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Ma fille, sa copine, mes rêves – Chapitre 3




Le matin arrivant, je me suis réveillée encore toute retournée de cette folle soirée passée avec Lou. Finalement, après des années sans plus de quelques rapports sexuels avec mon ex-mari (et quand celui-ci m’a quitté pour une jeune pouliche, rien d’autre que mes doigts comme unique outil), j’avais de nouveau baisé… et avec une fille en plus, et de l’âge de ma fille par-dessus le marché !

J’aurais peut-être pu être plus choquée par ce que j’avais fait. Mais au final, j’avais du mal à ne pas voir le plaisir que ça m’avait apporté ; cette petite était, il fallait bien le reconnaître, une baiseuse plutôt expérimentée… et qui n’avait pas froid aux yeux ! Plus j’y repensais, plus cette vision de cette jeune rentrant dans ma chambre, comme ça, tellement sûre d’elle… qu’est-ce que ça m’excitait ! J’en voulais encore. Après tout, je m’étais bien fait voler mon mari par une garce de 25 ans… pourquoi serait-il le seul à en profiter ?

Mais la pensée de ce que pourrait ressentir ma fille m’avait fait frissonner. Comment aurais-je pu regarder les yeux dans les yeux la chair de ma chair, ma Gaëlle chérie, que je pensais si réservée, si innocente ? Et quel était le pire finalement : qu’elle sache que je couche avec une fille de plus de 20 ans ma cadette ? Ou bien que ce soit avec sa petite amie ? Je me demandais comment Lou voyait la chose, elle qui avait donné du plaisir avec la mère et la fille…

Mais en allant à mon travail, tout ce que je voulais c’était revoir Lou, retoucher à ces moments délicieux que j’avais passés… j’en arrivais à ce sentiment égoïste qui vous commande de rester discret, de faire le nécessaire pour garder intacte et hors de vue votre source de plaisir. Alors que j’aboutissais à cette sombre conclusion, la vibration de mon téléphone signifia la réception d’un message…

"On remet ça quand tu veux <3" – Signé : Lou

C’en était trop, je devais absolument la revoir ! Je commençai à me demander si elle ne lisait pas dans les pensées, pour savoir à quel moment j’étais la plus fébrile, la plus vulnérable à mes fantasmes les plus inavouables…

Je me préparai mentalement à couper un peu la communication entre elle et moi. Mais dans la matinée je reçus une photo d’elle, un peu maquillée, seins nus dans ce qui semblait être des toilettes pour filles. "Regarde comme mes petits seins ont envie de toi !" Je voyais effectivement ses petits seins pointer, elle devait s’être chauffée au préalable… Garder la tête froide durant la journée allait très vite se révéler impossible…

En effet, je reçus plusieurs nudes de ma petite fée, tous plus excitants les uns que les autres, passant des seins à des photos de sa culotte, de ses fesses, puis d’elle en train de se doigter… j’ai dû aller me masturber une fois sous l’effet de ces cadeaux empoisonnés, et encore cela ne suffit clairement pas à éteindre l’incendie ! Elle était trop belle, trop jeune, trop coquine… comment ne pas penser qu’on est privilégié lorsqu’une jeune et pimpante tigresse comme elle vous accorde l’honneur de faire des folies avec elle ?

Et, fidèle à sa capacité à capter mes pensées, je reçois en fin de journée un nouveau message de Lou :

"Est-ce que mes petites photos t’ont fait autant de bien qu’à moi ? Si oui, passe me voir chez moi, mes cons de parents sont de sortie jusqu’à 22h… j’ai trop envie de te voir <3"

Voilà donc le message que j’attendais impatiemment et que je redoutais à la fois… cette fois-ci, je n’avais aucune excuse. Si j’y allais, j’étais prête à me compromettre définitivement avec Lou…

Mais j’y suis allée. J’ai un peu hésité, j’avais encore du travail, je suis partie en plein après-midi de mon cabinet, mais j’y suis allée.

Elle m’a accueillie chez elle comme si j’étais une amie de la famille. M’a proposé quelque chose à boire. Moi, je la buvais elle. Je n’avais dans la tête que ces icônes qu’elle m’avait envoyées aujourd’hui !

Plus on parlait, plus je me rendais compte qu’elle ne tenait pas ses parents en très haute estime. Sa mère surtout. Elle ne se dérangeait pas pour me dire à quel point elle se sentait barrée, fliquée, et en même temps délaissée… je commençais à comprendre certaines choses.

Et tout d’un coup elle s’écria : "Mais tu n’as toujours pas vu ma chambre ! Viens, je vais te faire visiter ! ". C’était un peu irréel, je la suivais sans oser me jeter sur elle…

Sa chambre était peinte majoritairement en bleu foncé. Ca paraissait un peu sobre, finalement, pour une fille qui était haute en couleurs. Un instant d’observation passa, tel le calme avant la tempête. Lou vint placer ses bras autour de mon cou.

"C’est gentil d’être passée me voir. Je me sens un peu seule là."

Je ne dis rien. Je me suis contentée de me retourner, de caresser sa joue…étais-je l’amante, étais-je la mère ? Une petite larme coulait de son il. Elle n’eut besoin que d’un murmure pour m’achever :

"Je veux que tu me prennes dans tes bras et que tu me dises plein de choses toutes douces"

Elle me plaquait sur son lit une demi-seconde plus tard ! On se dévorait, elle se déchaînait, il n’y avait plus besoin de tendresse. Tout avait déjà été dit, ou non dit. Je n’avais plus autant de retenue que la dernière fois, je me suis très vite ruée sur ses seins, ses si beaux seins, si jeunes, si doux… en fait, je me rendais compte que la visite de Lou dans ma couche fut agréable, mais que l’avoir désirée pendant toute la journée ne rendait la chose que plus belle encore…

Elle aimait quand je lui enlevais son soutif, elle aimait quand je lui bouffais ses jolis seins, elle aimait avoir le contrôle sur moi. Et je lui ai donné.

Ma rigide tenue de travail éclatait et me laissait dans mes sous-vêtements noirs simples, elle en profita pour glisser ses doigts dans ma culotte. J’avais encore ma bouche sur ses tétons, mais je devais lâcher des soupirs réguliers, pour expirer les vagues de plaisir que me procuraient les doigts de fée de ma partenaire. Quel moment : tous les deux en sous-vêtements (si l’on excepte le cache-gorge de Lou que j’avais écarté), installés sur son lit, en train de se caresser intimement… je me sentais en apesanteur, repartant vers les plaisirs lunaires qu’elle m’avait fait partager la veille !

"Si tu savais quelle chance tu as d’avoir encore des seins mignons comme les tiens…

— On en reparlera quand tu auras montré tes beaux nichons !

— C’est toi la maîtresse ici", fis-je en m’exécutant

— Complètement ! D’ailleurs, tu vas me faire le plaisir de te mettre à quatre pattes ! J’ai une surprise pour toi…

C’est ainsi que je me courbai, culotte noire en l’air, exhibant mon derrière volumineux, pendant qu’elle ramenait un godemiché à ceinture, dont la particularité n’était pas qu’il était exceptionnellement gros (même si je n’imaginais qu’à grand-peine pouvoir encaisser le choc ! ), mais qu’il y avait deux phallus : un de chaque côté de la ceinture, pour pouvoir pénétrer et être pénétré en même temps…

"Je ne suis pas sûre de pouvoir supporter un engin gros comme ça !

— Ne t’inquiète pas, tu m’as déjà l’air de mouiller bien comme il faut, donc tu as déjà fait le plus dur !

— D’accord mais sois douce, comme tout à l’heure… je te fais confiance chérie…

— Si tu savais comme j’ai envie d’essayer mon joujou sur toi… je le gardais pour une belle maman sexy comme toi !!! En plus regarde, le gode est fait pour que je m’en enfonce une partie dans la chatte… comme ça je vais te baiser, et je vais jouir en même temps…

Je me demandai fortement ce que j’avais fait pour mériter une telle déclaration d’amour. Mais je n’eus pas le temps de réfléchir, Lou baissait déjà ma culotte d’une lenteur exagérée, comme pour savourer… Pareil quand elle m’enfonça son godemiché entre mes cuisses. Elle respecta sa parole, y alla doucement, s’y reprenant à plusieurs fois. Je ne dis plus un mot, ayant un peu d’appréhension à l’idée de me faire pénétrer après une longue période sans rapports de ce genre…

"Au fait, j’aime quand tu m’appelles chérie"

Juste après cette phrase, un coup de reins bien placé fit coulisser la verge dans ma fente. Je l’accueillis sans trop de mal finalement, il faut dire que le gode était naturellement lubrifié maintenant… Après quelques petits coups pour s’échauffer, Lou passa aux choses sérieuses et commença à faire jouer à fond la double pénétration qui s’exerçait. Je commençai à apprécier le rythme de la verge, je trouvai même cela bon, tellement que je commençai à me pencher encore un peu sur le lit pour me faire bien pénétrer, pour que Lou tape au fond de moi… je commençai à l’entendre jouir, avec son propre gode qui la pénétrait ; de fait, plus elle me déflorait plus elle se faisait stimuler, avec le piston qui poussait le mini-gode profondément en elle. Quel pied ! Je me laissais complètement aller, elle était totalement maîtresse de moi !

Le jeu prenait. Je me prenais pleinement au jeu, à saisir l’extase qui résidait dans cette pénétration. Je me faisais prendre en levrette par une jeune gouine ! Mon Dieu que c’était incongru, mais que c’était bon ! Jamais je ne m’étais à ce point poussée dans mes retranchements, je ne pouvais pas m’offrir plus. Je poussai un long râle, j’expirai enfin ! J’appréciais la vrille du gode qui me secouait l’intérieur ! Je me redressai, me collai à Lou qui commençait à donner des plus forts et espacés, et cette petite gouine mettait ses fines mains de part et d’autre de mes seins ! Je me faisais défoncer et j’aimais ça… et elle aussi visiblement, vu la mouille qui commençait à gicler sur mon dos et les cris qu’elle poussait !

"Hmm alors il m’a l’air efficace ton petit jouet…

— Tu sais bien que je nai pas besoin de gode pour que tu me fasses jouir…

Qui a dit quoi ? Je ne le sais plus moi-même…

Nous sommes restées un peu allongées après avoir joui ensemble (même si j’ai dû me forcer à me contenir vu comment Lou maniait bien son gode !), à se caresser, à s’embrasser… jamais je ne pouvais me lasser de caresser son corps féerique, c’était juste trop tentant… Même après cette baise intense, ma jeune amante continuait à m’exciter, me parler d’explorer mon anus, de faire d’autres choses folles avec moi.

"Et ça ne te dérange pas de vouloir faire ces cochonneries avec la mère de ta copine ?

— Déjà, quand quelque chose m’excite je nai pas l’habitude de reculer. Et puis, après tout, c’est aussi un peu pour elle que je le fais…

— Pardon ?

— Hélène, ta fille est folle de toi depuis quelque temps déjà…"

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