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Ma mère,mon amour – Chapitre 1




Le lendemain, je descendis le premier et prépara le petit déjeuner, je les entendais rigoler dans la salle de bains et je décidai d’aller les surprendre. La porte était entrouverte et je voyais ma mère et ma tante nue dans la baignoire, j’entrai et comme j’étais en érection elles décidèrent de me faire une pipe. Je me laissais faire et j’éjaculais sur leurs corps, elles se caressaient toutes les deux avec mon sperme au bout d’un moment, ma mère me dit :

-Maintenant, jacques, tu dois nous nettoyer. Allez vient nous pisser dessus.

J’avais une forte envie et je commençais par leur en mettre sur tout le corps puis sur leurs sexes puis j’arrivais sur leurs visages et elles burent tout le restant. Elles avaient chacune une main dans la chatte de l’autre et elles se firent jouir devant moi. J’étais vraiment un homme heureux d’avoir ainsi deux femelles aussi chaudes pour moi tout seul. (Enfin je le savais pour ma mère mais ma tante aucune idée !).

Le restant de la matinée se passa sans histoires et nous dinions quand ma tante nous dit :

-Je reprends le train à 16 h et j’aimerais bien que vous me baisiez encore une fois avant. Toi, jacques dans ma chatte et toi, Marie, dans le cul avec le gode.

Je m’allongeais sur le lit et ma tante vint se mettre sur moi, on s’embrassait et on se disait des mots d’amour, je pris ses deux fesses dans mes mains et je les écartais pour que ma mère puisse la lécher avant de l’enculer. Elle lui mit un peu de vaseline et le gode rentra tout seul, je le sentais et on prit tous les deux le même rythme pour la baiser. Ma mère se pencha vers nous et on s’embrassait tous les trois en se disant qu’on s’aimait.

-Oui, je vous aime, baiser moi encore et encore c’est trop bon continuez oh je sens que ca vient continuez oh je vais jouir oh oui oui oui, encore encore. Elle jouit et moi aussi on se retira d’elle et moi je me jetais sur ma mère, mon sexe était encore dur et je la pénétrais d’un coup, elle se mit à crier :

-Oui vas-y mon fils baise moi, fais moi jouir, donne moi ta matraque, oh comme je l’aime ta queue oh c’est si bon, viens Martine viens sur mon visage que je récupère son sperme, viens vite.

Je rebandais bien dur et je la limais pendant qu’elle faisait minette à ma tante. Elle jouit d’un coup et cela dura bien cinq minutes elle se tordait dans tous les sens, mon sperme et la mouille de ma tante s’e mélangeait sur sa bouche, je me penchai pour lécher tout ca et je l’embrassais en même temps puis je lui ais éjaculer dans la chatte et nous sommes retombés tous les trois sur le lit épuisés mais heureux.

On conduisit ma tante à la gare et sur le quai on s’est embrasser en se promettant de nous revoir bien vite, maman a été lui acheter une revue et elle me dit :

-La prochaine fois je viendrais avec Max.

-Ah oui je l’avais oublié celui-là c’est un de tes amants ?

-Oui il est mon seul et unique amant, enfin il était car maintenant je t’ai aussi.

-Il travaille dans quoi ?

Elle éclata de rire et me dit qu’il ne travaillait pas car Max était un beau boxer.

Ma mère revint et le train entra en gare.

Dans la voiture en rentrant je parlais à maman de Max et elle me dit que ma tante lui en avait parlé et qu’elle aussi aurait bien voulu essayé. Je crois que la prochaine visite de ma tante serait encore meilleure que la première. On repassa au cimetière, sur la tombe de papa, et on rentra en larmes tous les deux. Maman me dit :

-Tu sais il ne faut pas avoir de remords au sujet de papa, il avait une maîtresse et ne me touchait plus depuis plusieurs mois. Tu verras, on va être heureux tous les deux et de temps en temps on pourra faire venir Martine et aussi Géraldine. Elles nous aiment bien.

-Je sais, Maman, mais moi c’est toi que j’aime. Les autres c’est uniquement pour le sexe tandis que toi c’est vraiment de l’amour comme un homme envers sa femme.

-C’est gentil çà, mon amour, ce soir je te récompenserais comme tu le mérite. Moi aussi je t’aime très fort.

Elle écarta les jambes et je mis ma main entre, Elle avait la culotte en satin ouverte sur le devant et je pus accéder à sa chatte déjà toute trempée. Je la caressais un peu et je lui dis :

-Ce soir, je veux que tu t’habille comme j’aime, en bas et jarretelles avec des sous- vêtements blancs et si tu veux je pourrais peut-être t’enculer.

-Mais, mon chéri, je n’attends que çà. Mais on le fera doucement et si j’ai mal on s’y prendra en deux ou rois fois d’accord ?

-Mais oui, Maman. Tu sais que je t’aime.

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