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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. – Chapitre 4




Elle voit Carlo qui commence à mettre ses reins en route, alors que son complice s’enfonce dans le vagin de son amie.

Tantôt les hommes alternent leurs mouvements, tantôt ils sortent ensemble de l’orifice qu’ils occupent chacun de leur côté, avant de repénétrer d’un seul coup Laura.

Celle-ci, d’après ses gémissements, qui parfois se transforment en véritables hurlements, est loin d’être indifférente au traitement qu’elle subit.

Amandine, à force de regarder ce « sandwich » – comme le lui a appris Carlo précédemment – se réaliser sous ses yeux, a soudain envie de participer, elle aussi.

Elle se met sur le côté droit, la tête appuyée sur sa main, le coude au sol ; elle envoie sa main gauche flatter les quatre grosses boules qui oscillent au hasard des flux et des reflux des propriétaires des deux verges.

On entend, au sein des halètements, un hurlement d’Eros :

"Putain, elle me caresse les roubignoles ! Je vais juter.

— Moi aussi, lui répond Carlo en écho."

Effectivement, les deux hommes s’enfoncent au maximum dans l’orifice qu’ils pénètrent et – Amandine le sent bien aux mouvements convulsifs qui animent les testicules qu’elle flatte toujours de la main gauche – ils déversent leur semence dans le corps de Laura qui, elle aussi, se met à hurler.

Momentanément épuisés, ils s’effondrent les uns sur les autres. Placée comme elle est, Amandine constate la rétractation lente des deux virilités.

Carlo se met sur le côté, libérant ainsi Laura qui, une main sous l’entre-jambes, s’enfuit en direction des toilettes.

Lorsqu’elle revient, les deux hommes sont toujours allongés sur le dos. Amandine, consciencieusement, s’acharne à ôter avec la langue la moindre parcelle de sperme de leurs verges.

Carlo propose alors :

"Ecoutez, les filles, on a encore de la réserve. Alors, si vous voulez, pour qu’il n’y ait pas de jalouses, on va recommencer, mais cette fois-ci je me mettrai là où Carlo était tout à l’heure et lui fera pareil. Qu’en dites-vous ?

Les deux jeunes filles se consultent du regard, puis Laura répond pour elles deux :

— D’accord ! Alors, si j’ai bien compris, je prends Carlo dans mon petit trou et Eros vient par devant, puis ce sera au tour d’Amandine d’avoir Carlo dans son ventre et Eros dans son petit trou.

Eros répond :

— C’est exactement ça. Mais il faut aussi que je m’allonge au sol pendant que nous te comblerons comme tu as dit ; après on changera de position pour Amandine.

Les jeunes gens se disposent de la manière dont ils ont décidé, et la séance reprend, un peu plus longue parce que les deux hommes commencent tout de même à être un peu fatigués.

Lorsque tout est terminé, ils n’ont même plus la force ni le courage de refaire les lits. Ils s’endorment emmêlés les uns aux autres, sur les matelas.

C’est la chaleur qui les réveille, la belle blonde d’abord.

Laura s’étire. Dans son mouvement, elle frappe sans le faire exprès Amandine et Eros, qui s’extirpent aussi de leur profond sommeil, bientôt rejoints par Carlo.

Celui-ci, en guide de bonjour, interroge :

"Vous voulez que je vous dise ? Je crève de faim.

Trois éclats de rire se joignent au sien.

Laura organise :

— Bon, je vous propose de faire ça : une petite toilette rapide, on s’habille, on va voir s’il y a moyen de prendre un petit déjeuner.

— Attends, réplique Eros. Je vais aller voir surtout s’il reste du pain, du beurre, du lait et du chocolat, parce que je suppose que vous n’avez rien. Je reviens.

Il se rhabille et sort.

Pendant ce temps, les trois autres personnes remettent un peu d’ordre dans le mobile-home, prennent une douche rapide et s’habillent.

Dès son retour, Eros prend lui aussi une douche pendant que les trois autres préparent leur petit déjeuner.

Quand il se rhabille, il déclare :

— Vous savez qu’il est midi ?

— Et alors, rétorque Amandine, on s’en moque. Ici, on est en vacances !

Ils se jettent avec un appétit d’ogre sur tout ce qui est préparé.

A la fin, Carlo interroge :

— Au fait, les filles, ça vous dirait de faire un petit tour sur un yacht ?

Elles ouvrent des yeux étonnés. Laura réagit la première :

— Pourquoi ? Tu en as un ?

Carlo se met à rire :

— Moi, non, mais le père d’un copain en a un et il nous laisse accès libre dessus. Si vous voulez, je vais téléphoner à mon pote et on va voir. Alors ?

— D’accord, répondent les deux filles en choeur. Tu sais nous, on n’a jamais vu que des photos de yachts. Alors un vrai, tu parles !

— Bon, je vais téléphoner.

Il sort pendant que les autres font une rapide vaisselle et terminent de ranger les matelas.

Quand il rentre, la question fuse :

— Alors ?

— Alors son père est d’accord, mais il voudrait aussi vous voir.

— Quoi ? Nous voir et nous baiser ?

— Non, rigole Carlo. Il voudrait vous voir faire une démonstration de contorsionnisme. C’est lui que j’ai eu. Vous n’avez qu’à mettre un slip de bain sous une robe et ça ira, non ?

— OK !

— Bon, je vous conduis au port. Le père de mon pote nous envoie un Zodiac.

Les filles battent des mains tandis que Carlo échange un clin d’oeil avec Eros.

Il ne leur faut que quelques instant pour arriver au lieu de leur embarquement.

Effectivement, Carlo fait un grand signe à une personne qui est dans un Zodiac stationné là. Tous le suivent et ils grimpent dedans.

Le Zodiac démarre et se dirige vers un yacht étincelant sous le soleil. Les filles sont en admiration au fur et à mesure qu’elles approchent du bateau.

Finalement, après une manoeuvre complexe, leur petit bateau s’amarre au grand. Une échelle est dépliée et les quatre personnes arrivent sur le pont du yacht où le père de l’ami de Carlo les salue :

— Bonjour ! Je m’appelle Aberto Barolo, et je suis le propriétaire de ce yacht. Si j’ai bien compris, c’est vous les petites Françaises si souples ?

Carlo fait les présentations :

— Oui, voici Amandine et Laura.

— Soyez les bienvenues ici, Mesdemoiselles. Carlo vous a expliqué ce que je souhaitais, si vous êtes d’accord, évidemment ?

— Oui, Monsieur, répondit Laura. Nous allons vous faire une démonstration de ce que nous savons faire, mais à l’intérieur, s’il vous plaît, parce que dehors il fait vraiment très chaud et que nous n’avons pas l’habitude.

— Évidemment, Mesdemoiselles. Suivez-moi, s’il vous plaît.

Elles pénètrent à l’intérieur à la suite de l’homme. Tous respire le luxe. Alberto Barolo demande à Carlo :

— Carlo, tu connais bien les lieux. Peux-tu nous apporter des rafraîchissements, s’il te plait. Et vous, asseyez-vous, je vous prie.

— Tout de suite, Monsieur.

Pendant que les deux jeunes femmes et Eros s’enfoncent dans de profonds fauteuils de cuir, bien vite rejoints par leur hôte, Carlo se dirige vers un petit réfrigérateur encastré. S’adressant aux deux filles, il leur demande :

— Il y a du jus de raisin et du jus d’orange. Que préférez-vous ?

— Jus d’orange ! répondent-elles simultanément.

— Bon, je vous l’apporte.

Il se tourne vers le réfrigérateur et sert les deux jus, après avoir pris la précaution de verser dans chacun d’eux le contenu d’un sachet de sa diabolique «  poudre de séduction ». Il interroge :

— Et pour vous ? Alberto, et toi, Eros ?

— Ce sera comme d’habitude, répondent les deux hommes.

Il remplit trois verres d’une liqueur ambrée, prend un plateau, met les cinq verres dessus et dépose le tout sur la table carrée située entre les fauteuils.

Alberto soulève son verre et dit :

— À votre santé.

Juste à cet instant, on frappe à la porte.

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