Mais quoi ! C’est quand même ma chambre non, m’man ? Et puis pourquoi tu rentres comme ça sans frapper ?

— Pardon, mais c’était pour récupérer mon string

— Tu n’as qu’à attendre un peu non ? T’es pressée à ce point-là ?

– C’est parce que je ne veux pas que tu me le voles comme tu fais de temps à autre avec mes autres culottes.

Silence dans la chambre et statu quo entre Yasmina et son fils.

Ni l’une ni l’autre n’était irréprochable dans son comportement

Yasmina, tête baissée, continuait néanmoins à regarder les photos de la femme qui lui ressemblait.

Elle la trouva très belle et surtout sexy et provocante dans toutes ses postures.

Elle eut un doute dans sa tête et demanda à nouveau à son rejeton laquelle était la plus belle.

— Ben, pour la poitrine je te l’ai dit, c’est toi maman. Mais pour le reste

— Quoi pour le reste ?

— Je crois qu’il faudrait que tu me montres tout comme elle plaisanta Paul.

— Mais ça ne va pas bien ?! Petit cochon, répondit sèchement Yasmina en chipant le string que son fils avait finalement trouvé parmi ses affaires.

La mère se leva d’un trait et se dirigea vers la porte de la chambre.

— Hé chéri, et là ? Qui est la plus belle ? Se retourna soudain Yasmina qui fit face à son fils.

Elle saisit le bas de sa robe et le releva furtivement, en même temps fit un demi-tour sur elle-même avant de disparaître dans le couloir.

Paul resta bouche bée car sa mère venait tout bonnement de lui dévoiler son cul et son bas-ventre.

Ce fut très rapide mais néanmoins, Paul avait pu remarquer que sa mère ne portait ni de culotte, ni de string en dessous de sa robe.

C’était incroyable, sa chère maman venait donc de lui faire un strip-tease ultra-rapide

Ce fut court mais si bon pour Paul, qui se caressa sur place, comme médusé, en regardant dans la direction de la porte

À suivre

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