Je vais vous narrer une aventure qui m’est survenue il y a cinq ans de celà.Je m’appelle Arnaud,à cette époque j’avais 45 ans et j’étais et suis d’ailleurs toujours ce que l’on appelle un bel homme.Je suis grand,musclé,agréable à regarder.Je travaille comme vrp et je suis amené à me déplacer fréquemment.Lorsque cette histoire à débutée je m’occupais d’un secteur qui comprenait la région Rouennaise et je des cendais environ deux semaines par moi dans cette fort belle ville de Rouen.J’avais pris mes habitudes dans un hôtel du centre ville et je comptais pas en changer.La patronne du dit hôtel n’étant d’ailleurs pas étrangère à ce fait.Je l’avais remarqué dès le premier soir où j’avais débarqué dans son établissement.Une grande blonde aux cheveux longs qui lui descendaient jusqu’au bas des reins.Elle était menue et n’avait pas beaucoup de poitrine mais elle avait un fort joli visage,savait mettre ses atouts en avant et de plus celà se sentait de loin cette femme respirait le sexe.C’était une grande bourgeoise,l’hôtel lui appartenait et son époux était directeur dans une grande banque nationale.Madame dépensait une bonne part de l’argent qu’elle gagnait à faire sa coquette et à s’acheter des vêtements coûteux,de la lingerie sexy,à se maquiller,dans les soins corporels…Elle était hiver comme été toujours bronzée.Elle avait beaucoup de charme, en était consciente et en jouait sur les hommes.Aussitôt, je m’intéressais à elle et dès ce premier soir j’entrepris de la draguer.Revenant régulièrement dans cet hôtel des liens se nouèrent entre nous.J’appris par la dame que son mari était souvent en déplacement à l’étranger,en Espagne et en Thaïlande ou il ne devait certainement pas manquer de débrider quelques chattes bien serrées, et qu’elle se sentait souvent seule et délaissée.J’intensifiais alors mon marivaudage auprès de la charmante hôtesse et lui demandais de venir un soir dîner avec moi.Je lui expliquais que je ne connaîssais personne à Rouen et que celà comblerais un peu mon sentiment de solitude si elle acceptais.Bien sur, la dame opina.Rendez-vous fut pris pour le mardi soir de la semaine suivante ou l’époux de madame serait en déplacement.Le jour convenu à l’heure précise la belle était présente.Evelyne,c’était ainsi qu’elle se prénommait était ravissante.Elle portait une jupe courte,sur des bas qui lui gainaient admirablement ses jolies jambes.Nous allâmes dîner dans un petit restaurant que je connaîssais et ou j’allais assez souvent prendre mes repas.Le dîner se passa fort bien et de manière charmante.Nous discutâmes de tout et de rien puis après ce bon repas je proposais à Evelyne de prendre un verre avec moi.Elle accepta aussi.C’était exquis et tout se présentait de fort belle manière pour moi.Après le verre nous reprîmes le chemin de l’hôtel où madame avait garée sa voiture.Arrivés devant cette dernière,la rue étant déserte,je pris la main de ma belle compagne je pressais mes lèvres contre les siennes,nos langues se mêlant en une douce caresse.
-"Evelyne,lui dit -je,reste avec moi ce soir,ne pars pas.J’ai envie de toi, je t’aime, tu es si belle."
-"Non, ce n’est pas possible,me répondit-elle, pas ce soir, il y a mes enfants à la maison et puis que dirait le veilleur de nuit si il me voyait revenir avec toi et passer la nuit à l’hôtel?Non,ce n’est pas possible et puis mon mari je ne sais pas, je l’aime tout de même je ne peux pas lui faire ça.Non, je suis désolé, je ne peux pas".Et elle monta dans sa voiture,démarra et me laissa sur le parking,la bite m’élançant, bandant comme un âne.J’en fus réduit à me taper une bonne branlette en matant le film porno que diffusait ce soir là une célèbre chaîne cablée.Le lendemain je fus éveillé par des coups discrets tapés à ma porte, je regardais l’heure à ma montre il était 5h45 et je me demandais bien qui pouvais venir me déranger et me lever de si bon matin.Je me dirigeais vers la porte où les coups avaient repris.J’ouvris encore tout endormi mais ce que je vis alors devant moi m’éveilla totalement.Dans le couloir,face à moi se tenait la ravissante Evelyne,sa jupe retroussée au niveau de son nombril, elle ne portait pas de culotte et avec deux doigts elle s’écartait sa petite chatte blonde et étroite.De la délicate minette pendait un long filet de mouille qui menaçait à tout instant d’aller s’écraser au sol.La belle me regarda dans les yeux, puis devint toute rouge et baissa la tête.N’importe qui,un de ses zmployés ou un autre client de l’hôtel passant par ici pouvait l’apercevoir à tout moment.Je portais un pyjama et ma bite,devant la divine vision,s’érigea en une seconde, je bandais à en trouer mon slip et le pyjama.J’attrapais la mignonne, la fit entrer dans la chambre.Je la culbutais alors sans fioritures sur le lit.Je n’en pouvais plus.Elle avait apparemment totalement oublié son mari et le fait qu’elle l’aimait encore.
-"Vite,me dit elle,le veilleur finit son service à sept heure, baise moi fort et vite."Je sortis mon sexe imposant et commençait à le faire aller le long de sa fente, ça sentait la chatte en chaleur dans la chambre et cette odeur m’excitait au plus haut point.Je poussais enfin mon zob dans le divin trou, elle gémit sous l’intrusion.
-"Ah,ça y est tu me prends, c’est ce que tu voulais hein mon salaud,tu voulais me piner.Depuis longtemps hein tu le voulais.Ah,c’est bon,ele est grosse ta pine,plus grosse que celle de mon mari, ah tu me la mets bien,ah tu me ramones, tu vas me juter dedans hein dégueulasse?Tu vas m’embourber, ah tu m’as mis ta grosse quéquette dans ma petite zézétte.C’est bon, elle est serrée hein, ma petite moule? C’était vrai, elle était bien étroite,bien chaude et humide,exigue comme j’aimais les vagins de salopes.Je la bourrais violemment maintenant ma queue allait et venait dans son ventre en un mouvement de piston régulier et puissant.La femelle eut alors un orgasme, sa moule se contracta sur ma bite lorsqu’elle jouit et elle plaqua ses mains sur sa bouche pour étouffer le cri de plaisir qui en jaillissait.Je décidais d’en finir.Je pistonnai encore plus fort le con en chaleur de la morue et je jouis en elle comme elle l’avait prophétisé auparavant.
-Aaaaah, je jouis salope,m’écriais je en m’effondrant sur elle, j’arrose ta moule,je t’ensemence, ah c’est bon salope."
-"Mon dieu, tu as jouis, tu as déchargé en moi, je viens de me faire remplir comme une salope, j’ai cocufié mon mari, ah, ça déborde, j’ai la moule dégoulinante de ton sperme.C’est bon , je t’aime mon chéri."me lança t’elle.Après une rapide toilette, elle redescendit prendre son poste à la réception de l’hôtel.Quelques instants plus tard je descendais à mon tour afin de prendre mon petit-déjeuner.J’ai continué à baiser la patronne durant trois ans jusqu’à ce qu’elle finisse par vendre son hôtel et qu’elle continue à vivre sa petite vie de femme mal-baisée et délaissée avec son cornard de mari.